Les embarras de Montréal

[Né entre les rapides]

Ce titre, calqué sur celui du chapitre 6 (Les embarras de Paris) du livre de l'auteur Benoît Dutertre, "Pourquoi je préfère rester chez moi", se veut une suite de la brève discussion amorcée sur le sujet précédent.  J'ai préféré créer un nouveau sujet, dans le but d'attirer plus d'attention sur les tendances communes à plusieurs villes du monde, dont évidemment Paris, mais aussi Montréal et bien d'autres encore.  Ici, il sera d'abord question de Montréal, avec une emphase sur les politiques poursuivies et les mesures prises par l'actuelle administration municipale  -- mais pas seulement, puisque nombre d'autres politiques et mesures dont les conséquences se font encore sentir datent des précédentes administrations ou même des gouvernements du Québec aux mêmes époques. 

Je débute en identifiant une desdites tendances, soit la volonté de rendre la ville "plus conviviale", avec au menu quelques mesures privilégiées, dont 1) la réduction de la place concédée à l'automobile (fermetures, rétrécissements, sens uniques) et 2) le verdissement de la ville en général, y compris la création de nouveaux parcs.  Je m'intéresse tout autant aux politiques et mesures ayant pour but d'augmenter le nombre de logements à "prix abordable", en réponse à la hausse des prix et de la gentrification qui aurait pour effet de chasser les moins fortunés de leurs milieux établis.  Je veux découvrir aussi comment les  gouvernements ont imposé des décisions qui marquent encore la ville, parfois bien malgré elle, parfois avec son consentement enthousiaste.

À vous de peindre le tableau en apportant des exemples spécifiques, et en y ajoutant à votre guise votre appréciation ou votre analyse.  Je ne manquerai certainement pas de participer à l'exercice.