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C'est un dossier ou il est presque impossible de faire plaisir a tous. Si on prend la prémisse de base qu'une raffinerie de 130000 barils/jours n'est plus efficace, on a donc 2 choix, on la ferme, ce qui est le cas actuellement, ou on l'agrandit afin de l'amener a 300-400000 barils/jours, ce qui dans tel cas, va rencontrer de l'opposition des environnementalistes et autres groupes de pressions de l'est de ville qui vont chialer qu'ils ne veulent pas cela dans leur coin.

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Pipeline to lose major refinery

 

By The Mainebiz News Staff

 

01/14/10

 

Portland Pipe Line will lose one of its largest customers later this year, though the impact on the city's port remains unclear.

 

One of two Montreal oil refineries that receive oil from South Portland through the underground pipelines plans to close at the end of 2010, the Portland Press Herald reported. Owner Royal Dutch Shell said the refinery, which can process 130,000 barrels of oil a day, no longer fits with its long-term strategy.

 

Portland Pipe Line operates the pipelines, a tank farm and an unloading terminal on the South Portland waterfront. The company pumps 300,000 to 350,000 barrels a day. David Cyr, treasurer of Portland Pipe Line, told the paper it's too early to assess the impact of the closing.

 

Portland Pipe Line and its Canadian parent company, Montreal Pipe Line, are considering spending $100 million to reverse the flow of oil through one of the two pipelines, which would allow the company deliver western Canadian crude oil to U.S. refineries.

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  • 2 semaines plus tard...

Fermeture de Shell à Montréal: Québec demande un sursis

 

Publié le 27 janvier 2010 à 12h39 | Mis à jour à 12h50

 

(Montréal) Le gouvernement du Québec demande à Shell de reporter au 1er juin le démantèlement de sa raffinerie pour permettre à d'éventuels acquéreurs de se manifester d'ici là.

 

LaPresseaffaires.com a obtenu copie de la lettre adressée à Shell et signée par les ministres Nathalie Normandeau (Ressources naturelles) et Clément Gignac (Développement économique). Dans cette missive, le gouvernement du Québec se dit ouvert à une rencontre «ayant pour but d'échanger sur le dossier de la raffinerie de Shell située à Montréal-Est.»

 

Rappelons que le 7 janvier dernier, Shell annonçait son intention de fermer sa raffinerie de Montréal-Est pour la convertir en simple terminal. Des 550 employés, seulement une trentaine garderait leur emploi.

 

«Bien que nous ayons pris acte du caractère définitif de votre décision de fermer la raffinerie pour convertir vos installations en terminal, nous réitérons que nous aurions souhaité que Shell maintienne l'exploitation et le développement de sa raffinerie, tel que mentionné lors de notre conversation du 22 janvier dernier.»

 

Les ministres Normadeau et Gignac ajoutent qu'ils sont «confiants que Shell évaluera et considérera tout proposition sérieuse d'offre d'achat de ses intallations avec ou sans le réseau de distribution. Enfin, nous vous demandons de faire état publiquement de votre ouverture à cet égard afin de faciliter l'émergence d'acquéreurs potentiels.»

 

Le 12 janvier dernier, au centre-ville de Montréal, une centaine de syndiqués ont manifesté contre la décision de Shell de fermer sa raffinerie.

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  • 2 mois plus tard...
La fermeture de vieilles raffineries est un phénomène nord-américain et pas seulement québécois.

 

Vous connaissez beaucoup de villes qui run encore des raffineries bâties en 1920 ??

 

Comme toutes les fermetures industrielles à Montréal depuis 40 ans, la principale raison est la vétusté des installations.

Il s'agit d'une petite raffinerie ne permettant pas de grandes économies d'échelle, le tout est rouillé et la demande de pétrole a diminué.

 

Sarnia, Ontario, Imperial Oil Refinery - Début 1900 !!!!!

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Sarnia, Ontario, Imperial Oil Refinery - Début 1900 !!!!!

 

Cette rafinerie a été rénovée durant les années 80 et 90, avec des investissements totalisant 400 millions de dollars.

De plus, elle opère une usine de cogénération subventionnée par le gouvernement ontarien qui fournit près de 50 MW à Hydro-Ontario.

 

Celle du Québec rouille de sa belle mort.

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  • 4 semaines plus tard...

Montréal-Est: trois acheteurs pour la raffinerie de Shell

 

Publié le 11 mai 2010 à 16h08 | Mis à jour à 16h11

Hélène Baril

La Presse

 

(Montréal) Trois entreprises sont intéressées à acheter la raffinerie de Montréal-Est que Shell veut commencer à démanteler le 1er juin, a appris La Presse Affaires.

 

Les trois acheteurs potentiels qui ont signé des ententes de confidentialité avec Shell ont l'intention de poursuivre les activités de la raffinerie, selon les informations obtenues par le comité de survie de la raffinerie.

 

Le comité piloté par l'ancien sénateur Michael Fortier a contacté une centaine d'entreprises dans le monde pour connaître leur intérêt pour les installations délaissées par Shell. Les trois réponses prometteuses ont été obtenues à la suite de cet exercice d'exploration du marché.

 

D'ici deux semaines, une offre d'achat en bonne et due forme devra être soumise à Shell pour éviter le démantèlement des installations montréalaises.

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Celle du Québec rouille de sa belle mort.

 

Sérieusement, entendre sa, c'est dégouttant !!! :mad:

Un minimum de respect pour cette usine est demandé !

 

Montréal-Est: trois acheteurs pour la raffinerie de Shell

 

Publié le 11 mai 2010 à 16h08 | Mis à jour à 16h11

Hélène Baril

La Presse

 

(Montréal) Trois entreprises sont intéressées à acheter la raffinerie de Montréal-Est que Shell veut commencer à démanteler le 1er juin, a appris La Presse Affaires.

 

Les trois acheteurs potentiels qui ont signé des ententes de confidentialité avec Shell ont l'intention de poursuivre les activités de la raffinerie, selon les informations obtenues par le comité de survie de la raffinerie.

 

Le comité piloté par l'ancien sénateur Michael Fortier a contacté une centaine d'entreprises dans le monde pour connaître leur intérêt pour les installations délaissées par Shell. Les trois réponses prometteuses ont été obtenues à la suite de cet exercice d'exploration du marché.

 

D'ici deux semaines, une offre d'achat en bonne et due forme devra être soumise à Shell pour éviter le démantèlement des installations montréalaises.

 

Voilà, on commence à parler de vrais choses. Voilà une bonne nouvelle !!! :silly:

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  • 3 semaines plus tard...

Discussions intenses entre les acheteurs et Shell

1 juin 2010 | 06h43

Mise à jour: 1 juin 2010 | 19h06

 

Olivier Bourque

Argent

 

Les discussions se poursuivaient entre les acheteurs potentiels de la raffinerie de Shell et la pétrolière mardi alors que le délai imposé pourrait aussi être dépassé. Argent a également appris qu’un deuxième acheteur aurait même déposé une offre dans les dernières heures.

 

 

Contrairement à ce qui avait été véhiculé hier par différents médias, Shell n’a pas rejeté l’offre du premier groupe. Toutefois, selon plusieurs sources, l’écart entre ce que veut obtenir la pétrolière et ce qu’offre l’entreprise est «passablement important».

 

Dans la journée, le porte-parole de Shell Larry Lalonde a souligné que pour l’instant, l’offre n’avait été ni acceptée, ni refusée. Il a également laissé entendre que le délai pourrait faire l’objet d’une extension.

 

M. Lalonde a également affirmé que ce qui lui a été déposé est loin de ce que l'entreprise veut obtenir afin de réaliser une transaction. Il ne précise toutefois pas quelles conditions ne sont pas satisfaisantes.

 

Les discussions vont se poursuivre encore quelques journées entre la pétrolière et les acheteurs potentiels, ce qui alimente le climat à couper au couteau à la raffinerie de l’Est montréalais.

 

Selon ce qu’a appris Argent, une deuxième entreprise aurait déposé elle aussi une offre sérieuse. Il serait surprenant que le troisième groupe qui consultait les chiffres de la pétrolière fasse de même.

 

Québec optimiste

 

Lors d’une annonce de mardi, la ministre des Ressources naturelles s’est montrée elle aussi optimiste à l’instar du premier ministre Jean Charest la veille.

 

«Qu’est-ce que Shell fera ? Est-ce qu’ils sont prêts à continuer de discuter, c’est l’écho que nous avons de notre côté», a souligné Mme Normandeau.

 

Selon elle, le gouvernement est conscient que le cadre de discussions est «très difficile» et qu’il n’est jamais évident de trouver un repreneur pour ce type d’installations. «Il faut encore miser sur la bonne volonté de Shell», a-t-elle affirmé.

 

Toujours selon nos sources, ce n’est pas la Société générale de finalement (SGF) qui pourrait être impliquée dans un éventuel financement mais plutôt Investissement Québec.

 

La pétrolière avait annoncé au début de janvier qu'elle allait transformer sa raffinerie dans l'est de Montréal en terminal destiné à recevoir de l'essence. Sur les 500 employés, environ 30 garderaient ainsi leur emploi.

 

Le pire scénario pour les travailleurs serait donc cette conversion en terminal. Les mises à pied se feraient à partir du mois de juin. Ce serait également un dur coup pour l’économie de l’Est de Montréal. Les employés gagnent en moyenne 80 000 $.

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L’incontournable pierre tombale de Shell

1 juin 2010 | 17h44

 

François Pouliot

Un spécialiste chevronné des entreprises cotées en Bourse et des questions financières.

 

L’incontournable pierre tombale de Shell

01/06/2010

 

 

 

Shell Canada a au moins un acheteur intéressé pour sa raffinerie de Montréal Est, mais la proposition ne semble pas lui convenir. Même si une offre devait finir par faire l’affaire, le salon funéraire ne semble pas très loin.

 

Il y a un an, Shell avait fait le tour du marché et n’avait trouvé personne pour reprendre ses installations de raffinage. C’était au plus mauvais des moments : le financement était ardu alors que l’industrie nageait dans les surplus de carburant.

 

Les choses se sont depuis améliorées. La demande en carburant est plus élevée que l’an dernier et les raffineries nord américaines ne tournent plus à 80%, mais à 90% de leur capacité.

 

D’où sans doute l’intérêt récent de trois joueurs (non identifiés).

 

Tout un pari

 

Racheter la raffinerie de Montréal-Est apparaît néanmoins tout un pari. Il faut en effet payer pour un actif de 75 ans et être prêt à y réinvestir suffisamment d’argent pour le rendre concurrentiel et conforme aux exigences environnementales de demain. Shell juge que le marché de demain n’offrira pas suffisamment de rendement pour justifier les travaux nécessaires à la raffinerie. Et elle n’a pas en plus à acheter l’actif!

 

Il ne faut pas voir tout en noir. Il y a des précédents. La raffinerie de Delaware City, que Valero avait fermée il y a un an, vient d’être rachetée par un joint-venture formé de l’européenne Petroplus et du raffineur Thomas D. O’Malley.

 

Reste cependant à voir combien de temps elle pourra ensuite continuer à opérer.

 

Fondamentaux peu prometteurs

 

Les fondamentaux ne sont en effet pas ce qu’il y a de plus prometteur pour les vieilles unités.

 

Essentiellement, la demande en essence est influencée par trois facteurs : le nombre de véhicules sur les routes, la distance moyenne parcourue par chacun, et la moyenne de consommation de ces véhicules.

 

Voici ce que prévoyait récemment la Deutsche Bank pour les États-Unis dans les prochaines années.

 

Nombre de véhicule sur les routes : essentiellement, il devrait croître de 1,2 % annuellement et ce jusqu’en 2030. Rien d’extraordinaire.

 

Distance moyenne parcourue : identique à celle d’aujourd’hui. On ne voit guère de catalyseurs qui amèneraient les gens à voyager sur de plus grandes distances.

 

Moyenne de consommation : c’est ici que ça se complique pour l’industrie.

 

Le pourcentage des véhicules hybrides et électriques vendus aux États-Unis est actuellement de 4,2%. La proportion devrait grimper à 10,2% en 2015, 26,7% en 2020 et 75,8% en 2030.

 

Sous cet effet, et celui de nouvelles normes sur les émissions de CO2, la consommation des véhicules introduits sur le marché devrait passer de 26 milles au gallon en 2010 à 31 milles en 2015, puis à 42 milles en 2020 et à 95 milles en 2030.

 

L’un dans l’autre, estiment les analystes, vers 2016-2017, les gains procurés aux raffineries par la croissance du parc automobile seront effacés par les gains en efficacité énergétiques. Et ce sera alors une descente constante pour la demande en essence.

 

D’ici là, les perspectives n’apparaissent malheureusement pas tellement plus favorables. L’Agence internationale de l’énergie prédit que la capacité mondiale augmentera en moyenne de 1,5 million de barils par jour à chaque année sur l’horizon 2014, alors que la Deutsche Bank voit une croissance de la demande de 700 000 barils par jour. En fait, pour combler l’écart et effacer au passage les actuels surplus d’inventaire, il faudrait que la demande connaisse dans les cinq prochaines années sa meilleure performance depuis les années 70. Ce qui, dans la situation économique actuelle, apparaît douteux.

 

Dans ce contexte, on comprend mieux pourquoi Shell préfère un terminal de stockage à un réinvestissement important dans sa raffinerie. Même si un acheteur se présentait dans les prochains jours, l’affaiblissement des volumes apparaît une incontournable pierre tombale à plus ou moins long terme.

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  • Administrateur

En se basant sur le nombre moyen de baril qu'une raffinerie peut traiter chaque jour, il est possible d'estimer la valeur de la raffinerie. Mais on ne connaît toujours pas les montants proposés par les deux racheteurs potentiels.

 

Pour en lire plus...

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