Aller au contenu

Campus MIL - 7(?) étages


mtlurb

Messages recommendés

20 juin 2007 Plusieurs résidants d’Outremont risquent de sursauter à la vue des résultats de l’enquête réalisée auprès de 506 Outremontais entre le 17 et 25 mai par la firme Léger Marketing. Étonnamment, le projet de réaménagement de la gare de triage en campus universitaire suscite dans l’ensemble réactions assez positives. 78% des personnes sondées demeurent toutefois préoccupées par l’éventuelle augmentation de la circulation automobile.

Parmi les faits saillants du sondage, plus des trois quarts des résidants de l’arrondissement déclarent être favorables au projet, dans une plus forte proportion au nord de l’avenue Van Horne. Aussi, lorsqu’il s’agit de se prononcer sur le choix des terrains pour implanter le projet, 75% des résidants disent préférer le site de la gare de triage plutôt que l’expansion de l’université sur le mont Royal.

 

Les principaux avantages relevés par les personnes interrogées sont: la préservation du mont Royal (53%), la décontamination de sols (50%), l’élimination des nuisances ferroviaires de la gare de triage (43%) et la revitalisation de l’avenue Van Horne (40%).

 

Près de la moitié des répondants désire revoir certains aspects du projet, dont la circulation (37%), l’existence même du projet (15%), le cadre financier (14%). L’impact sur l’environnement arrive en quatrième position des préoccupations (12%).

Les consultations publiques

Seulement 4% des résidants affirment avoir participé aux séances de l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM) s’étant déroulées ce printemps. De ce nombre, 6% y ont participé parce qu’ils se disaient non favorables au projet. Les résidants demeurant au nord de l’avenue Van Horne et ceux se disant très préoccupés par le projet ont participé en plus grand nombre aux rencontres de l’OCPM.

«Face à l’importance de la décision, il était nécessaire d’avoir une image représentative des résidants d’Outremont et d’aller chercher l’opinion des 96% pour compléter l’exercice de l’OCPM», a signifié de le maire de l’arrondissement Stéphane Harbour, en marge du dévoilement de l'enquête, le 15 juin.

 

Fait non négligeable, près de 60% des personnes sondées ont affirmé ne pas être familières avec les détails du projet: près du quart n'en avait pas pris connaissance alors que seulement 7% des personnes sondées se sont dits très au fait. En plus, un résidant sur deux demeurant au nord de l’avenue Van Horne serait informé comparativement à seulement 35% au sud de l’avenue Van Horne.

Métropole du savoir

Sans surprise, 92% des gens ont répondu favorablement à l’idée que Montréal devienne une métropole axée sur l’économie du savoir et favorisant le développement des grandes institutions d’enseignement supérieur.

La quasi-totalité des répondants considère qu’une institution d’enseignement supérieur telle que l’Université de Montréal constitue un moteur important du développement économique et social du Québec.

Méthodologie

La firme Léger Marketing a rédigé les questions, à partir de la commande de l’arrondissement et de la Ville de Montréal. Comme l’a expliqué Najoua Kooli, directrice de recherche chez Léger Marketing, les questions étaient sujettes à l’approbation du client et l’analyse des résultats a nécessité environ deux semaines.

Le sondage visait quatre grands objectifs, soit de mesurer le niveau de connaissance et d’appréciation du projet, de voir le degré d’accord avec le choix du site, de saisir les préoccupations quant à l’implantation du campus et d’évaluer la compréhension et l’acceptation du discours liant ce projet particulier au développement global de la Ville de Montréal.

 

Les 506 entrevues ont été réalisées avec un échantillon représentatif de résidants demeurant au sud et au nord de l’avenue Van Horne. «À partir de 300 personnes sondées, on a un échantillon représentatif de la population, a-t-elle fait savoir. Aussi, nous avons une représentation de 30% de personnes demeurant au nord de l’avenue Van Horne, ce qui est une représentativité réelle», a indiqué Najoua Kooli

 

Les entrevues, qui comptaient une quinzaine de questions, ont été d’une durée moyenne de 8,7 minutes. La marge d’erreur est d’environ 4,36% dans un intervalle de confiance de 95%.

 

Le maire Harbour a dit maintenant souhaiter saisir les membres du conseil pour que tous examinent les résultats et ainsi discuter de la suite des choses. Des représentants de l’Université de Montréal présents sur place vendredi sont aussi repartis avec leur copie des résultats.

 

L’enquête est disponible sur demande au bureau d’arrondissement ou au http://www.ville.montreal.qc.ca

D’autres chiffres

-78%: Connaissent le projet

 

-75%: Sont en faveur de l’implantation du campus sur le terrain de la gare de triage plutôt que sur le mont Royal.

 

-90%: Ont participé à la consultation publique pour être davantage informés

 

55%:N’ont pas participé à la consultation publique parce qu’ils n’en avaient jamais entendu parler.

 

-57%: Sont préoccupés par la réalisation du projet.¸

 

-39%: Craignent les nuisances du chantier.

 

-37%: Redoutent l’impact sur le compte de taxes.

 

-54% des femmes: Sont favorables au projet, et 59% contre.

 

-45% des hommes: Sont favorables au projet, et 41% contre.

 

(Source: Enquête auprès des résidants de l’arrondissement d’Outremont, Léger Marketing)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 mois plus tard...
  • Administrateur

NIMBY ?:

 

 

Le campus Elvis Gratton de l’Université de Montréal?

 

Article mis en ligne le 23 août 2007 à 14:32

Soyez le premier à commenter cet article

 

 

Le campus Elvis Gratton de l’Université de Montréal?

 

Serait-ce vouloir entraver la propagation du savoir que de mettre en question le projet de campus universitaire sur la gare de triage du Canadien Pacifique? Cette réticence à se plier aux exigences des intérêts supérieurs du Québec serait-elle une manifestation de l’égoïsme des Outremontais, comme le voudrait un stéréotype immérité mais trop répandu?

 

Mettons de côté, malgré son bien-fondé, la crainte de l’aggravation des problèmes de la circulation automobile, déjà trop envahissante et pressée (et que l’on ne fait rien de sérieux pour résoudre) qu’entraînerait ce campus dans les rues d’un quartier à vocation résidentielle. Notons néanmoins que les ennuis accrus s’abattront sur les secteurs nord et est de l’arrondissement, les moins cossus donc les moins en mesure de défendre leur droit à la jouissance paisible de leurs propriétés: les résidants juchés sur la colline, au sud du chemin de la Côte Sainte-Catherine, eux, n’ont rien à craindre.

 

Arrêtons-nous plutôt aux intérêts du Québec. Combien de projets mal pensés dont on nous a pourtant assuré, main sur le cœur, qu’ils étaient porteurs de bienfaits et à la portée de notre bourse collective, se sont révélés d’utilité éphémère, voire nulle, et des gouffres financiers? L’aéroport de Mirabel (Ottawa), le Stade Olympique (Montréal et Québec), Gaspésia (Québec) et l’Îlôt Voyageur (UQÀM), entre autres, ont généreusement garni le trésor des sociétés d’ingénieurs-conseils responsables de leur conception et de leur exécution, sans compter certains cabinets d’avocats et promoteurs immobiliers, mais ils ont lourdement endetté le contribuable. D’autres, comme le Métro de Laval, tout utiles soient-ils, ont donné lieu à des dépenses dépassant largement les prévisions évoquées lors de leur lancement. Ce train de fiascos ne nous éveille-t-il pas à la nécessité de la plus grande prudence avant l’entreprise de mégaprojets?

 

Combien existe-t-il, à Montréal, d’écoles secondaires et primaires désaffectées et en voie de désaffectation dont les locaux pourraient convenir à l’enseignement universitaire? L’ancienne Académie Strathcona, en face de l’hôtel d’arrondissement d’Outremont, n’a-t-elle pas été recyclée avec succès par l’Université de Montréal? Pourquoi s’arrêter en route quand les contribuables croulent sous des impôts et des taxes qui ne cessent de grimper? L’Externat Mont-Jésus-Marie, acheté à prix fort, ne devait-il pas être mis à contribution, lui aussi? Sinon, pourquoi ne le sera-t-il pas? Réfléchit-on au rectorat avant d’engager de telles dépenses? L’Université de Sherbrooke a établi un campus à Longueuil: ce n’est pas à la porte. L’Université de Montréal ne pourrait-elle pas faire de même, sur l’île?

 

Un peu de frugalité, d’imagination, de hardiesse, Messieurs-Dames les édiles universitaires, provinciaux, municipaux et d’arrondissement. Tout bardés de diplômes puissiez-vous être, vous semblez de l’École «Think Big» d’Elvis Gratton. Êtes-vous dépourvus de lettres et de mémoire au point d’avoir oublié cette grenouille qui voulait se faire aussi grosse que le bœuf? Ne vous souvenez-vous pas qu’elle finit par se faire crever? «Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages, écrivait Jean de La Fontaine. Tout bourgeois veut bâtir comme les grands seigneurs.» Seriez-vous de ce nombre? De grâce, évitez de vous couvrir de ridicule et, surtout, d’alourdir de dettes écrasantes nos enfants et nos petits-enfants. Soyez lucides!

 

Pierre Joncas, résidant d’Outremont

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Faire du neuf avec du vieux ne fonctionne pas toujours. Surtout dans un secteur de pointe comme l'enseignement universitaire. Je travaille dans une ancienne école. Ces locaux ne doivent pas couter cher en théorie, mais en pratique on paye trop cher. Les anciennes classes reconverties en bureaux sont au mieux adéquates. Le bâtiment n'a pas été fait pour être climatisé, donc on doit payer une fortune pour une climatision déficiente: trop chaud dans les corridors, trop froid dans les bureaux (on a déjà vu des employés devoir avoir une chauffrette en été!!!). De plus, nos locaux sont irréguliers et le mobilier doit être adapté et coute donc plus cher. L'Université de Montréal devrait regarder vers du neuf plutot que du vieux. Surtout qu'avec du neuf, on peut construire plus vert.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 3 mois plus tard...

La Presse

Le samedi 01 décembre 2007

Le projet de campus de l'Université de Montréal à la gare de triage d'Outremont est en train de devenir un enjeu électoral. Les candidats à la mairie d'Outremont des deux partis de l'opposition, Vision Montréal et Projet Montréal, s'en prennent tant au manque de rigueur de la Ville de Montréal qu'à la décision de l'Université de Montréal de construire un nouveau complexe.

Selon Jean-Claude Marsan, candidat à la mairie sous la bannière de Projet Montréal, l'Université aurait dû plutôt miser sur le campus de la montagne, notamment l'ancien couvent des Saints-Noms-de-Jésus-et-de-Marie, plutôt que de se lancer dans un projet qui n'a pas fait ses preuves.

 

«Les inscriptions dans les universités déclinent. Je pense qu'il aurait été préférable de bonifier le campus actuel, dit M. Marsan. Je ne suis pas le seul à le croire. Je prévois un affrontement musclé contre le projet, et pas seulement de la part des syndicats universitaires.»

 

Au lieu d'un campus universitaire, Projet Montréal croit que la solution pour la gare de triage réside dans le réaménagement résidentiel, pour notamment assurer la survie des 15 écoles d'Outremont.

 

Plus tôt cette semaine, la candidate de Vision Montréal, Christine Hernandez, a pour sa part critiqué la lenteur de l'administration Tremblay à tenir compte des recommandations de l'Office de consultation publique de Montréal (OCPM), qui demandait «d'ouvrir plus démocratiquement la participation des citoyens.»

 

«Présentement, les discussions se font derrière des portes closes», a déploré Mme Hernandez.

De nouvelles études

À la suite des attaques des partis de l'opposition, le responsable du dossier au comité exécutif de la Ville, André Lavallée, a expliqué hier qu'une rencontre avec les représentants des arrondissements limitrophes a déjà eu lieu et que cinq études supplémentaires ont été demandées, notamment sur le démantèlement de la voie ferrée. L'Université de Montréal dit pour sa part qu'il n'est pas question de revenir en arrière, que des offres d'achat "solides" sont sur la table pour acheter le campus de la montagne. Un endroit qu'il faut préserver, et non densifier, a répété Alexandre Chabot, vice-recteur adjoint, responsable de la construction à Outremont.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 5 mois plus tard...

Le samedi 03 mai 2008

 

Le viaduc Rockland sera démoli

 

Sara Champagne

 

La Presse

 

L’un des plus imposants viaducs de la région de Montréal sera démoli, a appris La Presse. Après avoir dégagé 1,8 million pour sécuriser le viaduc Rockland, qui enjambe la gare de triage d’Outremont, l’administration Tremblay a décidé d’aller de l’avant avec l’étude de divers scénarios de reconstruction complète.

 

Comme l’a déjà révélé La Presse en janvier dernier, le béton de la structure, construite il y a 40 ans, prend l’eau, est infiltré par le sel et n’a plus la force de résister aux cycles gel-dégel. Cet état lamentable rappelle l’une des principales causes de l’effondrement du viaduc de la Concorde, à Laval, en septembre 2006.

 

Dans un entretien avec La Presse, le responsable des infrastructures et de la voirie à la Ville, Sammy Forcillo, a expliqué que trois scénarios de «remplacement ou de réaménagement» seront étudiés par le consortium d’ingénierie-construction Axor/Géniplus, qui a déjà été mandaté. Ce processus s’échelonnera sur au moins deux ans, pour aboutir à d’imposants travaux vers 2010 ou 2011.

 

«On pourrait choisir de démolir pour construire un passage supérieur ou inférieur, comme celui qu’on trouve rue Saint-Christophe, près de la rue Laurier, a dit M. Forcillo. Il faudra étudier la plus-value de chaque option. Le réaménagement complet est aussi envisagé.»

 

Chose certaine, l’agglomération de Montréal entrevoit déjà des coûts d’entre 10 et 25 millions de dollars. Dans un document présenté au comité exécutif de Montréal et que La Presse a obtenu, on précise que l’étude d’avant-projet, évaluée à 2,9 millions, «s’inspirera de l’approche employée lors du projet de réaménagement de l’échangeur Parc-des Pins», qui a coûté 29,5 millions à ce jour.

 

À l’instar de l’échangeur du Parc-des Pins, en voie de devenir la fenêtre verte du mont Royal, l’administration municipale espère aboutir avec un viaduc flambant neuf conforme aux exigences de la Charte du piéton et du Plan de transport de Montréal. Les experts de Montréal, de concert avec ceux de Mont-Royal et d’Axor/Géniplus, incluront donc dans leurs études la possibilité d’aménager une piste cyclable et un trottoir du côté est de cette vieille structure, qui relie Mont-Royal à Outremont.

 

Qui plus est, Montréal souhaite que le nouveau viaduc tienne compte du projet immobilier de l’Université Montréal à la gare de triage d’Outremont, dont la première étape doit être la construction d’un campus des sciences. Lors des audiences publiques sur le projet, une étude de CIMA avait révélé que la nouvelle clientèle augmenterait la circulation de 50 à 85% en matinée, dans certaines rues, et de près de 90% en fin de journée. Des ingénieurs avaient jugé que le secteur du viaduc Rockland était particulièrement fragile.

 

Sécurité avant tout

 

En attendant la reconstruction, les travaux de sécurisation, qui doivent être terminés en juin, prolongeront la vie utile du viaduc de trois à cinq ans. Une étude a déjà révélé que la surface de béton à réparer s’étend sur 1800 mètres carrés au lieu de la première estimation de 375 mètres carrés. La Presse a par ailleurs appris, cette semaine, que les ancrages des garde-corps sont affaiblis et que les colonnes qui supportent le tout sont «délaminées et fissurées».

 

À la suite du premier constat de dégradation extrême, en janvier, la mairesse de Ville de Mont-Royal, Vera Danyluk, avait demandé à Montréal de fermer le viaduc. Montréal avait rétorqué que des analyses démontraient que la capacité portante était suffisante pour accueillir les quelque 25 000 véhicules, souvent des camions, qui y passent quotidiennement.

 

«Il est clair que le viaduc nécessite plus que le rapiéçage du tablier, estime Mme Danyluk. Quand on passe sous le viaduc pour aller au centre commercial Beaumont, on peut apercevoir des morceaux de béton déjà tombés et les colonnes qui ont été rapiécées. Durant tout l’hiver, quand je voyais des camions de neige passer l’un après l’autre, souvent avec double charge, je regardais le ciel pour qu’il n’y ait pas d’effondrement.»

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Non tu te trompes pas. C'est le viaduc qui enjambe la cours de triage de Outremont et un des seuls liens reliant Outremont et Ville Mont-Royal alors je te laisse imaginer la congestion que ca va créer.

 

En effet il est très utilisé (en après-midi Acadie et Jean-Talon refoulent jusque là...), et c'est comme le seul lien nord-sud entre Parc et Wilderton.

 

 

Bizarre, je suis passé sur/sous ce viaduc très souvent sans voir qu'il était en si mauvais état (comparé à CDN/Remembrance par exemple!).

Qu'est-ce qui arrivera à son frère le viaduc Rosemont?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 mois plus tard...

Avis aux médias - Assemblée publique d'information sur le projet du campus universitaire d'Outremont

MONTREAL, le 16 juin /CNW Telbec/ - M. André Lavallée, responsable de

l'aménagement urbain et du transport collectif au comité exécutif de la Ville

de Montréal, et Mme Marie Cinq-Mars, mairesse de l'arrondissement d'Outremont,

invitent les représentants des médias à une assemblée publique d'information

au cours de laquelle seront présentées les études réalisées par la Ville de

Montréal à la suite des recommandations de l'Office de consultation publique

de Montréal, ainsi que les prochaines étapes du projet.

(Une rencontre de même nature se tiendra, le 18 juin, à 19 h, au Centre

William-Hingston, dans l'arrondissement de

Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension, au 419, rue Saint-Roch.)

 

<<

Date : Le mardi 17 juin

 

Heure : 19 h

 

Endroit : Centre communautaire intergénérationnel d'Outremont,

999, avenue McEachran, arrondissement d'Outremont

>>

 

 

 

Renseignements: Jean-Jacques Bédard, Service des communications et des

relations avec les citoyens, (514) 872-3393; Source: Darren Becker, Cabinet du

maire et du comité exécutif, (514) 872-6412

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


Countup


×
×
  • Créer...