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il y a une heure, Corbeau a dit :

Si c'était à moi, il y aura eu un REM sur Pie-IX et un autre sur Henri-Bourassa.

Mais je préfère avoir une ligne de REM que rien.

Henri-bourassa aura une piste cyclable à la place. 

Les cyclistes pourront par ailleurs prendre le pont Leblanc et un entré sera specialement amenagé pour les cyclistes afin quils prennent la A-440

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il y a 34 minutes, tokywan a dit :

Henri-bourassa aura une piste cyclable à la place. 

Les cyclistes pourront par ailleurs prendre le pont Leblanc et un entré sera specialement amenagé pour les cyclistes afin quils prennent la A-440

En fait, ça fait plus de 35 ans qu'ils parlent d'installer une façon pour les cyclistes et les piétons d'utiliser le pont Papineau.  Ils parlaient d'une passerelle qui pourrait être installée à côté du pont "lors des prochaines rénovations"...  Ça, ce ne serait pas une mauvaise idée si on ajoute cette voie pour les cyclistes et les piétons, pas si on enlève de la capacité pour les voitures.

Et cette voie pourrait être relié à un REV sur Gouin (pas sur Henri-Bourassa).

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il y a 56 minutes, ToxiK a dit :

En fait, ça fait plus de 35 ans qu'ils parlent d'installer une façon pour les cyclistes et les piétons d'utiliser le pont Papineau.  Ils parlaient d'une passerelle qui pourrait être installée à côté du pont "lors des prochaines rénovations"...  Ça, ce ne serait pas une mauvaise idée si on ajoute cette voie pour les cyclistes et les piétons, pas si on enlève de la capacité pour les voitures.

Et cette voie pourrait être relié à un REV sur Gouin (pas sur Henri-Bourassa).

Les axes achalandés comme Henri-Bourassa doivent avoir une voie réservée pour bus plutôt qu'une piste cyclable.

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il y a 15 minutes, Corbeau a dit :

Les axes achalandés comme Henri-Bourassa doivent avoir une voie réservée pour bus plutôt qu'une piste cyclable.

 Tu as parfaitement raison mais tu as oublié un petit détail...

 

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Il y a 16 heures, ToxiK a dit :

En fait, ça fait plus de 35 ans qu'ils parlent d'installer une façon pour les cyclistes et les piétons d'utiliser le pont Papineau.  Ils parlaient d'une passerelle qui pourrait être installée à côté du pont "lors des prochaines rénovations"...  Ça, ce ne serait pas une mauvaise idée si on ajoute cette voie pour les cyclistes et les piétons, pas si on enlève de la capacité pour les voitures.

Et cette voie pourrait être relié à un REV sur Gouin (pas sur Henri-Bourassa).

Quand je suis déménagé à Laval, ce fut l'une de mes premières déceptions de réaliser que j'aurais à rouler jusqu'au pont Pie-IX ou Viau pour traverser. Beaucoup de kilomètres à vélo pour rien qui nous font parfois opter pour l'auto ou le bus-métro. Incompréhensible qu'ils n'aient pas ajouté ça dans les plans avant la construction du pont -et ça aurait dû être ajouté depuis, compte tenu de la présence du parc de l'île-de-la-visitation dans le secteur.

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SRB Pie-IX Le symbole de notre inaction

 

PHOTO JOSIE DESMARAIS, ARCHIVES LA PRESSE

Le nouveau SRB Pie-IX, dont la mise en service graduelle se fera à compter du 7 novembre

Nathalie Collard La Presse

Dix ministres des transports, 7 maires de Montréal, 5 maires de Laval… Non, il ne s’agit pas d’une nouvelle version de la comptine de la Souris verte. C’est le nombre d’élus au pouvoir depuis que le SRB Pie-IX a été inscrit dans le plan de transport de la Ville de Montréal… en 2007. On ne refera pas la genèse de ce service rapide par bus qui accueille (enfin !) ses premiers passagers ce lundi, mais rappelons seulement qu’on discute d’un moyen de transport collectif structurant sur le boulevard Pie-IX depuis… l’ère Drapeau.

Publié à 5h00

https://www.lapresse.ca/debats/editoriaux/2022-11-07/srb-pie-ix/le-symbole-de-notre-inaction.php

Oui, on peut se réjouir de l’entrée en fonction de ce service rapide par bus qui reliera Laval au métro Pie-IX. Mais disons-le, le SRB Pie-IX est le symbole de tout ce qui ne tourne pas rond dans la planification et le développement des transports collectifs au Québec, et plus précisément dans le Grand Montréal : manque de planification, retard, sous-investissement (le gouvernement a toujours priorisé les infrastructures routières aux infrastructures de transport collectif), déficits d’entretien, problèmes de gouvernance… on commence à connaître le diagnostic. Mais qu’est-ce qu’on attend pour administrer le remède ?

Nos besoins en transport collectif sont plus criants que jamais, des besoins amplifiés par l’urgence climatique et la nécessité de réduire notre dépendance à l’auto.

Or, non seulement on ne développe pas les nouveaux projets assez vite, mais on n’arrive même pas à rattraper le temps perdu, que plusieurs évaluent à plus ou moins 40 ans. En d’autres mots, on finance aujourd’hui des projets qui auraient dû voir le jour hier. Un retard d’autant plus difficile à rattraper que même si on faisait pleuvoir les dizaines de milliards de dollars requis, il n’y aurait pas assez de main-d’œuvre pour mener plusieurs grands chantiers de front. Un problème qui aurait pu être évité si on avait mieux planifié les projets comme le font plusieurs villes canadiennes, Ottawa et Vancouver par exemple. (Seule exception : le REM. Un projet développé par une filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec qui a bénéficié de pouvoirs exceptionnels pour développer son projet.)

Le prolongement de la ligne bleue l’illustre bien : on en est seulement à l’étape des travaux préliminaires alors qu’on parle de ce prolongement depuis 35 ans (!). On devrait déjà plancher sur le prolongement de la ligne orange et de la ligne jaune. Autre exemple : on étudie encore les options pour un transport structurant vers le sud-ouest et vers l’est de Montréal, mais entre-temps, on aurait pu développer d’autres lignes d’autobus rapides pour desservir ces enclaves.

Le problème, c’est qu’on semble incapable de mener plusieurs projets de front.

Faudra-t-il attendre l’inauguration d’une nouvelle station de la ligne bleue dans sept ans avant de débuter un autre grand projet ?

L’urgence climatique n’est pas la seule raison qui devrait nous convaincre d’appuyer sur l’accélérateur. Dans la grande région métropolitaine, les 25 prochaines années seront marquées par trois chantiers de réfection majeurs : le pont-tunnel Louis-Hippolyte La Fontaine, l’autoroute Ville-Marie et l’autoroute Métropolitaine (la 40).

Des travaux, précisons-le, financés à 100 % par Québec, qui ne finance que 85 % des travaux de réfection des infrastructures de transport collectif. Voilà une aberration à corriger rapidement pour qu’on puisse rajeunir notre métro qui, faut-il le rappeler, a le même âge que le pont-tunnel et la métropolitaine : 50 ans. Il a besoin d’une sérieuse mise à niveau lui aussi.

À l’heure qu’il est, nos spécialistes de la planification des transports collectifs et de la mobilité devraient donc être en train de s’assurer qu’il y a suffisamment d’options dans la région métropolitaine pour se déplacer rapidement et confortablement au cours des 25 prochaines années. En même temps, ils devraient planifier les grands projets de transport des 50 prochaines années. Est-ce trop demander ?

Cette incapacité à marcher et mâcher de la gomme en même temps met en lumière les deux points faibles que sont la gouvernance et le financement des transports publics au Québec.

On tourne autour du pot depuis trop longtemps : Montréal devra se décider à utiliser les pouvoirs de taxation à sa disposition pour créer un fonds dédié au financement des grands projets de transports collectifs. L’inertie dans ce dossier nous fait mal. Il faudra également s’attaquer au tabou de la politisation de nos transports collectifs. Le développement d’un axe de transport doit reposer sur des données probantes, pas sur la couleur politique ou l’humeur changeante des gouvernements.

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Il y a 7 heures, acpnc a dit :

SRB Pie-IX Le symbole de notre inaction

 

PHOTO JOSIE DESMARAIS, ARCHIVES LA PRESSE

Le nouveau SRB Pie-IX, dont la mise en service graduelle se fera à compter du 7 novembre

Nathalie Collard La Presse

Dix ministres des transports, 7 maires de Montréal, 5 maires de Laval… Non, il ne s’agit pas d’une nouvelle version de la comptine de la Souris verte. C’est le nombre d’élus au pouvoir depuis que le SRB Pie-IX a été inscrit dans le plan de transport de la Ville de Montréal… en 2007. On ne refera pas la genèse de ce service rapide par bus qui accueille (enfin !) ses premiers passagers ce lundi, mais rappelons seulement qu’on discute d’un moyen de transport collectif structurant sur le boulevard Pie-IX depuis… l’ère Drapeau.

Publié à 5h00

https://www.lapresse.ca/debats/editoriaux/2022-11-07/srb-pie-ix/le-symbole-de-notre-inaction.php

Oui, on peut se réjouir de l’entrée en fonction de ce service rapide par bus qui reliera Laval au métro Pie-IX. Mais disons-le, le SRB Pie-IX est le symbole de tout ce qui ne tourne pas rond dans la planification et le développement des transports collectifs au Québec, et plus précisément dans le Grand Montréal : manque de planification, retard, sous-investissement (le gouvernement a toujours priorisé les infrastructures routières aux infrastructures de transport collectif), déficits d’entretien, problèmes de gouvernance… on commence à connaître le diagnostic. Mais qu’est-ce qu’on attend pour administrer le remède ?

Nos besoins en transport collectif sont plus criants que jamais, des besoins amplifiés par l’urgence climatique et la nécessité de réduire notre dépendance à l’auto.

Or, non seulement on ne développe pas les nouveaux projets assez vite, mais on n’arrive même pas à rattraper le temps perdu, que plusieurs évaluent à plus ou moins 40 ans. En d’autres mots, on finance aujourd’hui des projets qui auraient dû voir le jour hier. Un retard d’autant plus difficile à rattraper que même si on faisait pleuvoir les dizaines de milliards de dollars requis, il n’y aurait pas assez de main-d’œuvre pour mener plusieurs grands chantiers de front. Un problème qui aurait pu être évité si on avait mieux planifié les projets comme le font plusieurs villes canadiennes, Ottawa et Vancouver par exemple. (Seule exception : le REM. Un projet développé par une filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec qui a bénéficié de pouvoirs exceptionnels pour développer son projet.)

Le prolongement de la ligne bleue l’illustre bien : on en est seulement à l’étape des travaux préliminaires alors qu’on parle de ce prolongement depuis 35 ans (!). On devrait déjà plancher sur le prolongement de la ligne orange et de la ligne jaune. Autre exemple : on étudie encore les options pour un transport structurant vers le sud-ouest et vers l’est de Montréal, mais entre-temps, on aurait pu développer d’autres lignes d’autobus rapides pour desservir ces enclaves.

Le problème, c’est qu’on semble incapable de mener plusieurs projets de front.

Faudra-t-il attendre l’inauguration d’une nouvelle station de la ligne bleue dans sept ans avant de débuter un autre grand projet ?

L’urgence climatique n’est pas la seule raison qui devrait nous convaincre d’appuyer sur l’accélérateur. Dans la grande région métropolitaine, les 25 prochaines années seront marquées par trois chantiers de réfection majeurs : le pont-tunnel Louis-Hippolyte La Fontaine, l’autoroute Ville-Marie et l’autoroute Métropolitaine (la 40).

Des travaux, précisons-le, financés à 100 % par Québec, qui ne finance que 85 % des travaux de réfection des infrastructures de transport collectif. Voilà une aberration à corriger rapidement pour qu’on puisse rajeunir notre métro qui, faut-il le rappeler, a le même âge que le pont-tunnel et la métropolitaine : 50 ans. Il a besoin d’une sérieuse mise à niveau lui aussi.

À l’heure qu’il est, nos spécialistes de la planification des transports collectifs et de la mobilité devraient donc être en train de s’assurer qu’il y a suffisamment d’options dans la région métropolitaine pour se déplacer rapidement et confortablement au cours des 25 prochaines années. En même temps, ils devraient planifier les grands projets de transport des 50 prochaines années. Est-ce trop demander ?

Cette incapacité à marcher et mâcher de la gomme en même temps met en lumière les deux points faibles que sont la gouvernance et le financement des transports publics au Québec.

On tourne autour du pot depuis trop longtemps : Montréal devra se décider à utiliser les pouvoirs de taxation à sa disposition pour créer un fonds dédié au financement des grands projets de transports collectifs. L’inertie dans ce dossier nous fait mal. Il faudra également s’attaquer au tabou de la politisation de nos transports collectifs. Le développement d’un axe de transport doit reposer sur des données probantes, pas sur la couleur politique ou l’humeur changeante des gouvernements.

C'est entièrement la faute du provincial. Ils s'en foutent des TeCs et on ne peux rien faire sans leur feu vert, donc on se met à attendre et attendre et Québec en profite pour ne pas trop investir dans les TeCs et jeter la responsabilité au prochain gouvernement.

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