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SNC-Lavalin contract shows pipeline depth

 

Posted: September 15, 2008, 3:13 PM by David Pett

Market Call

On a day when the Toronto market is down more than 400 points, SNC Lavalin Group Inc.'s juicy new contract announcement hasn't been enough to lift shares higher. Nonetheless, it should have very positive implications to the engineering company's bottom line, says Desjardins analyst Pierre Lacroix.

 

SNC have fallen 2% or 79¢ to $43.26 in afternoon trading after the company said earlier in the day it has been awarded a $500-million contract to build a new airport in Libya.

 

"The contract, which is expected to be delivered by 2010, will fall under the 'package' umbrella (normally lump-sum, fixed-price contracts); notably, however, it will be performed on a cost-plus basis, eliminating the cost risk to SNC," said Mr. Lacroix. "We understand this is one of the largest package/cost-plus contracts ever undertaken by the company. Historically, package contracts yield gross margins between 8% and 10%."

 

In addition to the cost-plus formula, the analyst said he likes the deal, which comes as a bit of a surprise, because it shows the depth of the company's pipeline prospects and reiterates management's positive outlook.

 

Mr. Lacroix has a "buy" rating and $66 price target on SNC shares.

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  • 1 mois plus tard...

SNC-Lavalin prêt à sauter dans le train du nucléaire

 

23 octobre 2008 - 06h23

La Presse

Hélène Baril

 

Jacques Lamarre n'en fait pas un mystère. SNC-Lavalin (SNC) sautera sur l'occasion d'acquérir en tout ou en partie Énergie atomique du Canada, si le gouvernement fédéral décide de privatiser la société d'État.

 

«C'est une excellente technologie et c'est une excellente société. On pense que c'est des techniciens très valables et on aurait un intérêt, a fait savoir le grand patron de la firme de génie-conseil lors d'une entrevue à La Presse. Mais on voudrait le faire dans un contexte où tout le monde serait heureux, on ne veut pas le faire contre les dirigeants d'EACL».

 

La filiale nucléaire de SNC-Lavalin, dirigée par son fils Patrick Lamarre, travaille déjà en étroite collaboration avec Énergie atomique du Canada Limitée (EACL), comme membre du consortium Team Candu, avec General Electric, Hitachi et Babcock&Wilcox.

 

Ce partenariat satisfait Jacques Lamarre, qui se dit prêt à le poursuivre en tant qu'actionnaire minoritaire d'EACL, si Ottawa choisit une privatisation partielle. Mais si le gouvernement veut tout vendre, il se dit prêt à tout acheter. «Nous autres, on est prêts aussi à acheter EACL au complet. On les aime. Mais ça dépend quel prix on paie.»

Une industrie d'avenir

 

Idéalement, SNC-Lavalin voudrait faire avec EACL ce que Bombardier a fait avec Canadair: l'acheter pas cher et lui donner un souffle nouveau. «Par contre, si le gouvernement veut une fortune pour ça, ça va être d'autres intérêts qui vont venir (l'acheter).»

 

Pour le président et chef de la direction de SNC-Lavalin, le nucléaire est une industrie d'avenir, qui a été abandonnée par le gouvernement. «C'est la forme d'énergie qui a le moins d'impact sur l'environnement», souligne-t-il.

 

Quoiqu'il arrive avec EACL, le gouvernement doit continuer d'investir dans le nucléaire, estime Jacques Lamarre, parce que c'est un secteur qui peut contribuer énormément à l'économie canadienne. «C'est bon que le gouvernement réinvestisse dans le nucléaire. C'est une industrie du futur et ce serait dommage si on perdait ça au Canada.»

 

Le Canada est peut-être un petit acteur, mais au moins il existe. «Sans faire d'effort, le Canada a construit 10 à 15% des centrales nucléaires dans le monde, illustre-t-il, alors s'il faisait un effort, c'est un secteur qui pourrait être un très gros contributeur sur le plan économique.»

 

Partout dans le monde, l'énergie nucléaire connaît une nouvelle popularité. En Ontario, où au moins deux autres centrales nucléaires seront construites et peut-être quatre, le gouvernement a choisi d'aller en appel d'offres. Ça veut dire que, pour la première fois, la technologie Candu et SNC-Lavalin devront faire face à la concurrence sur leur propre terrain. La société française Areva et l'américaine Westinghouse, entre autres, sont attirées par ce juteux contrat.

 

«Une vraie folie», s'exclame Jacques Lamarre, avant d'ajouter qu'il s'agit d'une boutade. Cela dit, l'ingénieur comprend difficilement pourquoi le Canada ne favorise pas sa propre technologie, comme le font tous les pays du monde.

 

«Je crois que la meilleure façon pour un gouvernement de développer son économie, c'est par sa politique d'achat et d'approvisionnement», dit-il. C'est comme ça partout dans le monde, selon lui, et SNC-Lavalin évite pour cette raison de faire des soumissions dans certains pays européens parce que l'entreprise sait qu'elle n'a aucune chance.

 

Jacques Lamarre ne s'en offusque pas. «C'est la vie», dit-il, philosophe. Au Québec, où Hydro-Québec s'apprête à revamper sa centrale nucléaire Gentilly-2 au coût de 2 milliards, SNC-Lavalin aura une bonne part du gâteau sans avoir à affronter la concurrence. C'est une réfection et non la construction d'une nouvelle centrale, explique Jacques Lamarre. «On aura probablement un mandat d'assistance technique.»

 

À lire demain: La crise n'effraie pas SNC-Lavalin

 

Idéalement, SNC-Lavalin voudrait faire avec EACL ce que Bombardier a fait avec Canadair: l'acheter pas cher et lui donner un souffle nouveau. «Par contre, si le gouvernement veut une fortune pour ça, ça va être d'autres intérêts qui vont venir (l'acheter).»

 

Pour le président et chef de la direction de SNC-Lavalin, le nucléaire est une industrie d'avenir, qui a été abandonnée par le gouvernement. «C'est la forme d'énergie qui a le moins d'impact sur l'environnement», souligne-t-il.

 

Quoiqu'il arrive avec EACL, le gouvernement doit continuer d'investir dans le nucléaire, estime Jacques Lamarre, parce que c'est un secteur qui peut contribuer énormément à l'économie canadienne. «C'est bon que le gouvernement réinvestisse dans le nucléaire. C'est une industrie du futur et ce serait dommage si on perdait ça au Canada.»

 

Le Canada est peut-être un petit acteur, mais au moins il existe. «Sans faire d'effort, le Canada a construit 10 à 15% des centrales nucléaires dans le monde, illustre-t-il, alors s'il faisait un effort, c'est un secteur qui pourrait être un très gros contributeur sur le plan économique.»

 

Partout dans le monde, l'énergie nucléaire connaît une nouvelle popularité. En Ontario, où au moins deux autres centrales nucléaires seront construites et peut-être quatre, le gouvernement a choisi d'aller en appel d'offres. Ça veut dire que, pour la première fois, la technologie Candu et SNC-Lavalin devront faire face à la concurrence sur leur propre terrain. La société française Areva et l'américaine Westinghouse, entre autres, sont attirées par ce juteux contrat.

 

«Une vraie folie», s'exclame Jacques Lamarre, avant d'ajouter qu'il s'agit d'une boutade. Cela dit, l'ingénieur comprend difficilement pourquoi le Canada ne favorise pas sa propre technologie, comme le font tous les pays du monde.

 

«Je crois que la meilleure façon pour un gouvernement de développer son économie, c'est par sa politique d'achat et d'approvisionnement», dit-il. C'est comme ça partout dans le monde, selon lui, et SNC-Lavalin évite pour cette raison de faire des soumissions dans certains pays européens parce que l'entreprise sait qu'elle n'a aucune chance.

 

Jacques Lamarre ne s'en offusque pas. «C'est la vie», dit-il, philosophe. Au Québec, où Hydro-Québec s'apprête à revamper sa centrale nucléaire Gentilly-2 au coût de 2 milliards, SNC-Lavalin aura une bonne part du gâteau sans avoir à affronter la concurrence. C'est une réfection et non la construction d'une nouvelle centrale, explique Jacques Lamarre. «On aura probablement un mandat d'assistance technique.»

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  • 1 mois plus tard...

SNC-Lavalin wants to evict U.S. consulate

Trudie Mason

 

The big engineering company SNC Lavalin is trying to evict one of its tenants in an office building on St. Alexandre Street. The tenant is the U.S. consulate. It and SNC Lavalin have been arguing over who should pay for special anti-terrorism insurance on the building - an added expense since 9-11. The landlord says the consulate should bear all the cost, since its very presence makes the building a target. The consulate says SNC Lavalin's involvement in the munitions and military equipment industry contribute to the risk. The case is now before the courts.

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  • 4 mois plus tard...

Spécialisée dans les mines

SNC-Lavalin acquiert une société d'ingénierie au Chili

24 avril 2009 - 10h32

 

Louis-Pierre Côté

Argent

 

SNC-Lavalin (SNC) a annoncé vendredi l’acquisition d’une firme d’ingénierie au Chili avec qui elle entretenait déjà des liens d’affaires.

 

La firme montréalaise acquiert VST Ingenieros Ltda, une société de génie-conseil spécialisée en travaux géotechniques miniers, avec un savoir-faire et une technologie en matière de décharge de résidus miniers épaissis.

 

Cette entreprise de Santiago compte un effectif d'environ 50 Personnes et a été fondée il y a 18 ans.

 

Son savoir-faire en matière de décharge de résidus miniers épaissis permet de récupérer une plus grande quantité d'eau sur les sites miniers. Selon SNC-Lavalin, il s’agit là d’un « avantage crucial dans l'industrie minière, en particulier dans le désert situé dans le nord du Chili, où se trouvent la plupart des mines de cuivre du pays.

 

SNC-Lavalin indique que cette acquisition, dont le montant n’a pas été dévoilé, cadre bien avec la stratégie de SNC-Lavalin d'étendre ses services au Chili.

 

SNC-Lavalin et VST Ingenieros travaillent à plusieurs projets en partenariat, y compris à un important projet en cours portant sur la récupération de l'eau sur un site minier.

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  • 2 mois plus tard...

SNC-Lavalin va aménager une nouvelle ville en Algérie

 

Publié le 09 juillet 2009 à 15h50 | Mis à jour à 19h33

La Presse Canadienne

 

 

Le géant montréalais de l'ingénierie SNC-Lavalin (TSX:SNC) a confirmé jeudi avoir obtenu l'un des plus importants contrats de services de son histoire, en vue de l'aménagement en Algérie de la nouvelle ville de Hassi Messaoud, dont la construction devrait s'étendre sur huit ans.

 

Le contrat, attribué ces derniers jours, devrait être signé dans quelques semaines, a affirmé Gillian MacCormack, porte-parole de la société.

 

«Nous sommes ravis de cette annonce, a indiqué Mme MacCormack lors d'un entretien. Nous allons signer le contrat d'ici à quelques semaines et nous aurons alors plein de détails à donner.»

 

SNC-Lavalin a mis la main sur le contrat au terme d'un processus d'appel d'offres auquel ont pris part quatre autres entreprises. La firme a fait une offre de 31,2 milliards de dinars, soit quelque 508 millions $, selon Tout sur l'Algérie, un quotidien électronique d'actualité en rapport avec ce pays d'Afrique du Nord.

 

Mme MacCormack a refusé de confirmer la somme avancée par le site web.

 

Des offres ont également été soumises par un consortium algéro-tunisien de même que des entreprises de la Corée du Sud, de l'Espagne et de France.

 

Le processus d'appel d'offres avait été relancé en octobre dernier, après que la société américaine Aecom eut porté plainte auprès d'une agence du gouvernement algérien, affirmant que sa rivale canadienne ne respectait pas la procédure. Curieusement, Aecom n'a pas soumis de nouvelle offre.

 

Mme MacCormack a indiqué que ce contrat de services était l'un des plus importants de l'histoire de la firme d'ingénierie.

 

L'entreprise fondée il y a 98 ans, qui compte 21 300 employés, est l'une des sociétés canadiennes les plus présentes à l'étranger, avec des activités en Amérique du Nord, en Europe, en Afrique et en Amérique latine.

 

SNC-Lavalin possède également des infrastructures telles que des usines et des pipelines, et elle a tiré profit de la croissance du secteur de l'énergie de l'Algérie, où des champs de pétrole et de gaz naturel ont été découverts ces dernières années.

 

A la Bourse de Toronto, jeudi, le cours des actions de SNC-Lavalin a terminé la journée à 41 $, en baisse de 49 cents, soit un peu plus d'un pour cent, comparativement à son précédent taux de clôture.

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  • 1 année plus tard...
SNC-Lavalin will take full ownership control of Alberta's largest electricity transmission provider by purchasing a 23 per cent stake in AltaLink for $213 million, the company announced Friday.

 

The Montreal-based engineering and construction giant (TSX:SNC) already holds an indirect 76.92 per cent ownership of the Calgary company.

 

It will match an offer from an undisclosed third party to purchase the 23 per cent remaining stake from Macquarie Essential Assets Partnership — an arm of Australia's Macquarie banking group.

 

The transaction is subject to customary closing conditions and regulatory approval, including approval from the Alberta Utilities Commission.

 

"AltaLink is a core investment for SNC-Lavalin. It has a proven track record, and we trust it will continue to provide excellent services to the people of Alberta," said Gilles Laramee, SNC's chief financial officer.

 

SNC and Macquarie increased their stakes in AltaLink in 2005 by purchasing the investments of the Ontario Teachers’ Pension Plan and Trans-Elect Inc.

 

SNC-Lavalin has been working in Alberta for nearly 40 years and has more than 2,000 employees based in the province.

 

AltaLink is Canada's only fully independent transmission company, and is responsible for the maintenance and operation of approximately 11,800 kilometres of transmission lines and 270 substations in Alberta.

 

It owns more than half of Alberta's transmission grid and serves 85 per cent of its population.

 

In addition to being one of the world's largest engineering and construction company's, SNC owns various infrastructure assets including Highway 407 toll road near Toronto.

 

The 100-year-old company has offices in Canada and more than 35 other countries and is doing work in some 100 countries.

 

(Courtesy of The Canadian Press)

 

:goodvibes::goodvibes::goodvibes: Its nice to be a shareholder.

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