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Qui est en meilleur position pour devenir maire de Montréal le 1er Novembre 2009  

54 membres ont voté

  1. 1. Qui est en meilleur position pour devenir maire de Montréal le 1er Novembre 2009

    • Gérald Tremblay - Union Montréal
      22
    • Richard Bergeron - Projet Montréal
      8
    • Louise Harel - Vision Montréal
      24


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C'était déjà un désastre pour Montréal d'avoir élu le Maire Tremblay aux dernières élections et d'avoir élu les libéraux en 2003 eux qui ont permis le démantèlement de Montréal alors s'il fallait répéter la même erreur je crois que Montréal ne pourrait pas s'en remettre.

 

Je suis conscient que M. Tremblay n'est pas responsable de tout les problèmes de Montréal (Récession, Gouvernement fédéral, provincial, ADM, CN etc...) mais il manque définitivement de leadership. trop de dossier dorment, trop de potentiel ne sont pas ou sont mal exploité. Enfin, il a sans aucun doute fait reculer Montréal sans dire un mot....ou presque. C'est triste.

 

Lorsque j'ai lu le sondage qui lui donnait une victoire facile.....je suis tombé sur le cul et me suis dit que je partirais encore 4 ans à visiter d'autres villes comme je l'ai fait depuis 2002......Alors l'entrée en scène de Mme Harel me redonne de l'espoir.....et si elle persévère je crois qu'elle pourrait mettre sur pied quelques chose de sérieux et potentiellement intéressant. Chose certain elle irait chercher l'est de Montréal....

 

Oui, il y a trop de petit maire à Montréal...c'est un cafouillis et un gachi total. Une dépense et d'argent et d'énergie.....je ne m'y comprend même plus dans cette administration.......Et je pense à Claude Dauphin....ce libéral, endormeur professionnel, issu de Lachine....mon quartier on je suis né et quartier qu'il n'a jamais réussi à faire décoller...au contraire, Lachine a connue une débandade incroyable sour son administration et celle de Dicaire....terrible. Et maintenant, il est un des principaux ''lieutenant'' de Montréal....incroyable. Qui aurait cru que l'incompétence, l'inertie et (je vais éviter d'aller trop loin) paierai si longtemps...

 

Bon bon....là je m'éloigne....

 

Mais Mme Harel...excellente nouvelle. Je verrais bien quelques personnalités rejoindre son parti. Des gens qui ont à cœur Montréal et qui veulent bouger.....déjà, bouger c'est quelque chose. Peut-être Gilbert Rozon, Alain Simard, Gilles Prouxl et quelques autres provenant du milieu anglophone de l'ouest de la ville et là je crois qu'on aurait un autre portrait dans les sondages.

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Membres prolifiques

:highfive: Pas de doute madame Harel apporterait du sang neuf à la ville de Montréal et ne ferait certainement pas pire que tous les Bourques et Tremblay de la planète. Ces gens ont gagné leur deuxième mandats par défaut parce qu'il n'y avait personne de valable pour les concurrencer.

 

Un vrai chef qui s'entoure de gens compétents et qui a des idées à défendre et un projet de société, voilà ce qu'il nous faut. Montréal a besoin de directives claires, d'une vision d'avenir qui correspond à des objectifs pragmatiques et aussi bien sûr d'une certaine dose de rêve.

 

On ne peut se contenter de simplement gérer ''la place'' il faut aussi avoir du leadership et vouloir entrainer la population à un certain dépassement. Là les superlatifs trouvent davantage leur terrain de prédilection: plus beau, plus propre, plus dynamique, plus sécuritaire, plus prospère, plus humain, plus vert, plus culturel, plus invitant, plus distinctif et surtout plus audacieux.

 

Montréal a un potentiel extraordinaire et a besoin de gens de la même trempe pour sortir de cette morosité qui l'a trop caractérisée depuis quelques décennies. Elle jouit paradoxalement d'une meilleure image à l'étranger que localement, une aberration qui doit être corrigée et je crois que madame Harel a ce potentiel pour faire toute la différence.

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Élections municipales

De gros noms à la course à la mairie de la métropole?

Mise à jour : 26/02/2009 20h40

Yves Poirier.

 

À huit mois des élections municipales au Québec, la fébrilité commence déjà à se faire sentir.

 

Officiellement, les trois candidats dans la course à la mairie sont Gérald Tremblay, Richard Bergeron et Benoît Labonté.

 

Mais la machine à rumeurs fonctionne à plein régime. Dans les corridors de l'hôtel-de-ville, d'autres noms circulent: Pierre Marc Johnson, Liza Frulla et Louise Harel.

 

Notre journaliste a fait le tour des candidats potentiels à la mairie de Montréal pour constater ce dont il en retourne.

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Le lundi 2 mars 2009

 

Louise Harel à Vision Montréal?

Elle participera au congrès de la formation

 

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Jean Nicolas Aubé - 24 heures

 

Même si Louise Harel a toujours nié qu’elle ferait le saut en

politique municipale, elle participera au huitième congrès du parti

Vision Montréal en avril dans la Métropole.

 

Preuve que l’on peut sortir un politicien de la politique mais pas

sortir la politique d’un politicien, c’est à titre de conférencière

invitée et non de membre du parti de Benoît Labonté que l’ancienne

présidente de l’Assemblée Nationale fera acte de présence le 26 avril

prochain.

 

Avec cette conférence, Louise Harel serait-elle entrain de donner son

appui au parti d’opposition dans la lutte pour l’obtention du pouvoir

lors des prochaines élections à Montréal? Impossible de savoir.

 

Même si le sujet de la conférence de Mme Harel n’est pas connu pour

l’instant, le chef de Vision Montréal se réjouit sans surprise de la

présence de la politicienne «aguerrie» au congrès de sa formation

affirmant que cette dernière avait «à coeur l'avenir de Montréal».

 

Par voie de communiqué, Benoît Labonté a affirmé lundi que la très

grande expérience de la vie municipale (de Louise Harel), sa profonde

connaissance des enjeux auxquels Montréal est confronté, ainsi que sa

vision de l'avenir de la métropole, (…), sont autant d'éléments qui

nourriront les réflexions de nos militants».

 

Six grands thèmes, dont l’identité n’est toujours pas connue, seront

abordés lors du prochain congrès de Vision Montréal le 26 avril.

 

Plus de détails à venir…

 

Source:

http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/

2009/03/20090302-112116.html

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Louise Harel: «Montréal est une ville à deux vitesses»

 

Agence QMI

03/03/2009 16h14 - Mise à jour 03/03/2009 16h36

 

Structure des arrondissements - Louise Harel: «Montréal est une ville à deux vitesses»

Louise Harel.

© Agence QMI

 

À l’approche de la campagne électorale montréalaise de 2009, Louise Harel souhaite «secouer le milieu politique de la Métropole» et affirme que la structure politique des arrondissements est «inefficace» et «incohérente».

 

Celle qui a été ministre québécoise des Affaires municipales de 1998 à 2002 soutient que la cohabitation des arrondissements et de la ville centre est néfaste pour Montréal.

 

«Actuellement, les 19 petits royaumes, formés au fil des années, sont fermés les uns aux autres. On se retrouve avec une ville à deux vitesses, où certains arrondissements ont de meilleurs services que d’autres», affirme Louise Harel.

La bienvenue à Vision Montréal

 

« Nous sommes en face d’une confédération d’arrondissements et non d’une ville. Il faut blâmer la loi adoptée sous le bâillon par Jean Charest en 2003, à l’origine de cette désorganisation», soutient celle qui a été députée à l’Assemblée nationale pendant 27 ans.

 

L’ancienne ministre doit défendre ce point de vue dans une conférence qu’elle donnera le 26 avril prochain, à l’occasion du huitième congrès du de Vision Montréal, la formation de Benoît Labonté. Hier, ce dernier disait que Louise Harel « serait la bienvenue » au sein de son parti. Qu’en pense la principale intéressée ?

 

Pas de politique municipale

 

«Si j’y participe, c’est que j’ai le goût de secouer le milieu politique de la Métropole. J’aime profondément Montréal, et j’ai toujours été convaincue que l’avenir du Québec s’y jouait», raconte Louise Harel.

 

«Je n’ai pas l’intention de me présenter en politique municipale. Il ne faut pas me voir des liens avec Vision Montréal puisque si les autres partis me le demandaient, je n’aurais aucun problème à leur présenter une telle conférence», ajoute-t-elle avec le sourire.

 

L’ancienne députée d’Hochelaga-Maisonneuve n’a pu s’empêcher de reconnaître, toutefois, que ses idées «correspondent à des inquiétudes exprimées par Vision Montréal».

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  • 2 semaines plus tard...

Je ne sais pas si Mme Harel désire secrètement se présenter à la mairie mais chose certaine elle brasse un peu la cage et j'espère qu'elle continuera de la faire car on a besoin d'action à Montréal et ce n'est pas avec l'administration actuelle que cela va avoir lieu.

 

Pour l'instant les ''candidats'' les plus intéressants sont de l'extérieur et n'ose officiellement de présenter ce qui est un peu dommage pour Montréal bien qu'il soit un peu tot.

 

Sauf M. Maciocia avec son idée d'éliminer des petits maires et des arrondissements mais très rapidement il s'est fait rabroué par son patron M. Tremblay....Ce pauvre M. Tremblay qui dormait tellement bien n'a surement pas aimer que quelqu'un de son équipe le réveille et lui demande de bouger !!

 

Dans une année électorale on s'attendrait à ce que le maire en lace soit partout, qu'il lance des projets, qu'il pousse pour la construction et la finition de certains autres, qu'il donne de l'espoir etc... Mais non.

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Depuis quelques jours j'entends tellement de monde se ''plaindre'' du manque de leadership et de l'inaction du Maire Tremblay que je suis en train de me demander si Montréal est en train de perdre beaucoup de terrain par rapport à plusieurs autres villes du monde.

 

C'est d'ailleurs ce que disait Vincent Marrisal à l'émission Bazzo de ce soir. Idem pour Christian Dufour à la même émission et pour Dutrisac plus tôt aujourd'hui et presque à chaque jour. On sait que Mme Harel tente de brasser la cage et je réalise que plusieurs personnes de ce forum en ont aussi contre le maire actuel.

 

Je ne sais pas si on peut tenir M. Tremblay responsable de tout les problèmes de Montréal, je ne crois pas, mais on peut le tenir responsable le manque de leadership et le manque d'action. Au point de vue des idées et des projets ce n'est pas si mal. Ça pourrait être mieux, aucun doute, mais il y a trop d'attentisme, trop de parole, trop d'encombrement et définitivement pas assez de travail sur le terrain.

 

Comme dirait Josée Legault: Y-a-t-il un Leader dans la place !

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Quand Louise Harel affirmait que « Montréal est complètement désorganisée », il fallait lire le sous-entendu: « je vais réorganiser Montréal ». L’ancienne député péquiste s’est retirée de la politique provinciale en novembre pour mieux se lancer en politique municipale. Son plan de match: fusionner Projet Montréal et Vision Montréal afin de devenir la mairesse de Montréal.

 

Selon mes sources, pas une journée ne se passe sans que Richard Bergeron, chef de Projet Montréal, ne reçoive son lot d’appels de membres du réseau Harel ou de diverses personnalités qu’elle a acquises à sa cause. Le propos est toujours le même: « démissionne Richard, laisse la fusion se faire ». Harel tisse son réseau dans l’ombre et il ne lui manque que la pièce maîtresse - la reddition de Bergeron - pour arriver, triomphante, à la tête d’un Vision Montréal qu’elle a contribué à désorganiser.

 

En effet, si on blâme beaucoup le maire Labonté pour son manque de leadership, force est de constaté que plusieurs des membres démissionnaires de la dernière année attendent beaucoup de Harel. Qu’on pense simplement à Claire St-Arnaud, ex-conseillère municipale de Maisonneuve-Longue-Pointe et amie de Louise Harel depuis 25 ans. Ou Robert Laramée, qui avait été battu par Benoît Labonté par 839 voix en 2005 (alors que ce dernier était dans le Union Montréal de Gérald Tremblay). Ou Christine Hernandez, ex-présidente de Vision Montréal dans Outremont, qui a fini troisième derrière Union Montréal et Projet Montréal et qui aurait gagné advenant une fusion avec ce dernier parti.

 

louise-harel-vision-montreal-projet-montreal

 

Les sondages officiels sont catastrophiques pour Vision Montréal: avant même les dernières démissions, le parti obtenait un maigre 26% des intentions de vote, contre 58% pour Union Montéal et 16% pour Projet Montréal.1 Pire: même dans un arrondissement très francophone comme Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, Gérald Tremblay obtient 67,7 % des intentions de vote, contre 14,9 % pour Benoit Labonté et 14,8 % pour Richard Bergeron2. Des sondages internes produits par le réseau Harel la place pourtant à près de 33% des intentions de vote dans toute la ville et elle espère qu’en prenant le contrôle de Projet Montréal elle réussirait à se hisser devant Gérald Tremblay, qui semble surtout jouir de l’impopularité de ses adversaires. « Harel contrôle déjà Vision Montréal. Labonté est en phase terminale. Elle n’attend que le bon moment pour prendre officiellement le contrôle du parti », m’explique un membre influent de Projet Montréal.

 

Le problème n’est pas nouveau: au niveau provincial, le Parti Québécois a perdu plusieurs comtés à cause de la division du vote causée par la présence de Québec Solidaire. Les profondes différences idéologiques entre les deux partis ont empêché toute fusion. Dans la situation actuelle, il y a certes des différences majeures au niveau des appuis (QS et le NPD appuient Projet Montréal alors que le PQ est divisé entre le réseau Harel pour Vision Montéal et le réseau de André Lavallée, maire de Rosemont, pour Union Montréal) mais Projet Montréal n’est pas encore largement connu et identifié idéologiquement. En clair, elle espère offrir un poste de prestige à Bergeron et réorienter ce qui resterait des idées du parti après une fusion qui se ferait selon ses convictions. Et elle croit que cela se ferait sans trop de grogne, étant donné que Projet Montréal est relativement nouveau sur la scène municipale.

 

Ceci dit, il existe une faille majeure dans la stratégie de Louise Harel, outre le désir de Projet Montréal de conserver son identité: elle est trop identifiée au Parti Québécois. Dans une région montréalaise où le PQ termine souvent troisième dans les intentions de vote, quelle impact aurait-elle à la tête d’un nouveau parti fusionné? Et comment réagiraient les progressistes reliés au NPD et à Québec Solidaire face à elle? Elle gagnerait certainement l’est de la ville, mais le Plateau, et l’ouest?

 

Voilà des questions auxquelles elle devra répondre si elle ne veut pas se planter dans son nouveau jeu des fusions. Car Richard Bergeron a beau être à la tête d’un petit parti peu connu, il s’agit toutefois d’un parti en pleine croissance et qui augmente constamment sa popularité.

 

Si Mme. Harel est vraiment intéressée par le bien-être de la ville de Montréal, ne devrait-elle pas se joindre à Projet Montréal, appuyant Richard Bergeron de la force de son expérience, au lieu de grenouiller et de chercher à torpiller une des plus belles initiatives citoyennes montréalaises depuis des années? Montréal ne mérite-t-elle pas mieux à sa tête qu’une ex-ministre ayant causé tout le cafouillage actuel avec ses fusions forcées?

 

http://lelectronlibre.net/2009/03/16/louise-harel-vision-montreal-projet-montreal

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