Aller au contenu

Ville de Québec - les projets


Messages recommendés

Exactement Davidbourque Une ville de 800 000 habitant sans un tranport en commun efficace ca va pas loin disont.

Et les immigrants en arrivant ici n'ont pas de voitures ni tres souvent de permis de conduire ou encore n'ont pas la possibilité d"avoirl'equivalence pour le permis de leurs pays d'origine. 

On l'a vue avec la communauté nepalaise de Quebec qui s'approchait du 1000 personnes. Beaucoup sont parties de Quebec et une des raisons principales etait de ne pas avoir le permis de conduire. 

A Montreal et Toronto on peut s'arranger sans permis. 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 11 heures, andre md a dit :

Exactement Davidbourque Une ville de 800 000 habitant sans un tranport en commun efficace ca va pas loin disont.

Rendue quand même assez loin pour atteindre 800,000 d'habitants sans trop d'inconfort, et très loin de la quasi-paralysie qui affecte régulièrement la moitié des 4M d'habitants de la RMR de Montréal malgré un taux de fréquentation des TEC beaucoup plus élevé qu'à Québec.  (A titre de comparaison, le taux de fréquentation dans la RMR d'Ottawa-Gatineau (1,3M h.) est similaire à celui de Montréal).

Il demeure indéniable que la desserte en TEC à Québec est inadéquate.  Le problème, c'est la très grande dispersion de l'habitat, ayant certes été favorisée par un réseau autoroutier démesuré, mais qui demeure néanmoins une réalité qui ne se transformera pas du jour au lendemain.  Même en supposant un taux de croissance démographique extrêmement optimiste, comme 20% par décennie, conjuguée avec un effort délibéré de concentrer les nouvelles habitations dans des zones centrales spatialement restreintes, on resterait longtemps avec une population globalement dispersée.  Les solutions envisagées doivent en tenir compte. 

Québec n'est pas du tout dans une situation comparable  à celle de Montréal quand celle-ci atteignait le 1M d'habitants en 1930.  Et pour ceux que le vaste contraste entre Québec et Ottawa-Gatineau intrigue (en termes de taux de fréquentation des TEC),  j'avancerais que ce n'est pas une question de «vertu», mais de nécessité: à O-G,  les stationnements au centre-ville sont rares et chers, et il est souvent préférable de s'y rendre et d'en sortir par TEC plutôt qu'en voiture. Toutefois, l'utilisation de la voiture est parfois nécessaire pour se rendre à un stationnement incitatif desservi par une ligne de TEC.  A Québec, les pôles d'emplois sont plus dispersés et les places de stationnement plus abondantes: deux «bonnes» raisons de prendre sa voiture... 

Rien n'est simple

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

1 hour ago, Né entre les rapides said:

Rendue quand même assez loin pour atteindre 800,000 d'habitants sans trop d'inconfort, et très loin de la quasi-paralysie qui affecte régulièrement la moitié des 4M d'habitants de la RMR de Montréal malgré un taux de fréquentation des TEC beaucoup plus élevé qu'à Québec.  (A titre de comparaison, le taux de fréquentation dans la RMR d'Ottawa-Gatineau (1,3M h.) est similaire à celui de Montréal).

Il demeure indéniable que la desserte en TEC à Québec est inadéquate.  Le problème, c'est la très grande dispersion de l'habitat, ayant certes été favorisée par un réseau autoroutier démesuré, mais qui demeure néanmoins une réalité qui ne se transformera pas du jour au lendemain.  Même en supposant un taux de croissance démographique extrêmement optimiste, comme 20% par décennie, conjuguée avec un effort délibéré de concentrer les nouvelles habitations dans des zones centrales spatialement restreintes, on resterait longtemps avec une population globalement dispersée.  Les solutions envisagées doivent en tenir compte. 

Québec n'est pas du tout dans une situation comparable  à celle de Montréal quand celle-ci atteignait le 1M d'habitants en 1930.  Et pour ceux que le vaste contraste entre Québec et Ottawa-Gatineau intrigue (en termes de taux de fréquentation des TEC),  j'avancerais que ce n'est pas une question de «vertu», mais de nécessité: à O-G,  les stationnements au centre-ville sont rares et chers, et il est souvent préférable de s'y rendre et d'en sortir par TEC plutôt qu'en voiture. Toutefois, l'utilisation de la voiture est parfois nécessaire pour se rendre à un stationnement incitatif desservi par une ligne de TEC.  A Québec, les pôles d'emplois sont plus dispersés et les places de stationnement plus abondantes: deux «bonnes» raisons de prendre sa voiture... 

Rien n'est simple

Beaucoup plus d'immigrant aussi a Ottawa que Quebec. Tres simple a  comprendre.  pas nécessaire de compliquer cela en trop d'explication.

Transport en commun miserable + pas de permis de conduire tu t'en vas ailleurs. Alors Quebec ira pas loin en essayant d'attirer des gens d'ailleurs (immigrants internationaux.)

Ils reste que les gens des régions qui eux ont des bagnoles qui vont s'installer a Quebec. Ce qui fait de Quebec une vrai capitale de province.

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La première chose qui n'est pas simple, c'est de développer un réseau de transport en commun performant, couvrant tous les secteurs de la ville, compte tenu de la grande dispersion spatiale de l'habitat et des pôles d'emplois.

On trouve quand même quelques quartiers bien desservis par les TEC;  mais certains sont peu abordables (par exemple Montcalm en haute-ville); mais d'autres, comme Saint-Sauveur, Saint-Roch et Limoilou devraient convenir.  Cependant, il faut admettre que même en habitant dans de tels quartiers, on n'a pas un bon accès, en TEC, aux emplois situés en périphérie: on est limité dans nos opportunités.  Et la situation est encore pire si les seuls logements disponibles et pas chers sont trouvés dans des secteurs éloignés et sous-équipés en services de tous genres.  Mais remarquons que ce n'est guère plus «drôle» pour les Québécois «de souche» disposant du fameux permis de conduire, mais dont les revenus sont très modestes: pour eux, la combinaison d'un logement à prix abordable et de l'accès à un TEC performant serait un idéal plus facilement accessible à Montréal. 

Pour les immigrants internationaux disposant de qualifications avidement recherchées, et qui se trouvent des emplois fort bien rémunérés, ces problèmes ne se posent pas.

Quant aux «gens des régions qui eux ont des bagnoles qui vont s'installer à Québec»,  ça inclut aussi des gens de Montréal et de ses banlieues, au gré des opportunités d'emplois.  

 

 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je suis d'accord avec toi si l'on ne pense qu'au ToC pour régler les problèmes d'aujourd'hui. Cependant je ne pense pas que l'on doit le voir ainsi. À mon avis, il faut le voir comme un moyen de créer des opportunités pour le futur. Un moyen de structurer la ville. Parce que sans ça, on n'aura jamais les conditions même si la population atteint 10 millions. 

Une ligne de 20 Km avec 15-20 station de cap rouge vers la colline parlementaire(en passant par le Cegep Sainte-Foy, l'université Laval et le Cegep Garneau, ensuite vers le centre vidéotron puis vers le Cegep de Limoilou serait déjà un bon début. 

Je crois qu'il y aurait suffisament de trafic dans cette axe pour rendre un métro intéressant. 

 

Il ne faut pas oublier qu'il sera possible d'étendre la couverture en rabattant les lignes d'autobus actuelle vers les lignes de métro.  C'est beaucoup plus agréable de faire Métro - bus ou Bus - Métro que Bus - Bus

 

(et je dit pas Bus - Bus - Bus versus Bus - Métro - Bus). 

Et comme je le dit, 10 ans après la construction, les gens vont commencer à faire des choix pour en profité. Des entreprise seront relocalisé, parfois dans des bureau nouvellement construit près de la ligne, d'autre déménageront près d'une station pour pouvoir en profité à l'occasion (sortir en ville, etc) ou tout les jours pour le travail.  L'idée aussi est de connecté tout les Cegep et université pour offrir un bon service aux étudiants qui feront une bonne première clientèle. Ca rendra du meme coup l'étude plus accessible. 

  • Thanks 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 3 semaines plus tard...

Publié le 19 septembre 2017 à 21h16 | Mis à jour le 20 septembre 2017 à 07h28

http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/la-capitale/201709/19/01-5134826-le-plein-didees-pour-les-rivieres.php

Le plein d'idées pour les rivières

Relaxer dans une cabane flottante sur la rivière... (Image fournie par la Ville de Québec)

Agrandir

Relaxer dans une cabane flottante sur la rivière Cap-Rouge? C'est la proposition de White Arkitekter, de Norvège.

Image fournie par la Ville de Québec

880564.png
Annie Morin
Le Soleil

(Québec) Passerelles de bois ou de béton, cabanes flottantes, sculptures géantes en forme d'orignal, culture de moules d'eau douce, marché public autochtone... Le concours international Rêvons nos rivières a permis à la Ville de Québec de faire le plein d'idées pour aménager et mettre en valeur les rivières qui sillonnent son territoire. Un plan reste à rédiger et à financer.

Engagée dans un marathon d'annonces avant le déclenchement officiel de la campagne électorale, l'administration Labeaume a dévoilé mardi les noms des lauréats du concours international d'idées lancé au mois de mai.

La proposition préférée du jury de Rêvons nos rivières est celle de l'équipe américaine Cadaster, de Brooklyn, qui remporte le premier prix de 100 000 $. «C'est très branché, très ancré sur l'histoire de la ville de Québec. Ces gens-là se sont basés sur les lots seigneuriaux qui étaient à l'origine du lotissement dans la Nouvelle-France», a rapporté Julie Lemieux, vice-présidente du comité exécutif responsable de l'aménagement du territoire. 

«Ils sont repartis de ce concept-là pour suggérer qu'on recrée des lots en long qu'on pourrait aménager avec de l'agriculture urbaine, vélo, promenade... Chacun de ces lots-là mènerait à une rivière, à un cours d'eau. Ça permettrait de rebrancher les quartiers sur la rivière.»

 

Les idées de cette firme ont aussi le mérite de pouvoir être réalisées «petit à petit et dès demain», a souligné Mme Lemieux. 

White Arkitekter, de Norvège, a mis la main sur le deuxième prix de 60 000 $. Son sens du marketing a été remarqué, l'équipe proposant de créer le «parc national urbain des quatre rivières» (Cap-Rouge, Saint-Charles, Beauport et Montmorency).

L'équipe gagnante Cadaster propose de renaturaliser les berges... (fournie par la Ville de Québec) - image 2.0

Agrandir

L'équipe gagnante Cadaster propose de renaturaliser les berges de la rivière Beauport dans le secteur de l'autoroute Félix-Leclerc, qui serait transformée en boulevard urbain.

fournie par la Ville de Québec

Le gagnant du deuxième prix, White Arkitekter, propose... (Image fournie par la Ville de Québec) - image 2.1

Agrandir

Le gagnant du deuxième prix, White Arkitekter, propose de faire la culture de moules d'eau douce dans la rivière Saint-Charles. Les mollusques serviraient d'abord à filtrer l'eau, puis pourraient éventuellement être consommés à mesure que la qualité de l'eau s'améliore.

Image fournie par la Ville de Québec

Un groupe de Glendale, aux États-Unis, dirigé par le Coréen Joo Hyung Oh, reçoit le troisième prix et ses 40 000 $ pour sa proposition audacieuse et à la facture originale. Parmi les idées soumises, on trouve un pont en arches, un monorail, des sentiers flottants, un toit vert pour l'autoroute Montmorency... Mme Lemieux y puise de l'inspiration pour «le long terme». 

Le maire Régis Labeaume a insisté pour dire que le concours d'idées, une première qui a coûté 352 000 $ à organiser, a permis à la Ville d'économiser puisqu'elle peut désormais puiser dans les 21 propositions qui lui ont été faites. «Si on avait fait appel à des firmes privées pour se dessiner un plan directeur des rivières, on aurait payé pas mal plus cher que ça», a renchéri Julie Lemieux.

Dans le secteur du parc Chauveau, l'américaine Cadaster... (fournie par la Ville de Québec) - image 3.0

Agrandir

Dans le secteur du parc Chauveau, l'américaine Cadaster suggère des aménagements minimaux qui font ressortir la beauté naturelle de la rivière Saint-Charles.

fournie par la Ville de Québec

Un plan combinant les meilleures idées sera rédigé dans les prochains mois par les fonctionnaires sous la supervision probable de Ken Greenberg, membre du jury et designer urbain qui a déjà accompagné Québec pour la relance du quartier Saint-Roch. 

Le maire sortant n'a pas révélé combien il était prêt à investir dans ce projet qui va dans le sens de sa promesse d'améliorer la qualité de vie à Québec et n'a pas soumis d'échéancier. Il s'est toutefois dit confiant d'obtenir l'adhésion des citoyens. «Il y a suffisamment d'idées-là pour marquer la ville pour les prochaines décennies. S'il y a des sceptiques quant à la volonté de la population de voir ce genre de projet-là réalisé, je vous ramène à [la promenade] Samuel-de-Champlain. Moi je n'ai jamais vu en 10 ans de projet adopté aussi rapidement», a-t-il insisté.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Publié le 24 septembre 2017 à 21h18 | Mis à jour le 24 septembre 2017 à 21h18

http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/transports/201709/24/01-5136289-une-conference-de-classe-mondiale-a-laeroport-de-quebec.php

Une conférence «de classe mondiale» à l'aéroport de Québec

L'Aéroport international Jean-Lesage de Québec vient en effet d'être... (Photothèque Le Soleil, Patrice Laroche)

L'Aéroport international Jean-Lesage de Québec vient en effet d'être désigné hôte du sommet Routes Americas 2019, coiffant cinq autres aéroports candidats.

Photothèque Le Soleil, Patrice Laroche

 

(Québec) Les décideurs du milieu du transport aérien de toute l'Amérique seront de passage à Québec en 2019, a annoncé dimanche la direction de l'aéroport international de Québec. Ce dernier vient en effet d'être désigné hôte du sommet Routes Americas 2019, coiffant cinq autres aéroports candidats.

L'heure était aux réjouissances, dimanche, pour la direction de l'Aéroport international Jean-Lesage de Québec (YQB). Cela faisait un an et demi que l'on travaillait à l'obtention du sommet Routes Americas, qui amènera à Québec plus de 80 compagnies aériennes, 300 directions d'aéroports et quelque 1000 professionnels du milieu aérien.

«C'est une grosse nouvelle pour nous, mais encore plus grosse pour la région de Québec», a assuré au Soleil le président de l'aéroport, Gaétan Gagné, à propos du sommet qui se tiendra pour la première fois de son histoire au Canada. Selon lui, Routes Americas permettra de faire connaître les attraits touristiques de la région directement aux décideurs du milieu aérien. Ce faisant, croit M. Gagné, les vols en provenance de l'international vers Québec augmenteront. «C'est très bon pour le tourisme dans la région. On est à l'ère du transport aérien, les gens ne voyagent plus vers leurs destinations de vacances en autobus.»

Bref, la tenue de cette «conférence de classe mondiale», dont la dernière édition était à Las Vegas, permettra à son organisation de passer à une autre étape en ce qui a trait à la croissance de l'aéroport, explique Gaétan Gagné. «Maintenant que l'on s'est doté d'infrastructures aéroportuaires à la hauteur, on est en mesure d'attirer des événements comme celui-ci à Québec. Nous en sommes très fiers.»

 

     


 

 
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Quebec City's central Library, Gabrielle Roy, has been in need of a major restauration for many years now. Earlier this year, the City received proposals from 5 different architecure firms and the winning proposal was revealed today.

Here's what the library looks like now:

Biblioth%C3%A8que_Gabrielle-Roy.JPG

Biblioth%C3%A8que_Gabrielle-Roy.jpg
https://fr.wikipedia.org/wiki/Biblioth%C3%A8que_Gabrielle-Roy


Here's the winning proposal (by the consortium Saucier+Perrotte and GLCRM). The renders aren't as precise as I'd like but given Saucier+Perrotte track record, I'm enthusiastic.

22218596_10154730124051784_2999262947194


22218464_10154730126506784_4121996437782


22135467_10154730126666784_1282122349568


https://www.ville.quebec.qc.ca/planification_orientations/amenagement_urbain/grands_projets_urbains/bibliotheque_gabrielle_roy/docs/bibliotheque-gabrielle-roy-planches.pdf

Modifié par davidivivid
  • Like 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

re: Bibliothèque Gabrielle-Roy dans Saint-Roch, une courte histoire.

Au tout début des années 1980, c'était, avec un modeste édifice à bureaux attenant et de facture identique (brique brune), la première manifestation concrète de l'effort de revitalisation du quartier Saint-Roch.  Le quartier n'était pas encore très «invitant», mais pas dénué d'intérêt non plus.  L'élément transformateur déterminant vint  plus tard: le Jardin de Saint-Roch, un vaste parc montant jusqu'à la rue Saint-Vallier. 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.




×
×
  • Créer...