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Industrie montréalaise des jeux vidéo et des effets visuels


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New World Interactive: un nouveau studio de jeu vidéo à Montréal

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New World Interactive (NWI) qui est reconnue pour la franchise du jeu vidéo «Insurgency» a annoncé mardi l’ouverture d’un nouveau studio à Montréal qui compte embaucher une cinquantaine de personnes d’ici deux ans.

«À la suite de l’acquisition récente par Embracer Group, NWI annonce avec fierté qu’il accroît sa présence au Canada en ouvrant son deuxième studio canadien à Montréal. Compte tenu du bassin exceptionnel de talents en matière de conception de jeux vidéo à Montréal, nous sommes convaincus que le recrutement d’une équipe locale apportera plus de possibilités et de diversité aux créations de NWI», a affirmé Keith Warner, directeur général de New World Interactive, par communiqué.

Appelé New World East, cet établissement «apportera un soutien continu au jeu "Insurgency: Sandstorm" après sa sortie et collaborera à la conception d’un nouveau titre qui sera annoncé à une date ultérieure», a précisé NWI qui est déjà présente au Canada à Calgary.

Les autorités montréalaises ont profité de cette annonce pour souligner l’attractivité de la métropole dans le domaine du jeu vidéo.

«Montréal est un chef de file mondial de la production de jeux vidéo et nous sommes ravis d’accueillir New World East dans cet écosystème. Le Grand Montréal, qui compte plus de 200 studios et une expertise mondialement reconnue dans ce secteur, est l’endroit idéal pour les entreprises innovantes de jeux vidéo», a mentionné Stéphane Paquet, président-directeur général de Montréal International.

La région montréalaise emploie plus de 15 000 dans le domaine du jeu vidéo et est l’un des cinq plus grands pôles mondiaux de production de ce secteur, selon les autorités.

https://www.tvanouvelles.ca/2020/11/10/new-world-interactive-un-nouveau-studio-de-jeu-video-a-montreal

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Je me souviens de l'époque où Montréal était la capitale du vêtement au Canada. Puis dans les années 80 on a commencé à voir se fermer les unes après les autres les manufactures de vêtements et de chaussures à Montréal. Aujourd'hui cette industrie a été remplacée par le secteur des technologies.

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  • 3 semaines plus tard...

Montréal accueille le plus gros studio de Phoenix Labs

IMAGE FOURNIE PAR PHŒNIX LABS

Le plus gros succès de Phoenix Labs, Dauntless, lancé en 2019, est un jeu d’action de style RPG dans lequel des joueurs en ligne, appelés Slayers (« tueurs »), collaborent pour combattre des géants maléfiques, les Behemoths.

Le studio de jeux vidéo de Vancouver Phoenix Labs, derrière le succès planétaire Dauntless, qui compte 25 millions de joueurs, a choisi Montréal pour étendre ses tentacules. D’ici trois ans, annoncera-t-on ce mercredi matin, on y montera un studio de 250 personnes, ce qui le placerait au 8e rang dans la métropole.

Publié le 2 décembre 2020 à 7h00

https://www.lapresse.ca/affaires/techno/2020-12-02/jeux-video/montreal-accueille-le-plus-gros-studio-de-phoenix-labs.php

Karim Benessaieh
La Presse

C’est à un vétéran québécois de l’industrie, André Roy, qui a notamment fait sa marque chez Ubisoft de 2003 à 2010 puis chez Frima de 2012 à 2014, que l’on confiera la direction générale. Son équipe se consacrera au développement de deux jeux de gros calibre, des « AAA » dans le jargon, dont on garde évidemment les détails secrets.

PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE

Le directeur général de Phoenix Labs Montréal, André Roy, sera à la tête d’un studio de jeux vidéo qui comptera 250 employés d’ici trois ans.

Chose certaine, indique en entrevue André Roy, il s’agira de jeux multiplateformes permettant les interactions entre plusieurs joueurs en ligne, sur le modèle de Dauntless. « L’ADN de Phoenix Labs, ce sont des expériences connectées. Est-ce que ce sera deux, trois ou quatre joueurs, des batailles ? On ne le sait pas. On peut partir d’un Pokemon Go du futur jusqu’à Rainbow Six Siege, l’éventail est très large. »

Échelle humaine

Phoenix Labs est une division de l’éditeur de jeu Garena, établi à Singapour, lui-même propriété du géant Sea Group, dont la valeur boursière est de 89 milliards US. En plus du studio de Montréal, on prévoit d’ouvrir une autre antenne à Los Angeles, d’une taille similaire au studio principal de Vancouver, qui compte quelque 140 employés.

Son plus gros succès, Dauntless, lancé en 2019, est un jeu d’action de style RPG dans lequel des joueurs en ligne, appelés Slayers (« tueurs »), collaborent pour combattre des géants maléfiques, les Behemoths.

Le directeur général tient à proposer des « productions à échelle humaine » à ses futurs collaborateurs, dans une industrie où jusqu’à un millier d’artisans peuvent participer à de gros projets.

Son autre engagement, qu’il a réitéré à plusieurs reprises au cours de l’entrevue, concerne la place des femmes dans un domaine où elles sont particulièrement sous-représentées, le leadership créatif. « C’est vraiment là qu’on en voit moins. La première embauche que je voulais faire, c’est la personne en charge aux Talent et Culture, ç’a été Marie-Andrée Lavoie. »

Il vise la parité hommes-femmes au sein de son studio et assure que les femmes amènent une autre « coloration ». Laquelle ? On le sent longuement réfléchir au bout du fil. « Oh boy ! Je vais te donner un exemple concret. Je viens de chez Ubisoft et, à un moment donné, le jeu allait plus ou moins bien. »

On a emmené trois filles dans des postes créatifs et, en un mois, ç’a vraiment changé le momentum, ç’a amené une autre vision.

André Roy, directeur général de Phoenix Labs Montréal

Conversation et surprise

L’autre spécialité de Montréal sera l’utilisation de l’intelligence artificielle, qui permettra de faciliter le processus de création des développeurs et de proposer des personnalisations aux joueurs.

Le choix de la métropole québécoise s’est fait d’une façon plutôt savoureuse, tout simplement après une conversation de routine entre André Roy et le PDG de Phoenix Labs, Jesse Houston. « Jesse, sa première job dans le jeu vidéo, c’est quand je l’ai embauché chez Ubisoft [où il a travaillé de 2004 à 2007], raconte M. Roy. On est restés amis. Il me dit que COVID ou pas, il ouvrira un studio à Los Angeles et je lui dis en boutade : ‟Si vous voulez ouvrir dans l’Est, on est là !” Cinq minutes après, ça déboule, on envisage Montréal, Toronto, Boston. Je lui ai recommandé Montréal. »

Le grand défi est évidemment d’arriver à recruter autant d’artisans dans un contexte de pénurie, en comptant surtout sur le télétravail. « On part de zéro, c’est une page blanche à écrire, une histoire à raconter. Nous, on mise sur le fait que le studio est axé sur les gens, avec une offre de jeux qui est particulière, multijoueurs et multiplateformes, en mettant de l’avant la parité, l’inclusion, la diversité. C’est un endroit qui va être le fun. »

Les studios de plus de 200 employés à Montréal

Ubisoft : 4500

Behaviour Interactive : 700

Eidos-Montréal : 500

Unity Technologies* : 471

Gameloft Montréal : 407

Ludia : 330

WB Games : 314

Motive – Electronic Arts : 200

* Unity Technologies ne produit pas de jeux vidéo, mais un moteur de jeu utilisé par 1,5 million de développeurs.

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Le 2020-12-02 à 10:25, acpnc a dit :

Montréal accueille le plus gros studio de Phoenix Labs

IMAGE FOURNIE PAR PHŒNIX LABS

Le plus gros succès de Phoenix Labs, Dauntless, lancé en 2019, est un jeu d’action de style RPG dans lequel des joueurs en ligne, appelés Slayers (« tueurs »), collaborent pour combattre des géants maléfiques, les Behemoths.

Le studio de jeux vidéo de Vancouver Phoenix Labs, derrière le succès planétaire Dauntless, qui compte 25 millions de joueurs, a choisi Montréal pour étendre ses tentacules. D’ici trois ans, annoncera-t-on ce mercredi matin, on y montera un studio de 250 personnes, ce qui le placerait au 8e rang dans la métropole.

Publié le 2 décembre 2020 à 7h00

https://www.lapresse.ca/affaires/techno/2020-12-02/jeux-video/montreal-accueille-le-plus-gros-studio-de-phoenix-labs.php

Karim Benessaieh
La Presse

C’est à un vétéran québécois de l’industrie, André Roy, qui a notamment fait sa marque chez Ubisoft de 2003 à 2010 puis chez Frima de 2012 à 2014, que l’on confiera la direction générale. Son équipe se consacrera au développement de deux jeux de gros calibre, des « AAA » dans le jargon, dont on garde évidemment les détails secrets.

PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE

Le directeur général de Phoenix Labs Montréal, André Roy, sera à la tête d’un studio de jeux vidéo qui comptera 250 employés d’ici trois ans.

Chose certaine, indique en entrevue André Roy, il s’agira de jeux multiplateformes permettant les interactions entre plusieurs joueurs en ligne, sur le modèle de Dauntless. « L’ADN de Phoenix Labs, ce sont des expériences connectées. Est-ce que ce sera deux, trois ou quatre joueurs, des batailles ? On ne le sait pas. On peut partir d’un Pokemon Go du futur jusqu’à Rainbow Six Siege, l’éventail est très large. »

Échelle humaine

Phoenix Labs est une division de l’éditeur de jeu Garena, établi à Singapour, lui-même propriété du géant Sea Group, dont la valeur boursière est de 89 milliards US. En plus du studio de Montréal, on prévoit d’ouvrir une autre antenne à Los Angeles, d’une taille similaire au studio principal de Vancouver, qui compte quelque 140 employés.

Son plus gros succès, Dauntless, lancé en 2019, est un jeu d’action de style RPG dans lequel des joueurs en ligne, appelés Slayers (« tueurs »), collaborent pour combattre des géants maléfiques, les Behemoths.

Le directeur général tient à proposer des « productions à échelle humaine » à ses futurs collaborateurs, dans une industrie où jusqu’à un millier d’artisans peuvent participer à de gros projets.

Son autre engagement, qu’il a réitéré à plusieurs reprises au cours de l’entrevue, concerne la place des femmes dans un domaine où elles sont particulièrement sous-représentées, le leadership créatif. « C’est vraiment là qu’on en voit moins. La première embauche que je voulais faire, c’est la personne en charge aux Talent et Culture, ç’a été Marie-Andrée Lavoie. »

Il vise la parité hommes-femmes au sein de son studio et assure que les femmes amènent une autre « coloration ». Laquelle ? On le sent longuement réfléchir au bout du fil. « Oh boy ! Je vais te donner un exemple concret. Je viens de chez Ubisoft et, à un moment donné, le jeu allait plus ou moins bien. »

On a emmené trois filles dans des postes créatifs et, en un mois, ç’a vraiment changé le momentum, ç’a amené une autre vision.

André Roy, directeur général de Phoenix Labs Montréal

Conversation et surprise

L’autre spécialité de Montréal sera l’utilisation de l’intelligence artificielle, qui permettra de faciliter le processus de création des développeurs et de proposer des personnalisations aux joueurs.

Le choix de la métropole québécoise s’est fait d’une façon plutôt savoureuse, tout simplement après une conversation de routine entre André Roy et le PDG de Phoenix Labs, Jesse Houston. « Jesse, sa première job dans le jeu vidéo, c’est quand je l’ai embauché chez Ubisoft [où il a travaillé de 2004 à 2007], raconte M. Roy. On est restés amis. Il me dit que COVID ou pas, il ouvrira un studio à Los Angeles et je lui dis en boutade : ‟Si vous voulez ouvrir dans l’Est, on est là !” Cinq minutes après, ça déboule, on envisage Montréal, Toronto, Boston. Je lui ai recommandé Montréal. »

Le grand défi est évidemment d’arriver à recruter autant d’artisans dans un contexte de pénurie, en comptant surtout sur le télétravail. « On part de zéro, c’est une page blanche à écrire, une histoire à raconter. Nous, on mise sur le fait que le studio est axé sur les gens, avec une offre de jeux qui est particulière, multijoueurs et multiplateformes, en mettant de l’avant la parité, l’inclusion, la diversité. C’est un endroit qui va être le fun. »

Les studios de plus de 200 employés à Montréal

Ubisoft : 4500

Behaviour Interactive : 700

Eidos-Montréal : 500

Unity Technologies* : 471

Gameloft Montréal : 407

Ludia : 330

WB Games : 314

Motive – Electronic Arts : 200

* Unity Technologies ne produit pas de jeux vidéo, mais un moteur de jeu utilisé par 1,5 million de développeurs.

Si je comprend bien, cette compagnie à son studio à Vancouver avec 140 employés, et va ouvrir un studio à Montréal qui va en compter 250. Autant dire que leur studio principale sera à Montréal.

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Le 2020-12-02 à 10:25, acpnc a dit :

Montréal accueille le plus gros studio de Phoenix Labs

IMAGE FOURNIE PAR PHŒNIX LABS

Le plus gros succès de Phoenix Labs, Dauntless, lancé en 2019, est un jeu d’action de style RPG dans lequel des joueurs en ligne, appelés Slayers (« tueurs »), collaborent pour combattre des géants maléfiques, les Behemoths.

Le studio de jeux vidéo de Vancouver Phoenix Labs, derrière le succès planétaire Dauntless, qui compte 25 millions de joueurs, a choisi Montréal pour étendre ses tentacules. D’ici trois ans, annoncera-t-on ce mercredi matin, on y montera un studio de 250 personnes, ce qui le placerait au 8e rang dans la métropole.

Publié le 2 décembre 2020 à 7h00

https://www.lapresse.ca/affaires/techno/2020-12-02/jeux-video/montreal-accueille-le-plus-gros-studio-de-phoenix-labs.php

Karim Benessaieh
La Presse

C’est à un vétéran québécois de l’industrie, André Roy, qui a notamment fait sa marque chez Ubisoft de 2003 à 2010 puis chez Frima de 2012 à 2014, que l’on confiera la direction générale. Son équipe se consacrera au développement de deux jeux de gros calibre, des « AAA » dans le jargon, dont on garde évidemment les détails secrets.

PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE

Le directeur général de Phoenix Labs Montréal, André Roy, sera à la tête d’un studio de jeux vidéo qui comptera 250 employés d’ici trois ans.

Chose certaine, indique en entrevue André Roy, il s’agira de jeux multiplateformes permettant les interactions entre plusieurs joueurs en ligne, sur le modèle de Dauntless. « L’ADN de Phoenix Labs, ce sont des expériences connectées. Est-ce que ce sera deux, trois ou quatre joueurs, des batailles ? On ne le sait pas. On peut partir d’un Pokemon Go du futur jusqu’à Rainbow Six Siege, l’éventail est très large. »

Échelle humaine

Phoenix Labs est une division de l’éditeur de jeu Garena, établi à Singapour, lui-même propriété du géant Sea Group, dont la valeur boursière est de 89 milliards US. En plus du studio de Montréal, on prévoit d’ouvrir une autre antenne à Los Angeles, d’une taille similaire au studio principal de Vancouver, qui compte quelque 140 employés.

Son plus gros succès, Dauntless, lancé en 2019, est un jeu d’action de style RPG dans lequel des joueurs en ligne, appelés Slayers (« tueurs »), collaborent pour combattre des géants maléfiques, les Behemoths.

Le directeur général tient à proposer des « productions à échelle humaine » à ses futurs collaborateurs, dans une industrie où jusqu’à un millier d’artisans peuvent participer à de gros projets.

Son autre engagement, qu’il a réitéré à plusieurs reprises au cours de l’entrevue, concerne la place des femmes dans un domaine où elles sont particulièrement sous-représentées, le leadership créatif. « C’est vraiment là qu’on en voit moins. La première embauche que je voulais faire, c’est la personne en charge aux Talent et Culture, ç’a été Marie-Andrée Lavoie. »

Il vise la parité hommes-femmes au sein de son studio et assure que les femmes amènent une autre « coloration ». Laquelle ? On le sent longuement réfléchir au bout du fil. « Oh boy ! Je vais te donner un exemple concret. Je viens de chez Ubisoft et, à un moment donné, le jeu allait plus ou moins bien. »

On a emmené trois filles dans des postes créatifs et, en un mois, ç’a vraiment changé le momentum, ç’a amené une autre vision.

André Roy, directeur général de Phoenix Labs Montréal

Conversation et surprise

L’autre spécialité de Montréal sera l’utilisation de l’intelligence artificielle, qui permettra de faciliter le processus de création des développeurs et de proposer des personnalisations aux joueurs.

Le choix de la métropole québécoise s’est fait d’une façon plutôt savoureuse, tout simplement après une conversation de routine entre André Roy et le PDG de Phoenix Labs, Jesse Houston. « Jesse, sa première job dans le jeu vidéo, c’est quand je l’ai embauché chez Ubisoft [où il a travaillé de 2004 à 2007], raconte M. Roy. On est restés amis. Il me dit que COVID ou pas, il ouvrira un studio à Los Angeles et je lui dis en boutade : ‟Si vous voulez ouvrir dans l’Est, on est là !” Cinq minutes après, ça déboule, on envisage Montréal, Toronto, Boston. Je lui ai recommandé Montréal. »

Le grand défi est évidemment d’arriver à recruter autant d’artisans dans un contexte de pénurie, en comptant surtout sur le télétravail. « On part de zéro, c’est une page blanche à écrire, une histoire à raconter. Nous, on mise sur le fait que le studio est axé sur les gens, avec une offre de jeux qui est particulière, multijoueurs et multiplateformes, en mettant de l’avant la parité, l’inclusion, la diversité. C’est un endroit qui va être le fun. »

Les studios de plus de 200 employés à Montréal

Ubisoft : 4500

Behaviour Interactive : 700

Eidos-Montréal : 500

Unity Technologies* : 471

Gameloft Montréal : 407

Ludia : 330

WB Games : 314

Motive – Electronic Arts : 200

* Unity Technologies ne produit pas de jeux vidéo, mais un moteur de jeu utilisé par 1,5 million de développeurs.

Bon, cela me semble être une autre bonne nouvelle pour Montréal, ce qui est rassurant surtout en cette période sombre.

Mais ce que je trouve intéressant c'est que lorsqu'il y a une mauvaise nouvelle pour Montréal, on peut être sur et certains que YMQ se fera un plaisir de nous partager la mauvaise nouvelle assez rapidement. Il est d'ailleurs celui qui nous fait connaitre la plupart des nouvelles négatives sur Montréal et le Québec. Par contre lorsqu'il y a une bonne nouvelle pour la ville, alors bizarrement notre ami YMQ ne semble pas la remarquer, c'est comme s'il ne les voyait pas ces bonnes nouvelles, bizarre !!!!  

Un cas intéressant à étudier pour un psychologue !

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Il y a 8 heures, steve_36 a dit :

Bon, cela me semble être une autre bonne nouvelle pour Montréal, ce qui est rassurant surtout en cette période sombre.

Mais ce que je trouve intéressant c'est que lorsqu'il y a une mauvaise nouvelle pour Montréal, on peut être sur et certains que YMQ/Marcac se fera un plaisir de nous partager la mauvaise nouvelle assez rapidement. Il est d'ailleurs celui qui nous fait connaitre la plupart des nouvelles négatives sur Montréal et le Québec. Par contre lorsqu'il y a une bonne nouvelle pour la ville, alors bizarrement notre ami YMQ ne semble pas la remarquer, c'est comme s'il ne les voyait pas ces bonnes nouvelles, bizarre !!!!  

Un cas intéressant à étudier pour un psychologue !

Heureusement on ne dépend pas de l'opinion de gens négatifs, pour douter que Montréal tire très bien son épingle du jeu et que nous sommes fiers de ses nombreux succès présents et à venir.

Toutes les villes ont des forces et des faiblesses, Montréal ne fait pas exception. Cependant son bilan s'est tellement amélioré depuis près d'une décennie, que la métropole a retrouvé sa confiance et son dynamisme d'antan.

N'allons pas croire que ce succès soit temporaire, puisque le grand Montréal est prêt et a les moyens de relever tous les défis sociaux, environnementaux et économiques, afin de se maintenir dans le peloton de tête des grandes villes du monde du 21ème siècle. :thumbsup:

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  • 1 mois plus tard...

Le réputé studio Quantic Dream s’installe à Montréal

Montréal réussira-t-elle à faire l’unanimité autour de Quantic Dream ? Le mythique studio français, adulé par des millions d’inconditionnels pour ses trames narratives, mais critiqué pour le manque d’action dans ses jeux vidéo, annonce ce mardi l’ouverture dans la métropole québécoise de sa première filiale à l’extérieur de Paris. À terme, une cinquantaine d’employés seront responsables du design de jeu, qui inclut les mécaniques qui sont souvent perçues comme le talon d’Achille de Quantic Dream.

Karim Benessaieh - La Presse

C’est le vétéran montréalais de l’industrie Stéphane D’Astous, un ancien directeur d’Ubisoft Montréal qui a fondé et dirigé pendant sept ans Eidos-Montréal, qui a été nommé directeur général. On a également annoncé le recrutement de Yohan Cazaux, anciennement responsable de la conception d’Assassin’s Creed Valhalla chez Ubisoft, à titre de directeur de jeu. L’équipe, qui compte déjà sept employés, s’installera dans des locaux avenue Atwater, au centre-ville. Le studio parisien de l’entreprise compte 180 employés.

« Avec ses jeux narratifs, Quantic Dream est un studio qui va vraiment ajouter une corde à l’arc de Montréal, déclare M. D’Astous en entrevue. On en fait ici, mais on est surtout reconnus pour nos jeux d’action. » 

Script de 4000 pages

La prochaine création du studio français, dont on ne révèle évidemment pas les détails, est « très ambitieuse », précise le directeur général. Comme c’est le cas depuis la fondation de Quantic Dream, en 1997, c’est son PDG David Cage qui en est le directeur créatif. Le studio a lancé cinq jeux depuis ses débuts qui ont remporté plus de 250 prix. Il a signé un contrat d’exclusivité avec Sony à partir de 2010, réservant ses œuvres à la PlayStation. Les trois jeux qui ont suivi, Heavy Rain, Beyond : Two Souls et Detroit : Become Human, sont considérés comme des bijoux de narration, avec des scénarios émouvants et d’une profondeur rarement égalée dans le jeu vidéo. Le plus grand succès du studio, Detroit : Become Human lancé en 2018 et qui s’est vendu à plus de cinq millions d’exemplaires, est par exemple basé sur un script de 4000 pages qui a nécessité le recrutement de 300 acteurs et 360 jours de tournage, révélait Cage en entrevue en 2019.

On a annoncé cette année-là la fin de l’entente d’exclusivité avec Sony. Tout en travaillant sur ses propres œuvres, le studio est devenu un éditeur indépendant et a lancé des versions PC de ses trois derniers jeux sur la plateforme d’Epic Games. Les prochains jeux seront « multi-plateformes », annonce M. D’Astous, qui n’exclut pas qu’ils soient également disponibles pour la Nintendo Switch. 

Quantic Dream a été au cœur d’une controverse en 2018, une enquête de trois médias français, dont Le Monde, révélant « une culture d’entreprise toxique, une direction aux propos et attitudes déplacés, des employés sous-considérés, des charges de travail écrasantes et des pratiques contractuelles douteuses. » Deux des plaignants dans cette affaire ont cependant été déboutés, tandis que Quantic Dream a finalement été condamné en 2019 à verser une amende de 5000 euros à un ex-employé. 

Grandir à Montréal

Les détracteurs de Quantic Dream qualifient souvent avec dérision ses jeux de « cinéma interactif », où le joueur décide peu de l’action et se contente de choix proposés. Stéphane D’Astous n’est évidemment pas d’accord avec cette critique. « Ç’a marqué l’imaginaire de beaucoup de gens. Les personnages sont super bien développés, on s’y attache, il y a plusieurs fins possibles et chaque choix va avoir un impact. »

Il note une progression évidente dans les mécaniques de jeu, qui sont devenues plus complexes de Heavy Rain à Detroit. C’est manifestement pour continuer sur cette tendance qu’on a choisi Montréal. « Les gens de Quantic Dream se sont demandé s’ils allaient faire une expansion « organique » en France pour réaliser leurs ambitions. Ils ont pesé le pour et le contre et ont réalisé que Montréal était la bonne place pour grandir […] Pour le prochain jeu, nous restons très ambitieux et on va continuer à développer un design de jeu encore plus sophistiqué. » 

Sa tâche principale d’ici la fin de 2021, c’est d’arriver à monter une équipe talentueuse et de lui donner un esprit de corps. « Le studio Quantic Dream a quand même une réputation qui va nous aider. Nous voulons bâtir un studio à échelle humaine. Je suis reconnu pour être un dirigeant accessible, à l’écoute, transparent. Avec moi, il n’y a pas de bullshit. J’ai un grand attachement pour mes employés. » 

Vendre Montréal

En 2012, déjà, La Presse avait rapporté que Quantic Dream, craignant l’arrêt du programme français de crédits d’impôt, songeait à quitter son berceau parisien pour s’installer à Montréal. Ce coup de pouce fiscal avait finalement été reconduit. Au Québec, le studio bénéficiera d’un crédit d’impôt remboursable pouvant atteindre 37,5 % des coûts de main-d’œuvre. 

C’est durant ses années chez Eidos-Montréal, entre 2007 et 2013, que Stéphane D’Astous a rencontré les dirigeants de Quantic Dream. « J’avais gardé un certain contact avec eux. Eidos a été l’éditeur de certains de leurs jeux. J’étais de passage à Paris, j’ai voulu visiter leurs studios, on s’est assis et on a jasé. C’est resté comme ça, une discussion amicale, je leur ai vanté Montréal. Et voilà qu’en octobre dernier, ils m’annoncent : « Tu sais, la discussion qu’on a eue ? On aimerait la mettre à exécution ! » J’ai dit « Je suis tout ouïe ! ». 

Pour Montréal International, qui a accompagné Quantic Dream pour sa première expansion hors France, cette annonce montre la vigueur de l’industrie du jeu vidéo. « Encore une fois, la créativité du talent montréalais fait la différence, a déclaré par communiqué Stéphane Paquet, président-directeur général de Montréal International. Cette force grandit, se diversifie, ce qui fait que Montréal trône maintenant parmi les cinq plus grands centres mondiaux de production de jeux vidéo. C’est d’autant plus important de le souligner qu’il s’agit d’une industrie en très forte croissance au niveau mondial. »

https://www.lapresse.ca/affaires/techno/2021-02-02/le-repute-studio-quantic-dream-s-installe-a-montreal.php

1100 Avenue Atwater.jpeg

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Jade Raymond fonde un nouveau studio à Montréal

Six semaines après son départ de Google, une des figures les plus connues du jeu vidéo montréalais, Jade Raymond, a annoncé ce mardi la fondation d’un nouveau studio dans la métropole québécoise, Haven. Sony Interactive Entertainment y investira pour le développement d’un premier jeu exclusif à la PlayStation.

Karim Benessaieh - La Presse

Cette nouvelle franchise, dont on n’a révélé aucun détail, sera conçue par « une équipe d’envergure internationale avec plus de dix ans d’expérience sur des jeux et franchises ultrapopulaires », précise-t-on par communiqué. 

« Rien ne me fait plus plaisir que de revenir aux sources avec une équipe talentueuse sur cette nouvelle franchise, a déclaré par communiqué Jade Raymond, qui se retrouve PDG de ce nouveau studio. Lancer un studio indépendant soutenu par Sony Interactive Entertainment nous permet de repousser nos limites, avec l’appui d’un éditeur qui comprend le processus créatif lié à la création des jeux et qui est renommé pour la qualité de ses produits et son respect des joueurs. » 

Il a été impossible de parler à Mme Raymond. Sur le blogue officiel de PlayStation, elle a décrit les 12 derniers mois comme « étranges et difficiles ». « Plusieurs personnes m’ont demandé récemment : « Après toutes ces expériences, voulez-vous toujours être dans l’industrie des jeux ? » La réponse est toujours un OUI indéfectible ! L’industrie du jeu est ma place ! » 

De Montréal à Google

Dans le même communiqué, le directeur des studios PlayStation, Hemen Hulst, se réjouit de la collaboration de la vétérane du jeu vidéo montréalais, qui a fait sa marque chez Ubisoft à la fin des années 2000 avec le premier opus d’Assassin’s Creed. « Nous connaissons les défis et les récompenses inhérents à la formation d’équipes créatives, et Jade a énormément d’expérience à la tête des plus grosses franchises de jeux, a déclaré M. Hulst. Nous sommes très confiants quant à l’avenir de Haven Studios et de son premier projet, actuellement en cours de développement. » 

Mme Raymond a quitté Montréal en 2009 pour fonder le studio torontois d’Ubisoft. Elle est revenue dans la métropole québécoise pour lancer le studio Motive pour Electronic Arts, qu’elle a quitté en novembre 2018. Une enquête de La Presse a révélé un an plus tard que son passage avait été difficile, plusieurs membres de son équipe ayant quitté le bateau en se plaignant de son style de gestion. En mars 2019, Google annonçait son embauche pour la conception de jeux à l’interne pour la plateforme infonuagique Stadia. Le 1er février dernier, évoquant des « coûts exponentiels », le géant des moteurs de recherche a annoncé l’arrêt du développement de ses propres jeux dans ses studios de Montréal et Los Angeles et le départ de Jade Raymond. 

« En faisant le bilan de ma carrière au cours des dernières années et en commençant à réfléchir à ce que je devais faire ensuite, je suis arrivée à une conclusion très simple : je dois revenir à ce que j’aime le plus, et le faire d’une manière qui donne à notre équipe la liberté d’explorer, d’inspirer et de créer », précise Mme Raymond sur le blogue de PlayStation. 

Quant à Sony Interactive Entertainement (SIE), une filiale de Sony basée à San Mateo en Californie, elle est considérée comme le leader mondial des consoles de jeux vidéo, avec ses cinq versions de sa console PlayStation qui se sont vendues à 464 millions d’exemplaires depuis 1994. Selon VGChartz, sa PlayStation 4, vendue à 112 millions d’unités, a raflé 52 % du marché, tandis que la Nintendo Switch et la Xbox One ont recueilli respectivement 25 % et 23 %. 

Selon le Registre des entreprises du Québec, Jade Raymond est l’actionnaire majoritaire du nouveau studio Haven, enregistré le 4 février dernier. Le deuxième actionnaire est Sébastien Puel, un ancien d’Ubisoft Montréal nommé directeur général de Stadia en août 2019. Le troisième est Leon O’Reilly, qui a hérité du poste de directeur de la technologie chez Haven et est un ancien collègue de Mme Raymond à Ubisoft Toronto et chez Motive à Montréal. Malgré son investissement, Sony ne figure pas parmi les actionnaires.

https://www.lapresse.ca/affaires/techno/2021-03-16/jeux-video/jade-raymond-fonde-un-nouveau-studio-a-montreal.php

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