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Complexe de la rivière Romaine

Un branchement de 1,5 milliard

 

Mise à jour le vendredi 20 juin 2008, 17 h 36 .

 

 

Hydro-Québec a présenté cette semaine son projet de transport électrique pour le futur complexe de la Romaine aux populations de Sept-Îles et de la Minganie.

 

La construction de 500 kilomètres de lignes de transport électrique pour brancher les quatre centrales est maintenant évaluée à 1,5 milliard, soit 500 millions de plus qu'en 2006.

 

Cette augmentation est surtout attribuable, selon la société d'État, aux frais de financement et d'intérêts. Hydro-Québec a aussi modifié son tracé à la suite de consultations, ce qui permet d'éviter une bonne partie d'une réserve faunique, des sentiers de ski de fond, des chalets et la route 138.

 

La porte-parole de la société d'État, Marie-Julie Roy, indique que le tracé traverse la 138 à une seule place, soit au poste Arnaud. « C'était très important pour nous de préserver le paysage en abord du fleuve », indique Mme Roy.

 

Les lignes de transport seront érigées à partir de 2011 si la construction du complexe de la Romaine commence l'an prochain comme prévu.

 

Les retombées économiques régionales de la construction des lignes de transport sont évaluées à 128 millions de dollars. « Ce sont essentiellement des contrats, entre autres du déboisement, de la sous-traitance, de la main-d'oeuvre, de l'achat local et également des possibilités d'hébergement », explique Mme Roy.

 

En moyenne, le chantier embauchera 90 travailleurs par année pendant 10 ans. Hydro-Québec poursuit ses pourparlers avec les Innus de Mingan et de Sept-Iles-Malioténam sur le versement de redevances puisque les lignes de transport passeraient au-dessus de leur territoire ancestral.

 

La société d'État déposera son étude d'impact l'an prochain.

 

Hydro-Québec souhaite construire un complexe hydroélectrique d'environ 1500 mégawatts (MW) sur la rivière Romaine, au nord de Havre-Saint-Pierre. Les centrales pourraient entrer en service en 2013-2015.

 

Le projet est évalué à 6,5 milliards de dollars.

 

http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/06/20/010-romaine-transport.asp?ref=rss

 

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L'annonce officielle reportée

 

Mise à jour le lundi 30 juin 2008, 11 h 13 .

 

Hydro-Québec fait un pas de plus vers la réalisation de son projet de raccordement au futur complexe de la rivière Romaine, sur la Côte-Nord. La société d'État a conclu une entente avec les Innus de Natashquan sur les redevances qu'elle devra leur verser. Le dévoilement des détails de l'entente, qui devait avoir lieu lundi, est remis à une date ultérieure, en raison du mauvais temps.

 

La ministre des Ressources naturelles par intérim, Julie Boulet, et le ministre responsable des Affaires autochtones, Benoît Pelletier, devaient faire le voyage jusqu'à Natashquan pour présenter ce projet évalué à 8 milliards de dollars.

 

Rappelons qu'une entente de principe sur les redevances avait été conclue en mars dernier. Lors d'un vote secret en avril, les trois quarts des Innus avaient donné leur accord à cette entente.

 

En plus des emplois et de divers contrats reliés à la construction projetée des quatre centrales hydroélectriques, le conseil de bande compte sur les redevances pour assainir ses finances.

 

http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/06/30/001-entente-innus-hydro.asp?ref=rss

 

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  • 2 months later...

Projet de la rivière Romaine : Appui de la FTQ

Mise à jour le vendredi 5 septembre 2008, 12 h 24 .

 

Le président de FTQ, Michel Arsenault, accorde un soutien sans équivoque à la Coalition pour la réalisation d'un complexe hydroélectrique sur la rivière Romaine.

 

Ce regroupement d'élus régionaux, dont font partie le préfet de la Minganie, Pierre Cormier, et le président de la Conférence régionale des élus (CRE), Georges-Henri Gagné, reçoit ainsi un appui de taille pour la construction de ce projet qui doit démarrer au printemps 2009. Michel Arsenault estime qu'il s'agit d'un projet majeur pour l'économie de la Côte-Nord. « Il n'est pas superflu de rappeler qu'il s'agit d'un projet qui générera une énergie propre, renouvelable et sans émission de gaz à effet de serre », ajoute le syndicaliste.

 

Georges-Henri Gagné abonde dans le même sens. « Si avec la technologie d'il y a 50 ans, la région de Manicouagan-Uapishka, avec ses neuf barrages, a été décrétée l'automne dernier réserve de la biosphère par l'UNESCO, il va sans dire qu'avec la technologie d'aujourd'hui, nous pouvons faire mieux encore du point de vue environnemental », soutient le président de la CRE.

 

Le préfet de la Minganie s'est, pour sa part, réjoui de cet appui dans une région fortement touchée par le déclin démographique.

 

François Bellefleur, chef de la communauté innue de Nutashkuan (Natashquan) a aussi remercié la FTQ de son appui. Les Innus de Natashquan ont été les premiers autochtones à s'entendre avec Hydro-Québec sur les redevances versées à la communauté pour la réalisation du complexe hydroélectrique.

 

L'annonce de cet appui survient au moment même où le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) lance le processus de consultation sur le projet de la rivière Romaine. L'étude d'impacts d'Hydro-Québec et tous les documents afférents à la construction des quatre centrales sur la rivière sont disponibles sur le site de l'organisme.

 

La période d'information et de consultation publique se terminera le 19 octobre. Durant cette période de 45 jours, tout citoyen, groupe, municipalité ou organisme pourra réclamer une audience publique au ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs.

 

Les séances d'information du BAPE se dérouleront le 16 septembre à Havre-Saint-Pierre et le lendemain à Sept-Îles.

 

Le projet hydroélectrique sur la rivière Romaine prévoit la construction de quatre centrales d'une puissance totale de plus de 1500 MW. La construction du plus vaste complexe hydroélectrique à se réaliser sur la Côte-Nord est estimée à 6,5 milliards et s'étalera sur 11 ans.

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  • 4 weeks later...

Le Nord est dans la mire

 

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Mise à jour le dimanche 28 septembre 2008 à 23 h 37

 

Jean Charest tient son discours de clôture au Conseil général de son parti.

 

Le premier ministre Charest a un ambitieux projet de développement du Nord québécois. Il en a esquissé les grandes lignes, dimanche, avant de clore le Conseil général de son parti, à Lévis.

 

Exploiter ce territoire au potentiel minier exceptionnel pourrait, affirme-t-il, assurer l'avenir économique du Québec.

 

Le premier ministre a notamment fait référence aux importantes quantités de fer, de nickel, de titane et d'argent contenues dans les sols.

 

Jean Charest plaide que la croissance des pays émergents va entraîner une forte croissance de la demande, au profit du Québec.

Nouvelles centrales

 

En plus des ressources touristiques, Charest voudrait aussi exploiter les ressources hydroélectriques de la région en construisant de nouvelles centrales.

 

Il a rappelé sa volonté de mener à bout le projet controversé de barrage sur la rivière Romaine, dont les travaux pourraient débuter en 2009, avant d'effleurer celui de la rivière Petit-Mécatina, un autre grand projet.

 

Vendredi, dans un élan nationaliste, M. Charest a pris ses distances des partis fédéraux en invoquant l'héritage de Jean Lesage, père de la révolution tranquille et de la nationalisation de l'électricité.

 

Sous la gouverne de M. Lesage, les libéraux provinciaux ont adopté une résolution affirmant leur indépendance des partis fédéraux, symbolisée par le désormais célèbre slogan « Maîtres chez nous ».

Des élections à l'horizon?

 

Le premier ministre Charest n'a pas écarté la possibilité que des élections générales soient déclenchées au Québec dans un avenir proche, voire même cet automne.

 

« Mon horaire est très chargé jusqu'au 1er janvier prochain. Je ne sais pas ce que mes adversaires vont faire. On ne sait pas ce que la vie nous réserve », a-t-il lancé.

 

« On est minoritaires, nous, à l'Assemblée nationale du Québec. Depuis le lendemain de l'élection, il fait faire un minimum pour se préparer. Et on n'est pas les seuls à décider de notre avenir, loin de là », a-t-il ajouté.

Pauline Marois, chef du PQ

 

Pauline Marois venait appuyer la candidate péquiste à l'élection partielle dans Jean-Talon, Françoise Mercure.

 

En point de presse à Québec, la chef du Parti québécois, Pauline Marois, a rétorqué qu'aucun enjeu n'était susceptible d'entraîner la chute du gouvernement libéral à court terme. Mme Marois a accusé Jean Charest de s'être traîné les pieds en matières linguisitique et constitutionnelle, et d'avoir attendu les élections fédérales pour se présenter comme le défenseur des intérêts du Québec.

 

« Les sondages, c'est une chose, moi je regarde les résultats. C'est quoi les résultats dans la défense des intérêts du Québec dans les derniers cinq ans? Donnez-moi des exemples concrets, significatifs, un peu costauds. Il n'y a rien de réglé », a dit la chef péquiste.

 

De son côté, la porte-parole de Québec solidaire, Françoise David, a taxé M. Charest d'opportunisme dans sa défense des intérêts du Québec. En conseil général à Lévis, elle s'est notamment servi du projet Rabaska pour appuyer son propos.

 

« [M. Charest] fait la promotion de politiques contraires aux intérêts du Québec avec le projet de port méthanier à Lévis, la rénovation de [la centrale nucléaire] Gentilly-2 et le détournement de grandes rivières pour des fins énergétiques », a déclaré Mme David.

 

D'ici les prochaines élections générales, il y aura lundi une élection partielle dans la circonscription de Jean-Talon, dans la région de Québec.

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  • 2 weeks later...

Entente avec deux autres bandes innues

 

Mise à jour le jeudi 9 octobre 2008, 14 h 41 .

 

Les Innus de Saint-Augustin et de La Romaine recevront 14,5 millions en compensation pour le projet hydro-électrique de La Romaine.

 

Les deux communautés innues d'Unamen Shipu (La Romaine) et de Pakuashipi (Saint-Augustin) se partageront la somme en parts égales.

 

Les fonds seront gérés conjointement par les trois signataires de l'entente réunis au sein de la Société Shipu. Les fonds, qui seront versés de 2008 à 2070, serviront à réaliser des projets de développement, à stimuler la formation et à favoriser la pratique d'activités traditionnelles.

 

L'entente prévoit aussi une participation des communautés innues à la construction des centrales et au suivi environnemental des projets.

 

La chef de la communauté de Pakuashipi, Christiane Lalo, souhaite d'ailleurs que l'accord contribue à la conservation du patrimoine innu et au développement de leurs traditions.

 

Dissension parmi les Innus

 

 

Vue sur la rivière Romaine

 

 

L'entente ne fait toutefois pas l'unanimité parmi les Autochtones. Un membre du conseil de bande de La Romaine demande même un référendum sur l'entente conclue avec Hydro-Québec.

 

Le vice-chef des Innus de La Romaine, Adélard Bellefleur, soutient que ni la population, ni les conseillers n'ont été consultés sur le contenu de cette entente sur la construction de quatre barrages sur la rivière Romaine.

 

M. Bellefleur affirme qu'une seule séance d'information sur le contenu de l'accord a été tenue au village.

 

Selon Adélard Bellefleur, le chef Guy Bellefleur a profité de la rencontre du 5 septembre dernier pour faire voter les 35 citoyens présents sur l'entente, même si La Romaine compte plus de 600 électeurs. « Ça fait un an et demi qu'ils ont négocié. Ils ont fait seulement une assemblée spéciale après la signature de l'entente de principe », s'insurge Adélard Bellefleur.

 

Le vice-chef ajoute qu'il aurait aimé réviser le document, mais il n'a jamais pu en obtenir une copie.

 

Objectif 2009

 

Une conférence de presse à laquelle doit assister le ministre des Affaires autochtones Benoît Pelletier est prévue, jeudi après-midi, pour la signature de l'accord.

 

 

Projet de la Romaine

 

 

Jusqu'à maintenant, le projet de la rivière Romaine a aussi reçu l'aval de la MRC de la Minganie et de la communauté innue de Natashquan.

 

Hydro-Québec espère toujours être en mesure de lancer le chantier du complexe hydroélectrique de la rivière Romaine en 2009. Le futur complexe, dont la construction est estimée à 6,5 milliards de dollars, comprendra quatre centrales hydroélectriques dont l'érection s'échelonnera jusqu'en 2020.

 

Les retombées économiques du projet sont évaluées à 3,5 milliards, dont 1,3 milliard pour la Côte-Nord. Hydro-Québec prévoit embaucher 1000 personnes en moyenne par année pour ce chantier.

 

Les besoins de main-d'oeuvre grimperont à 2400 personnes entre 2012 et 2016. Situés au nord de Havre-Saint-Pierre en Minganie, les quatre barrages devraient produire 1550 MW.

 

La mise en service de la première centrale est prévue pour 2014.

 

http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/10/09/003-romaine.asp

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Malek Je viens de remarquer ce fil.

 

Est-ce qu'un fil comme celui-ci a vraiment sa place dans la section Projets de ce forum sur le développement de Montréal et ses environs?

 

Personnellement, ça ne me dérange pas, mais il faudrait juste savoir si la section concerne les projets de la région de Montréal ou des tous ceux du Québec.:confused:

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  • 1 month later...

River's out of sight, not out of mind

 

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By MICHELLE LALONDE

December 1, 2008

 

PUBLIC HEARINGS for a $6.5-billion project to dam the remote Romaine River for hydro power are being held this week in outlying towns on the Lower St. Lawrence. A group of Montreal environmentalists will be there to warn of the damage

 

Hydro-Québec is preparing to dam yet another huge, wild river in Quebec's hinterland and as a second round of public hearings on the environmental impacts of the project begin this evening, some Montrealers may well be wondering if and why they should care.

 

The Romaine River is, after all, more than 1,000 kilometres away from here, forming part of the Quebec-Labrador border, and it is very difficult to reach. Even if you did have a hankering to go salmon fishing on its pristine waters, as Winston Churchill and Franklin D. Roosevelt are reputed to have done during the Second World War, it would take you more than 17 hours to get to its mouth by car.

 

There is no road access inland to this river, although it is 500 kilometres long and more than a kilometre wide in places. It is traversed by road only once, at its mouth by Highway 138, and again 15 kilometres north of there by a small railway line.

 

Hydro-Québec has dammed dozens of rivers across this province since the 1970s. And it's not as if this is the largest river the utility has harnessed. Thirteen of the largest 16 rivers in Quebec have already been altered by hydroelectric projects. The Romaine would be the 14th.

 

But it seems some Montrealers do care.

 

Fran Bristow is a 26-year-old master's student in environmental science at the Université du Québec à Montréal.

 

"I equate the rivers in Quebec to the castles and churches in Europe," Bristow said. "These rivers are our national heritage; they are what makes Quebec unique among provinces and Canada unique in the world. We are systematically destroying our rivers. Can you imagine the Europeans doing that with their castles and churches?"

 

Bristow has paddled several rivers, and has been on the Romaine twice, including last summer with a group of filmmakers who are trying to document the controversy over damming the Romaine.

 

"It is one of the wildest places I've ever been, and one of the most beautiful rivers in the world," she said.

 

Bristow's interest arose from her research into how phytoplankton populations are affected by changes in salinity, temperature and nutrients downstream from hydroelectric reservoirs. She now belongs to a group called Alliance Romaine, which opposes the project. The group has about 100 members, mostly young Montrealers, although some are from New England, Ontario and Nova Scotia.

 

Bristow and three friends will be piling into a small hybrid car tomorrow and schlepping to Havre St. Pierre so they can present their brief to the hearings on Thursday. The hearings are being conducted jointly by Quebec's Bureau d'audiences publiques sur l'environnement and the Canadian Environmental Assessment Agency from today to Dec. 10 in Mingan, Havre St. Pierre and Sept Îles.

 

The BAPE has received complaints about the fact that hearings on this $6.5-billion project are not being held anywhere near the province's largest cities.

 

According to BAPE spokesperson Danielle Hawey, this is simply a matter of past practice.

 

"It is the way the BAPE has always done it, holding hearings close the communities most affected," she said in an interview.

 

Although the BAPE is an independent agency and could decide to hold hearings wherever its officers felt made sense, Hawey said it would be "precedent-setting" and difficult financially and logistically to hold hearings in other cities as well. She noted that people can listen to live audio broadcast of the hearings on the BAPE website at http://www.bape.gouv.qc.ca beginning tonight at 7:30.

 

The Quebec Environment Department has provided $25,000 to help environmental groups make the trip, but for groups like Alliance Romaine, which came together only to oppose this specific project, no funds are available.

 

Although water-generated electricity is often sold as clean and renewable, researchers like Bristow have been uncovering negative impacts of hydroelectric projects for years.

 

"I'm particularly concerned about the number of reservoirs and dams we have in Quebec and how little research has been done on the large-scale, cumulative effects of these dams," she said.

 

Alliance Romaine's brief speaks of potential long-term environmental and social consequences of the project, including:

 

- Significant increases in greenhouse gas emissions caused by decomposing organic matter in flooded areas, construction activities and the loss of boreal forest from flooding, road construction and clearing for a 500-kilometre transmission line, as well as from fuel burned during the 10-year construction period by helicopters, planes and heavy vehicles).

 

- Mercury accumulating in fish, creating health problems for local communities relying on fish as a dietary staple and for birds and animals that eat fish.

 

- Loss of habitat for animals, fish and birds, including several at-risk or endangered species such as woodland caribou, wolverine, peregrine falcon, golden eagle and two genetically unique types of Atlantic salmon.

 

- Deterioration of salmon spawning areas from construction, reduced river flow and erosion. The salmon are an important food and revenue source to the local Innu community.

 

Hydro-Québec's spokesperson for the project, Benoît Gagnon, has told the hearings the 1,550- megawatt project is necessary to meet both Quebec's energy needs and export demand from New England, New York and Ontario. The four power plants planned along the Romaine will produce eight terawatt hours of electricity per year, equivalent to what Quebec City requires in an average year.

 

Gagnon dismissed other clean energy options, such as solar and geothermal, as "marginal" and wind energy as "intermittent," and argued that although efforts are being made to conserve energy, Quebec's growing needs and those of its neighbours justify the Romaine project.

 

The utility admits the four

 

giant reservoirs, the flooding of a 279-square-kilometre area, changes to the river's flow, and the building of roads and power plants will have environmental effects. But measures to mitigate damage will be taken, especially to safeguard economically important fish species, such as Atlantic salmon.

 

New roads will give the Innu and other communities in the Mingan region easier access to hunting and fishing grounds, and access by motorboat to certain parts of the river will be made easier because of the reservoirs, Hydro-Québec argues.

 

It says 975 jobs will be created each year for 11 years during construction, and then about 100 to operate the plants.

 

mlalonde@thegazette.canwest.com

© Copyright © The Montreal Gazette

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Malek Je viens de remarquer ce fil.

 

Est-ce qu'un fil comme celui-ci a vraiment sa place dans la section Projets de ce forum sur le développement de Montréal et ses environs?

 

Personnellement, ça ne me dérange pas, mais il faudrait juste savoir si la section concerne les projets de la région de Montréal ou des tous ceux du Québec.:confused:

 

je viens de voir ça, t'as un bon point, c'est qu'un projet d'une telle grosseur (deux fois le CHUM et le MUHC) mérite un peu d'attention, vu aussi qu'une bonne partie de cette électricité servira à Montréal.

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je viens de voir ça, t'as un bon point, c'est qu'un projet d'une telle grosseur (deux fois le CHUM et le MUHC) mérite un peu d'attention, vu aussi qu'une bonne partie de cette électricité servira à Montréal.

 

c'est vrai, je ne sais pas si c'est la place pour ce projet. Déjà que nous tollérons Longueuil et Laval... ;)

 

Vous aurez compris que je vous taquine...

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