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Qui ferait le meilleur maire ou la meilleure mairesse pour Montréal ?  

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  1. 1. Qui ferait le meilleur maire ou la meilleure mairesse pour Montréal ?

    • Richard Bergeron - Projet Montréal
    • Louise Harel - Vision Montréal
    • Gérald Tremblay - Union Montréal


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Question du jour

 

John Gomery fait le saut en politique municipale en se joignant à Projet Montréal. Comment accueillez-vous la nouvelle?

 

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sur cyberpresse

 

54% (chiffre après 9880 votes) accueillent favorablement l'arrivée de l'intégrité...heu, pardon, je veux dire du juge à la retraite John Gomery dans le paysage politique municipale montréalais.

 

C'est un fait que le parti Vision Montréal a été blâmé de la plus grande fraude électorale jamais faite au Québec et manoeuvre électorale frauduleuse sous Pierre Bourque en 2005 et le parti du maire Tremblay, Union ben ... je me rappelle plus ou j'ai lu que 94% des compagnies dont les chefs d'entreprises avaient fait un don à Union Montréal, avaient obtenu des contrats avec la ville de Montréal (c'était genre )

 

Anyway, qui va se plaindre qu'un petit parti veuille donner une leçon d'intégrité aux dinosaures corrompus en lice ?

 

J'espère juste que ça va amener des gens à s'informer sur Projet Montréal, par exemple, j'ai appris aujourd'hui sur la note biographique du site web que Richard Bergeron, le chef de Projet Montréal était chauffeur de taxi pour payer ses études en architecture à l'Université de Montréal ! :eek:

 

Respect pour ça ! :)

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Membres prolifiques

Malheuresment mon vote n'ira pas au canditat que j'appui mais pour empêcher l'autre à gagner. Complètement pathétique mais c'est l'histoire de la politique au Québec (et ailleurs mais beaucoup plus ici). Dans mon livre à moi, Tremblay est un singe anémique et ça me tue de voter pour lui mais je ne peux pas accepter que l'autre nous represente. Elle a des bonnes idées mais elle me fait honte.

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Le changement passe par une majorité, dit Louise Harel

 

 

Publié le 20 août 2009 à 07h24 | Mis à jour à 07h29

 

 

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Pour la première fois depuis le début de sa campagne électorale, la chef de Vision Montréal, Louise Harel, a lancé hier un appel aux Montréalais: s'ils veulent des changements en profondeur et des services identiques partout, ils doivent élire un conseil municipal composé en majorité par Vision Montréal. S'ils préfèrent le statu quo, «ils peuvent choisir l'administration Tremblay».

 

Mme Harel a fait cette déclaration dans Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension où la mairesse Anie Samson présentait son équipe électorale, formée de quatre candidats issus de quatre communautés ethniques différentes.

 

Elsie Lefebvre, ex-députée péquiste de Laurier-Dorion, est candidate au poste de conseillère municipale dans le district de Villeray. Soraya Martinez, élue en 2005 conseillère municipale dans Saint-Michel, et qui avait quitté en 2007 le parti du maire Gérald Tremblay, se représente. Le coordonnateur des projets jeunesse de la Maison d'Haïti, Harry Delva, est candidat au poste de conseiller dans François-Perrault. Enfin, Costa Zafiropoulos, ex-candidat du NPD aux élections fédérales, tentera sa chance dans Parc-Extension.

 

La mairesse Samson a fait part des difficultés que connaît son arrondissement à cause de sa «faible» dotation annuelle. Elle a dû créer un fonds pour la sécurité alimentaire des plus démunis avec ce qu'elle reçoit lorsqu'elle célèbre des mariages. «Quand les jeunes n'ont même pas la force d'aller dans les parcs, ça ne sert à rien de les améliorer», a-t-elle dit en estimant que l'administration Tremblay n'a pas investi là où c'était nécessaire.

 

Louise Harel, qui rassemble autour d'elle de plus en plus de candidats anglophones ou provenant de minorités ethniques, a saisi la balle au bond en disant qu'il est anormal que des citoyens paient les mêmes taxes et n'aient pas les mêmes services. Pour corriger la situation, elle préconise que des services tels que le déneigement ou l'urbanisme soient du ressort de la ville centre et que cesse «le démantèlement qui a créé 19 services affaiblis dans 19 arrondissements devenus des quasi-villes».

 

«Il faut offrir un service adéquat sur l'ensemble du territoire montréalais, a-t-elle dit. Il est possible de le faire en vertu des lois actuelles, dans la mesure où il y a une majorité simple d'élus au conseil municipal qui adoptent ces dispositions. Alors, cela dépendra de la population. Ce que nous pourrons faire, ce sera les Montréalais qui le décideront le 1er novembre prochain. Dans la mesure où nous serons majoritaires au conseil municipal, nous pourrons donner suite à cette volonté de rétablir des services équivalents pour l'ensemble des Montréalais.»

 

La mairesse Samson a expliqué que, quand tous les terrains sont occupés, les jeunes de l'équipe de baseball de Villeray ne peuvent pas aller jouer sur les terrains de Saint-Laurent.

 

«Il ne doit pas y avoir de frontière entre les arrondissements, a dit Mme Harel. Les arrondissements sont des instances administratives pour rapprocher les élus des citoyens et offrir des services de proximité. Je crois aux arrondissements, mais ils ne doivent pas être considérés, comme ce fut le cas avec l'administration Tremblay-Zampino, comme des quasi-villes. Il ne peut y avoir 19 villes dans la ville. C'est une des raisons du déclin de Montréal. Dans toutes les grandes villes du monde, il y a des arrondissements, mais nulle part il n'y a de quasi-villes.»

 

Que se passera-t-il si les Montréalais ne donnent pas la majorité à son parti le 1er novembre? «On ne pourra pas procéder à des remembrements. On ne pourra pas élargir pour qu'il n'y ait plus deux classes de citoyens. Si les gens sont satisfaits du statu quo, ils peuvent alors choisir l'administration Tremblay, c'est ce qu'elle leur offre. S'ils veulent vraiment du changement en profondeur, revenir à la normale, dans une vraie ville, dans laquelle il y a un sentiment d'appartenance et un sentiment de fierté, on offre des équipes comme celle qui vous est présentée ce matin (hier).»

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«Pourquoi ajouter un tramway à Montréal?»

 

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Gérald Tremblay vous répond

MÉTRO

 

19 août 2009 06:00

 

«Je viens de voir que le tramway est censé faire son retour à Montréal. Pourquoi ajouter encore un mode de transport aux bus et au métro?»

— Marie-Cécile F.

 

C’est vrai, Montréal va bientôt rejoindre les 170 villes qui, à travers le monde, ont opté pour le tramway. Les deux premières lignes réalisées seront celles du centre-ville et de Côte-des-Neiges. D’autres seront réalisées ensuite, sur les axes de l’avenue du Parc et du boulevard Pie IX, avec des prolongements dans le nord, l’est et l’ouest de la ville.

 

Ce choix d’un mode supplémentaire de transport collectif, nous l’avons fait après une réflexion et une planification très approfondies.

 

Dès 2002, le Sommet de Montréal a fixé les orientations essentielles du Plan d’urbanisme (adopté en 2004) et du Plan de transport (adopté en 2008). Lors de l’élaboration de ces plans, le tramway moderne a été identifié comme un mode de transport collectif fiable, attractif pour les usagers, écologique et permettant de dynamiser les quartiers qu’il traverse (animation, rénovation urbaine, activité commerciale). Cela, en complément aux réseaux de bus et de métro déjà existants et avec une efficacité bien plus grande que le trolley-bus, autre mode de transport envisagé un temps.

 

Un tramway à Montréal pourra assurer 95 000 déplacements par jour sur des axes stratégiques et très achalandés.

 

Achevée en 2010, l’étude de faisabilité établira le parcours détaillé des lignes, la conception des stations et du matériel, les études environnementales pour l’ensemble du projet. Le tramway transformera ainsi le visage du centre-ville et de l’axe de Côte-des-Neiges, pour le plus grand profit des Montréalais et des visiteurs de notre ville.

 

La technologie de pointe a transformé un souvenir du passé en mode de transport de l’avenir : vous pourrez d’ailleurs le voir en détail en visitant l’exposition et les animations Le tramway à Montréal, histoire et avenir, qui auront lieu au marché Bonsecours, les 29 et 30 août.

 

Je voudrais conclure en remerciant les lecteurs du journal Métro qui ont fidèlement lu cette colonne et m’ont écrit en grand nombre. Les élections municipales ayant lieu le 1er novembre, je me retire maintenant de cette tribune. Au plaisir de vous revoir et de dialoguer avec vous!

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Montréal

Harel veut faire modifier la Charte de la Ville

Agence QMI Julie Charette

23/08/2009 19h34

 

 

 

Louise Harel souhaite que le gouvernement du Québec fasse volte-face et renonce à confier au prochain maire de Montréal la gestion complète du centre-ville en le nommant d'office maire de l'arrondissement Ville-Marie.

 

Si elle est élue mairesse de la Métropole, la chef de Vision Montréal a promis aujourd'hui de demander à Québec «d'enlever cette tache antidémocratique de la Charte de la Ville de Montréal».

 

«Je m'engage à demander à Québec de modifier la Charte de la Ville de Montréal de telle façon que les citoyens de Ville-Marie ne soient pas des citoyens de seconde classe et qu'ils retrouvent leur statut de citoyen à part entière en choisissant les élus qui vont les représenter», mentionne Mme Harel lors de la présentation des candidats de Vision Montréal dans Ville-Marie.

 

Cette sortie de Mme Harel fait suite à l'adoption par Québec de la loi 22 qui prévoit que la mairie de Ville-Marie soit confiée automatiquement au prochain maire de Montréal et que ce dernier puisse nommer deux élus pour siéger avec lui dans cet arrondissement.

 

Vision Montréal souhaite plutôt que Québec privilégie le Principe des projets et initiatives d'intérêt collectif, un mécanisme qui accorderait au conseil municipal la responsabilité de confier un projet ou un programme au maire de Montréal.

 

Labonté comme conseiller dans Sainte-Marie

 

Vision Montréal a également dévoilé dimanche son équipe de candidats dans l'arrondissement Ville-Marie.

 

L'actuel maire de l'arrondissement, Benoit Labonté, briguera donc le poste de conseiller de ville dans le district de Sainte-Marie.

 

M. Labonté, à qui Louise Harel a promis le poste de président du comité exécutif de la Ville, a rappelé dimanche que le développement économique et social de l'arrondissement doit être priorisé puisque 46% des familles de Ville-Marie vivent sous le seuil de la pauvreté.

 

Un retraité d'Hydro-Québec et ancien président de l'Association des résidants des Faubourgs de Montréal, François Robillard, tentera sa chance comme conseiller dans le district Saint-Jacques.

 

Avocate du droit du divertissement et candidate libérale dans la circonscription de Sainte-Marie-Saint-Jacques en 2007, Denise Dussault sera pour sa part candidate dans Peter-McGill.

 

Les élections municipales auront lieu le 1er novembre.

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