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Bombardier : actualités


mtlurb

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Il y a 19 heures, jesseps a dit :

If they sell the private jet business and the rail business, what is left?

It's more a question of which one they will sell to keep the other one, Merge rail with Alstom and keep a sizeable ownership of the new Bombardier/Alstom company and focus on business jets, or outright sell the Business jets division to Textron and focus on the rail division.

Sure in longer term that might mean the end of Bombardier as a going concern, with hopefully a nice payoff for all the shareholders, but right now the plan is to reduce debt and focus on only one division, which one will it be, that is unknown to us at this time!

 

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https://ca.reuters.com/article/businessNews/idCAKBN206217

Alstom board meeting to decide on bid for Bombardier rail business: source

FEBRUARY 12, 2020 / 9:33 AM / UPDATED 28 MINUTES AGO

PARIS (Reuters) - French train maker Alstom’s (ALSO.PA) board will meet on Wednesday evening to decide on a possible offer for the rail business of Canada’s Bombardier (BBDb.TO), a source familiar with the situation told Reuters.

French TV station BFM reported earlier on its website that Alstom is set to make a firm offer for the Bombardier unit, valuing it at just under $7 billion.

Alstom and Bombardier declined to comment.

Reporting by Maya Nikolaeva and Allison Lampert; Writing by Geert De Clercq

 

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Voir reportage vidéo de BFM ici


https://bfmbusiness.bfmtv.com/mediaplayer/video/bombardier-alstom-va-officialiser-son-offre-1221985.html

Bombardier : Alstom va officialiser son offre

Le groupe français réunira son conseil d’administration en fin de semaine pour finaliser sa proposition de rachat des activités ferroviaires de son rival canadien.

BFM Business est la 1ère chaine française d''information économique et financière en continu, avec des conseils pour vos finances par des personnalités de référence dans le domaine de l'économie, des interviews exclusives de patrons, de politiques et d'experts. Rendez-vous sur le canal 46 de la TV SFR et en replay sur bfmbusiness.com.

Mise en ligne le 12/02/2020

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https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/202002/12/01-5260592-bombardier-une-annonce-imminente-positive-pour-le-quebec.php

Bombardier: une annonce imminente «positive» pour le Québec

(Québec) Le conseil d’administration de Bombardier se réunit mercredi et s’apprête à faire une annonce « positive » pour le Québec, soutient le ministre de l’Économie, Pierre Fitzgibbon. Le premier ministre François Legault a précisé que l’enjeu concerne non seulement le programme de l’A220, mais également la division Transport, spécialisé dans le matériel ferroviaire. On a fait état dans les derniers jours de discussions entre Bombardier et Alstom.

Publié le 12 février 2020 à 9h55 Mis à jour à 10h57
TOMMY CHOUINARD
LA PRESSE

À son arrivée à la réunion du caucus caquiste mercredi, Pierre Fitzgibbon a dit avoir « toute l’information » à ce sujet, mais qu’il n’est « pas à l’aise d’en parler » pour le moment. Il laisse à Bombardier le soin de faire l’annonce d’abord et fera une sortie par la suite. Il commentera jeudi.

« Je pense que c’est positif », s’est-il limité à dire. Au sujet du maintien des emplois, « on va avoir des bonnes nouvelles sur ça ».

François Legault n’a pas voulu en dire beaucoup plus. Il a précisé qu’il y a « deux débats actuellement », l’un concernant l’A220 et l’autre « sur la question de la division Transport ». La Caisse de dépôt a une participation de 30 % dans cette dernière.

Le gouvernement a déjà signifié qu’il n’a pas l’intention d’investir davantage dans le programme de l’A220 – connu précédemment sous le nom de C Series et sur lequel Airbus a mis la main. Il veut surtout protéger son investissement de 1 milliard US qui risque toutefois d’être dévalué, ou alors sa participation de 16 % risque d’être diluée. M. Fitzgibbon n’a voulu ni confirmer ni infirmer que le gouvernement injecte des fonds dans Bombardier autrement.

La société doit annoncer ses résultats financiers jeudi. La semaine dernière, le ministre Fitzgibbon disait que Bombardier ne peut conserver ses deux principales divisions en raison de sa lourde dette à rembourser (9 milliards US). Elle devra donc se départir soit des trains, soit des avions d’affaires, disait-il. Dans les derniers jours, on a fait état de discussions de Bombardier avec Alstom, à propos de la division Transport, et avec le géant américain Textron, en vue de la vente de sa division d’avions d’affaires.

-Avec la collaboration d’Hugo Pilon-Larose

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https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/202002/12/01-5260592-bombardier-alstom-songerait-a-acheter-la-division-transport.php

Quote

Bombardier: Alstom songerait à acheter la division Transport

 

(Québec) Le conseil d’administration de Bombardier se réunit mercredi et s’apprête à faire une annonce « positive » pour le Québec, soutient le ministre de l’Économie, Pierre Fitzgibbon. Le premier ministre François Legault a précisé que l’enjeu concerne non seulement le programme de l’A220, mais également la division Transport, spécialisé dans le matériel ferroviaire. On a fait état dans les derniers jours de discussions entre Bombardier et Alstom.

Publié le 12 février 2020 à 9h55 Mis à jour à 11h45

 

Tommy Chouinard
La Presse

Jean-François Codère
La Presse

Vers 11 h 45, le titre de Bombardier gagnait 3,52 % à 1,47 $ à la Bourse de Toronto.

À son arrivée à la réunion du caucus caquiste mercredi, Pierre Fitzgibbon a dit avoir « toute l’information » à ce sujet, mais qu’il n’est « pas à l’aise d’en parler » pour le moment. Il laisse à Bombardier le soin de faire l’annonce d’abord et fera une sortie par la suite. Il commentera jeudi.

« Je pense que c’est positif », s’est-il limité à dire. Au sujet du maintien des emplois, « on va avoir des bonnes nouvelles sur ça ».

François Legault n’a pas voulu en dire beaucoup plus. Il a précisé qu’il y a « deux débats actuellement », l’un concernant l’A220 et l’autre « sur la question de la division Transport ». La Caisse de dépôt a une participation de 30 % dans cette dernière.

Selon le réseau d'informations économiques français BFM, le conseil d'administration d'Alstom s'apprête à se réunir pour présenter une offre formelle pour l'acquisition de la division Transport de Bombardier. Cette offre donnerait une valeur d'un peu moins de 7 milliards de dollars américains à cette division.

Toujours selon BFM, la part de Bombardier (70%) serait achetée au comptant, tandis que celle de la Caisse serait convertie en actions d'Alstom, dont la Caisse deviendrait ainsi l'un des plus importants actionnaires.

L'analyste Benoit Poirier, de Desjardins, juge « élevé » le prix annoncé d'environ 7 milliards de dollars. Il évalue lui-même la division Transport à 4,9 milliards, ce qui laisserait environ 2,5 milliards à Bombardier. La part de la Caisse est assortie d'un rendement annuel minimum garanti de 15%, ce qui place sa valeur à environ 2,4 milliards à l'heure actuelle.

La partie ne serait pas gagnée, rappelle toutefois M. Poirier. « Nous prévoyons que la fusion ferait face à un examen important des autorités antimonopolistiques, ce qui pourrait en retarder la conclusion. L'Union européenne a rejeté l'an dernier un projet de fusion entre Alstom et Siemens, dont la taille est similaire à celle de Bombardier Transport.

Le gouvernement a déjà signifié qu’il n’a pas l’intention d’investir davantage dans le programme de l’A220 – connu précédemment sous le nom de C Series et sur lequel Airbus a mis la main. Il veut surtout protéger son investissement de 1 milliard US qui risque toutefois d’être dévalué, ou alors sa participation de 16 % risque d’être diluée. M. Fitzgibbon n’a voulu ni confirmer ni infirmer que le gouvernement injecte des fonds dans Bombardier autrement.

La société doit annoncer ses résultats financiers jeudi. La semaine dernière, le ministre Fitzgibbon disait que Bombardier ne peut conserver ses deux principales divisions en raison de sa lourde dette à rembourser (9 milliards US). Elle devra donc se départir soit des trains, soit des avions d’affaires, disait-il. Dans les derniers jours, on a fait état de discussions de Bombardier avec Alstom, à propos de la division Transport, et avec le géant américain Textron, en vue de la vente de sa division d’avions d’affaires.

 

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Bombardier : la vente de la division Transport à Alstom en discussion

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Une vente de la division Transport à Alstom, une transaction dans laquelle la Caisse de dépôt deviendrait actionnaire de la société française, est en discussion au conseil d’administration de Bombardier mercredi, a signalé à La Presse une source proche du dossier.

Publié le 12 février 2020 à 9h55 Mis à jour à 12h03

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/202002/12/01-5260592-bombardier-la-vente-de-la-division-transport-a-alstom-en-discussion.php

Tommy Chouinard
La Presse

Jean-François Codère
La Presse

Cette information tend à confirmer une nouvelle diffusée par le réseau d’informations économiques français BFM : le conseil d’administration d’Alstom s’apprête à se réunir pour présenter une offre formelle pour l’acquisition de la division Transport de Bombardier, spécialisé dans le matériel ferroviaire. Cette offre donnerait une valeur d’un peu moins de 7 milliards de dollars américains à cette division. Toujours selon BFM, la part de Bombardier (70 %) serait achetée au comptant, tandis que celle de la Caisse (30 %) serait convertie en actions d’Alstom – dont la Caisse deviendrait ainsi l’un des plus importants actionnaires.

L’analyste Benoit Poirier, de Desjardins, juge « élevé » le prix annoncé d’environ 7 milliards de dollars. Il évalue lui-même la division Transport à 4,9 milliards, ce qui laisserait environ 2,5 milliards à Bombardier. La part de la Caisse est assortie d’un rendement annuel minimum garanti de 15 %, ce qui place sa valeur à environ 2,4 milliards à l’heure actuelle.

La partie ne serait pas gagnée, rappelle toutefois M. Poirier. « Nous prévoyons que la fusion ferait face à un examen important des autorités antimonopolistiques, ce qui pourrait en retarder la conclusion. L’Union européenne a rejeté l’an dernier un projet de fusion entre Alstom et Siemens, dont la taille est similaire à celle de Bombardier Transport.

Le conseil d’administration de Bombardier est réuni mercredi et doit procéder à une annonce de façon imminente. La société dévoilera ses résultats financiers jeudi.

L’annonce à venir sera “positive » pour le Québec, soutient le ministre de l’Économie, Pierre Fitzgibbon.

À son arrivée à la réunion du caucus caquiste mercredi, il a dit avoir « toute l’information » à ce sujet, mais qu’il n’est « pas à l’aise d’en parler » pour le moment. Il laisse à Bombardier le soin de faire l’annonce d’abord et fera une sortie par la suite. Il commentera jeudi.

« Je pense que c’est positif », s’est-il limité à dire. Au sujet du maintien des emplois, « on va avoir des bonnes nouvelles sur ça ».

La semaine dernière, le ministre Fitzgibbon disait que Bombardier ne peut conserver ses deux principales divisions en raison de sa lourde dette à rembourser (9 milliards US). Elle devra donc se départir soit des trains, soit des avions d’affaires, disait-il. Dans les derniers jours, on a fait état de discussions de Bombardier avec Alstom, à propos de la division Transport, et avec le géant américain Textron, en vue de la vente de sa division d’avions d’affaires.

Mais si l’on se fie aux déclarations du premier ministre François Legault, les avions d’affaires ne seraient pas concernés dans les discussions en cours. Il a précisé qu’il y a « deux débats actuellement », l’un concernant l’A220 et l’autre « sur la question de la division Transport ». La Caisse de dépôt a une participation de 30 % dans cette dernière.

Le gouvernement a déjà signifié qu’il n’a pas l’intention d’investir davantage dans le programme de l’A220 – connu précédemment sous le nom de C Series et sur lequel Airbus a mis la main. Il veut surtout protéger son investissement de 1 milliard US qui risque toutefois d’être dévalué, ou alors sa participation de 16 % risque d’être diluée. On peut s’attendre à ce que Airbus contribue au financement du programme. M.  Fitzgibbon n’a voulu ni confirmer ni infirmer que le gouvernement injecte des fonds dans Bombardier autrement.

- Avec la collaboration d’Hugo Pilon-Larose

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Bombardier cède sa participation dans Airbus Canada à Airbus et Québec

Bombardier vend sa participation résiduelle dans la Société en commandite Airbus Canada à Airbus SE et au gouvernement du Québec.

C’est ce que l’entreprise a annoncé par voi de communiqué peu après minuit. 

Ainsi, Airbus détient désormais 75 % d’Airbus Canada et le gouvernement du Québec voit sa participation portée à 25 %. Le gouvernement ne verse pas de contrepartie en espèces dans le cadre de la transaction. 

Les lots industriels de Bombardier concernant les avions A220 et A330 seront transférés à Airbus, via sa filiale Stelia Aéronautique, ce qui maintiendra 360 emplois au Québec, toujours selon le communiqué. 

Bombardier recevra un montant de 591 millions de dollars américains, déduction faite des ajustements, dont 531 millions de dollars américains reçus à la clôture, et se libérera à l’avenir de son obligation de financement à l’égard d’Airbus Canada. 

Plus de 3300 emplois Airbus sont assurés au Québec, précise le commun

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/202002/13/01-5260720-bombardier-cede-sa-participation-dans-airbus-canada-a-airbus-et-quebec.php

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Communiqué officiel de Bombardier:

Airbus, le gouvernement du Québec, par l’entremise de son mandataire Investissement Québec, et Bombardier ont convenu d’une nouvelle gouvernance autour du programme A220, selon laquelle Bombardier a transféré sa participation résiduelle dans la Société en commandite Airbus Canada à Airbus et au gouvernement du Québec. La transaction prend effet immédiatement.

Cet accord porte la participation dans Airbus Canada, responsable du programme A220, à 75 pour cent pour Airbus et 25 pour cent pour le gouvernement du Québec. La participation du gouvernement sera rachetée par Airbus en 2026 - soit trois ans plus tard qu’initialement prévu. Dans le cadre de cette transaction, Airbus, via sa filiale Stelia Aerospace, a également acquis les capacités de production des lots industriels A220 et A330 de Bombardier à Saint-Laurent, au Québec.

Ce nouvel accord souligne l’engagement d’Airbus et celui du gouvernement du Québec en faveur du programme A220 dans cette période de montée en cadence continue et d’accroissement de la demande client. Depuis qu’Airbus a acquis une participation majoritaire dans le programme A220, le 1er juillet 2018, le total des commandes nettes cumulées pour ces appareils a augmenté de 64 pour cent pour atteindre 658 appareils à la fin du mois de janvier 2020.

« Cet accord avec Bombardier et le gouvernement du Québec prouve notre soutien et notre engagement à l’égard du programme A220 et d’Airbus au Canada et renforce notre partenariat de confiance avec le gouvernement du Québec. C’est une bonne nouvelle pour nos clients et nos employés ainsi que pour l’industrie aéronautique et spatiale du Québec et du Canada », a déclaré Guillaume Faury, Chief Executive Officer d’Airbus. « Je tiens à remercier très sincèrement Bombardier pour l’étroite collaboration manifestée dans le cadre de notre partenariat. Nous sommes engagés dans ce formidable programme avion et partageons la même ambition que le gouvernement du Québec d’apporter une visibilité à long terme à l’industrie aéronautique et spatiale du Québec et du Canada », a ajouté Guillaume Faury.

« Je suis fier que notre gouvernement ait pu conclure cette entente. Nous avons réussi à protéger les emplois payants et l’expertise exceptionnelle développée au Québec, malgré les importants défis auxquels nous avons fait face dans ce dossier en arrivant en poste. Nous avons consolidé la position du gouvernement dans le partenariat, tout en respectant notre engagement de ne pas réinvestir dans le programme. En optant pour le renforcement de sa présence ici, Airbus fait le choix de privilégier nos talents et notre créativité. La décision d’un géant industriel comme Airbus de s’investir davantage au Québec contribuera à attirer d’autres donneurs d’ordres de calibre mondial », a soutenu François Legault, premier ministre du Québec.

« Cette entente représente une excellente nouvelle pour le Québec et son secteur aérospatial. Le partenariat du A220 est maintenant bien établi et poursuivra sa croissance au Québec. L’entente permettra à Bombardier d’améliorer sa situation financière et à Airbus d’accroître sa présence et son empreinte au Québec. C’est gagnant pour les partenaires privés et gagnant pour le secteur », a déclaré Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie et de l’Innovation.

Par cette transaction, Bombardier recevra d’Airbus une contrepartie qui s’élèvera, déduction faite d’ajustements, à 591 millions de dollars américains dont 531 millions de dollars américains reçus à la clôture et 60 millions de dollars américains à verser sur la période 2020-2021. Cet accord prévoit également l’annulation des bons de souscription de Bombardier détenus par Airbus.

« Cette transaction soutient nos efforts pour régler la question de notre structure de capital et finalise notre retrait stratégique du secteur aéronautique commercial », a déclaré Alain Bellemare, président et chef de la direction de Bombardier, Inc. « Nous sommes extrêmement fiers de nos nombreuses réalisations et de l’impact considérable que Bombardier a exercé sur l’aviation civile commerciale. Nous sommes également fiers de nous retirer de manière responsable, en préservant les emplois et en renforçant le secteur aéronautique au Québec et au Canada. Nous sommes convaincus que le programme A220 connaîtra un long parcours fructueux sous la gestion d’Airbus et du gouvernement du Québec. »

Le marché des monocouloirs est un levier de croissance clé, qui représente 70 pour cent de la demande mondiale future d’avions. Conçus pour couvrir le segment des avions de 100 à 150 sièges, les avions A220 viennent en parfait complément de l’actuelle famille de monocouloirs d’Airbus, qui couvre le segment supérieur du marché des monocouloirs (avions de 150 à 240 sièges).

Dans le cadre de cet accord, Airbus a également acquis la capacité de production des lots industriels des avions A220 et A330 de Bombardier à Saint-Laurent, au Québec. Ces activités de production seront assurées sur le site de Saint-Laurent par Stelia Aéronautique Saint Laurent Inc., une filiale nouvellement créée de Stelia Aerospace, qui est une filiale détenue à 100 pour cent par Airbus.

Stelia Aéronautique Saint Laurent poursuivra la production du poste de pilotage et du fuselage arrière des avions A220, ainsi que les lots industriels de l’avion A330, pendant une période de transition d’environ trois ans sur le site de Saint-Laurent. Les lots industriels de l’A220 seront ensuite transférés sur le site de Stelia Aerospace à Mirabel pour optimiser le flux logistique vers la chaîne d’assemblage final de l’A220 également située à Mirabel. Airbus prévoit d’offrir à tous les employés actuels de Bombardier travaillant sur les lots industriels d’avions A220 et A330 à Saint-Laurent des emplois durant la période de montée en cadence du programme A220, garantissant ainsi le maintien du savoir-faire ainsi que la poursuite et la croissance de l’activité au Québec.

À la fin du mois de janvier 2020, 107 avions A220 étaient exploités par sept clients sur quatre continents. Durant l’année 2019, Airbus a livré 48 A220, et la montée en cadence du programme se poursuit.

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Il y a 13 heures, acpnc a dit :

La partie ne serait pas gagnée, rappelle toutefois M. Poirier. « Nous prévoyons que la fusion ferait face à un examen important des autorités antimonopolistiques, ce qui pourrait en retarder la conclusion. L’Union européenne a rejeté l’an dernier un projet de fusion entre Alstom et Siemens, dont la taille est similaire à celle de Bombardier Transport.

(ci-dessus un extrait de l'article de LaPresse citée par acpnc)

C'est précisément l'obstacle potentiel que j'avais en tête depuis qu'on parle d'une acquisition de Bombardier Transport par Alstom.

Il y a toutefois un aspect qui a pû changer depuis la précédente décision de l'UE, soit une bien plus grande conscientisation du danger posé par la concurrence chinoise.  Les Européens en viennent peut-être à réaliser que la concurrence s'exerce sur l'échiquier mondial, et non pas strictement dans le cadre plus restreint des pays de l'UE.  Par ailleurs, il serait intéressant de glaner* des indices quant à la position qu'adoptera Siemens (et séparément, le gouvernement fédéral allemand) dans ce dossier.  Le fait que celle-ci ne se soit pas montrée intéressée à faire l'acquisition de Bombardier Transport ne signifie pas qu'elle soit indifférente au projet d'acquisition de BT par Alstom.  

* Ce que je m'efforcerai de faire, notamment en consultant divers médias allemands qui ont tendance à réfléter des orientations politiques diverses.  Ceux qui observent un tant soit peu la scène politique allemande savent que la situation présente est particulièrement tendue depuis la toute récente élection "régionale" dans le Land de Thuringe.  Le moindre détail compte.

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