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Le Quartier des spectacles


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  • 7 mois plus tard...

Une réglementation en vue pour encadrer l’éclairage dans le Quartier des spectacles

 

Edifice-Wilder-Balmoral-Place-des-Festiv Josie Desmarais/Métro

L’arrondissement de Ville-Marie songe à adopter une réglementation pour encadrer l’éclairage des bâtiments dans le Quartier des spectacles (QDS).

«L’arrondissement est conscient qu’il devra se pencher sur une réglementation éventuellement parce qu’en ce moment, si un immeuble choisit d’installer ou d’ajouter de l’éclairage, ce n’est pas normé», a expliqué à Métro la porte-parole du comité exécutif de la Ville de Montréal, Laurence Houde-Roy.

Si le projet va de l’avant, «une consultation publique sera alors tenue en arrondissement, afin de permettre à tous les citoyens et tous les organismes de se faire entendre», a précisé la relationniste de la Ville de Montréal, Marilyne Laroche Corbeil.

À titre d’exemple, les lumières intérieures de plusieurs locaux situés dans les édifices adjacents à la place des Festivals demeurent allumées à la tombée du jour. Le Partenariat du QDS convient que cet éclairage peut «rendre les activités moins optimales à certains moments», en particulier pendant des concerts, spectacles ou expositions. Il refuse toutefois de devenir «une police des lumières».

«Oui, ça peut dégager de la pollution lumineuse et peut-être que ça peut affecter l’expérience, a indiqué la porte-parole du Partenariat du QDS, Marie Lamoureux. C’est une question en continu qu’on cherche à solutionner ensemble, avec tous nos partenaires.»

Les Grands Ballets canadiens, dont les bureaux sont situés dans l’Édifice Wilder, participent aussi à cette discussion. La porte-parole du groupe, Nathalie Dion, a souligné à Métro l’existence de «certains standards» pendant des projections extérieures.

«On nous demande par exemple de fermer nos néons, et ce sont eux qui ont le contrôle sur les stores dans nos bureaux pour les rendre plus opaques au besoin, a-t-elle avancé. On a des danseurs qui finissent parfois très tard, mais de notre côté, on fait des efforts pour fermer nos lumières le soir.»

Ce débat sur la pollution lumineuse dans le QDS s’avère «extrêmement complexe» dû au «grand nombre d’intervenants impliqués», de l’occupant à l’entrepreneur en passant par la firme d’architectes, précise Mme Lamoureux.

«Quand il y a de nouveaux promoteurs qui s’installent, on les rencontre pour leur faire comprendre où ils sont. On veut savoir s’ils ont pensé au vitrage, à l’éclairage, et à plusieurs autres éléments.» – Marie Lamoureux

Métro a contacté plusieurs promoteurs qui organisent des festivals et des concerts à la place des Festivals pour savoir si l’éclairage intérieur des bâtiments à bureaux nuisait à leurs événements, mais n’a pas obtenu de réponses.

Des discussions doivent avoir lieu entre le Partenariat du QDS et la Ville de Montréal sur cet enjeu. «On n’a pas encore d’échéancier précis», a indiqué Laurence Houde-Roy.

L’exception Vieux-Montréal
Jusqu’ici, seul le Vieux-Montréal encadre l’éclairage, par le biais de son plan lumière, dans le but de mettre en valeur «de façon permanente la beauté de son patrimoine architectural», indiquent des documents de la Ville de Montréal. La place Jacques-Cartier, la Place d’Armes, l’hôtel de ville, la Gare Dalhousie ou encore la rue Saint-Paul sont notamment pris en main par le programme.

«Il ne s’agit pas d’une réglementation, mais plutôt de lignes directrices afin d’encadrer l’éclairage de ces bâtiments emblématiques», a spécifié Mme Laroche Corbeil.

L’usage de «lampes à incandescence aux fluorescents», «des lampes à décharge et à induction», «de la fibre optique aux diodes électroluminescentes» et des «systèmes de conduction optique» est ainsi privilégié dans le Vieux-Montréal.

Avec l’aide de ces nouveaux outils, il demeure possible, pour le concepteur, «d’ajouter à la valeur qualitative de la vie urbaine, tout en respectant les prescriptions […] en matière de consommation d’énergie», peut-on lire dans le rapport.

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Since we're on the subject on QDS, I want to say that I'm happy that we have an area like this in the city, having a huge concentration of arts and culture in one area of downtown is a dream many cities have and I feel we do one of the best. The only critique I have though is I wish there were more activities in Place des Arts, given it is in the core of downtown. Outside of festival season, it's pretty quiet when it should be hustle and bustle 24/7 IMO. I love Luminothérapie and it does help bring a crowd, but the dominos this year kinda.... sucked. Other than that I wish they had more free galleries/more pop-ups, more projections, more interaction all year long and even more winter fests to help bring people out. 

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  • 4 semaines plus tard...

http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,85931607&_dad=portal&_schema=PORTAL

40.007 Règlement - Emprunt
CM Service de la culture - 1181103006
Adoption - Règlement autorisant un emprunt de 12 050 000 $ afin de financer les services professionnels
relatifs à la conception des plans et devis ainsi que les travaux de réalisation du projet de
réaménagement de la rue de Bleury, entre l'avenue du Président Kennedy et le boulevard René
Lévesque dans le cadre du projet du Quartier des spectacles.

40.008 Règlement - Emprunt
CM Service de la culture - 1181103005
Adoption - Règlement autorisant un emprunt de 5 500 000 $ afin de financer les services professionnels
relatifs à la conception des plans et devis ainsi que les travaux de réalisation du projet de
réaménagement de la rue Clark, entre la rue Sainte-Catherine et le boulevard René Lévesque dans le
cadre du projet du Quartier des spectacles.

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  • 1 année plus tard...

30 septembre 2020 | mise à jour le: 30 septembre 2020 à 21:01

Par: Amélie RevertMétro

Le Quartier des spectacles s’illumine de rouge pour soutenir les artistes

Photo: Olivier Gariépy/Collaboration spéciale Quartier des spectaclesLa salle Wilfrid-Pelletier en rouge

Alors que Montréal s’apprête à basculer en alerte maximale, le Quartier des spectacles brillera de rouge à la nuit tombée dès jeudi. Cette initiative se veut solidaire avec le secteur culturel, sévèrement affecté par les annonces faites par le gouvernement lundi.

https://journalmetro.com/culture/2529111/le-quartier-des-spectacles-sillumine-de-rouge-pour-soutenir-les-artistes/

 

Pendant 28 jours, soit la durée de l’obligation de fermeture des lieux de diffusion de la culture, plusieurs édifices du Quartier des spectacles s’illumineront en rouge après le coucher du soleil. Ceux qui se baladeront dans le quartier pourront ainsi apprécier la Place des Arts, le Musée d’art contemporain, le Cinéma Impérial ou encore les Jardins Gamelin sous un autre jour.

L’évènement Éclairons les scènes (Light Up Live) avait déjà eu lieu le 22 septembre. L’organisme Live Event Community en est à l’origine. Son but est de sensibiliser le plus grand nombre à la crise actuelle qui touche les arts vivants.

Rappelons que jusqu’au 28 octobre, les cinémas, salles de spectacles, théâtres, musées et bibliothèques (exceptés pour les prêts sans contact) – mais aussi les restaurants et les bars – de Montréal, de la Capitale-Nationale ainsi que de Chaudière-Appalaches sont tenus de fermer leurs portes au public. Une décision qui résonne comme un véritable coup de tonnerre pour le secteur, déjà affaibli par le premier confinement du printemps.

Les autorités veulent en effet éviter tout rassembler pour freiner l’ampleur de la deuxième vague de COVID-19 qui déferle actuellement sur le Québec.

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  • 2 années plus tard...

Un autre lieu pour la chanson

 

PHOTO MARCO CAMPANOZZI, ARCHIVES LA PRESSE

Le cinéma Impérial, à Montréal

Mario Girard La Presse

Le 27 septembre dernier, lors de la remise des prix de la Fondation de la Société professionnelle des auteurs et compositeurs du Québec (SPACQ), Diane Juster a fait une annonce qui est malheureusement passée sous le radar, mais qui vaut hautement la peine d’être soulignée.

Publié à 7h15

https://www.lapresse.ca/arts/chroniques/2022-10-06/un-autre-lieu-pour-la-chanson.php

La Fondation de la SPACQ s’installera dans les locaux du cinéma Impérial afin de canaliser ses actions et devenir un port d’attache pour les créateurs de musique et de chansons.

Grâce à un partenariat avec Québecor, « locataire prioritaire » de ce bâtiment historique, l’organisme jouira d’un espace de 4000 pieds carrés pour y tenir des classes de maître, des ateliers de formation, des expositions et des spectacles à petit ou grand déploiement.

Bref, un lieu de création, de formation et de diffusion voué à la chanson verra bientôt le jour en plein cœur du Quartier des spectacles.

J’ai rencontré Diane Juster, cofondatrice de la SPACQ, et la productrice Denise Robert mardi à ce sujet. Les deux femmes, connues pour leur faculté à déplacer des montagnes, travaillent très fort à ce projet depuis plusieurs mois.

 

PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, LA PRESSE

Diane Juster, cofondatrice de la SPACQ

Elles sont très heureuses de franchir enfin cette étape grâce à l’appui de Pierre Karl Péladeau et de Manon Blanchette, vice-présidente responsable du développement du cinéma Impérial. « Ça fait deux ans que nous sommes là-dessus, m’a dit Diane Juster. Nous arrivons avec un projet solide. Il était temps. Les créateurs ont besoin d’un lieu comme celui-là. »

Quelques secondes plus tard, elle me disait comment elle imaginait l’endroit : vaste, aéré, convivial, modulaire.

Dans les locaux qui ont abrité pendant des décennies les bureaux du Festival des films du monde, on retrouve une salle d’une quarantaine de places qui servait aux projections privées. Les instigatrices entendent rénover et exploiter ce petit théâtre.

L’idée de jumeler ce nouveau « centre de la chanson » au cinéma Impérial n’est pas anodine. Ce splendide théâtre, construit en 1913 et classé immeuble patrimonial depuis 2012, subira d’importantes rénovations au cours des prochains mois. Le ministère de la Culture a récemment annoncé une enveloppe de 4 millions de dollars pour optimiser les lieux. On attend maintenant de voir ce que feront la Ville de Montréal et le gouvernement fédéral.

 

PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

Denise Robert, productrice chez Cinémaginaire

La Fondation de la SPACQ, qui y tient déjà depuis de nombreuses années sa remise de prix annuelle, entend contribuer à faire vibrer cette salle, l’une des plus belles de la métropole. « C’est un magnifique théâtre qui va pouvoir accueillir de nombreux artistes, dit Denise Robert. Il va devenir un élément important du Quartier des spectacles. Pour nous, c’était un choix tout indiqué. »

Quand on plonge dans les détails de ce projet, il nous vient immédiatement à l’esprit celui que mène en parallèle Monique Giroux, soit celui de la Maison de la chanson et de la musique du Québec qui doit s’installer dans l’édifice Saint-Sulpice. Ne sommes-nous pas en face d’un doublon comme on a déjà vu dans d’autres domaines à Montréal (festival de cinéma, festival d’humour, festival de la Fierté, etc.) ?

« Pas du tout, m’a assuré Diane Juster. C’est le mandat de la SPACQ et de la Fondation de la SPACQ de défendre les droits des auteurs et compositeurs, de les aider à avancer et de les faire rayonner. Ce projet va dans ce sens. » De son côté, Denise Robert précise que le projet de la Fondation de la SPACQ sera « complémentaire » à celui de Monique Giroux.

La Maison de la chanson de Saint-Sulpice sera certes un lieu pour la mémoire de la chanson, mais on entend également créer des activités connexes. Monique Giroux croit elle aussi que les deux entités seront complémentaires. Selon cette passionnée de la chanson, le projet de la Fondation de la SPACQ mettra l’accent sur les créateurs, alors que celui de la Maison de la chanson visera le grand public.

On verra bien comment ces deux centres cohabiteront. Pour l’heure, l’équipe de la Fondation de la SPACQ plonge la tête première dans une vaste opération de financement. Selon le document de présentation que j’ai obtenu, 2024 devrait marquer la fin de l’aménagement des lieux et le lancement des activités et des programmes.

Longtemps considérée comme l’enfant pauvre du monde des arts, notre chanson sera bichonnée comme jamais elle ne l’a été. Il est à souhaiter que l’énorme travail qui est à faire pour protéger cette industrie contre les géants du numérique se conjugue à ces chantiers.

Car comme a si bien dit un jour Jacques Dutronc : « Le plus dur dans la chanson, c’est arriver à se faire payer. »

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  • 5 semaines plus tard...
  • 1 mois plus tard...
il y a une heure, Normand Hamel a dit :

Installation d'arches numériques dans le Quartier des spectacles.

Photos: @Claude Deschênes

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À quoi est-ce que ça va servir exactement?  Est-ce temporaire ou permanent?  Y en aura-t-il plusieurs?

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il y a 20 minutes, ToxiK a dit :

À quoi est-ce que ça va servir exactement?  Est-ce temporaire ou permanent?  Y en aura-t-il plusieurs?

C'est pour indiquer les activités du Quartier des spectacles. Je crois que cette installation est permanente mais je ne sais pas s'il y en aura d'autres à différents points d'accès; ce serait logique de le faire et on pourrait en installer au moins deux, une à l'ouest (celle-ci) et possiblement une autre à l'est, disons rue Saint-Urbain.

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