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    Regarder vers devant nous fait du bien. En voici un premier exemple.

     

    Trouvé sur le blog de Marc Gauthier

    http://www.marcgauthier.com/blog_en/category/architecture/

     

     

     

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    In January of 2008, the History Channel proposed a contest to architects based in Washington, D.C., Atlanta and San Francisco. The purpose: to imagine what their metropolis might look like in 100 years. They had a week to come up with a concept and three hours to build a scale model.

     

    San Francisco firm IwamotoScott Architecture won the $10,000 grand prize for its entry. Their concept buried the network of infrastructures to create more surface for buildings. Furthermore, the city’s energy came from algae fields that generate hydrogen.

     

    The site of the tv channel has all the information on the contest. The winning firm posted their images on their Flickr account.

     

     

    http://www.history.com/minisites/cityofthefuture

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    La ville du futur

    Les villes de demain seront écologiques avant tout

     

     

    jungle-urbaine.jpg

     

     

    A quoi ressembleront les villes de demain ? Les films de science-fiction nous ont montré des villes énormes, sous terre ou dans le ciel, pleines de voitures volantes... Mais aujourd'hui, la tendance est à l’écologie. Le défi des architectes est alors clair : chercher à améliorer notre qualité de vie tout en réduisant la pollution et la consommation d'énergie.

     

    Des villes plus écologiques

    Les villes polluent, leurs populations augmentent et les ressources s'épuisent... Face à ces constats alarmants, les architectes doivent réinventer des villes différentes, centrées sur le respect de l'environnement.

     

    Des immeubles qui créent leur électricité

    Les évolutions technologiques sont alors utilisées pour permettre aux villes de créer leurs propres sources d'énergies : les immeubles ont des éoliennes intégrées et sont construits de manière à faire circuler le vent. Les panneaux solaires permettent de fabriquer de l'électricité, même par temps nuageux. L'eau est recyclée pour servir à plusieurs usages... Certains imaginent même des bâtiments qui changeraient de forme selon le temps qu'il fait !

     

    De l'agriculture urbaine

    D'autres architectes poussent l'idée encore plus loin et imaginent des villes avec des espaces verts comestibles : des jardins sur les toits, mais aussi des champs et même des fermes en pleine ville !

     

     

    tour-dubai.jpg

     

    La tour qui pivote à Dubaï et Moscou

    Chacun des 80 étages de cet immeuble pourra tourner sur lui-même et suivre la direction du soleil. C'est le vent qui permettra de produire cette énergie. Le bâtiment créera même suffisamment d'électricité pour en approvisionner dix autres. Les habitants eux, pourront profiter d'un panorama différent selon l'heure de la journée. Une vraie bonne idée pour l'écologie.

     

     

    Antismog à Paris

    Ce bâtiment aux allures futuristes sera à la fois dépolluant et auto-suffisant en électricité. Il se composera de deux éléments : une tour avec des éoliennes pour capter l'énergie du vent et une bulle avec des panneaux solaires.

     

    antismog.jpg

     

    De plus, ce deuxième bâtiment sera revêtu d'une matière qui permettra d'absorber et de détruire les particules polluantes de l'air parisien. Antismog sera également recouvert en partie de végétation pour recueillir l'eau de pluie.

     

    Dongtan, la ville écologique en Chine

    Ce sera la première ville entièrement écologique. Construite sur une île, elle sera auto-suffisante en énergie et recyclera 80% de ses déchets. Les bâtiments auront un maximum de 8 étages et les toits seront recouverts de végétation pour l'isolation. L'objectif est que les habitants (au nombre de 80 000 pour commencer) disposent de toutes les ressources sur place pour limiter les transports de marchandises.

     

    D'autres projets ne sont encore que des concepts... Alors, est-ce à cela que ressembleront les villes du futur ?

     

    Lilypad, la ville nénuphar

    Ce concept d'Ecopolis a été pensé pour accueillir les réfugiés climatiques qui pourraient voir disparaître leurs pays à cause de la montée des eaux. D'une capacité de 50 000 habitants, tous les déchets y seraient recyclés et la ville serait autonome en énergie.

     

    lilypad.jpg

     

    Jungle urbaine (Hong-Kong)

    Ce projet viserait à rétablir des espaces verts en ville, mais sous la forme de très grandes tours afin d'économiser de l’espace. Les nouveaux bâtiments devraient être capables de produire plus d'énergie qu'ils en consomment.

     

    jungle-urbaine-2.jpg

     

    http://www.masculin.com/high-tech/819-ville-futur/

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    the lilypad reminds me of something from Final Fantasy XI or something.

     

    I cant wait to see what cities will look like by 2020, 2050, 2100 and 2110 lol ... yes i plan to live until 2110 :P i'll be like 130 or something but its possible :)

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    :magicwand: Bien malin celui qui pourrait imaginer l'apparence des villes dans un siècle, quant à moi je doute qu'elles ressemblent au croquis présenté avec ces innombrables tours tordues et effilées qui n'ont à mon sens aucun charme. Du moins j'en serais fort déçu.

     

    Les critères de beauté évoluent avec le temps et il m'apparait peu probable qu'on en soit resté aux édifices en hauteur et aux densités de population de nos villes actuelles qui n'ont rien d'écologique. De toute façon si on continuait à surdévelopper aussi longtemps nos cités, on finirait par étouffer par la simple pression du nombre et de ses multiples conséquences négatives autant physiques que psychologiques.

     

    Avec les nouveaux moyens de transport collectif et individuel et les nouvelles communications nous n'aurons probablement plus besoin de vivre collés les uns sur les autres et je verrais davantage une dispersion de la population dans des zones vertes et davantage en harmonie avec la nature. Bien sûr les villes centrales existeraient encore et on aurait idéalement conservé leur coeur historique mais l'essentiel des habitants n'auraient plus la nécessité d'y vivre ayant l'option de partager un cadre naturel nettement plus invitant en petites communautés régionales dispersées sur tout le territoire.

     

    J'ose croire aussi que la surconsommation aura cessé et que le monde aura évolué vers une société de services qui fournira la presque totalité des emplois. Bien sûr impossible de prédire les technologies du futur, pas plus que les découvertes scientifiques qui auront certainement changé le monde plus que ce qu'elles ont fait depuis le dernier siècle car le développement dans ces domaines est devenu exponentiel.

     

    Vu sous cet angle, la futurologie devient alors une science totalement subjective qui ne peut capitaliser que sur le connu et une certaine extrapolation limitée dans l'imaginaire. Une autre inconnue majeure, l'avenir politique du monde. Une guerre technologique aurait le pouvoir d'éradiquer une bonne partie de l'humanité et de détruire l'ensemble de ses villes. Un monde non pacifique demeurerait alors une menace constante et pourrait entrainer la construction de villes inimaginables aujourd'hui.

     

    Le réchauffement climatique apporte aussi ses impondérabilités qui auront certainement une influence importante sur les villes de demain. Quand on regarde toutes ses variables et bien d'autres potentielles, on peut facilement comprendre que plus on avance dans l'avenir moins on est certain de ce qu'auront l'air les villes de demain. On ne voudra pas non plus perpétuer les erreurs d'aujourd'hui. On nage donc dans le pur hypothétique.

     

    Je voudrais bien être devin non pour être capable de prédire le futur mais pour simplement satisfaire ma propre curiosité personnelle, qui me dit tout de même que pour être vraiment réaliste, la vision des villes dans cent ans demeure un rêve qui appartient de plus en plus à ceux qui sont encore loin d'être nés.

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    March 2, 2009

     

    By ASHLEE VANCE

    REDMOND, Wash. — Meet Laura, the virtual personal assistant for those of us who cannot afford a human one.

     

     

     

    02compute.xlarge1.jpg

     

     

    Built by researchers at Microsoft, Laura appears as a talking head on a screen. You can speak to her and ask her to handle basic tasks like booking appointments for meetings or scheduling a flight.

     

    More compelling, however, is Laura’s ability to make sophisticated decisions about the people in front of her, judging things like their attire, whether they seem impatient, their importance and their preferred times for appointments.

     

    Instead of being a relatively dumb terminal, Laura represents a nuanced attempt to recreate the finer aspects of a relationship that can develop between an executive and an assistant over the course of many years.

     

    “What we’re after is common sense about etiquette and what people want,” said Eric Horvitz, a researcher at Microsoft who specializes in machine learning.

     

    Microsoft wants to put a Laura on the desk of every person who has ever dreamed of having a personal aide. Laura and other devices like her stand as Microsoft’s potential path for diversifying beyond the personal computer, sales of which are stagnating.

     

    Microsoft and its longtime partner, Intel, have accelerated their exploration of new computing fields. Last week at its headquarters near Seattle, Microsoft showed off a host of software systems built to power futuristic games, medical devices, teaching tools and even smart elevators. And this week, Intel, the world’s largest chip maker, will elaborate on plans to extend its low-power Atom chip from laptops to cars, robots and home security systems.

     

    Such a shift is only natural as people show that they want less, not more, from their computers.

     

    Workers and consumers have moved away from zippy desktops over the last few years, and now even their interest in expensive laptops has started to wane.

     

    The fastest-selling products in the PC market are netbooks, a flavor of cheap, compact laptops meant to handle the basic tasks like checking e-mail and perusing the Internet that dominate most people’s computing time.

     

    Of course, Microsoft and Intel will remain married to the PC market for the foreseeable future. The vast majority of Microsoft’s $60 billion and Intel’s $38 billion in annual revenue stems from the sale of traditional computer products — a franchise so powerful that it is known in the industry by the nickname Wintel.

     

    But with consumers no longer chasing after ever-faster PCs, the two companies have opted to redefine what the latest and greatest computer might look like.

     

    “The PC is still very healthy, but it is not showing the type of growth that comes through these exciting new areas,” said Patrick P. Gelsinger, a senior vice president at Intel.

     

    Whether the companies can really turn prototypes like Laura into real products remains to be seen. Microsoft and Intel both have a habit of talking up fantastic and ambitious visions of the future. In 2003, Microsoft famously predicted that we would soon all be wearing wristwatch computers known as Spot watches. Last year, the company quietly ended the project.

     

    This time around, however, the underlying silicon technology may have caught up to where both companies hope to take computing.

     

    For example, Laura requires a top-of-the-line chip with eight processor cores to handle all of the artificial intelligence and graphics work needed to give the system a somewhat lifelike appearance and function. Such a chip would normally sit inside a server in a company’s data center.

     

    Intel is working to bring similar levels of processing power down to tiny chips that can fit into just about any device. Craig Mundie, the chief research and strategy officer at Microsoft, expects to see computing systems that are about 50 to 100 times more powerful than today’s systems by 2013.

     

    Most important, the new chips will consume about the same power as current chips, making possible things like a virtual assistant with voice- and facial-recognition skills that are embedded into an office door.

     

    “We think that in five years’ time, people will be able to use computers to do things that today are just not accessible to them,” Mr. Mundie said during a speech last week. “You might find essentially a medical doctor in a box, so to speak, in the form of your computer that could help you with basic, nonacute care, medical problems that today you can get no medical support for.”

     

    With such technology in hand, Microsoft predicts a future filled with a vast array of devices much better equipped to deal with speech, artificial intelligence and the processing of huge databases.

     

    To that point, Microsoft has developed a projection system that lets people manipulate large video images with their hands. Using this technology, Microsoft’s researchers projected an image of the known universe onto a homemade cardboard dome and then pinched and pulled at the picture to expand the Milky Way or traverse Jupiter’s surface.

     

    “You could hook this up to your Xbox and have your own crazy gaming projection system,” said Andrew D. Wilson, a senior researcher at Microsoft. Teachers could use this type of technology as well to breathe new life into their subjects.

     

    The technology behind Laura could cross over into a variety of fields. Mr. Horvitz predicted an elevator that senses when you are in the midst of a conversation and keeps its doors open until you are done talking.

     

    As for Intel, the company has confirmed that more than 1,000 products are being designed for its coming Atom chip, which is aimed at nontraditional computing systems. Intel views this as a $10 billion potential market that will give rise to 15 billion brainy devices by 2015, Mr. Gelsinger said.

     

    The fortunes that Microsoft and Intel have amassed from their PC businesses afford them the rare opportunity to explore such a wide range of future products. And if their wildest dreams turn into realities, it is possible that consumers will one day associate the Wintel moniker more with brainy elevators than desktops.

     

     

    Copyright 2009 The New York Times Company

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    http://www.nytimes.com/2009/03/02/technology/business-computing/02compute.html?hp

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    :highfive: L'article précédent est une belle démonstration de ce que je viens de dire tout juste avant, non seulement les applications dans la recherche deviennent innombrables mais en plus les attentes des gens changent constamment ce qui influence tout autant la direction de nouvelles recherches et de nouveaux produits.

     

    Donc impossible de prédire dans cinq ans les nouveaux gadgets et les nouvelles méthodes de travail qui en seront directement influencées. Ni même les conséquences qui s'en suivront. Bien sûr les villes évoluent beaucoup plus lentement mais cent ans dans ce monde qui change à vitesse grand V devient alors presqu'une éternité.

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    • 3 months later...

    Ce projet c'est l'oeuvre d'un français si je souviens bien! C'est pas la première fois que je le vois d'ailleurs les plans sont déjà réalisé et ils en sont rendu à l'étape du financement mais depuis la crise finançière internationnal le projet à été remis à plus tard!

     

    Lilypad, la ville nénuphar

    Concept d'Ecopolis

     

    lilypad.jpg

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