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Tolls

I am all for it. As long as the government would find the right companies to build and maintain these roads/highways!

 

Education

The cegep I go to is about $3,000 a year. I'd be scared if they raise the price. Seeing it probably go upto $7,500 a year. I just wonder what they would charge other Canadians and the foreign students. Seeing the foreign students get charged like $17,000 a year or something.

 

I feel bad for some of the students that are planning on to going McGill having your tuition for some program go from $3,000 to $30,000 yeesh. True, it be half the price of a US university, but still out of reach for many people.

 

True. The government needs to make money off the education. How about having some of the medical students stay in Quebec for a decade and not have them work for a bit and go somewhere else because the money better. Plus other shit like if you study here you have to work here. Doesn't matter if your a foreign national you must stay here for lets say a decade. If you don't stay you void their BA or MBA or Ph.d or Doctorate. Just find a way to keep students here after they finish school! I know its hard to do that, but we need to find a way to keep jobs here and keep them out of Toronto or wherever else. We need to make this a city more competitive!

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Je crois qu'il faudrait commencer par faire en sorte qu'un cour échoué ou abandonné coute plus cher qu'un cour réussi. Ainsi, les étudiants y penseraient à deux fois avant de s'inscrire à des cours qu'ils savent qu'ils ne finieront pas. On se retrouvera alors avec moins d'inscriptions (donc moins de besoins en locaux, matériel et personnel) et, idéalement, avec un taux de réussite plus élevé pour le nombre d'inscriptions restantes.

 

Ce systeme fonctionne bien en Allemagne. C'est assez clair que s'il n'y a pas de penalite a l'echec, quel est l'incitatif a ne pas en faire?

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Education

The cegep I go to is about $3,000 a year. I'd be scared if they raise the price. Seeing it probably go upto $7,500 a year. I just wonder what they would charge other Canadians and the foreign students. Seeing the foreign students get charged like $17,000 a year or something.

 

 

Ton CÉGEP te coûte 3000$ par an !?

Tu dois certainement aller au privé...

 

Le miens me coutait 240$ par session, soit 480 par an frais de scolarité seulement.

 

Ça, c'est vraiment ridicule comme prix.

 

Moi aussi je serais d'accord de facturer le plein prix pour les cours échoués ou non terminés. Mais il faudrait facturer en premier et non à la fin.

 

Si le gouvernement facture à la fin, plein d'étudiants vont déclarer faillite ou vont trouver toute sorte de moyen de s'en sauver quitte à faire 3 jours logés et nourris (prison).

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Je suis d'accord pour faire payer plus, voir la totalité du prix pour les cours non-terminés, car l'étudiant aurait pu lâcher dans la période où il pouvait le faire sans pénalité.

 

Par contre, un échec en fin de session si l'étudiant a été à tous ses cours semble un peu sévère. Certains ont plus de misère que d'autres, de les pénaliser en plus en les faisant payer le plein prix semble injuste.

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Je crois que ceux qui ont de la difficulté à accepter le fait que certain coûtent plus cher à la société sont les même qui ont de la difficulté à accepter de payer pour les autres en général (entendons pas là de nationaliser certains services). Si c'est le cas, arrêtez donc de tenter de modifier le système existant pour le faire échouer et travaillez donc plutôt à le faire abolir. Ça servirait mieux votre cause.

 

Quand un système est nationalisé, c'est qu'on assume que certains en prendront plus que d'autres mais aussi que certains en prendront moins. On a qu'à penser à la santé: certains iront au médecin toutes les semaines et d'autres jamais dans leur vie. Pourtant, il est plus profitable pour la société de payer pour tout le monde collectivement même si c'est difficile pour certains de l'accepter. Je crois qu'il soit difficile de nier ce fait de nos jours.

 

C'est la même chose pour l'éducation. Il y a une raison pourquoi on a créé le cégep et qu'on maintient des frais de scolarité bas: c'est parce que c'est plus profitable pour la société ainsi. Il faut accepter par le fait même que certains en retireront plus qu'ils n'en y versent, tout comme le fait que certains en paieront plus qu'ils en recevront. Au final, si c'est comme ça, c'est parce que collectivement on en retire plus à fonctionner ainsi.

 

Par ailleurs, la taxe à l'échec, on a essayé puis abandonné.

 

Il n'y a pas vraiment plus d'étudiants qui "niaisent' au cégep que d'étudiants qui "niaisent" à l'université et ce malgré qu'un soit plus cher que l'autre. Il y a au moins deux raisons à ça:

 

1-Quand tu sais pas quoi faire de ta vie, tu le sauras pas plus si tu dois payer pour des études! Le but, c'est pas de finir ses études au plus sacrant dans n'importe quel domaine, c'est plutôt de trouver ce que tu veux faire de ta vie et te former en ce sens. Un ou deux ans de plus de cégep, ce n'est perdu pour personne. Au mieux, ça ne fait qu'augmenter ta culture générale et ne fait que de toi un citoyen plus conscient de ce qui l'entoure. De plus, forcer les gens qui ne savent pas quoi faire de leur vie à aller travailler dans une job non qualifiée jusqu'à ce qu'ils trouvent l'illumination n'est pas des plus profitable pour la société. C'est plutôt en étant en contact avec les différentes disciplines qu'on se découvre et non en travaillant dans un wal-mart.

 

2-Les étudiants doués, responsables et conscient de leur avenir sont ceux qui l'ont toujours été. Ce sont eux qui se rendent à l'université et qui la finissent. Ce sont aussi eux qui ont un milieu familial favorable aux études et qui viennent de milieux sociaux économique favorables.

 

Ceux qui coulent des cours sont ceux qui ont toujours eu de la difficulté. Pourquoi? Entre autre parce qu'ils viennent de milieux différents et n'ont pas tous eu la même attention et aide de leur milieu. C'est pour faire en sorte que ces gens là aie accès à une éducation de qualité qu'on a nationaliser le système. Taxer les échecs, c'est ne pas tenir compte de ce fait qu'est la diversité sociale.

 

Oui il existe une partie des étudiants qui sont inscrits à l'école et n'y vont pas et font le minimum. Ce sont toutefois plus souvent qu'autrement des étudiants qui sont soit de familles très aisées ou soit de milieu où l'école n'est pas du tout valorisé. Une taxe ne ferait pas se forcer les premiers, ils ne se forceront pas pour une raison monétaire. La taxe ne ferait qu'abandonner les deuxièmes, ceux-ci n'ayant aucun intérêt de toute façon.

 

Donc, la taxe à l'échec ferait probablement en sorte que ceux qu'on partent partent en partie. Mais elle pénaliserait par le fait même tous ceux qui ne font pas des échecs de par leur seule cause. Elle ferait aussi en sorte que ceux qui niaisent mais sont aisés restent, ou partent niaiser à l'université, mais ceux-ci finiront probablement avec un diplôme en poche de toute façon.

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1-Quand tu sais pas quoi faire de ta vie, tu le sauras pas plus si tu dois payer pour des études! Le but, c'est pas de finir ses études au plus sacrant dans n'importe quel domaine, c'est plutôt de trouver ce que tu veux faire de ta vie et te former en ce sens. Un ou deux ans de plus de cégep, ce n'est perdu pour personne. Au mieux, ça ne fait qu'augmenter ta culture générale et ne fait que de toi un citoyen plus conscient de ce qui l'entoure.

 

Si tu ne sais pas quoi faire de ta vie, va travailler, ne perd pas ton temps à couler un cours après l'autre. Je n'ai rien contre les étudiants qui prennent plus de temps que la norme pour completer leurs cours, en autant qu'ils réussissent leurs cours. Je préfère nettement quelqu'un qui complête son DEC en 5 ans plutôts que 3 que de voir quelqu'un abandonner. Mais ce que je n'aime pas, c'est de voir des étudiants qui se prennent une pleine charge de cours tout en sachant très bien qu'ils n'en completeront pas la moitié. Qu'ils se prennent moins de cours et qu'ils les réussissent tous. Dans leurs temps libres ils pourront travailler ou tout simplement essayer de trouver ce qu'ils veulent faire de leur vie.

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Le Québec reste attaché à ses «vaches sacrées»

Mise à jour : 30/09/2009 11h28

 

La série de reportages que TVA diffuse sur l’état des finances publiques du Québec, le Québec dans le rouge, suscite de nombreuses réactions au sein de la population.

 

Les citoyens ont été nombreux à exprimer leur mécontentement à la suite des propos tenus par le premier ministre, Jean Charest, selon lesquels son gouvernement devra adopter des mesures impopulaires, comme hausser les tarifs d'électricité, afin de freiner le gonflement de la dette.

 

De fait, notre sondage exclusif Léger réalisé pour le compte de TVA et de QMI indique que 65% des Québécois disent que cette intention du gouvernement de hausser les tarifs les met en colère. Malgré tout, 29% des répondants se montrent plus philosophes disent comprendre la mesure, sans pour autant s’en réjouir.

 

La question des salaires

 

Maintenant, quand on demande aux Québécois quelle hausse de salaire le gouvernement devrait-il accorder aux fonctionnaires pour réduire les dépenses de l'État, 40% disent «aucune augmentation», tandis que 18% des répondants 18 pour cent sont en faveur d'une modeste augmentation de 1%. Quand même, près du tiers optent pour une hausse salariale de 2% ou plus.

 

En entrevue à l'émission Mongrain, la présidente de la CSN, Claudette Carbonneau, a rappelé que les employés de l'État ont souvent fait les frais des problèmes de finances de l'État.

 

Par ailleurs, Mme Carbonneau se questionne sur ce que l’on entend par le terme «fonctionnaires». «De qui on parle», dit-elle, soulignant que parmi les 450 000 salariés de l’État, plusieurs oeuvrent dans le domaine des services à la collectivité.

Les vaches sacrées

 

Le sondage montre aussi qu'il ne faut pas toucher à certaines vaches sacrées lorsqu’il est question de hausser les tarifs.

 

La dernière chose que les répondants voudraient voir être augmentée, c'est la taxe sur l'essence: 85% y sont défavorables.

 

Même son de cloche en matière d’assurance automobile, alors que 81% des Québécois sont en désaccord avec une augmentation des tarifs pour le régime de la SAAQ.

 

Les autres éléments pour lesquels les répondants demandent le statu quo sont les tarifs d'Hydro-Québec, le coût du permis de conduire et des immatriculations, ainsi que le régime d'assurance médicaments.

 

À l’opposé, l'augmentation qui obtiendrait l’aval d’une majorité serait liée à la vente des produits du tabac (79%), suivi de près par une taxe sur la malbouffe (77%) et le retour des péages sur les ponts et les autoroutes.

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