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OursNoir

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Le marché Atwater est trop pres pour permettre un autre marché dans ce secteur.

Ca prend une ecole surtout.

Mais je ne vois rien encore a date a propos d'une école.

 

Pour ce qui est de la patinoire il pourrait y avoir des terrains de tennis durant l'été. Je connait aucun terrain de tennis dans ce secteur.

Modifié par andre md
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  • 4 semaines plus tard...
  • 2 semaines plus tard...
Le marché Atwater est trop pres pour permettre un autre marché dans ce secteur.

Ca prend une ecole surtout.

Mais je ne vois rien encore a date a propos d'une école.

 

C'est un peu un histoire d'oeuf et de poule. Il n'y a pas d'école, donc les familles ne s'établissent pas dans le quartier, et puisqu'il n'y a pas d'enfants dans le quartier, on n'y construit pas d'école.

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  • 1 mois plus tard...
C'est un peu un histoire d'oeuf et de poule. Il n'y a pas d'école, donc les familles ne s'établissent pas dans le quartier, et puisqu'il n'y a pas d'enfants dans le quartier, on n'y construit pas d'école.

 

C'est là qu'intervient une «autre histoire», celle des pionniers. Ils s'installent dans un quartier SANS école (ni bien d'autres services), dans l'expectative que ces services viendront -- ce qui se produit généralement dans les nouveaux quartiers de banlieues. Mais ils savent, ou devraient savoir, que ça peut prendre quelques années.

 

Evidemment, un autre modèle est possible, que j'appellerais le «modèle chinois» des villes nouvelles, où tout est construit d'avance (routes, rues, maisons, bureaux, commerces, écoles, équipements de loisirs, etc.); le hic: ça demeure (presque) entièrement désert au début: les pionniers dans ce cas sont solitaires.

 

Vaut donc mieux une croissance «organique», où toutes les composantes de la vie organisée en communautés (eg. quartier urbain) apparaissent graduellement, même si les phases de croissance ne sont pas parfaitement synchronisées: c'est comme dans la nature!

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C'est là qu'intervient une «autre histoire», celle des pionniers. Ils s'installent dans un quartier SANS école (ni bien d'autres services), dans l'expectative que ces services viendront -- ce qui se produit généralement dans les nouveaux quartiers de banlieues. Mais ils savent, ou devraient savoir, que ça peut prendre quelques années.

 

Evidemment, un autre modèle est possible, que j'appellerais le «modèle chinois» des villes nouvelles, où tout est construit d'avance (routes, rues, maisons, bureaux, commerces, écoles, équipements de loisirs, etc.); le hic: ça demeure (presque) entièrement désert au début: les pionniers dans ce cas sont solitaires.

 

Vaut donc mieux une croissance «organique», où toutes les composantes de la vie organisée en communautés (eg. quartier urbain) apparaissent graduellement, même si les phases de croissance ne sont pas parfaitement synchronisées: c'est comme dans la nature!

 

Pour le gouvernement, c'est damn if you do and damn if you don't. Si le gouvernement ne construit pas d'écoles ou d'autres services semblables, on l'accuse de ne pas faire son travail d'offrir des services à la population (sans compter que moins il reste de terrains vacants, plus ils vont coûter cher). D'un autre côté, si le gouvernement construit une école dans un secteur pas encore développé (mais qui se développe), on l'accuse de construire des infrastructures dans le milieu de nulle part. Je crois que c'est à Repentigny qu'il s'est construit une école dans un champ. On a évidement accusé le gouvernement d'incompétence. Quelques années plus tard, les champs autour se sont construits et l'école se retrouve maintenant dans un quartier développé.

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Pour le gouvernement, c'est damn if you do and damn if you don't. Si le gouvernement ne construit pas d'écoles ou d'autres services semblables, on l'accuse de ne pas faire son travail d'offrir des services à la population (sans compter que moins il reste de terrains vacants, plus ils vont coûter cher). D'un autre côté, si le gouvernement construit une école dans un secteur pas encore développé (mais qui se développe), on l'accuse de construire des infrastructures dans le milieu de nulle part. Je crois que c'est à Repentigny qu'il s'est construit une école dans un champ. On a évidement accusé le gouvernement d'incompétence. Quelques années plus tard, les champs autour se sont construits et l'école se retrouve maintenant dans un quartier développé.

 

Très bon exemple.

 

Une partie de la solution à ce dilemme peut être trouvée dans la planification municipale, en réservant expressément une parcelle de terrain pour des fins scolaires (et/ou autres) dans la zone concernée. Québec, qui autorise et finance la construction des nouvelles écoles, peut alors l'inclure dans sa planification, en vue d'une mise en oeuvre au moment opportun. Pour leur part, les nouveaux acheteurs potentiels peuvent alors disposer d'une information raisonnablement crédible quant à la date à partir de laquelle une école sera ouverte.

 

Dans la pratique, les choses ne se passent pas évidemment toujours aussi bien. Mais un bon jugement du contexte local accroît la fiabilité de la prévision (chance infime versus forte probabilité).

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  • 1 mois plus tard...

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