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Industrie montréalaise des jeux vidéo et des effets visuels


mtlurb

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Il y a 7 heures, steve_36 a dit :

Dans un article qui parle de l'ouverture d'un studio d'Ubisoft et la création de 125 emplois à Saguenay on peut aussi lire ceci:

En plus des 125 postes qui seront créés à Saguenay, Ubisoft - qui compte déjà quelque 3600 employés à Montréal et Québec - en prévoit 675 de plus dans la métropole et 200 autres dans la Vieille-Capitale. On prévoit également l'ajout d'un quatrième studio à un endroit qui n'a pas encore été déterminé.

http://www.lapresse.ca/techno/jeux-video/201709/05/01-5130333-ubisoft-1000-nouveaux-emplois-au-quebec-et-un-studio-a-saguenay.php

Alors on peut présumer que le géant Ubisoft aura besoin de beaucoup d'espace de bureau pour loger les futurs employés. Est-ce qu'il reste de l'espace dans l'immeuble d'Ubisoft sur St-Laurent ?  Ou vont-ils avoir besoin de nouveaux espaces ?

 

Ubisoft s'étend déjà dans les édifices sur Gaspé dans le Mile-End, ils font actuellement construire une passerelle entre les deux gros édifices de Allied pour avoir de gros planchers dans les deux blocs, liés. J'imagine que ces nouveaux employés vont aller là, ces bureaux ne sont sûrement pas complètement occupés et Ubisoft investi beaucoup pour l'aménagement en ce moment à cet endroit (tout en poursuivant les rénovations dans l'édifice initial).

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Effets visuels: Double Negative et Mathematic Studio s'implantent à Montréal

Publié le 06/09/2017 à 17:49

Montréal accueille les studios d'effets spéciaux Double Negative et Mathematic Studio.

Double Negative, entreprise dont le siège social se trouve à Londres, implantera son sixième studio à Montréal «au début de 2018». La directrice de l'exploitation de la société, Ellen Walder, n'a pu préciser la taille de l'investissement de l'entreprise à Montréal, ni le nombre d'employés qu'elle souhaite recruter.

Double Negative compte environ 2800 employés dans ses studios de Londres, Vancouver, Los Angeles, Mumbai et Chennai.

«Le nouveau studio de Montréal travaillera en premier sur le film The Kid Who Would Be King, du réalisateur Joe Cornish, avec lequel Double Negative avait déjà travaillé dans le cadre de son premier film à titre de réalisateur, Attack the Block», soutient la société.

Mme Walder ajoute que le studio de Montréal travaillera sur de gros projets cinématographiques, en étroite collaboration avec les autres installations de Double Negative dans le monde. L'entreprise cherche à pourvoir divers postes de spécialistes en effets visuels, de techniciens et de personnel de soutien.

Mathematic veut un studio «à taille humaine»

Publié le 06/09/2017 à 17:49

Plus tôt aujourd'hui, la société française Mathematic Studio annonçait également son arrivée à Montréal. Il s'agit d'un premier studio à l'extérieur de la France pour l'entreprise fondée il y a 11 ans au coeur de Paris. 

Le studio montréalais de Mathematic aura pour principal mandat de gérer les activités croissantes de l’entreprise dans l’industrie du cinéma et sur divers projets de publicité et de vidéoclips.

L’équipe montréalaise, composée actuellement d’une dizaine de personnes recrutées dans la région, travaillera en étroite collaboration avec la maison-mère, qui compte aujourd’hui près d’une centaine d’employés dans ses deux bureaux de Paris. «Nous voulons doubler la taille du studio pour atteindre une vingtaine d'employés d'ici la fin de l'année», raconte le producteur de Mathematic Montréal, Alexandre Pagot.

Ce dernier veut garder le studio à «taille humaine» et dit avoir déjà reçu deux mandats de conception d'effets spéciaux pour autant de longs métrages. «Pour la publicité et les vidéoclips, les mandats viennent plutôt de Paris en ce moment», confie M. Pagot, rencontré à la conférence Effects MTL, qui se déroule aujourd'hui et demain au Palais des Congrès de Montréal. 

La société cherche à recruter des «généralistes» qui peuvent collaborer à toutes les étapes d'une production. On cherche des gens qu'on puisse faire travailler sur la totalité de la chaîne de production, incluant la modélisation, l'éclairage, les textures et le montage. «C'est compliqué de trouver ce type d'employé, alors on va aussi prendre des gens plus spécialisés et les former sur d'autres métiers», dit M. Pagot, qui précise que la société loge à l'angle du boulevard Saint-Joseph et de la rue Berri.

Selon le Bureau du Cinéma et de la Télévision du Québec (BCTQ), le pôle des effets visuels de Montréal se trouvait au 4e rang mondial en 2016, comptant une quarantaine de studios regroupant environ 3000 emplois et des volumes de contrats totalisant 278 millions de dollars. Le BCTQ ajoute que le secteur est en croissance de 27% en moyenne chaque année depuis 2009.

http://www.lesaffaires.com/techno/technologie-de-l-information/effets-visuels-double-negative-et-mathematic-studio-s-implantent-a-montreal/596978?utm_source=facebook&utm_medium=social&utm_campaign=bureaux-entreprises-cartographie&utm_content=06-09-2017

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  • 9 mois plus tard...

Publié le 22 juin 2018 à 05h00 | Mis à jour à 05h00

http://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/201806/22/01-5186812-effets-visuels-un-autre-geant-sinstalle-a-montreal.php

Effets visuels: un autre géant s'installe à Montréal

Scanline VFX a travaillé sur la grande production... (Image fournie par Scanline VFX)

Scanline VFX a travaillé sur la grande production Black Panther.

Image fournie par Scanline VF

 
1509426.png
 

Le studio allemand d'effets visuels Scanline VFX ajoutera 300 emplois d'ici 3 ans aux 3000 postes que compte déjà ce secteur d'activité au Québec, a appris La Presse.

Scanline VFX annoncera aujourd'hui l'ouverture d'un studio de production à Montréal, qui sera situé à la gare Windsor et se joindra aux quatre autres que l'entreprise détient à Vancouver, Los Angeles, Munich et Stuttgart.

« Nos activités vont démarrer très rapidement, dit le directeur exécutif des bureaux nord-américains de Scanline VFX, Scott Miller. Nous travaillerons dès le mois prochain à la réalisation d'un long métrage, dont nous ne pouvons dévoiler le nom pour l'instant, et qui sera tourné dans les studios MELS à Montréal.

« Une quinzaine de nos employés actuels seront transférés à Montréal, dit-il. Nous comptons procéder à des embauches pour combler le reste de nos besoins. Nous avons déjà reçu plus de 400 candidatures après avoir affiché nos postes à pourvoir sur des sites spécialisés. »

 

Le studio montréalais de Scanline VFX sera dirigé par Geoffrey Baumann, qui a supervisé les effets visuels du film américain à succès Panthère noire. Le film de l'univers Marvel a pulvérisé le box-office ce printemps avec des revenus de 1,3 milliard US en date du 1er juin.

Fondé en 1989 à Munich, en Allemagne, Scanline VFX a collaboré à de nombreuses productions à grand déploiement, comme The Avengers, Iron Man et 300. Le studio a été en lice aux Oscars pour son travail sur Capitaine America : Le soldat de l'hiver et Au-delà, un film réalisé par Clint Eastwood. Il a aussi obtenu un Emmy à la suite de sa collaboration à la saison 4 de la série Game of Thrones.

« C'est un acteur majeur, dit une source dans l'industrie des effets visuels. Pas au niveau d'Industrial Light & Magic, le studio derrière les effets visuels de Star Wars, mais juste en dessous. »

Son portefeuille de productions à venir compte Ant-Man et la Guêpe, Aquaman, Captain Marvel et la dernière saison de Game of Thrones.

« Nos clients se tournent de plus en plus vers Montréal pour réaliser leurs projets. C'était naturel pour nous de vouloir s'installer ici afin de profiter de cette croissance. »

- Scott Miller, directeur exécutif des bureaux nord-américains de Scanline VFX

« Le Grand Montréal s'est positionné parmi les principaux pôles mondiaux du secteur des effets visuels et de l'animation avec une croissance annuelle de 27 % au cours des 10 dernières années », dit par voie de communiqué le président-directeur général de Montréal International, Hubert Bolduc, dont l'organisme a accompagné la venue de Scanline VFX dans la métropole.

Les annonces de création d'emplois se multiplient dans le secteur des effets spéciaux et de l'animation au Québec. En avril, le studio américain Reel FX avait dévoilé son intention d'embaucher 400 spécialistes des effets visuels au cours des deux prochaines années.

Le Bureau du cinéma et de la télévision du Québec (BCTQ) estime que d'ici 2020, l'industrie comptera plus de 5000 employés, soit une croissance de 82,5 %. Près du quart de la production audiovisuelle canadienne est réalisée au Québec, ce qui représentait une somme de 1,6 milliard en 2014-2015. Le seul secteur des effets visuels et de l'animation compte pour un peu moins de 20 % du total, mais est celui qui affiche la progression la plus forte.

Une quarantaine d'entreprises travaillent dans le secteur des effets visuels et de l'animation au Québec et bénéficient d'un crédit d'impôt de 36 % sur leur masse salariale. La plus importante d'entre elles demeure Technicolor/MPC avec 1000 employés.

EFFETS VISUELS ET ANIMATION

Investissements étrangers à Montréal en 2017

Nombre de projets : 4

Valeur des investissements : 275 millions

Nombre d'emplois annoncés : environ 1000, soit 20 % de tous les emplois annoncés par Montréal International l'an dernier

Source: Montréal International

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Il y a 3 heures, ScarletCoral a dit :

Ce fil devrait peut-être renommé « Industrie montréalaise des jeux vidéos et des effets visuels »? 

Je suis tout à fait d'accord.

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Il y a 6 heures, acpnc a dit :

« C'est un acteur majeur, dit une source dans l'industrie des effets visuels. Pas au niveau d'Industrial Light & Magic, le studio derrière les effets visuels de Star Wars, mais juste en dessous. »

Ce qui consolide encore davantage la position de Montréal dans le domaine des effets visuels. Qui, pour ceux qui l'auraient oublié, remonte à Softimage, fondée par Daniel Langlois en 1986. Qui a entre autres à son actif les images de synthèse de Jurassic Park, le premier film du genre au monde je crois.

Il y a 6 heures, acpnc a dit :

« Le Grand Montréal s'est positionné parmi les principaux pôles mondiaux du secteur des effets visuels et de l'animation avec une croissance annuelle de 27 % au cours des 10 dernières années », dit par voie de communiqué le président-directeur général de Montréal International, Hubert Bolduc, dont l'organisme a accompagné la venue de Scanline VFX dans la métropole.

Les technologies de l'information à Montréal c'est l'intelligence artificielle, la recherche opérationnelle, le fintech, les effets visuels et les jeux vidéo. Et on peut maintenant ajouter à cela une certaine expertise dans le Big Data.

Il y a 6 heures, acpnc a dit :

Une quarantaine d'entreprises travaillent dans le secteur des effets visuels et de l'animation au Québec

Une famille déjà fort nombreuse dont les enfants et petits-enfants ont pour ancêtre Softimage.

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Publié le 23 juin 2018 à 05h00 | Mis à jour à 05h00

http://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/201806/22/01-5186953-mill-film-sinstalle-a-montreal.php

Mill Film s'installe à Montréal

Le nouveau studio aura pour objectif de fournir... (image tirée de www.themill.com)

Le nouveau studio aura pour objectif de fournir en effets spéciaux les diffuseurs en ligne comme Netflix, Disney et Amazon, qui ont fait exploser la demande de contenu audiovisuel.

image tirée de www.themill.com

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Les annonces d'investissements et de création d'emplois se multiplient dans le secteur des effets visuels à Montréal. Après Reel FX et Scanline, c'est au tour du britannique Mill Film de s'implanter dans la métropole.

Image tirée de www.themill.com... - image 1.0

Image tirée de www.themill.com

 

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Image tirée de www.themill.com

 

Mill Film est une division du groupe français Technicolor. Ce dernier est déjà le principal employeur de l'industrie des effets spéciaux dans la métropole, avec trois studios - MPC Film, Mikros et Mr X - et près de 2000 salariés.

« Nous sommes en train de bâtir le coeur de notre équipe à Montréal, explique en entrevue à La Presse la directrice générale de Mill Film, Lauren McCallum. Nous espérons embaucher plusieurs centaines de personnes d'ici la fin de l'année, selon l'importance des contrats que nous aurons obtenus. »

Ce nouveau studio aura pour objectif de fournir en effets spéciaux les diffuseurs en ligne comme Netflix, Disney et Amazon, qui ont fait exploser la demande de contenu audiovisuel, explique Mme McCallum. Mill Film se penchera aussi sur les opportunités de marché représentées par le développement de la réalité virtuelle et de la réalité augmentée.

 

Britannique d'origine, Lauren McCallum était jusqu'ici directrice de production chez MPC Montréal, où elle a piloté les travaux du studio sur les longs métrages Wonder Woman de même que Blade Runner 2049 du réalisateur québécois Denis Villeneuve.

« Ce fut une expérience fantastique de travailler avec Denis Villeneuve. Il nous a donné une grande liberté artistique, en plus de nous présenter des défis techniques très intéressants. »

UNE TECHNOLOGIE DE PRODUCTION ENTIÈREMENT NUMÉRIQUE

Fondé en 1990 dans le quartier Soho à Londres sous le nom de The Mill, le studio se présente comme le premier au monde à avoir adopté une technologie de production entièrement numérique.

Ses premières productions audiovisuelles ont été lancées en collaboration avec le réalisateur britannique Ridley Scott, sur des projets comme le film Gladiator qui lui a valu un Oscar dans la catégorie Meilleurs effets spéciaux en 2001.

L'entreprise, qui a aussi collaboré aux deux premiers volets de la série Harry Potter, s'est par la suite spécialisée dans les effets visuels destinés au secteur de la publicité.

En février 2018, l'ouverture d'un tout nouveau studio à Adélaïde, en Australie, a cependant marqué le retour de l'entreprise dans le marché des longs métrages et des séries télé.

Mill Film prévoit embaucher 500 personnes d'ici cinq ans en Australie, où elle a bénéficié d'une aide publique de 6 millions de dollars australiens, sur un investissement total de 26 millions.

Le secteur du divertissement, qui comprend les activités d'effets visuels, de postproduction et d'animation, est de loin la division la plus rentable de Technicolor. Le groupe de communication, média et divertissement établi à Issy-les-Moulineaux, en France, a enregistré un bénéfice avant intérêts et amortissement de 230 millions d'euros l'an dernier, sur un total de 291 millions pour l'ensemble du groupe.

« Le capital disponible de l'entreprise continuera d'être investi prioritairement dans ce segment d'affaires », a indiqué Technicolor dans un communiqué publié en février lors de la présentation de ses résultats financiers annuels.


 
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Il y a 6 heures, acpnc a dit :

Les annonces d'investissements et de création d'emplois se multiplient dans le secteur des effets visuels à Montréal.

Et pas seulement dans le secteur des effets visuels car on constate le même phénomène pour l'ensemble du domaine des technologies de l'information, comme l'intelligence artificielle, le fintech et les jeux video.

Heureusement que nous avons de bonnes écoles pour alimenter l'industrie en main-d'ouvre qualifiée. Mais ce n'est pas suffisant et nous avons également besoin de spécialistes venus de l'étranger. Mais comme Montréal est une ville de plus en plus attrayante, et en pleine expansion, plusieurs se laissent tentés par l'aventure.

Montréal avait perdu un peu de sa superbe ces dernières années. Aujourd'hui la ville vibre comme au temps de l'Expo 67 et des Jeux olympiques. Pourtant il n'y a aucun évènement particulier qui pourrait expliquer un tel engouement. On dirait que tout cela est venu de nulle part.

Selon moi cela vient essentiellement de la nouvelle génération de Montréalais qui est passée à autre chose et qui n'a pas connu les troubles des trois ou quatre dernières décennies. Une chose est certaine: l'avenir de Montréal leur appartient.

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il y a une heure, Normand Hamel a dit :

Montréal avait perdu un peu de sa superbe ces dernières années. Aujourd'hui la ville vibre comme au temps de l'Expo 67 et des Jeux olympiques. Pourtant il n'y a aucun évènement particulier qui pourrait expliquer un tel engouement. On dirait que tout cela est venu de nulle part.

Je préfère que l'engouement ne soit pas attribuable à un (seul) événement particulier, parce que dans ce cas il se peut se dégonfler une fois l'événement passé.  Une flambée des activités de construction en préparation d'un événement en constitue un bon exemple.

A l'opposé, l'engouement récent, qui persiste, est fondé sur la conjonction de facteurs favorables qui pour certains sont partagés (à différents degrés) par les grandes villes en général, et qui pour d'autres sont propres à la ville de Montréal (notamment, mais pas toujours exclusivement).  

Parmi ce dernier groupe, on en trouve qui étaient latents (étaient présents depuis longtemps ) et d'autres qui sont nouveaux et/ou ont acquis une plus grande ampleur.  La présence d'un grand bassin de main-d'oeuvre qualifiée en fait partie.  

L'engouement vient quand  «le succès attire le succès». 

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