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GM dérape vers la faillite

12 novembre 2008 - 06h32

Bloomberg

 

General Motors (GM), qui écoule des liquidités à la vitesse grand V et dont les ventes chutent aux États-Unis, dérape de plus en plus vers la faillite, tandis que la société attend de voir si l'industrie de l'auto obtiendra de nouveaux prêts du gouvernement.

 

Seule l'aide de Washington peut empêcher l'effondrement du premier constructeur automobile aux États-Unis, soutiennent différents analystes, dont Joseph Amaturo, de Buckingham Research Group. Hier, l'action de GM a plongé pour la cinquième séance de suite. Il se peut aussi que la réorganisation de GM sous la protection de la cour ne soit pas possible parce que le resserrement du crédit a tari le financement.

 

«Une faillite stratégique n'est pas une option pour GM», avance Mark Oline, analyste en matière de crédit de Fitch Inc., à Chicago. «La question est de savoir si la société marche ou ne marche pas», ajoute-t-il.

 

La perspective d'une liquidation forcée fait en sorte que la quête d'un nouvel emprunt auprès de Washington devient un enjeu encore plus crucial, la société ayant indiqué vendredi dernier qu'elle pourrait être à court de liquidités dès la fin de la présente année.

 

Le 30 septembre dernier, GM disposait de 16,2 milliards US, alors que le constructeur en avait 21 milliards US à la fin de juin. Il faut à GM 11 milliards US pour régler ses factures mensuelles.

 

«Une faillite ne réglerait pas nos problèmes immédiats de liquidités», a souligné Renee Rashid-Merem, porte-parole de GM. «Ce n'est pas une option pour GM parce que cela crée plus de problèmes que ça n'en résout», a-t-elle ajouté.

 

Les ventes de GM aux États-Unis, qui ont chuté de 21% au cours du dernier trimestre et de 45% en octobre, «subiraient un coup terrible» si l'entreprise devait aller en faillite, a dit vendredi dernier Rick Wagoner, PDG de GM, au cours d'une entrevue à Bloomberg Television.

 

M. Wagoner, 55 ans, sabre des emplois et ferme des usines après des pertes de près de 73 milliards US depuis la fin de 2004. Il a indiqué à la revue spécialisée Automotive News que GM a besoin d'un programme d'aide avant que le président élu Barack Obama entre à la Maison-Blanche en janvier.

 

Barack Obama a soulevé directement auprès du président sortant George W. Bush la question d'une aide immédiate de l'État fédéral aux constructeurs automobiles américains en pleine dépression, a indiqué hier son entourage.

 

M. Obama a évoqué cette question lundi lors de ses premières discussions approfondies avec M. Bush à la Maison-Blanche depuis sa victoire le 4 novembre, a dit un collaborateur, confirmant sous le couvert de l'anonymat des informations de la presse.

 

Il se peut que les investisseurs aient déjà conclu que GM ne tiendra pas la route. Hier, le titre a glissé de 44 cents US, ou 13,1%, à 2,92$US, à la Bourse de New York. Cela a poursuivi la descente amorcée lundi à un creux de 59 ans après que Deutsche Bank eut estimé que l'action de GM ne vaudra peut-être plus rien dans un an.

 

GM, Ford et Chrysler ont réclamé une aide de 50 milliards US pour faire face au pire marché de l'auto en 17 ans, ont indiqué des personnes familières avec les discussions. Cette somme s'ajouterait aux 25 milliards US approuvés en septembre pour aider les constructeurs à rééquiper leurs usines pour construire des véhicules moins énergivores.

 

«Il y a de plus en plus de soutien à Washington, au Congrès, à l'idée d'une aide gouvernementale à GM et aux autres constructeurs», estime Bruce Zirinsky, coprésident de la filiale de restructuration financière de Cadwalader, Wickersham&Taft, à New York.

 

«La question est de savoir comment cela sera fait, ajoute-t-il, et à quel prix pour les actionnaires et les créanciers.»

 

Entre-temps, l'agence de notation financière Fitch Ratings a annoncé hier avoir abaissé de six crans la note de dette de long terme du groupe américain de services financiers GMAC, contrôlé à 49% par General Motors et à 51% par Cerberus.

 

La note a été fixée à «CC», reflétant un risque probable de non-remboursement, comparativement à «B+» auparavant. Cette note est sous «surveillance négative», ce qui signifie que Fitch envisage de l'abaisser encore.

 

Standard and Poor's avait également abaissé cette note vendredi, à «CCC».

 

Fitch estime que si GMAC devenait une banque et pouvait prétendre au plan de recapitalisation par le Trésor américain, il le jugerait «positivement», mais qu'il restait «un certain nombre d'obstacles (...), en particulier dans l'actionnariat actuel, ainsi que la levée de capitaux pour satisfaire aux exigences» de ce statut.

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Car wrangle looms in US bail-out

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America's big three car-makers have suffered huge falls in sales

 

Leaders of the US Democratic Party, which now has a majority in both houses of Congress, have confirmed they are working on a car industry rescue plan.

 

Democrat congressman Barney Frank said his draft bill would include a $25bn (£17bn) loan for carmakers.

 

He said the money would come from the $700bn (£494bn) bail-out package already approved by Congress.

 

But US Treasury Secretary Henry Paulson said that the money was intended only for helping the financial sector.

 

He said on Wednesday the bail-out package had already "clearly helped stabilise" the financial system.

 

Intense lobbying

America's big three car makers - Ford, General Motors and Chrysler - have suffered huge falls in sales.

 

A vote upon the bill being put forward by Mr Frank, who is chairman of the Financial Services Committee of the House of Representatives, could come as early as next Thursday.

 

Next Wednesday, automobile industry representatives will have an opportunity to make their case when they testify at a hearing before Mr Frank's committee.

 

The Massachusetts congressman's spokesman said his proposal would allow the government to take an equity stake in car-makers in exchange for the loans.

 

He said it would seek to ensure car firms faced tough curbs on pay packages for executives and shareholder dividends.

 

Automobile executives and union leaders have been mounting an intense lobbying effort for a bail-out, warning of dire consequences for the US economy if just one of the big three goes down.

 

House of Representatives Speaker and leading Democrat Nancy Pelosi said on Tuesday night: "In order to prevent the failure of one or more of the major American automobile manufacturers, Congress and the Bush administration must take immediate action."

 

But there is a great deal of opposition to any bail-out for the car industry.

 

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"Once we cross the divide from financial institutions to individual corporations, truly, where would you draw the line?" said Jeff Sessions, Republican Senator for Alabama.

 

At the start of October, President George W Bush signed legislation giving the big three US car-makers access to $25bn of cheap government-backed loans.

 

But Democrats say those loans were designed to help automakers develop less-polluting cars, not to stave off the financial disaster the companies now say is imminent.

 

General Motors last week announced a third-quarter loss of $4.2bn and warned it would run out of cash early in 2009 if market conditions did not improve. The firm also plans 5,400 job cuts.

 

Last week, Ford also reported a $2.98bn loss for the third quarter.

Sales at GM fell by 45% in October compared with the same month last year, while sales at Ford fell 30% and at Chrysler by 35%.

 

Dow down

Mr Paulson said on Wednesday that although the bail-out was working there were still many challenges ahead and that market turbulence was likely to continue for some time.

 

He said authorities had abandoned plans to use some of the $700bn to buy up banks' bad debts.

 

Instead of buying the debts, as first proposed by the rescue deal, the bail-out fund will continue to be used to buy shares in the lenders to help boost their balance sheets.

 

Mr Paulson's comments did little to ease continuing investor jitters, and Wall Street's main Dow Jones index ended Wednesday trading in New York down 4.7%.

http://news.bbc.co.uk/2/hi/business/7726039.stm

 

I am really taking a liking to what the Democrats are doing. The American Automotive industry needs to be bailed-out as well. It's the backbone of the nation.

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so i need to be bailed-out if i spend like a morons for years, load my credit cards and face bankrupcy ??

 

Are we going to finance car production to throw the cars in the garbage after ?

 

no one is buying these cars. giving GM 10 billions will help them for another 2-3 months maybe.

 

GM needs to go bankrupt, close half of its plants, lay-off 10s of thousands of employees and come back as a smaller, more efficient company.

 

you think it's a good idea to spend billions to make people work for nothing ??

 

i don't like this idea at all.

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article intéressant de bloomberg.

Nov. 13 (Bloomberg) -- President-elect Barack Obama is pushing Congress this year to approve as much as $50 billion to save cash-starved U.S. automakers and appoint a czar or board to oversee the companies, a move that would require President George W. Bush's support, people familiar with the matter said.

 

Obama's economic advisers are now convinced that if General Motors Corp. doesn't get a financial lifeline soon, it will have to file for bankruptcy by the end of January. And if the companies don't get almost $50 billion, Obama will be dealing with the issue again by next summer.

 

Any czar or board would be patterned after the bailout of Chrysler in 1979 and New York City in 1975. Advisers such as former Federal Reserve Chairman Paul Volcker and former Treasury Secretary Lawrence Summers are said to be telling Obama that the cash is urgently needed now.

 

Congress would have to act in a lame-duck session that begins next week. Obama would need Bush's backing to pass such a sweeping and costly measure in part because Democrats don't have enough votes to force a floor vote or override a veto. Obama also would need strong support from auto-producing states such as Michigan, Ohio, Indiana, Illinois and Wisconsin to pass such a sweeping and costly measure.

 

Yet to be determined is whether most of the money would be drawn from the $700 billion financial rescue package Congress passed last month or from newly allocated funds.

 

Obama's Exception

 

By injecting himself into the talks about how to save General Motors, Obama is making an exception to his decision to steer clear of policy-making until he takes office.

 

The president-elect also wants the Federal Reserve to extend emergency loans to General Motors, Ford Motor Co. and Chrysler LLC, according to Obama aides who spoke on condition of anonymity.

 

The failure of those companies would likely bring down parts-makers, dealerships and suppliers in addition to inflicting a deep psychological blow.

 

If the plan were to offer no strong guarantees against layoffs it would likely draw fire from unions. But Obama advisers have been persuaded that the impact on current workers and retirees would be staggering if the companies went into bankruptcy.

 

Any auto czar or committee would presumably have the job of overseeing a restructuring of the auto industry.

 

`Too Big to Fail'

 

``The auto industry is too big to fail,'' said Nariman Behravesh, chief economist at IHS Global Insight Inc. in Lexington, Massachusetts. ``While the Obama administration can wait until Jan. 20 to address other matters, on this one they need to move quickly.''

 

Obama, 47, has repeatedly insisted there can only be ``one president at a time.'' He is sending two representatives, former Iowa Republican Rep. Jim Leach and former secretary of state Madeleine Albright to this weekend's economic summit of leaders of the Group of 20 nations in Washington rather than attend himself.

 

GM risks going bust before year-end without help from Washington. Shares of the biggest U.S. automaker reached a more than six-decade low this week. The company said last week it may run out of operating cash by the end of this year.

 

``We've not being prescriptive in what would be acceptable in terms of the loans,'' said GM spokesman Tony Cervone, who said he's not aware of the government's plans.

 

Chrysler spokesman Shawn Morgan said the company is in discussions with the Obama transition team and members of Congress.

 

``We look forward to a discussion addressing the immediate liquidity crisis facing the industry, as well as the competitiveness of the auto industry,'' Morgan said.

 

``We need to wait and see what comes from Congress,'' said Ford spokesman Mike Moran.

 

Bankruptcy Risk

 

Ford and Chrysler both likely would be forced into bankruptcy eventually if GM were to fail, Mark Oline, a Fitch Inc. credit analyst, said in an interview.

 

Enthusiasm among Obama's economic advisers for a concerted rescue for the auto industry was sparked at a Nov. 7 meeting in Chicago, according to person familiar with the meeting. Michigan Governor Jennifer Granholm also pressed for additional aid.

 

A GM bankruptcy could send the U.S. jobless rate as high as 9.5 percent, up from a 14-year high of 6.5 percent in October, and produce a recession comparable in length to that of 1980-82, according to Behravesh.

 

``If it does collapse, it could make the recession deeper and longer,'' he said.

 

Pressed Bush

 

Obama, an Illinois senator, pressed Bush on the urgency of an assistance package during their Nov. 10 meeting at the White House, Obama spokesman Robert Gibbs told reporters this week.

 

Still, the Bush administration so far has opposed bailing out the carmakers, and continues to resist the idea of using the Troubled Asset Relief Program, the bank rescue which Congress passed in early October, for any companies other than banks.

 

``The intent of the TARP was to deal with the financial industry,'' Treasury Secretary Henry Paulson, who is administering the program, said yesterday in a press conference. ``My focus is on the financial sector, getting credit going, getting lending going.''

 

Congressional Democrats, meanwhile, are pushing for legislation to help the automakers. House Speaker Nancy Pelosi called for congressional action, saying failure by one or more of the big U.S. automakers would have a ``devastating impact'' on the U.S. economy. Assistance must be conditioned on ``rigorous independent oversight'' of carmakers and restrictions on executive compensation, she said in a statement.

 

``A collapse of the American automobile industry would be the worst possible thing that could happen at a time when we are already weakened,'' Frank, a Massachusetts Democrat, said in an interview on Bloomberg Television.

 

To contact the reporters on this story: Matthew Benjamin in Washington at mbenjamin2@bloomberg.net; Julianna Goldman in Washington at jgoldman6@bloomberg.net.

Last Updated: November 13, 2008 00:01 EST

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GM: les concessionnaires québécois inquiets

 

13 novembre 2008 - 06h28

La Presse

Philippe Mercure

 

Les analystes ont prédit la faillite de General Motors (GM) mardi.

 

Hier, c'était au tour du gouvernement américain de dire non aux constructeurs automobiles qui voulaient bénéficier de son plan de sauvetage. Les mauvaises nouvelles s'accumulent dans le monde des véhicules à quatre roues. Et elles affectent les concessionnaires.

 

Raymond Christin résume bien simplement l'impact de la mauvaise presse sur ses affaires. «On mange une bonne volée», dit le président de Christin Automobile, à Montréal, qui tente de vendre ses véhicules GM malgré les journaux qui détaillent les difficultés financières du constructeur.

 

Le concessionnaire dit avoir encaissé une baisse de ses ventes de 30% en septembre et de 40% en octobre. Il n'a pas eu le choix de sortir la hache. Une quinzaine des 125 employés ont déjà été licenciés, et il prévoit abolir encore 20 postes d'ici janvier.

 

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«On a coupé les commandites, les primes, tout ce qu'on peut couper. On fait exactement ce que fait GM», dit M. Christin. GM est le plus mal en point des trois grands constructeurs américains. Si rien n'est fait pour lui venir en aide, il ne peut espérer survivre plus de quelques mois avec ses liquidités actuelles. Les consommateurs, explique M. Christin, en entendent parler.

 

«Les clients sont inquiets. Vraiment inquiets. Ils ont peur pour leur garantie. On les rassure le mieux qu'on peut, mais c'est sûr que c'est du négatif.»

 

Jean-Claude Gravel, du Groupe Gravel Auto, est moins pessimiste. Selon lui, le ralentissement des ventes vient surtout du fait que les banques accordent moins facilement leurs prêts automobiles. «L'effet des rumeurs de faillite est difficile à mesurer», dit-il.

 

Pas d'argent pour l'automobile

 

Le secrétaire américain au Trésor, Henry Paulson, a infligé un autre coup dur hier en fermant la porte aux constructeurs automobiles qui voulaient profiter de son plan de sauvetage de 700 milliards US annoncé en septembre. Le plan, a tranché M. Paulson, est réservé au secteur financier.

 

«Je me concentre sur le secteur financier, sur le fait de faire marcher le crédit, de faire marcher l'activité de prêt», a dit M. Paulson, ajoutant tout de même qu'il «faut une solution» pour les trois grands groupes de Detroit que sont Ford, GM et Chrysler.

 

Les constructeurs américains plaidaient qu'ils étaient admissibles au «plan Paulson» en raison de leurs activités dans les services financiers. GM contrôle par exemple 49% de GMAC, société qui fait dans le crédit automobile, mais aussi dans le crédit immobilier. Les 51% restants appartiennent au premier actionnaire de Chrysler, le fonds Cerberus. Ford et Chrysler possèdent aussi des sociétés similaires, soit Ford Motor Credit et Chrysler Financial.

 

Barack Obama a demandé au président Bush d'apporter une aide immédiate au secteur automobile, et la présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, fait aussi des pressions en ce sens.

 

Christian Navarre, spécialise de l'industrie automobile à l'École de gestion de l'Université d'Ottawa, souligne que le «prix politique de ne rien faire est extrêmement élevé». Reste à voir de quel plan on accouchera... et à quel moment il viendra. En attendant, il décrit la situation des concessionnaires bien simplement. «C'est le chaos, dit-il. Aujourd'hui, on est dans une situation où personne ne sait de quoi demain sera fait.»

 

Éric LeFrançois, qui signe des chroniques automobiles dans La Presse, croit qu'un acheteur qui se magasine une voiture aujourd'hui ne devrait pas trop s'inquiéter de ce qu'adviendrait sa garantie s'il s'achète un véhicule GM et que le constructeur déclare faillite. Il explique que les constructeurs sont tenus de se constituer des réserves de pièces et des fonds pour assurer le service après-vente en cas de faillite.

 

«Il y aura des centres de services, on ne laissera pas les gens en plan. Et de toute façon, quand on parle de faillite, il faut s'entendre. Il y aura beaucoup d'éléments repris par la concurrence», dit-il.

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so i need to be bailed-out if i spend like a morons for years, load my credit cards and face bankrupcy ??

 

Are we going to finance car production to throw the cars in the garbage after ?

 

no one is buying these cars. giving GM 10 billions will help them for another 2-3 months maybe.

 

GM needs to go bankrupt, close half of its plants, lay-off 10s of thousands of employees and come back as a smaller, more efficient company.

 

you think it's a good idea to spend billions to make people work for nothing ??

 

i don't like this idea at all.

It's not the automotive industry that got us into this mess. They are a victim of it. When you think that hundreds of thousands of jobs are directly and indirectly linked to the auto industry, yes such a package is important.

 

You do forget that GM is still the automaker with the highest sales in the US, and its neck and neck with Toyota here. So yes people do buy their vehicles.

 

Anyways, the problem is that people in North America are allowed to buy Japanese imports when American (and foreign) cars are not permitted to be sold in Japan. How is this fair for the US Auto Industry?

 

Another thing that's killing GM is the UAW and CAW and their outlandish demands especially when related to pensions, benefits, compensation, etc. Billions and Billions of dollars for former employees!

 

What got us into the financial mess is poor people living beyond their means taking multiple sub-prime mortages on at once (and the banks not asking enough questions and handing them the money).

 

Things won't iron themselves out.

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so i need to be bailed-out if i spend like a morons for years, load my credit cards and face bankrupcy ??

 

non mais tu peux déclarer faillite, et continuer a vivre. Tes enfants n'hériteront pas de ces dettes, ni tu sera un esclaves.

 

Une entreprise qui fais faillite doit mourir, et mettre à la porte des centaines de milliers d'employés.

 

Disons que c'est pas le même scope.

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La faillite des Big Three serait une catastrophe

 

13 novembre 2008 - 12h43

Associated Press

 

Les défenseurs de l'industrie automobile aux États-Unis craignent qu'une faillite des trois grands constructeurs du pays, voire du seul General Motors, ne provoque une réaction en chaîne catastrophique pour l'économie américaine, susceptible de détruire trois millions d'emplois et de priver l'État de 150 G$ de recettes fiscales.

 

Le Congrès américain pourrait décider de venir en aide aux «Big Three» -General Motors, Ford, Chrysler- affectés par la pire crise économique depuis des décennies aux États-Unis.

 

«Nous devons agir car le coût de l'inaction serait très élevé pour les populations, les ouvriers et les sociétés», avertit le sénateur démocrate Sherrod Brown, un des nombreux parlementaires redoutant de graves conséquences en cas d'effondrement des trois géants.

 

L'effondrement du seul General Motors pourrait provoquer la chute de Ford et Chrysler et même des opérations américaines des constructeurs étrangers, en entraînant la faillite des fournisseurs de pièces automobiles.

 

Les craintes se sont intensifiées le 7 novembre lorsque GM et Ford ont annoncé de mauvais résultats pour le troisième trimestre, General Motors précisant qu'il pourrait se trouver à court de liquidités d'ici la fin de l'année.

 

En octobre, les ventes de voitures ont atteint leur plus bas niveau depuis 25 ans aux États-Unis sur fond de crise du crédit et de ralentissement économique.

 

En cas de faillite du secteur automobile, Lordstown, un village de l'Ohio de 3600 personnes à 80 kilomètres à l'est de Cleveland, où est installée une usine GM depuis 1966, serait une des localités les plus touchées.

 

Si le site de production local fermait, Lordstown perdrait jusqu'à 70% de son budget, un scénario noir qui selon les partisans du plan de sauvetage en faveur du secteur, pourrait se répéter dans tout le Midwest industriel.

 

Selon le Centre pour la recherche automobile (CAR), jusqu'à trois millions d'emplois, en incluant les fournisseurs et petites entreprises liées au secteur, pourraient être détruits en cas de faillite des trois grands constructeurs américains.

 

Et l'Etat fédéral, les Etats de l'Union et les collectivités locales perdraient plus de 150 G$ de recettes fiscales sur trois ans, précise le CAR dans une étude.

 

La semaine prochaine, le Congrès devrait débattre de l'octroi d'une aide à l'industrie automobile dans le cadre du plan de sauvetage de Wall Street de 700 G$.

 

Les opposants à cette idée estiment que cet effort ne ferait que retarder la chute des «Trois Grands» qui sont dans une situation critique à cause d'années de mauvaise gestion et de coûts de main d'oeuvre plus élevés que leurs concurrents étrangers. Ils craignent également qu'une aide au secteur automobile n'incite d'autres industries à solliciter également l'aide du gouvernement.

 

Les constructeurs assurent être prêts à rebondir après des années de restructuration, marquées par de nombreuses suppressions d'emplois. Grâce à ces efforts, ils devraient voir leurs bénéfices augmenter, selon David Cole, président du CAR.

 

Ces gains, combinés aux économies réalisées grâce à un accord de réduction des coûts passé avec le syndicat des ouvriers de l'automobile UAW, leur permettront de rembourser leurs dettes, assure-t-il.

 

S'il est approuvé, un plan de sauvetage en faveur des «Big Three» devrait être assorti de conditions. Ses partisans voudraient ainsi que les rémunérations des dirigeants des trois entreprises soient encadrées ainsi qu'une interdiction des dividendes aux actionnaires.

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Anyways, the problem is that people in North America are allowed to buy Japanese imports when American (and foreign) cars are not permitted to be sold in Japan. How is this fair for the US Auto Industry?

 

Another thing that's killing GM is the UAW and CAW and their outlandish demands especially when related to pensions, benefits, compensation, etc. Billions and Billions of dollars for former employees!

 

The second part of your statement is closer to one of the actual problem that GM (and Ford and Chrysler) is facing.

 

As for foreign cars not being allowed in japan, that is not entirely true, as many foreign car makers are selling their cars over there, however they are limited by quotas, and one thing that japanese manufacturer have understood is that they needed to open factories in North America to bypass the quotas that they were facing.

 

Another major problem is their product mix, they focused too much on SUV, and now trying to catch up in the intermediate and small cars segments, to find out either they are producing crap, or producing average cars, but that are plagued with low material quality, un-economical engines and most of all a nameplate that has been burned in the past by their attemps at those segments.

 

It is next to impossible to turn around those mega corporation in a matter of months, and just bailing them out with a cash infusion wont solve the problem, it will simply push it forward in time

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