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Le MBA de HEC Montréal remarqué par Forbes

 

 

27 août 2007 - 12h11

LaPresseAffaires.com

Jean-François Cloutier

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Photo HEC

 

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Pour la troisième fois consécutive, HEC Montréal figure dans le palmarès biennal des meilleurs MBA hors États-Unis du magazine financier Forbes à paraître cette semaine.

 

var nsteinWords;nsteinWords = unescape('');L’école de commerce montréalaise arrive dernière, au 11e rang sur 11, dans une liste des meilleurs MBA d’un an qui inclut des écoles prestigieuses comme Cambridge, Oxford et l’Insead.

 

Avec HEC Montréal, l’Université Queen’s de Kingston est la seule école canadienne à figurer au classement, une place plus haut que HEC à la 10e place.

 

Le classement de Forbes est basé sur le retour sur investissement obtenu par un étudiant après avoir complété son MBA. Sur la base de questionnaires envoyés à des finissants de la promotion 2002, le magazine a calculé qu’en moyenne l’étudiant inscrit aux HEC faisait 34 000$ par année avant de commencer son programme, et 86 000$ trois ans après l’avoir complété.

 

C’est l’IMD, de Lausanne en Suisse, qui se situe au premier rang. Forbes a calculé que le salaire d’un étudiant «pré-MBA» s’élevait à 70 000$ et passait à 183 000$ deux ans après avoir eu son diplôme.

 

18 500 diplômés en 2002 de 102 établissements à travers le monde ont été sondés par la revue.

 

Le directeur du MBA pour cadres de l’UQAM, Benoît Bazoge, se défend d’offrir un moins bon MBA qu’HEC. Il explique l’absence de son établissement du classement par le fait que le programme offert est exclusivement en français et est sensiblement différent. L’UQAM offre un MBA dit «executive» qui s’adresse à une clientèle plus âgée qui effectue le programme à temps partiel.

 

Récemment, HEC Montréal s’était aussi classée dans une liste des meilleurs MBA établie par Business Week, où l’école arrivait cette fois au 20e rang sur 20 des meilleures écoles hors États-Unis.

 

Âgé en moyenne de 30 ans, le candidat au MBA chez HEC est généralement issu des filières de l’administration, du génie ou des sciences, et possède une expérience de six ans sur le marché du travail.

 

Kathleen Grant, directrice des communications et du recrutement chez HEC, fait valoir que le retour sur investissement est encore plus grand pour un étudiant québécois. S’il en coûte 21 000$ par année pour un étudiant étranger pour s’inscrire au MBA, les droits de scolarité ne s’élèvent qu’à 5000$ environ pour celui-ci.

 

Le programme de MBA de HEC est offert en français, en anglais ou dans les deux langues.

 

>>> Voyez le classement de Forbes.

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HEC Montréal et McGill remarquées par Forbes

27 août 2007 - 13h01

 

LaPresseAffaires.com

 

Jean-François Cloutier

 

Deux écoles de commerce québécoises sont remarquées par le magazine financier Forbes dans son classement à paraître des meilleurs MBA hors États-Unis.

 

HEC Montréal arrive dernière, au 11e rang sur 11, dans le palmarès des meilleurs programmes d’un an, tandis que la faculté de gestion Desautels de l’Université McGill se classe elle aussi à la 11e place pour les programmes de deux ans.

 

Le classement de Forbes est basé sur le retour sur investissement obtenu par un étudiant après avoir complété son MBA. Sur la base de questionnaires envoyés à des finissants de la promotion 2002, le magazine a calculé qu’en moyenne l’étudiant inscrit aux HEC faisait 34 000$ par année avant de commencer son programme, et 86 000$ trois ans après l’avoir complété.

 

À McGill, un étudiant gagnait en moyenne 36 000$ avant d’entamer son MBA, et 114 000$ quatre ans après l’avoir complété.

 

York (Schulich), UBC (Sauder) et Queen’s figurent également parmi les établissements canadiens dans le classement de Forbes.

 

À l’UQAM, le directeur du MBA pour cadres de l’UQAM, Benoît Bazoge, se défend d’offrir un moins bon MBA qu’HEC et McGill. Il explique l’absence de son établissement du classement par le fait que le programme offert est exclusivement en français et est sensiblement différent.

 

L’UQAM offre un MBA dit «executive» qui s’adresse à une clientèle plus âgée qui effectue le programme à temps partiel. «Nos étudiants ont en moyenne 38 ans et font de 80 000 à 100 000$ quand ils s’inscrivent. C'est pas le même produit», explique-t-il.

 

Geoffrey King, porte-parole de la faculté de gestion de McGill, juge la performance des universités québécoises remarquable dans la mesure où celles-ci sont désavantagées par le fait que les salaires versées à Montréal sont inférieurs de beaucoup à ceux versés à Londres, Zurich ou même Toronto ou Calgary.

 

Kathleen Grant, directrice des communications et du recrutement chez HEC, fait elle valoir que le retour sur investissement est encore sensiblement plus grand pour un étudiant québécois. S’il en coûte 21 000$ par année pour un étudiant étranger pour s’inscrire au MBA, les droits de scolarité ne s’élèvent qu’à 5000$ environ pour celui-ci aux HEC, ce dont ne tient pas compte le classement.

 

C’est l’IMD, de Lausanne en Suisse, qui se situe au premier rang des programmes d’un an. Forbes a calculé que le salaire d’un étudiant «pré-MBA» s’élevait à 70 000$ et passait à 183 000$ deux ans après qu'il a eu son diplôme.

 

Pour les programmes de deux ans, l’IESE de Barcelone remporte la palme, avec un salaire moyen «pré-MBA» de 34 000$ qui passe à 170 000$ trois ans et demi après la fin des études.

 

Le MBA, ou maîtrise en administration, s’adresse à des bacheliers de tous horizons détenteurs d’une expérience de travail significative dans leur domaine.

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un des facteurs qui explique la hausse de salaire c'est que bien des gens qui font des MBA n'ont pas des etudes en commerce avant, mais bien des ingenieurs, medecins... donc avec un MBA ils se ramassent dans des postes de direction, qui sont beaucoup plus payant

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je parlais en général, les salaires sont généralement pas mal plus bas ici.

 

Le coût de la vie aussi est plus bas.

 

Il faut aussi dire qu'au Québec, on n'aime pas les riches. J'ai écouté des discours de Québec Solidaire et j'avais l'impression que pour eux, ceux qui ont de l'argent ne sont que des guichets automatiques pour payer pour les plus pauvres. Je réalise que ce n'est pas tout le monde qui pense comme ça mais ça doit y être pour quelque chose.

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Le coût de la vie aussi est plus bas.

 

Il faut aussi dire qu'au Québec, on n'aime pas les riches. J'ai écouté des discours de Québec Solidaire et j'avais l'impression que pour eux, ceux qui ont de l'argent ne sont que des guichets automatiques pour payer pour les plus pauvres. Je réalise que ce n'est pas tout le monde qui pense comme ça mais ça doit y être pour quelque chose.

 

Moi ausii j'ai l'impression qu'au Québec, ce n'est toujours pas bien vu d'avoir de l'argent. Il faut sérieusement qu'on se débarasse de cette maudite mentalité de colonisé!:(

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On est né pour un petit pain selon ce que disent plusieurs de ces groupes socialistes...

 

Pour redistribuer de la richesse, ca en prend, pour en avoir, il faut l'encourager. Malheureusement, on ne l'encourage pas assez, pas par manque de programmes d'entreprenariat necessairement, mais par l'attitude de la population en general, qui pense que toute personne qui a reussi l'a necessairemetn fait au detriment de quelqu'un d'autre

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On est né pour un petit pain selon ce que disent plusieurs de ces groupes socialistes...

 

Pour redistribuer de la richesse, ca en prend, pour en avoir, il faut l'encourager. Malheureusement, on ne l'encourage pas assez, pas par manque de programmes d'entreprenariat necessairement, mais par l'attitude de la population en general, qui pense que toute personne qui a reussi l'a necessairemetn fait au detriment de quelqu'un d'autre

 

C'est tout à fait vrai. Au Québec, quand quelqu'un ne travaille pas et est pauvre on dit que ce n'est pas de sa faute. Quand quelque qui a travaillé toute sa vie est devenu riche, on l'accuse automatiquement d'êtres un escroc puisque la seule façon de devenir riche est de voler les autres (généralement voler les pauvres). On ne semble pas faire le lien entre le travail et la richesse.

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