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Bombardier série Global


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Bombardier dévoile une nouvelle cabine pour les Global 7500 et 8000

 

PHOTO FOURNIE PAR BOMBARDIER

La nouvelle « Cabine des dirigeants » comporte trois espaces de travail de 12 pieds de long (3,65 mètres), chacun : un bureau, une salle de réunion et un espace fermé pour les discussions confidentielles ou le repos.

(Montréal) Bombardier annonce un changement cosmétique à ses appareils Global 7500 et Global 8000 en remodelant l’intérieur de leur cabine.

Publié à 9h34

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2022-10-17/bombardier-devoile-une-nouvelle-cabine-pour-les-global-7500-et-8000.php

Stéphane Rolland La Presse Canadienne

Le fabricant québécois de jets d’affaires a dévoilé le nouveau design, lundi, dans le cadre d’une conférence du National Business Aviation Association à Orlando, en Floride.

La nouvelle « Cabine des dirigeants » comporte trois espaces de travail de 12 pieds de long (3,65 mètres) chacun : un bureau, une salle de réunion et un espace fermé pour les discussions confidentielles ou le repos. Les espaces contiendront notamment des fauteuils « Nuage » développés par l’équipe de Bombardier, et un éclairage conçu pour aider à composer avec le décalage horaire.

Bombardier précise que le coût du rafraîchissement du design de la cabine était inclus dans les coûts du lancement du Global 8000, annoncé en mai.

L’an dernier, Bombardier avait dévoilé une mise à jour de la cabine de son appareil Challenger 350, qui porte le nom de Challenger 3500.

Carburant durable

Plus tard en après-midi, Bombardier a annoncé une entente pour que l’entièreté de ses opérations aériennes, qui comprend notamment les vols d’essai, puisse consommer du carburant durable ou payer une forme de compensation lorsque ce carburant n’est pas accessible.

La société montréalaise estime que son entente avec Signature Aviation permettra de réduire d’environ 25 % les émissions annuelles de gaz à effet de serre liées à ce type de vol.

Rappelons que Bombardier s’est donné l’objectif de réduire de 25 % les émissions de gaz à effet de serre de toutes ses activités d’ici 2025, comparativement au seuil de 2019.

Le carburant durable n’est présentement pas accessible à la grandeur du réseau qu’utilise Bombardier. Lorsque ses appareils ne pourront pas consommer de carburant durable, l’entreprise utilisera la méthode de compensation « réserver et réclamer ».

Ainsi, Bombardier paiera les coûts supplémentaires associés à l’utilisation de carburant durable par un autre utilisateur. En échange, l’entreprise pourra considérer la réduction des émissions carbone liées à ce vol comme étant la sienne.

Les carburants d’aviation durables sont un mélange, en proportions bien définies, de carburant traditionnel et de carburant obtenu de matières premières comme l’huile de cuisson, les résidus forestiers et les résidus agricoles. Le ratio le plus couramment disponible est de 30 % de carburant durable et de 70 % de carburant traditionnel.

L’annonce survient à un moment où l’industrie du jet d’affaires fait l’objet de critiques, en raison de son empreinte carbone pour un nombre limité d’utilisateurs fortunés.

 

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  • 3 weeks later...

Résultats du troisième trimestre Les commandes toujours au rendez-vous chez Bombardier

 

PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE

« Nous progressons régulièrement en toute confiance vers nos objectifs à long terme », a souligné le président et chef de la direction de Bombardier, Éric Martel, dans un communiqué, en réitérant les cibles annuelles de la compagnie.

Les signaux qui laissent présager un ralentissement économique n’ont pas freiné la demande chez Bombardier, qui a raflé pour 300 millions US de nouvelles commandes au troisième trimestre. L’avionneur québécois a cependant livré une performance inférieure aux attentes des analystes au chapitre des revenus.

Publié à 7h32

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2022-11-03/resultats-du-troisieme-trimestre/les-commandes-toujours-au-rendez-vous-chez-bombardier.php

Julien Arsenault La Presse

En date du 30 septembre dernier, le carnet de commandes du constructeur de jets privés atteignait 15 milliards US tandis que le ratio de nouvelles commandes par rapport au nombre de livraisons s’est établi à 1,3.

Cet indicateur était toutefois moins vigoureux par rapport au ratio de 1,8 pendant la période qui s’est échelonnée d’avril à juin.

« Nous progressons régulièrement en toute confiance vers nos objectifs à long terme », a souligné le président et chef de la direction de Bombardier, Éric Martel, dans un communiqué, en réitérant les cibles annuelles de la compagnie.

La multinationale québécoise est désormais recentrée exclusivement sur la construction d’avions d’affaires, un créneau plus vulnérable aux aléas de l’économie. Sa résilience risque d’être mise à l’épreuve alors qu’un ralentissement économique s’observe à l’échelle mondiale.

« Bombardier s’attend toujours à livrer plus de 120 appareils cette année », a souligné l’analyste Walter Spracklin, de RBC Marchés des capitaux, en qualifiant de « positive » la performance trimestrielle de Bombardier.

Les revenus ont légèrement progressé au troisième trimestre pour s’établir à 1,46 milliard US. Au total, 25 appareils, dont 13 exemplaires de la famille Global, ont été remis à des clients. Les recettes générées grâce à la livraison d’avions se sont contractées, mais cela a été contrebalancé par une progression de 20 % affichée du côté des services après-vente, un segment sur lequel mise grandement Bombardier.

Les analystes sondés par la firme Refinitiv anticipaient un chiffre d’affaires de 1,6 milliard US au troisième trimestre.

Bombardier a affiché un résultat net de 27 millions US, ou 20 cents US par action, au troisième trimestre, comparativement à une perte nette de 377 millions US, ou 3,98 $ US par action, il y a un an.

En excluant les éléments non récurrents, l’entreprise a perdu 2 millions US, ou 10 cents US par action. À la même période l’an dernier, sa perte nette s’était élevée à 95 millions US, ou 1,05 $ US.

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  • 1 month later...

Centre de finition à Dorval La grève est évitée chez Bombardier

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PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

C’est au centre de finition Laurent Beaudoin que s’effectue l’aménagement à l’intérieur des cabines des jets d’affaires de Bombardier.

La prolongation des négociations entre Bombardier et le syndicat qui représente les quelque 2000 employés de son centre de finition à Dorval ont permis aux deux parties de trouver un terrain d’entente et ainsi éviter le déclenchement d’une grève.

Près de 84 % des salariés représentés par Unifor ont voté en faveur de la nouvelle entente de principe, mercredi. Ces derniers avaient rejeté, dans une proportion de 60 %, la proposition initiale, dimanche dernier. Mardi, la partie syndicale et l’employeur avait convenu de se donner un peu plus de temps pour discuter.

« Par leur solidarité syndicale, leur détermination et leur grande mobilisation, ils ont fait la différence dans cette négociation dans cette négociation », a souligné Bruno Audet, président de l’unité chez Bombardier pour la section locale 62 d’Unifor.

Le syndicat avait initialement indiqué que 3000 employés étaient concernés par les négociations avant de corriger le tir, mercredi, en précisant qu’il s’agissait de 2000 personnes. À Dorval, les travailleurs du centre de finition s’affairent entre autres à aménager l’intérieur des luxueux jets privés de Bombardier. C’est à cet endroit que s’effectue la personnalisation des Global 7500 — le vaisseau amiral de la compagnie.

D’une durée de trois ans, le contrat de travail prévoit des augmentations de salaire de 6,5 % pour la première année et de 3 % pour les deux autres. Un montant forfaitaire de 2000 $ sera également versé à la signature de la convention collective. La rente mensuelle de retraite sera majorée. L’entente comprend également des améliorations aux assurances collectives, selon Unifor.

Un conflit de travail aurait pu ralentir la capacité à effectuer des livraisons d’appareils à ses clients.

C’est la deuxième fois cette année que l’avionneur québécois parvient à s’entendre avec ses salariés québécois. Au printemps dernier, après des négociations difficiles, une entente était survenue avec les 1800 travailleurs responsables notamment de l’assemblage des Challenger. Ces derniers sont membres de l’Association internationale des machinistes et travailleurs de l’aérospatiale (AIMTA).

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  • 2 months later...

Redressement financier Bombardier prend de l’avance sur son plan

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PHOTO DAVID BOILY, LA PRESSE

« Nous avons dépassé tous nos engagements, que ce soit sur le plan des livraisons, sur celui des activités de service après-vente en plein essor ou sur celui de la rentabilité », souligne le président et chef de la direction de Bombardier, Éric Martel.

Bombardier ne montre aucun signe de ralentissement malgré les signaux d’incertitude économique. L’entreprise québécoise s’attend à accroître ses livraisons d’au moins 12 % cette année et prend de l’avance sur son plan de redressement qui doit culminer au milieu de la décennie.

Le constructeur de jets d’affaires avait déjà donné un aperçu de sa performance pour les trois derniers mois de son année financière terminée le 31 décembre dernier. En faisant le point, jeudi, la multinationale a présenté ses cibles pour 2023. Elle s’attend notamment à livrer au moins 138 appareils des familles Challenger et Global à ses clients – comparativement à 123 en 2022 – ce qui devrait lui permettre de générer des revenus supérieurs à 7,6 milliards US. Cela dépasse de 100 millions US l’objectif fixé pour 2025.

« Nous avons dépassé tous nos engagements, que ce soit sur le plan des livraisons, sur celui des activités de service après-vente en plein essor ou sur celui de la rentabilité », souligne le président et chef de la direction de Bombardier, Éric Martel.

La pandémie de COVID-19 a joué un rôle d’accélérateur pour Bombardier. La crise sanitaire a incité les ultrariches et les nantis à se tourner vers l’aviation privée – que ce soit par l’achat de jets privés ou des exploitants de flotte – pour se déplacer. Le contexte commence cependant à changer.

 

« Les deux prochains mois pourraient être la première fois depuis 2019 où la tendance comment à se normaliser », souligne la firme WingX, dans une note publiée jeudi.

Au quatrième trimestre terminé le 31 décembre, Bombardier a vu ses revenus bondir de 50 %, à 2,3 milliards US. L’entreprise a affiché un bénéfice ajusté de 211 millions US, ou 2,09 $ US par action. À la même période l’an dernier, il avait été de 80 millions US, ou 74 cents US par action.

Cette performance a surpassé les attentes des analystes sondés par Refinitiv. Ils tablaient sur des recettes de 2,5 milliards US et un profit ajusté par action de 63 cents US.

Pour l’exercice, le chiffre d’affaires s’élève à 6,9 milliards US, en progression de 13 %. Le profit ajusté est de 101 millions US, ou 74 cents US par action, comparativement à une perte ajustée de 326 millions US, ou 3,66 $ US par action, en 2021.

 

En savoir plus

  • 14,8 milliards US
    Carnet de commandes de Bombardier au 31 décembre. Il s’agit d’une hausse de 2,6 milliards US sur 12 mois.
    bombardier
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