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Montréal - Québec : Fini les mamours avec Québec


ErickMontreal

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Ca peut ressembler à du chialage pour rien, mais il apporte tout de même certains points qui ont le mérite d'être discutés.

 

La main-mise du FIJM sur tout ce qui est Jazz au québec est bien évidente, peu de moyens pour les autres festivals de Jazz, une part de plus en plus grande au festival d'artistes qui ne sont pas du Jazz et ce au détriment des artistes qui font véritablement de cette musique.

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Ca peut ressembler à du chialage pour rien, mais il apporte tout de même certains points qui ont le mérite d'être discutés.

 

La main-mise du FIJM sur tout ce qui est Jazz au québec est bien évidente, peu de moyens pour les autres festivals de Jazz, .

 

Et pourquoi exactement Montreal devrait-elle faire de la place aux autres qui voudraient et qui font déjà un festival de Jazz au Québec?

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Pour la même raison que tout l’argent qui est versé à l’industrie de l’humour ne va pas à Juste pour Rire.

 

Ne pas mettre ses œufs dans le même panier comme ont dit, il est bon d’avoir de la diversité, pas seulement de faire des festivals concurents au FIJM, mais bien de pouvoir donner la chance soit aux artistes émergents de pouvoir sortir de l’ombre, de pouvoir avoir des événements à longueur d’année, de faire la promotion de ce genre musical.

 

Quand tu considère que la majorité de la programmation du FIJM passe par les mains d’une seule personne (André Ménard) est-ce une bonne chose de confier l’ensemble de la décision à une seule personne qui peut agir selon ses intérêts et désirs? On le voit depuis plusieurs années, moins en moins de Jazz, mais plus d’invités de d’autres styles.

 

L’exemple qui est donné par l’auteur de la maison du festival, cela aurait très bien pu etre la maison du Jazz, dissocier le festival de ce lieu, qui de toute facon, les gens aurait fait la connection. Etait-ce vraiment nécessaire que ce soit Spectra le maître d’œuvre?

 

Je ne dit pas que l’auteur a raison ou a tort, seulement que des fois il esst bon de soulever certaines questions sur les pratiques actuelles, les ré-évaluer et voir si cela est toujours la bonne facon de procéder.

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  • Administrateur

On pourrait évidemment emputer de moitié le budget aloué au FIJM pour le donner au Festival de Jazz de Alma, Amos ou Lévis.

 

Par contre, adieu les têtes d'affiches et l'"évènement" de Jazz au pays se déroulera désormais à Toronto.:applause:

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On pourrait évidemment emputer de moitié le budget aloué au FIJM pour le donner au Festival de Jazz de Alma, Amos ou Lévis.

 

Par contre, adieu les têtes d'affiches et l'"évènement" de Jazz au pays se déroulera désormais à Toronto.:applause:

 

 

Tellement vrai Gilbert.......................

 

Mais pourtant, on dirait que la majorité des gens ne voient pas cela.

 

Pourquoi ne pas amputer Montreal de partout...pour mieux répartir dans le reste du Québec? Pas juste le festival de Jazz.......tout..........même l'orchestre symphonique.

 

Pathétique.

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Au Québec, quand une ville, un promoteur ou une organization devient trop big et connaît trop de succès, il faut l'abattre.........et répartir les miettes à gauche et à droite...........calvaire que cela me désole...

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On peut ne pas être d'accord avec ces deux co-signataires de la lettre d'opinion il n'en reste pas moins qu'elle vient de deux acteurs de la scène culturelle de Montréal et en particulier de la scène jazz locale. Ce qu'ils disent dans cette lettre on l'entend depuis des années. Bien évidemment il faut se féliciter de la grande réussite du FIJM mais il est aussi vrai que Spectra ne fait pas grnad chose pour promouvoir la scène locale. Hors du FIJM, il ne se passe pas grand chose pour une ville qui pourtant organise le plus grand festival de jazz sur la planète.

Je serais tout de même curieux d'éliminer de n'importe quel calendrier des éditions précédentes tous ceux et celles qui n'ont pas un lien direct ou indirect avec le jazz (qui aurait l'audace ici de prétendre que Steve Wonder appartient à la mouvance jazz ??) et de ne garder que les noms vraiment associés aux jazz. Après, comparer le nombres d'artistes avec disons le festival de Montreux : pourrions encore prétendre être le deuxième plus grand au monde ?

Ne vous méprenez pas : je ne suis pas en train de condamner le festival. J'essaie seulement de me mettre dans la peau des deux co-signataires. C'est en tant qu'acteurs de la scène culturelle et jazz de Montréal qu'ils signent leur lettre et c'est dans cette pperspective et cette perspective seulement selon moi qu'il faut la lire et la comprendre.

Maintenant cela étant dit ils peuvent difficilement comparer New-York à Montréal, la scène jazz new-yorkaise et montréalaise. On n'est même pas dans la même ligue. Le jazz est littéralement né aux États-Unies et New-York en a été l'un des promoteurs depuis le début. Si le jazz n'est pas né à New-York il y a tout de même grandi. Il y a une grosse différence.

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