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Canada’s best and worst run cities


ErickMontreal

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Canada’s best and worst run cities

 

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The RankingsThis survey, the first of its kind in Canada, provides citizens in 31 cities across the country with comparative data on how well—or poorly—their city is run, measured by the cost and quality of the public services it delivers. (Why 31? We took the 30 largest cities in Canada, added whatever provincial capitals were not on the list, then subtracted a few cities from the Greater Toronto Area for better regional balance. Somehow that left 31.)

 

Though the overall results—Burnaby, Saskatoon and Surrey, B.C. lead the pack; Charlottetown, Kingston, Ont., and Fredericton trail—will be of particular interest, they are less important than the process this is intended to kick off. We aim not merely to start some good barroom arguments, but to help voters to hold their representatives to better account, and indeed to help city governments themselves. For without some sort of yardstick to measure their performance, either against other cities or against their own past record, how can they hope to know whether they are succeeding?

 

To compile the survey, Maclean’s commissioned the Halifax-based Atlantic Institute for Market Studies, expanding on the institute’s earlier work measuring the performance of municipalities in Nova Scotia and New Brunswick. Unlike other studies, this does not try to measure quality of life, or which city is the “best place to live.” Rather, it focuses on the contribution of local governments to this end.

 

This survey looks at a city’s efficiency—the cost of producing results—and the effectiveness of its services, including how well each city does when it comes to things like maintaining roads and parks, picking up garbage and putting out fires. Click below to see how the numbers break down.

 

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Montréal en queue de peloton

Mise à jour le mercredi 22 juillet 2009 à 10 h 18

La ville de Montréal se retrouve au bas du classement au chapitre des villes les mieux gérées du Canada. Au Québec, elle fait aussi piètre figure, derrière Longueuil, Sherbrooke, Québec et Gatineau.

 

Ce sont les conclusions d'une étude effectuée par l'Atlantic Institute for Market Studies (AIMS), et dont les résultats ont été publiés dans le magazine Maclean's, mardi.

 

La recherche s'est attardée au rendement des villes quant à leur production de résultats et à l'efficacité de leurs services, tels que l'entretien des routes et des parcs, et la collecte des ordures.

 

Sur les 29 villes canadiennes étudiées, la métropole québécoise s'est donc placée au 21e rang. Les analystes concèdent que Montréal a un niveau de services supérieur, mais ont montré du doigt le coût de ses services, sa dette et ses taxes.

 

Au chapitre de la gouvernance, les résultats de l'étude ne sont pas plus satisfaisants pour Montréal. Elle occupe le peloton de queue avec une 27e position.

 

« Décentralisation exagérée » - Benoît Labonté

 

En entrevue avec le Journal de Montréal, le chef de l'opposition de Montréal, Benoît Labonté, estime que ces résultats sont « catastrophiques » pour une ville comme Montréal.

 

« C'est dû à une décentralisation exagérée depuis 2003. Quand on a 19 arrondissements avec 19 directeurs généraux, 19 administrations, 19 petits domaines, ça finit par coûter cher », a-t-il ajouté.

 

Le président du comité exécutif de Montréal, Sammy Forcillo, s'est porté à la défense de l'administration municipale. Selon lui, la métropole a été défavorisée en raison du mauvais état dans lequel se retrouvaient les infrastructures souterraines notamment.

 

« Il y a eu un sous-investissement pendant des années et, actuellement, on est en train de faire du rattrapage. On met les bouchées doubles et ça coûte cher », a-t-il souligné au quotidien montréalais.

L'autre côté du pont Jacques-Cartier

 

L'administration municipale de Longueuil a pour sa part de bonnes raisons de se réjouir. La même étude place cette ville de la Rive-Sud au 5e rang canadien et bonne première au Québec.

 

Ce sont notamment son taux de taxation, le plus bas des 29 villes étudiées, et son faible niveau de dépenses qui ont permis à Longueuil de se démarquer.

 

De tailles similaires à Montréal, Vancouver (4e), Toronto (10e) et Calgary (11e) ont déclassé la métropole québécoise. Sherbrooke (6e), Québec (9e) et Gatineau (12e) ont aussi fait bonne figure.

 

Comme la ville de Victoria, Laval n'a pas été évaluée, puisqu'elle n'a pas fourni suffisamment de données.

 

En publiant ce classement, le magazine Maclean's souhaite « enclencher un processus » pour améliorer les services dans les villes canadiennes.

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