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Marché immobilier résidentiel de Montréal : actualités


Habsfan

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18 minutes ago, biggybee said:

Wow c'est impressionnant. Mais en regardant les résultats sur le site, on voit bien à quel point le marché est déconnecté de la réalité économique à travers le pays

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Au Téléjournal 18h (video sur Facebook)

Pour juillet 2020 : + 18% sur les prix des unifamiliales et + 12% sur les condos qu'en juillet 2019

Entrevue au Téléjournal 18h (Vidéo Facebook)

L’immobilier à Montréal :

« Même si le marché ralentit un peu au cours des prochains mois, ça prendrait un changement important pour passer d’un marché favorable aux vendeurs [à un marché favorable] aux acheteurs. C’est peu probable qu’on est un changement aussi drastique au cours des prochains mois. »

Entrevue avec Francis Cortellino, analyste de marché pour la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL)

 

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I wonder where is the big downturn everyone is talking about. Covid? What? Prices are going thru the roof and no one is looking back. Again, people waiting will be renting again in 20 years and thinking the next downturn is coming again. They never learn.

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il y a 55 minutes, Rocco a dit :

I wonder where is the big downturn everyone is talking about. Covid? What? Prices are going thru the roof and no one is looking back.

C'est pourtant bien expliqué dans l'entrevue: à Montréal il y a une rareté de logements et de maisons disponibles sur le marché. Cette rareté existait déjà avant la crise et elle perdurera sans doute pour encore assez longtemps même si l'on peut voir un peu partout divers projets de construction. Ce n'est tout simplement pas suffisant pour répondre à la demande.

Il est également précisé  dans l'entrevue qu'il s'agit d'une particularité du marché immobilier montréalais et que c'est unique au pays. C'est donc pourquoi il n'y a pas à Montréal de couplage apparent entre le prix des maisons et la crise de la Covid car la demande demeure malgré tout plus élevée que l'offre.

Cependant d'ici à l'automne il pourrait y avoir un certain ralentissement de la hausse du prix des maisons qui sera alors attribuable à une éventuelle fin des mesures gouvernementales, incluant le report des hypothèques.

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Augmentation des prix de 56% en 1 an à Mont Tremblant, et toutes les banlieues des couronnes nord et sud de Montréal voient leurs prix exploser. Vraiment, la covid ne fait qu'accélérer la hausse des prix.

L’exode vers les banlieues et au-delà s’accélère: https://lp.ca/2gz83n

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  • 3 semaines plus tard...

https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2020-09-22/montreal/vers-une-hausse-du-nombre-de-maisons-a-vendre-d-ici-noel.php

Vers une hausse du nombre de maisons à vendre d’ici Noël ?

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PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE
Les futurs acheteurs de maison, qui peinent à dénicher la perle rare en raison du faible nombre d’inscriptions, pourraient avoir plus de choix d’ici la fin de l’année.

Les futurs acheteurs de maison, qui peinent à dénicher la perle rare en raison du faible nombre d’inscriptions, pourraient avoir plus de choix d’ici la fin de l’année. La fin des reports de paiements hypothécaires et de plusieurs programmes d’aide visant à soutenir les ménages pendant la crise incitera certains propriétaires, plus serrés financièrement, à mettre une pancarte à vendre devant la porte, selon l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ).

Publié le 22 septembre 2020 à 7h00
NATHAËLLE MORISSETTE
LA PRESSE

« Avec le retour de propriétés sur le marché, les conditions vont être moins favorables aux vendeurs, mais il faudrait quand même qu’il y ait beaucoup d’inventaire pour déséquilibrer le marché à la faveur des acheteurs, affirme Charles Brant, directeur du service de l’analyse du marché à l’APCIQ. Donc, on pense que les prix dans certains marchés vont baisser, comme c’est le cas au centre-ville. On voit déjà qu’il y a de très fortes hausses d’inventaire de copropriétés dans le centre-ville. Dans d’autres marchés, dans des localisations qui sont recherchées, on ne pense pas qu’il va y avoir des baisses de prix, mais peut-être un ralentissement de la hausse des prix parce qu’elle n’est pas soutenable en ce moment. »

M. Brant a été interrogé par La Presse à la suite de la publication, lundi, d’un rapport de la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) dans lequel on faisait état d’une augmentation de 11,8 % des prix des maisons à Montréal par rapport à la même période l’an dernier, sa plus forte croissance en 15 ans.

« Il y a un manque d’inventaire criant, notamment pour certaines gammes de prix. Les gammes de prix pour les ménages moyens sont en forte hausse », souligne M. Brant.

« Depuis quelques trimestres, on remarque que les prix sont plus élevés que le trimestre précédent, affirme pour sa part Lukas Jasmin-Tucci, analyste principal à la SCHL. Est-ce que ça veut dire que ça va continuer dans les prochains mois ? Pas nécessairement. »

Martin Desfossés, coach en immobilier chez DuProprio, ne partage pas l’avis de Charles Brant et ajoute qu'en ce moment, « ce n’est pas un marché très confortable pour les gens qui font des demandes d’acquisition ».

Il souligne toutefois que du côté de DuProprio, les propriétés vendues en juin et en juillet ont augmenté de 48 % par rapport à la même période l’an dernier.

« Je ne vois pas à court terme le jour où on va avoir un inventaire à la hausse, indique-t-il. Et je ne pense pas que les prix vont diminuer beaucoup. »

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  • 3 semaines plus tard...

Déplacement de la demande d'immobilier résidentiel, suite aux plus récents développements de la pandémie dans presque toutes les régions du Québec. 

Au début,  la crise était essentiellement confinée à Montréal et ses banlieues immédiates.  On parlait beaucoup du désir de fuire Montréal pour s'établir dans les régions "exemptées".   

Maintenant: c'est toute la Vallée du Saint-Laurent qui est gravement touchée.  Question: combien cela prendra-t-il de temps pour que cette nouvelle réalité calme les ardeurs de ceux et celles qui voulaient "fuir", ce qui aurait logiquement pour effet d'atténuer l'enthousiasme des propriétaires et des constructeurs "en région" ? 

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