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Plaies urbaines ​ ​


Rocco

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Il y a 3 heures, Né entre les rapides a dit :

La personne qui occupe le poste de maire/mairesse peut être interpellée, surtout par des journalistes et des représentants de l'opposition, mais seulement sur l'état général, certainement pas sur des cas spécifiques, sauf à titre d'exemples.  On ne peut absolument pas s'attendre à ce qu'il/elle s'occupe personnellement de chaque cas.  Il y a des employés municipaux qui pourraient s'en charger.  Les "plaies urbaines" ne sont qu'un élément parmi d'autres qui réclament de l'attention.  Manifestement ce sont d'autres préoccupations, par exemple la crise du logement, la pénurie de logements abordables, la montée de la criminalité etc. occupent le devant de la scène.  Ce n'est évidemment pas une excuse pour négliger l'apparence de la ville, mais on peut déplorer que ça semble être le cas. 

Les plaies urbaines, la saleté, le vandalisme... sont intimement lié au sentiment de sécurité et à la criminalité.

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Il y a 2 heures, Brick a dit :

Les plaies urbaines, la saleté, le vandalisme... sont intimement lié au sentiment de sécurité et à la criminalité.

Causes ou effets?  Ou se renforçant mutuellement? 

Par où commence-t-on?  -- Je pense qu'on doit agir simultanément sur tous les fronts,

Bravo pour avoir établi ces liens!🙂

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il y a 7 minutes, Né entre les rapides a dit :

Causes ou effets?  Ou se renforçant mutuellement? 

Par où commence-t-on?  -- Je pense qu'on doit agir simultanément sur tous les fronts,

Bravo pour avoir établi ces liens!🙂

Partout à la fois, je crois. 

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Le 2022-09-07 à 15:46, Brick a dit :

Lorsque j'ai écrit à la CDPQ pour connaître leur politique quant aux graffitis, ils m'ont répondu qu'ils avaient l'intention de les faire disparaître entre 3 et 48 heures suivant leur découverte. J'imagine que cette politique sera en vigueur avec la mise en fonction.

C'est similaire au contrat de la Canada Line à Vancouver.  Ça devrait être la politique de toute organisation.  Pas assez d'argent dans le retrait des graffitis et pas assez de punitions aux fautifs.

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Il existe une telle diversité de plaies urbaines qu'il est difficile de concevoir des pansements universels (servant à tout).  Même la neige, utile pour une période limitée, ne convient pas pour les plaies extérieures verticales comme les graffitis.  Et les préposés humains ne sont pas suffisamment nombreux.  À quand des robots multi-tâches? 

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Moi quand je vois ça ça me met hors de moi. C'est crissement pas normal. Vous riez mais la nouvelle rue Ste-Catherine est faite des mêmes matériaux. Ce dallage ne supporte pas les sels de déglaçage à la longue, mais ça ils s'en contrefichent. Une ville de ti-clins ça va toujours rester une ville de ti-clins.

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