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Rio Tinto Alcan, agrandissement du siège social - 20 étages (2010)


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I guess this could also go in the cancelled section. This is what RioTintoAlcan was considering before they decided to sell their head office and move their entire staff into a new tower

 

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Quelqu'un sait quels sont les projet de Alcan mis à part avoir acheté l'Armée du Salut? Ils ont aussi acheté le bloc qui donne sur Maisonneuve et qui a une espèce de facade en tole laide?

 

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  • 1 année plus tard...

Alcan est loin d'un nouveau siège social à Montréal Éric Desrosiers

Édition du mercredi 09 juillet 2008, Le Devoir

Mots clés : Rio Tinto, siège social, Alcan, Économie, Montréal, Canada (Pays)

 

 

L'Alcan n'est plus aussi sûre, depuis qu'elle a été achetée par Rio Tinto, d'avoir besoin d'agrandir et de moderniser les bureaux de son siège social à Montréal.

 

Annoncés en grande pompe en janvier de l'année dernière, les projets de rénovation et d'agrandissement étaient censés se mettre en branle au début de 2007 et se terminer avant la fin de 2009. C'était avant que l'aluminerie canadienne fasse l'objet d'une offre d'achat hostile de sa concurrente américaine Alcoa, puis d'une autre offre d'achat, amicale celle-là, du géant minier australo-britannique, qui allait finalement se conclure en novembre dernier.

 

«Les travaux n'ont toujours pas commencé, a déclaré hier, au Devoir, le porte-parole de Rio Tinto Alcan Stefano Bertolli à propos des projets d'agrandissements. Nous sommes toujours en train d'intégrer l'ancienne Alcan dans Rio Tinto. Pour le moment, on évalue quels sont nos besoins et quel serait l'intérêt de ces projets d'agrandissement. Tant que notre analyse ne sera pas complétée, on ne pourra pas dire quand les travaux commenceront, quelle ampleur ils auront, ni même s'ils auront lieu.»

 

Le projet d'agrandissement initial comprenait l'acquisition et la conversion pour 40 à 50 millions $ du sanctuaire et de la tour administrative de l'Armée du Salut, situés sur les rues Stanley et Drummond, juste à côté du siège social d'Alcan. Mais, tout a été arrêté après l'achat des bâtiments.

 

Rio Tinto s'est accordé deux années pour compléter son processus d'intégration d'Alcan. Le travail de réflexion auquel ce processus donne lieu ne remet pas en cause l'engagement de Rio Tinto de maintenir à Montréal un siège social équivalent à ce qu'il y avait avant la transaction, a assuré Stefano Bertolli. Il définit cette obligation comme une «combinaison» du nombre d'emplois et de leur caractère décisionnel dans l'entreprise.

 

Des employés qui partent, d'autres qui viennent

 

Il a été décidé que la métropole servira de siège social mondial à Rio Tinto Alcan, qui regroupera toutes les activités de Rio Tinto dans le secteur de l'aluminium, en plus d'être le centre de service régional pour toutes les filiales de Rio Tinto au Canada. Selon Rio Tinto Alcan, le nombre d'employés aux bureaux de Montréal est resté pratiquement le même qu'à l'époque d'Alcan. La compagnie évalue ce nombre entre 820 et 830 personnes, «si l'on compte les employés à temps plein, ceux à temps partiel et les consultants». On admet que certains services ont d'ores et déjà été transférés à l'étranger, comme celui des relations avec les investisseurs qui a été rapatrié à la maison-mère, à Londres. On assure toutefois que d'autres services, notamment ceux des communications et des technologies de l'information, ont vu grossir leurs rangs.

 

Au moment de la transaction, Rio Tinto Alcan s'était engagé à respecter les obligations contractées par Alcan auprès du gouvernement du Québec en échange de l'accès à bas prix aux ressources hydroélectriques du Québec. Ces obligations portent notamment le volume des investissements à long terme au Québec, le maintien du niveau d'emplois et l'engagement financier de la compagnie dans la collectivité. Énumérées dans une «convention de continuité» de neuf pages, elles spécifient également que l'Alcan et ses éventuels acquéreurs doivent assurer «le maintien au Québec d'activités et de sièges sociaux opérationnels, financiers et stratégiques importants pour Alcan et ses actifs à des niveaux essentiellement similaires à ceux d'Alcan» au moment de la signature de l'entente, en décembre 2006.

 

Québec est content

 

Rio Tinto Alcan a, jusqu'à présent, rempli et même dépassé ses obligations à l'égard du gouvernement du Québec, a déclaré son porte-parole. Stefano Bertolli a cité en exemple la récente annonce d'un possible projet d'expansion de 2,5 milliards $US de l'usine pilote AP50 à Alma ainsi que les 200 millions que la compagnie a promis d'investir dans un fonds pour des engagements caritatifs, communautaires et culturels.

 

Le gouvernement du Québec se dit très satisfait pour le moment. «Des rencontres ont lieu tous les deux mois entre la compagnie et le Ministère et tout se passe très bien jusqu'à présent», a déclaré hier, au Devoir, Manuela Goya, l'attachée de presse du ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, Raymond Bachand. Le gouvernement Charest s'est montré très fier de sa convention de continuité ces derniers mois. Il continue d'y voir sa meilleure police d'assurance s'il fallait qu'un autre géant minier australo-britannique, appelé BHP Billiton, celui-là, réussissait finalement à mettre la main sur Rio Tinto et, par le fait même, sur Rio Tinto Alcan, comme il essaie de le faire depuis des mois.

 

On était bien loin de tout cela, le 15 janvier 2007, lorsque Alcan a annoncé son projet d'agrandissement et de modernisation de son siège social à Montréal. Il y avait, entre autres, le premier ministre Charest, Raymond Bachand, le ministre fédéral des Travaux publics Michael Fortier et le maire de Montréal, Gérald Tremblay. «C'est une journée qui passera à l'histoire d'Alcan», avait alors déclaré le grand patron de la compagnie, Dick Evans, devenu, depuis, chef de la direction de Rio Tinto Alcan.

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Les "vraies" décisions sont prises à Londres.

 

Les décisions d'ordre stratégiques probablement mais un C.A., ça n'occupe pas beaucoup de place... certainement pas de quoi faire des tours à bureau. Montréal devient le siège d'une filiale, mais d'une filiale plus grosse que l'entité telle quellle était avant tout de même.

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  • 1 année plus tard...

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