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Place de la Cité Internationale, phase 2 (2007)


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C'est pas un peu notre histoire récente. Il y a de l'expansion immobilière partout en Amérique de Nord, mais à Montréal on attend que le boom nous rejoigne. Et quand le boom est prêt à arriver à Montréal, il y a du ralentissement ailleurs. Alors les pormotteurs se disent qu'il faut attendre que l'économie se relance aux États-Unis. Quand ça repart aux États-Unis, les promotteurs attendent que ça reparte à Montréal, et quand ça repart à Montréal, il y a un ralentissement ailleurs. Et comme il y a un ralentissement, les promotteurs mettent leurs projets sur la glace....

 

On tourne en rond!

 

:stirthepot: Il faut premièrement dire que quand il y a un besoin les investisseurs sont là pour le combler et tout le monde dans ce domaine est intéressé à faire de l'argent, les grandes tendances sont un élément parmi tant d'autres pour décider d'aller de l'avant ou pas. Maintenant c'est davantage une question de rentabilité et la valeur de location des surfaces de bureaux est encore trop basse à Montréal pour concurrencer d'autres grands centres urbains plus ''dynamiques'' au niveau des prix.

 

Autrement dit c'est vraiment une question d'offre et de demande et c'est sur la demande qu'il faut travailler pour que l'offre vienne. Il faut donc créer un climat favorable en offrant des occasions d'affaires alléchantes. Il faut aussi favoriser l'avancement des dossiers en évitant les embûches bureaucratiques et les interminables études et consultations qui en découragent plus d'un.

 

Pourtant il y a de la construction et trois pôles excentriques tirent la couverte en étant directement en concurrence avec le centre-ville. Il y a le pôle Laval avec le prolongement du métro, il y a le pôle Longueuil au métro du même nom et l'île des Soeurs qui semble vouloir développer le marché du bureau sur sa partie est pour ne nommer que les plus importants.

 

C'est autant de constructions qui ne se font pas au c-v et qui donnent l'impression de stagnation. Le siège social de Bell est un bon exemple avec notamment ses presque 600,000 pi carrés en deux phases qui se serait matérialisé par un immeuble de 30-40 étages si on l'avait bâti au c-v. Tout le monde regarde le centre-ville et se désole en oubliant cette réalité pourtant évidente.

 

Le taux d'absorption du marché montréalais ressemble à peu près en moyenne à plus ou moins 800,000 à un million de pi carrés selon les bonnes années toutes catégories confondues. Cela représente donc environ l'équivalent d'un immeuble d'une soixantaine d'étages que l'on disperse ci et là sans créer de véritable impact visuel.

 

Maintenant il faut dire que la longue hésitation du projet du Chum n'est pas non plus étrangère au lent développement du c-v. Tant qu'il n'y aura pas de construction proprement dite de l'hôpital central, personne n'osera construire autour au risque que le projet avorte ou déménage ailleurs.

 

Idem pour le sud du c-v, l'autoroute Bonaventure par sa disparition aura un impact majeur pour tout le secteur en permettant un meilleur accès aux terrains limitrophes. Donc il y a beaucoup de choses qui mijotent dans la marmite et je suis aussi persuadé que le développement des importantes réserves de gaz et de pétrole récemment confirmées au Québec, et d'autres à venir, serviront de déclencheur majeur pour une nouvelle phase de grand développement autant au c-v que dans toute la région.

 

Sur l'ensemble des sites où se fait de l'exploration sérieuse actuellement, un certain nombre s'avéreront rentables et c'est toute l'économie du Québec qui en profitera et Montréal en particulier. A l'instar de Calgary, Edmonton, Régina, Saskatoon, St-John's et Halifax toute des villes qui récoltent l'activité commerciale résultant de l'exploitation de leur ressources, Montréal est sur le point de rejoindre ce club des gagnantes qui lui insufflera une nouvelle croissance tant espérée.

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C'est pas un peu notre histoire récente. Il y a de l'expansion immobilière partout en Amérique de Nord, mais à Montréal on attend que le boom nous rejoigne. Et quand le boom est prêt à arriver à Montréal, il y a du ralentissement ailleurs. Alors les pormotteurs se disent qu'il faut attendre que l'économie se relance aux États-Unis. Quand ça repart aux États-Unis, les promotteurs attendent que ça reparte à Montréal, et quand ça repart à Montréal, il y a un ralentissement ailleurs. Et comme il y a un ralentissement, les promotteurs mettent leurs projets sur la glace....

 

On tourne en rond!

 

C'est en plein ce que je pensais! C'est platte mais c'est la réalité de la chose! Aussilongtemps que les loyers n'augmenteront pas à plus de 25.00$ le p² NET, on ne verra pas grand chose monter(à part peut être une tour).

 

je suis aussi persuadé que le développement des importantes réserves de gaz et de pétrole récemment confirmées au Québec, et d'autres à venir, serviront de déclencheur majeur pour une nouvelle phase de grand développement autant au c-v que dans toute la région.

 

Je ne pensais pas qu'ils avaient confirmé ola présence d'importantes réserves de Gaz et de pétrole. Je pensais qu'ils avaient des doutes, mais que rien n'avait été confirmé encore. Es tu sûr ou est ce que ce n'est que du "wishful thinking" de ta part??

 

Sur l'ensemble des sites où se fait de l'exploration sérieuse actuellement, un certain nombre s'avéreront rentables et c'est toute l'économie du Québec qui en profitera et Montréal en particulier. A l'instar de Calgary, Edmonton, Régina, Saskatoon, St-John's et Halifax toute des villes qui récoltent l'activité commerciale résultant de l'exploitation de leur ressources, Montréal est sur le point de rejoindre ce club des gagnantes qui lui insufflera une nouvelle croissance tant espérée.

 

Encore une fois, si il y a du pétrole, est ce qu'il y en a beaucoup ou juste un peu?!?!? Est ce que ce sera facile d'aller chercher ce pétrole. Est ce que ce sera rentable de le faire?

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C'est en plein ce que je pensais! C'est platte mais c'est la réalité de la chose! Aussilongtemps que les loyers n'augmenteront pas à plus de 25.00$ le p² NET, on ne verra pas grand chose monter(à part peut être une tour).

 

 

 

Je ne pensais pas qu'ils avaient confirmé ola présence d'importantes réserves de Gaz et de pétrole. Je pensais qu'ils avaient des doutes, mais que rien n'avait été confirmé encore. Es tu sûr ou est ce que ce n'est que du "wishful thinking" de ta part??

 

 

 

Encore une fois, si il y a du pétrole, est ce qu'il y en a beaucoup ou juste un peu?!?!? Est ce que ce sera facile d'aller chercher ce pétrole. Est ce que ce sera rentable de le faire?

 

D'après tout ce que je lis sur le sujet depuis plusieurs mois, je crois vraiment qu'il y a du travail sérieux qui se fait sur le terrain. L'exploration est diversifiée et les analyses prometteuses. Le prix élevé du baril garanti la rentabilité des gisements non conventionnels particuliers au Québec.

 

Bien sûr il faudra être patient mais pas de doute beaucoup de compagnies sont impliquées dans le dossier et cela suscite beaucoup d'intérêt de la part des gens du milieu.

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D'après tout ce que je lis sur le sujet depuis plusieurs mois, je crois vraiment qu'il y a du travail sérieux qui se fait sur le terrain. L'exploration est diversifiée et les analyses prometteuses. Le prix élevé du baril garanti la rentabilité des gisements non conventionnels particuliers au Québec.

 

Ce serait essentiellement du gaz naturel pas du pétrole, et vraiment, on ne sait pas quelle quantité sera recouvrable. On sait qu'il y a du gaz naturel, le problème c'est que celui-ci est capturé dans des roches peu perméables, les fameux "shales" que tu es obligé de fracturer pour les rendre suceptibles de "libérer" le gaz. Hors on ne sait pas grand chose de la façon dont la roche va réagir à la fracturation. Cela sera-t-il suffisant pour en extraire du gaz en quantité intéressante? Rien de bien certains. Vu le risque énorme à cause des coûts fixes, je ne suis pas sûr qu'on va voir un dévelopement substantiel dans les années à venir (quelques puits peut être, mais rien pour faire pousser des tours à bureaux à Montréal).

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