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COVID-19: Pandémie


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World’s biggest cargo plane to ship Chinese PPE to Quebec

The cargo specialists arranging a massive shipment of personal protective equipment from China for the Quebec government have turned to the world’s biggest aircraft to carry the load.

The Soviet-era Antonov AN-225 is scheduled to carry what will be the largest single delivery of personal protective equipment (PPE) to Canada later this week to Montreal’s Mirabel Airport. The most recent flight plan calls for the huge aircraft to land on Thursday night.

Much of the freight is expected to be medical gowns that be can be used by health care workers.

Quebec’s gear is taking a different route from some other shipments chartered by the federal government and provinces. The plane will pick up the PPE in the northern Chinese city of Tianjin rather than Shanghai. The Tianjin airport is the only one where the AN-225, which weighs more than 285 tonnes and has a wingspan of more than 88 metres, is allowed to land in China.

The AN-225 is a one-of-a-kind plane. The world’s largest operational cargo aircraft, it’s owned by Ukraine’s Antonov Airlines and modeled on an aircraft that carried the Soviet/Russian space shuttle Buran.

PPE tends to be light but bulky, and the Antonov can carry 1,100 cubic metres, several times what conventional aircraft can accommodate.

The Quebec government on Monday declined to comment on this airlift, saying it did not make the logistics decisions.

Montreal-based Nolinor Aviation is the company Quebec contracted to ship the PPE. Nolinor in turn contracted with Toronto-based Momentum Solutions, a logistics and air charter provider, which secured the AN-225.

Vincent Dufort, sales director for Nolinor, said it’s very challenging to find reliable transport from China these days, and his company contracted with Momentum Solutions because they have worked together in the past and trust them.

Stephen Arbib, chief executive officer of Momentum Solutions, said using the massive AN-225 helps reduce the cost of each unit of shipping medical gear to half or less than half of what it might cost to ship by conventional aircraft because it can carry more.

Mr. Arbib said using a Ukrainian-flagged aircraft is helpful when shipping out of China because friction between Canada and China can cause difficulty for Canadian aircraft operators. “Unfortunately, with the political climate between Canada and China, being a Canadian operator isn’t always the most accepted operator.”

Momentum Solutions played a key role in bringing Canadians home from Wuhan, China, earlier this year, and has worked for the United Nations, other non-governmental organizations and foreign governments.

Antonov Airlines has used the AN-225 to deliver PPE to Poland and Germany and France.

https://www.theglobeandmail.com/canada/article-worlds-biggest-cargo-plane-to-ship-chinese-ppe-to-quebec/

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Pénurie d’équipement: le plus gros avion du monde à la rescousse des soignants

PHOTO GLEB GARANICH, ARCHIVES REUTERS

Un Antonov AN-225

L’aéroport de Mirabel devrait accueillir jeudi soir le plus gros avion au monde, l’Antonov AN-225, rempli d’équipements médicaux commandés en Chine par le gouvernement du Québec.

Publié le 28 avril 2020 à 18h30

https://www.lapresse.ca/covid-19/202004/28/01-5271277-penurie-dequipement-le-plus-gros-avion-du-monde-a-la-rescousse-des-soignants.php

Jean-François Codère
La Presse

Il n’existe qu’un seul exemplaire au monde de cet avion-cargo exploité par l’entreprise ukrainienne Antonov Airlines. C’est l’entreprise québécoise Nolinor, en partenariat avec Momentum Solutions de Toronto, qui y a fait appel pour une importante livraison de matériel médical.

« Le plus économique actuellement, c’est de mettre le plus de matériel possible dans le même avion », résume Vincent Dufort, directeur des ventes de Nolinor. « L’AN-225, ce qui est le fun, c’est qu’on peut le remplir à la main et prendre tout l’espace. »

En plus d’être immense, explique M.  Dufort, l’appareil est conçu pour que chaque centimètre cube de son espace d’entreposage soit utilisé.

« Les boîtes de matériel sont généralement montées sur des palettes. Quand on place ces palettes dans un autre avion, il reste de la place sur le dessus, mais on n’a pas le droit de l’utiliser. »

La soute de l’Antonov est conçue de façon à ce que tout puisse être maintenu en place, comme l’exigent les règles. Au final, il en résulte qu’un seul voyage de cet appareil équivaut à environ 2,5 voyages d’un 747 cargo, selon Stephen Abib, de Momentum.

Connaissances sur le terrain

Nolinor détient sa propre flotte d’appareils pour des vols de passagers nolisés ou du cargo, mais ceux-ci sont trop petits et ne conviennent pas à une telle opération. C’est pourquoi elle a fait appel à Momentum, une firme spécialisée dans les opérations logistiques pour le domaine militaire ou les organisations humanitaires.

« D’habitude, c’est eux qui font appel à nous », indique M.  Dufort.

Sauf que cette fois, les relations entre Momentum et Antonov, qui remontent à « des décennies », selon M.  Abib, ont été bien utiles. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que Momentum fait appel spécifiquement au AN-225, l’ayant notamment fait dans le cadre de la présence militaire canadienne en Afghanistan.

M.  Dufort se réjouissait que son entreprise ait obtenu la confiance du gouvernement du Québec pour cette opération.

« Le fédéral fait affaire avec Bolloré et ça ne fournit pas », déplore-t-il.

Les écueils sont nombreux pour la livraison de matériel provenant de la Chine ces jours-ci. Le Canada n’est pas le seul pays qui a vu certains de ses avions repartir vides.

« Les distributeurs ont besoin de gens qui ont des yeux et des mains sur place, affirme M.  Dufort. Tu ne peux pas diriger un convoi comme celui-là, avec je ne sais pas combien de camions, depuis ton sous-sol à Montréal. »

Momentum a utilisé son réseau pour recruter du personnel directement dans la région de Tianjin, le seul aéroport chinois qui peut accueillir le mastodonte. C’est Antonov qui fournit sur place les installations d’entreposage – où l’équipement était déjà arrivé mardi matin – et assurera le chargement à bord de l’avion.

L’Antonov AN-225 était mardi soir stationné à l’aéroport d’Almaty, au Kazakhstan, où il devait faire le plein avant de s’envoler pour Tianjin. En route vers Mirabel, il fera escale à Anchorage, en Alaska, pour la même raison.

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Nouvelle unité de soins en chantier à l’hôpital Maisonneuve-Rosemont

Le CIUSSS de l’Est-de-l’Île-de-Montréal a récemment débuté la construction d’une unité de soins intermédiaires à l’hôpital Maisonneuve-Rosemont, qui permettra l’ajout d’une trentaine de lits supplémentaires.

Mayssa Ferah - La Presse

L’ouverture du projet est prévue en novembre prochain, à temps pour une éventuelle deuxième vague de COVID-19, ainsi que pour la période annuelle de grippes et de gastro-entérite, confirme Catherine Dion, conseillère en communications du CIUSSS de l’Est-de-l’Île-de-Montréal. 

« Il était reconnu que l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont était en déficit de lits depuis plusieurs années. » 

L’ajout de 36 lits temporaires était déjà en cours depuis plusieurs mois afin de répondre au besoin en immuno-oncologie en attendant la construction du nouvel hôpital. 

Le manque de chambres individuelles devenait un enjeu. Ces lits supplémentaires permettront de mieux répondre aux besoins des patients immunosupprimés, mais également aux situations infectieuses

Avant la pandémie de COVID-19, le taux moyen d’occupation des lits d’hospitalisation de l’hôpital était de 104 %. 

L’apparition du virus a accentué le besoin d’avoir des chambres adaptées. 

Les lits seront utilisés lors des 10 prochaines années

Les chirurgies qui nécessitent une hospitalisation sont maintenant suspendues à l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont. La décision a été prise à la suite d’éclosion de COVID-19 dans des unités d’hospitalisation au sein de l’établissement. Un nombre important de patients occupent des lits de courte durée.

https://www.lapresse.ca/covid-19/202004/29/01-5271335-nouvelle-unite-de-soins-en-chantier-a-lhopital-maisonneuve-rosemont.php

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Québécois sortez de votre torpeur !

https://reseauinternational.net/quebecois-sortez-de-votre-torpeur/

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par Patrice-Hans Perrier.

 

Nous voilà livrés à notre propre médiocrité, rivés à nos écrans d’ordinateur, dans l’attente d’un changement de régime qui pourrait nous libérer du marasme ambiant. Mais, c’est une veine quête que cette attente des jours meilleurs, alors que nous subissons de plein fouet l’emprise d’un confinement que nous avons accepté d’emblée, sans trop nous questionner et encore moins protester. La radio réveil matin continue, vaille que vaille, à déverser ses flots d’insalubrités publiques tous les matins : « le taux de mortalité causée par le coronavirus atteint de nouveaux sommets dans un contexte où ne vous attendez pas à pouvoir sortir de chez vous de sitôt ». Chaque matin qui se pointe le bout du nez, bon gré mal gré, il nous faut subir un lavage de cerveau médiatique avant d’entreprendre notre journée de confit de canard.

« Même remarque à propos de la culpabilité : aucune prise de pouvoir ne peut s’effectuer sans reculpabilisation générale. Il faut cette remise à zéro des compteurs moraux pour, comme dira Nietzsche, « transformer les causes en pécheresses et les conséquences en bourreaux ». »

 

Un lavage de cerveau quotidien

Curieusement, en 2019, les stations de radio ne prenaient pas la peine de nous réveiller en insistant sur le cumul des mortalités causées par la grippe ou les infections respiratoires de saison. Et, pourtant, à cette époque, le décompte des décès pouvait avantageusement se comparer avec celui avec lequel on nous terrorise afin de mieux nous faire avaler la pilule du consentement universel. Outre les médias terroristes, le premier ministre du Québec tient un point de presse quotidien sur cette pandémie qui tombe à pic pour remettre en question l’état de droit qui était le nôtre depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Reprenant en boucle les consignes de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), un organisme privé subventionné par Bill Gates et consorts, les autorités publiques nous préviennent qu’il faudra s’attendre à être confinés à de multiples reprises dans l’éventualité d’un retour de pandémie et que, quoi qu’il en soit, seule une vaccination de masse serait susceptible de nous libérer de l’épée de Damoclès d’un confinement qui est devenu la nouvelle façon de gouverner le troupeau humanoïde.

 

Le Québec se plie à toutes les injonctions globalistes

La Suède – joyaux d’une social-démocratie pourtant adulée par l’ensemble de la caste politique québécoise – n’a pas cru bon de confiner sa population, une mesure qui aura permis aux principaux intéressés de se doter de précieux anticorps biologiques et … socioéconomiques. On imagine que les dirigeants suédois doivent être, forcément, de furieux conspirationnistes qui auront « du sang sur les mains », pour reprendre l’antienne d’un chroniqueur montréalais stipendié. D’anciens ministres ou hommes politiques de l’ombre ont, même, profité du marasme ambiant pour préconiser l’emploi d’une traçabilité électronique généralisée et de la mise en place d’un système de passeports régionaux afin de suivre les déplacements d’un troupeau qu’il convient de protéger contre lui-même. Des intérêts financiers québécois planchent actuellement sur la possibilité de mettre en marché un vaccin qui pourrait être administré avant la fin de l’année, une avancée permettant de placer le Québec dans le peloton de tête des régimes alignés sur la doxa globaliste. Parce que notre classe politique n’a qu’une idée fixe en tête : le Québec doit devenir un leader dans le domaine des nouvelles technologies invasives s’il souhaite se distinguer en qualité de « nation progressiste ». Car, puisqu’il faut bien l’admettre, le progressisme représentant la seule carte jouable à l’heure où les prérogatives de l’état québécois dépendent intégralement du bon vouloir de l’état fédéral et des marchés financiers internationaux.

 

Une crise qui risque de casser les reins de l’économie québécoise

La nation canadienne-française, majoritairement d’ascendance française, celte et amérindienne, refuse obstinément de se fondre dans le grand creuset d’un multiculturalisme anglo-saxon qui agit comme une centrifugeuse meurtrière. C’est ce qui explique toute cette guerre de l’information qui perdure depuis la crise d’Octobre 1970, dans un contexte où les autorités fédérales – aidées par tous les Rhodes-Milner Round Table Groups ou Council on Foreign Relations de ce monde – tapent sur les clous qui dépassent les limites de l’enclos québécois. Prisonniers de la monarchie britannique et d’un système politique totalement exogène, les descendants des coureurs des bois et des draveurs sont confinés à domicile alors que les « autorités compétentes » laissent entrer n’importe qui au pays du consentement béat. Ainsi, la grande caravane des migrants et autres transfuges de la nouvelle économie numérique peut continuer d’affluer sur notre territoire transformé en centre de détention à grande échelle. Les autorités ont reconduit les permis de travail saisonnier permettant aux travailleurs mexicains de venir prêter main-forte aux maraîchers québécois. Les émoluments consentis aux travailleurs agricoles étant bien en deçà de la barre du salaire minimum, on comprendra que seuls les ressortissants d’un pays où le coût de la vie est quatre fois plus bas que chez nous peuvent se « payer » le luxe de venir travailler dans nos champs durant la « belle saison ». Toutefois, tenant compte de l’effondrement de l’économie domestique, les principaux intéressés ont pris le parti de subventionner les chômeurs québécois qui souhaitent se joindre à cette armée de réserve agricole.

La Banque centrale du Canada – à l’instar des autres succursales de la City de Londres – ayant décidé de monétiser à hauteur de dizaines de milliards de dollars, le gouvernement fédéral tente d’aider les travailleurs sans emploi à se sortir la tête de l’eau, le temps de pouvoir relancer une économie domestique qui faisait déjà du surplace depuis longtemps. Rappelons à nos lecteurs, qu’à l’instar des États-Unis, le Canada a pratiquement tous mis ses œufs dans le panier des sables bitumineux et que l’effondrement du marché des hydrocarbures risque de faire imploser par voie de capillarité l’ensemble d’une économie domestique inféodée à quelques « secteurs porteurs ». Le premier ministre Trudeau ne semble pas trop en faire de cas, lui qui ne jure que par l’intelligence artificielle (IA) et les secteurs porteurs d’une économie numérique entièrement pilotée par les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft) de la Côte ouest américaine.

La nouvelle administration québécoise, mise en place à l’automne 2018, outre qu’elle se plie face aux injonctions de l’OMS, intègre le plan de match des autorités fédérales puisqu’elle mise, elle aussi, sur la prééminence des technologies de l’information afin de bâtir un Québec du futur destiné à accueillir une main-d’œuvre étrangère qui se chargera des tâches ingrates, alors qu’une élite de technocrates occupera les strapontins des secteurs porteurs d’une économie dirigée par une poignée d’oligarques américains. Chose incroyable, le gouvernement québécois s’apprête à confier à une filiale locale d’Amazone le soin de présider aux destinées du nuage informatique de toutes les données gouvernementales d’une Nouvelle-France condamnée à devenir une république bananière. Tout le reste est à l’avenant.

 

Les Québécois ne sont plus solidaires

Comble de l’ironie sordide, les Québécois font preuve d’une solidarité de pacotille puisqu’ils se plient entièrement aux injonctions de la nouvelle gouvernance mondiale et que très peu d’entre eux osent remettre en question le récit officiel concernant cette crise à géométrie variable. Une actrice bien connue de chez nous, Lucie Laurier, s’est fendue d’un entretien, diffusé par YouTube, afin d’exprimer sa critique du confinement et de la campagne d’ingénierie sociale qui est menée présentement par les pouvoirs publics. Critiquant les visées d’une OMS, grassement subventionnée par Bill Gates et consorts, la principale intéressée invite le commun des mortels à mieux s’informer en cessant de donner carte blanche aux médias traditionnels. Cette sortie aura provoqué une commotion certaine au sein de la classe médiatique québécoise –malgré le fait que YouTube semble avoir considérablement ralenti le compteur des vues de l’entrevue – au point que les mercenaires stipendiés de cette caste n’ont pas hésité à la vouer aux gémonies. Tentant d’informer le grand public des dangers d’un formatage généralisé de la pensée, Lucie Laurier a été comparée à un véritable « danger public », sorte de virus conspirationniste de la pensée non formatée.

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Bien que quelques milliers de Québécois aient daigné l’écouter, la majorité de nos concitoyens n’auront pas bougé le petit doigt afin de soutenir une des rares personnalités publiques osant remettre en question le scénario officiel d’une pandémie qui semble avoir été taillée sur mesure pour nous confiner à perpétuelle demeure. Sur ces entrefaites, ceux et celles qui se risquent à critiquer cet état d’urgence délétère sont prestement mis au ban de la société par les grands médias qui diffusent des messages terrorisant en boucle.

Non contents d’inviter la population à se terrer chez elle, les corbeaux de l’information croassent qu’il ne faut pas hésiter à dénoncer les simples quidams qui se risqueraient à ne pas respecter des mesures de « distanciation sociale » qui semblent avoir été conçues expressément pour détruire le maigre tissu communautaire qui avait réussi à survivre aux exactions du néolibéralisme ambiant. Bon nombre de journalopes ne cachent plus leur satisfaction dans un contexte où les porteurs de virus diagnostiqués n’auront même plus le droit de se rapprocher physiquement de leurs proches. Chemin faisant, les nouvelles mesures de traçabilité électronique permettront de relier les nouveaux pestiférés avec l’ensemble de leurs relations virtuelles, afin d’ordonner à la communauté concernée de prendre des distances définitives avec ces derniers. Comme au Moyen-âge, des populations entières de pestiférés seront assignées à un régime de détention arbitraire et définitive.

« Ceux qui sortent dehors auront du sang sur les mains ! »

Un mercenaire de l’information déguisé en journaliste, Montréal, 2020

Patrice-Hans Perrier

source : https://patricehansperrier.wordpress.com

 

 

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il y a une heure, denpanosekai a dit :

Disagreed. this is an opinion piece, not news. if someone's sharing it, I'm going to assume they feel the same.

Hélas non, je suis loin d'être en accord avec ce texte! Au contraire. L'auteur, avec son ton condescendant envers les québécois et la vision presque "folklorique" du Québec, est clairement dans le sensationnalisme et la désinformation.

Et pourtant... Je suis en accord avec certains de ses passages, notamment en ce qui concerne le bourrage de crâne des médias traditionnel (en général) et le fait qu'oser remettre en question le scénario officiel d’une pandémie est pratiquement considéré comme criminel. On ne doit pas trop sortir le peuple de ses habitudes en matière d'opinions divergentes. C'est un fait. Kennedy, les attentats du 9/11, et Tchernobyl ne sont que quelques exemples. Ceux qui ont osé remettre en question les versions officielles ont fait rire d'eux et/ou ont eu toutes les difficultés à se faire entendre. Pourtant, une tonne de questions légitimes basées sur les faits ont été posées.

Mais sinon, ce texte frise le ridicule, tant par son coté folklorique que par le peu de sérieux de l'auteur par rapport à sa description du Québec. Quand il dit que "l'économie domestique qui faisait déjà du surplace depuis longtemps" , et que "le Canada a pratiquement tout mis ses œufs dans le panier des sables bitumineux".... on se demande sur quelle planète il vit. (il est pourtant Montréalais).

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Il y a 12 heures, Normand Hamel a dit :

L'humeur de la France...

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Le pire des virus, c'est les graffiteurs...

(pas réellement le pire, mais vous comprenez ce que je veux dire)

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3 hours ago, Megafolie said:

Hélas non, je suis loin d'être en accord avec ce texte! Au contraire. L'auteur, avec son ton condescendant envers les québécois et la vision presque "folklorique" du Québec, est clairement dans le sensationnalisme et la désinformation.

 

Thanks for clarifying. I've removed my downvote.

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