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Marché immobilier résidentiel de Montréal : actualités


Habsfan

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Il y a 9 heures, ScarletCoral a dit :

Au Téléjournal 18h : «  La surenchère immobilière bat son plein à Montréal, à tel point que des propriétés sont vendues jusqu’à 100.000 dollars au-dessus du prix affiché. » 

 

Une anecdote: Un couple que je connais tente de s'acheter un duplex dans le sud-ouest; ils réussisent finalement après 6 tentatives, tous en surenchère...pour la dernière maison ils ont offert 90 000$ de plus que le prix affiché.

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un autre  reportage sur la surenchère à Montréal : Au Téléjournal 18h

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1354428/surenchere-montreal-condos

La surenchère immobilière prend de l'ampleur à Montréal

 

Marie-Eve Cousineau

Publié à 18 h 09

Une propriété sur cinq sur l’île de Montréal se vend à un prix plus élevé que celui demandé, selon des données obtenues auprès de l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ). Montant moyen de la surenchère : 20 600 $.

Le phénomène de la surenchère immobilière touche surtout les arrondissements de Rosemont−La Petite-Patrie, du Plateau-Mont-Royal et du Sud-Ouest.

Dans ces arrondissements, environ le tiers des condos, des plex et des maisons unifamiliales ont été vendus plus cher que le prix affiché entre octobre 2018 et septembre 2019, selon l’APCIQ.

Proportion de surenchère

  • Rosemont–La Petite-Patrie : 35,2 %
  • Plateau-Mont-Royal : 30,6 %
  • Sud-Ouest : 29,9 %
  • Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension : 27,3 %
  • L’Île-des-Sœurs : 25,9 % 

Source: APCIQ

 

Écart moyen entre le prix affiché et le prix de vente

  • Rosemont–La Petite-Patrie : 22 742 $
  • Plateau-Mont-Royal : 25 965 $
  • Sud-Ouest : 21 968 $
  • Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension : 28 401 $
  • L’Île-des-Sœurs : 23 346 $

Les condos font de plus en plus l'objet de surenchère à Montréal. Toujours selon les dernières données de l'APCIQ, la proportion des cas, pour ce type de propriétés, est passée de 12 % (entre octobre 2017 à septembre 2018) à 21 % (entre octobre 2018 et septembre 2019).

Des parents à la rescousse

Difficile, dans ce contexte, d'acheter une première propriété.

La directrice de l'agence Via Capitale du Mont-Royal, Nathalie Clément, constate que beaucoup d'acheteurs de moins de 40 ans reçoivent un coup de pouce de leurs parents.

[Pour ce qui est de] ma génération, par exemple, nos parents, ils ne nous aidaient pas à acheter des propriétés. Mais ce qu'on voit dans le marché en ce moment, les baby-boomers, ils sont plus à l'aise financièrement, et ils aident financièrement leurs enfants à acheter des propriétés.

— Nathalie Clément, directrice de l'agence Via Capitale du Mont-Royal

Les parents contribuent souvent à la mise de fonds, selon Louis-François Éthier, directeur de produits, solutions de crédit hypothécaire à la Banque Nationale.

« C'est sûr que quand on exige 5 % de 300 000 $, c'est quand même des fois des bons montants à accumuler, dit-il. On le voit que les proches parents, souvent, au lieu de donner leur héritage au décès, [...] veulent aider leurs enfants quand ils en ont besoin. »

Certains acheteurs grattent toutefois les fonds de tiroir pour obtenir un prêt hypothécaire au montant souhaité.

Stéphanie Simpson, courtière hypothécaire à Multi-Prêts, à Montréal, dit devoir parfois comptabiliser toutes les sources de revenus pour trouver une hypothèque.

« Il y a certaines banques qui vont prendre les allocations familiales; d'autres, non, dit-elle. C'est sûr que dans certains cas, on va être obligé d'ajouter ça pour que le dossier se qualifie. »

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https://journalmetro.com/uncategorized/2391068/logements-une-hausse-soutenue-des-prix-de-vente-anticipee-des-lan-prochain-a-montreal/

Logements: une hausse soutenue des prix de vente anticipée dès l’an prochain à Montréal

12:07 24 octobre 2019
Par:  Zacharie Goudreault

 

Le boom immobilier se poursuivra à Montréal au cours des deux prochaines années, prévoit la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL). Cette dernière anticipe une hausse annuelle du prix de vente des propriétés de plus de 5% dans la métropole.

Le rapport «Perspectives du marché de l’habitation au Canada», publié jeudi, prévoit une hausse des mises en chantier de maisons et de logements à l’échelle du pays. Une situation notamment attribuable à la croissance du revenu et de la population.

À Montréal, la SCHL prévoit que la croissance de l’offre «demeurera limitée», tandis que la demande va continuer de croître. Par conséquent, une hausse du prix moyen des propriétés de 5 à 6% est envisagée, soit nettement plus que la moyenne annuelle de 3% enregistrée entre 2013 et 2017.

La hausse des prix anticipée dans la métropole québécoise détonne avec celle prévue dans d’autres grands centres. À Vancouver, où une taxe sur les acheteurs étrangers a été mise en place, la SCHL prévoit une croissance annuelle des prix d’environ 2% en 2020 et 2021.

La SCHL anticipe par ailleurs que le taux d’inoccupation des logements locatifs demeurera sous la barre de 2% au cours des deux prochaines années. Cette situation entraînera de nouvelles hausses des prix des loyers. Il pourrait aussi être encore plus difficile pour les locataires de trouver un logement qui leur convient au moment du déménagement.

Plus de détails à venir

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  • 4 semaines plus tard...

Je n'es pas été capable de mettre directement le vidéo ici, mais si vous clicker sur le liens vous aller pouvoir la regarder.

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1400842/emission-speciale-gerald-fillion-montreal-marche-maison-condo

Émission spéciale : la fièvre de l'immobilier

Publié à 20 h 26

L'équipe de RDI économie vous propose une émission spéciale sur la surchauffe immobilière. Celle que vit Montréal sera-t-elle aussi grave que celle qui a fait exploser le coût des maisons et du logement à Vancouver et Toronto?

Voilà seulement une des nombreuses questions à laquelle on tente de répondre ici.

Pour ce faire, Gérald Fillion s’entretient avec cinq spécialistes : Francis Cortellino, économiste en immobilier à la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), Sébastien Lord, professeur agrégé à la Faculté de l’aménagement de l’École d’urbanisme et d’architecture de paysage de l’Université de Montréal, Isabelle Naud, courtière immobilière chez RE/MAX AMBIANCE, Denis Doucet, directeur de la formation chez Multi-Prêts Hypothèques, et la notaire Yasmine Bensalem.

On se demande notamment si la surchauffe immobilière pourrait compromettre l’accès à la propriété à Montréal, ou encore quels critères devraient guider notre choix entre la banlieue et la ville. On aborde aussi la façon de vendre et d'acheter une propriété ainsi que tous les aspects reliés à l’hypothèque.

Bon visionnement!

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https://journalmetro.com/actualites/montreal/2401225/logements-le-marche-de-la-revente-a-montreal-est-encore-plus-chaud-quil-ny-parait/

 

Logements: le marché de la revente à Montréal est encore plus «chaud» qu’il n’y parait

Journal Métro
by Zacharie Goudreault 
3h

 

Le marché de la revente de logements, surtout des condos, est encore plus «chaud» que le laissent croire les données officielles à Montréal, constate la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL). Une situation qui pourrait se répercuter sur la valeur des unités et les délais de vente. 

Généralement, le marché de la revente est analysé en fonction des données de l’entreprise Centris. Celle-ci regroupe sur sa plateforme la majorité des propriétés existantes en vente à Montréal. Selon une récente analyse du marché immobilier montréalais, le prix de vente moyen des condos a augmenté de 7% en un an dans la métropole. Pour les maisons unifamiliales, cette hausse est d’un peu plus de 4%.

Or, des promoteurs utilisent aussi la plateforme de Centris pour vendre des logements neufs situés dans de grands immeubles de la métropole, ce qui peut biaiser les données sur le marché de la revente. Afin d’avoir un meilleur aperçu de ce dernier, la SCHL a donc réalisé une analyse des données du marché de la revente qui exclut les unités neuves.

«Il en ressort que l’exclusion des logements neufs fait généralement augmenter le ratio entre les ventes et les nouvelles inscriptions, ce qui signifie que le marché de la revente est plus tendu que ce que les données laissent entendre», constate un rapport de la SCHL rendu public mardi matin. 

C’est particulièrement dans la revente de condos que la distorsion se fait sentir. Cette situation est attribuable au fait que la majorité des unités neuves offertes sur Centris sont des copropriétés situées entre autres dans de grands immeubles du centre-ville.

«On réalise que les vendeurs ont un pouvoir de négociation encore plus grand que ce qu’on croyait.» -Francis Cortellino, analyste à la SCHL

Délais de vente plus courts

M. Cortellino estime également que le délai de vente des condos à Montréal est probablement plus bas que ce que laissent croire les données disponibles. Actuellement, un condo se vendrait en 82 jours à Montréal, soit 18 jours de moins que l’an dernier, selon les données généralement utilisées.

«On a une hypothèse très valide qui fait en sorte que si on excluait les unités neuves, peut-être que les délais de vente seraient plus courts et les hausses des prix encore plus importantes qu’on croyait», soulève l’expert. 

À Montréal, le nombre de propriétaires qui décident de revendre leur logement est par ailleurs à la baisse depuis depuis quelques années. Cela contribue à créer une surchauffe de ce marché, alors que 90% des condos mis en vente sur Centris trouvent preneur, selon des données de la SCHL.

«Il y a peut-être des gens qui sont réticents à vendre étant donné qu’il n’y a pas beaucoup de logements disponibles et que les prix augmentent», analyse M. Cortellino. 

Airbnb: un rôle négligeable?

Les plateformes de location à court terme de type Airbnb sont souvent montrées du doigt pour justifier la hausse des prix des loyers et de la valeur des propriétés. Or, une récente étude d’Oxford Economics vient plutôt à la conclusion que celles-ci ont un impact «minime».

«Ce que nous avons constaté, c’est que la crise d’abordabilité est en cours depuis des décennies, donc bien avant que les nouvelles plateformes de type Airbnb arrivent», souligne à Métro l’économiste et co-auteure de ce rapport, Alice Gambarin.

L’étude a analysé les différents facteurs qui expliquent ces hausses de prix sur le marché de l’immobilier américain. Ceux-ci comprennent principalement l’augmentation des revenus, la situation économique favorable et le manque de logements disponibles.

Ainsi, l’économiste Hamilton Galloway propose que la taxe sur l’hébergement collectée auprès des résidences de tourisme servent à financer la construction de logements sociaux et abordables afin de répondre aux besoins du marché immobilier.

Dès le premier mai 2020, le gouvernement Legault imposera plusieurs nouvelles mesures pour encadrer les résidences de tourisme. Les personnes qui souhaitent louer leur propriété sur des plateformes de type Airbnb devront aussi payer une taxe sur l’hébergement touristique équivalent à 3,5% du prix d’une nuitée.

  

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http://montrealgazette.com/business/local-business/real-estate/bidding-wars-multiple-offers-the-norm-in-montreal-real-estate-market

Bidding wars, multiple offers 'the norm' in Montreal real estate market

ORIGINALLY PUBLISHED: NOV 27, 2019

BY FRÉDÉRIC TOMESCO

Real estate broker Nathalie Bégin can’t recall a time during her three-decade career that the local market has been so tilted toward sellers.

Bégin, who runs RE/MAX’s Ahuntsic office, cites the recent case of a duplex in the neighbourhood that drew 15 offers in a mere four days. It eventually sold for $110,000 above the asking price, she said, declining to disclose the exact amount of the transaction.

“It’s extremely difficult to be a buyer these days — but if you’ve got a house to sell and don’t need to buy a new one in the city, this is heaven,” Bégin, who is also chair of the Quebec Professional Association of Real Estate Brokers, said Tuesday in an interview. “It’s not rare to see more than 10 offers on a property. In all my years in the business, I’ve never seen a market like this one.”

In fact, Ahuntsic didn’t even crack the Top 10 list of the city’s hottest real estate neighbourhoods during the past year, a Montreal Gazette analysis of QPAREB data shows.

The bidding war crown belongs to Rosemont, where 35 per cent of all real estate transactions concluded during the year ended Sept. 30 resulted in selling prices that exceeded asking prices, according to the QPAREB data. That’s the highest proportion among Montreal Island neighbourhoods.

QPAREB’s figures take into account the properties that were listed on the Centris system.

Plateau-Mont-Royal, Sud-Ouest, Villeray and Nuns’ Island rounded out the Top 5 of Montreal’s hottest neighbourhoods — all with scores in excess of 25 per cent.

Broker Romain Lecomte of Via Capitale du Mont-Royal, who covers central Montreal districts such as Plateau-Mont-Royal and Rosemont, said the vast majority of the transactions he has worked on of late have involved multiple offers. The most he has seen for a single property is 25, he said.

“People want to be in the central districts, and there simply aren’t that many properties listed,” Lecomte said Tuesday in a telephone interview. “Multiple offers and bidding wars have become the norm. Things are moving extremely fast, and people don’t have much time to react.”

Some buyers are so eager to close transactions they will often drop conditions or forgo the inspection altogether to improve their chances, Bégin and Lecomte both said.

“People are going to great lengths to buy property, but they might regret this in a few years’ time when renovations are required,” Bégin said. “I’m finding this a little bit scary for the buyers.”

When overbidding did occur, selling prices in the greater Montreal area exceeded asking prices by an average of 3.7 per cent, or $14,776, in the year to Sept. 30, the data show. The gap was even higher on the island of Montreal, at 4.4 per cent, or $20,596.

If you were looking to sell a condominium during the past year, Rosemont was — again — the place to be.

About 37 per cent of condo sales in Rosemont in the year to Sept. 30 resulted in bidding wars, QPAREB data show. Other hot neighbourhoods included Plateau Mont-Royal and Outremont, with 32 per cent each, and Sud-Ouest and Villeray, with 30 per cent each.

Those last two areas provided the best environment for selling a house. Thirty per cent of all single-family property sales in Sud-Ouest and Villeray triggered bidding wars, the data show. Rosemont followed with 29 per cent, compared with 25 per cent for Pointe-Claire and 24 per cent for Côte-des-Neiges—Notre-Dame-de-Grâce.

For plexes, Westmount led the way with half of transactions topping the asking price. Verdun/Nuns’ Island with 43 per cent, Rosemont with 33 per cent, Sud-Ouest with 30 per cent and Plateau Mont-Royal with 29 per cent also made the Top 5.

Montreal is already the Quebec region with the highest proportion of bidding wars, and the trend is accelerating. About 15 per cent of all real estate transactions in the greater Montreal area resulted in selling prices that exceeded asking prices. In the year-earlier period, the figure was 11 per cent.

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La seule bonne raison “People want to be in the central districts...'' , c'est dû aux emplois et au transport pour s'y rendre. Si le centre-ville de Montréal était mort ou en très mauvais état, la demande pour les quartiers centraux serait inexistante. Le centre-ville de Montréal compte environ 350,000 emplois.

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