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COVID-19: Pandémie


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Le créateur disait ce matin à l'émission de Patrick Masbourian qu'il y avait 45 écoles confirmées avec des cas de COVID-19. C'est basé sur les lettres d'école que les parents lui envoient

https://www.covidecolesquebec.org/

https://www.lapresse.ca/covid-19/2020-09-02/une-initiative-citoyenne-pour-recenser-les-cas-de-covid-19-dans-les-ecoles.php

Une initiative citoyenne pour recenser les cas de COVID-19 dans les écoles

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PHOTO ERIC LABBÉ, ARCHIVES LE SOLEIL
Les cas de COVID-19 se multiplient dans les écoles, mais il est pour l’heure impossible de savoir exactement où se situent tous les cas, puisqu’aucun bilan officiel n’est diffusé par le ministère de la Santé. Un père de Montréal a entrepris de faire le travail.

Publié le 2 septembre 2020 à 15h39 Mis à jour le 3 septembre 2020 à 8h00

MARIE-EVE MORASSE
LA PRESSE

Depuis que toutes les écoles ont rouvert leurs portes il y a quelques jours, les nouvelles faisant état de cas de COVID-19 dans certains établissements sont rapportés de manière éparse. Olivier Drouin a entrepris de les centraliser.

« Je suis avant tout le père de deux adolescentes qui vont à l’école secondaire », raconte l’homme derrière le site covidecolesquebec.org. Il a hésité avant de donner son nom aux médias. « Ce n’est pas moi l’histoire », dit-il, assurant qu’il s’agit là d’une « initiative citoyenne » qui n’est pas guidée par un parti politique ou un syndicat.

N’empêche, le fait que Québec ne rende pas publiques les données sur les cas de COVID-19 en milieu scolaire le dérange.

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PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE
Olivier Drouin a créé un site internet qui répertorie les cas recensés de COVID-19 dans les écoles du Québec.

« Le gouvernement nous parle de transparence et on n’a jamais eu les données au mois de mai quand les écoles ont été rouvertes à l’extérieur de Montréal. Le gouvernement disait : "C’est un grand succès", mais on n’avait aucune information pour le valider. »
— Olivier Drouin

Sur son site, il répertorie les derniers cas recensés dans les écoles du Québec et met à jour une carte de tous les cas répertoriés. Olivier Drouin appelle les parents, enseignants et employés de centre de services à lui soumettre des cas. Il dit avoir reçu une centaine de soumissions jusqu’ici, mais valide les informations dont il dispose avant de les ajouter à sa liste. « Si je n’ai aucune confirmation, je ne publie pas », dit-il.

De l’information disponible « dans les meilleurs délais »

Le créateur du site « COVID Écoles Québec » ne demande qu’une chose : arrêter de mettre à jour son site internet. « Ce n’est pas mon aspiration de faire ça dans la vie », dit Olivier Drouin.

Questionné à savoir s’il était possible d’obtenir une liste exhaustive de tous les cas survenus dans les écoles de la province, le ministère de l’Éducation nous a renvoyés au ministère de la Santé, qui explique ne pas avoir encore diffusé de telles données.

Les cas de COVID-19 dans les établissements d’enseignement seront-ils rendus publics, comme l’ont été les cas répertoriés dans les CHSLD ?

Il n’est pas possible de savoir quand cette information sera disponible, mais nous travaillons pour que ce soit accessible dans les meilleurs délais.

Marie-Louise Harvey, porte-parole du ministère de la Santé et des Services sociaux

La Fédération des comités de parents du Québec ne demande pas officiellement qu’un registre de tous les cas de COVID-19 soit publié par le gouvernement, mais bien que la Santé publique de chaque région communique clairement et rapidement avec les parents des écoles touchées.

« Je ne pense pas qu’un site indépendant pour recenser les cas de COVID-19 soit la solution. Quel est l’objectif et quel sera le résultat de ce registre ? Faire peur aux gens ? », demande son président, Kévin Roy.

Pour la députée libérale Marwah Rizqy, c’est plutôt le fait de ne pas publier ces informations qui crée un sentiment d’insécurité.

« La plus grande panique, c’est de ne pas savoir, d’être plongé dans le noir. Les gens peuvent alors s’inventer des scénarios et ne pas avoir la bonne information. Je préfère avoir une source fiable, celle du gouvernement, qui est vérifiée », dit Mme Rizqy.

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Les enfants et les ados ont passé tout l'été à jouer ensemble collés les uns sur les autres dans les parcs et chez leurs amis.  Personne ne s'en est mal porté à ce que je sache. À un moment donné il va falloir qu'on arrête d'en faire un drame à chaque fois. On le sait, ils sont porteurs, et après? Ça change quoi? La vie continue! La paranoïa collective s'est bien installée, on le voit bien avec ce genre d'article.

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il y a une heure, Megafolie a dit :

Les enfants et les ados ont passé tout l'été à jouer ensemble collés les uns sur les autres dans les parcs et chez leurs amis.  Personne ne s'en est mal porté à ce que je sache. À un moment donné il va falloir qu'on arrête d'en faire un drame à chaque fois. On le sait, ils sont porteurs, et après? Ça change quoi? La vie continue! La paranoïa collective s'est bien installée, on le voit bien avec ce genre d'article.

Apparemment, le risque de transmission est considérablement plus grand à l'intérieur qu'à l'extérieur.

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Je vous donne mon expérience, on est 30 (31 avec le prof) dans une classe assez petite. Le port du masque est exigé en dehors de la classe et la désinfection des mains se fait à chaque entrée et sortie de local / école. Même si seulement la moitié de l'école dîne en même temps (midi séparé en deux), il y a entre 500 et 1000 personnes dans la cafétéria (le nombre est présentement plus faible en raison du beau temps).

Aussi, les bulles "éclatent" rapidement en dehors des heures de cours (matin, midi, soir).

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  • 3 semaines plus tard...

Quebec isn't doing such a great job, when it comes to the amount of deaths.

I compared Quebec to countries and regions/states/provinces in other countries with similar size populations.

 

Province/Region/States

Greater London (UK) – 6885

Quebec - 5810

Virginia (USA) - 3113

Auvergne-Rhone-Alpes (France) – 1771+

Andalusia (Spain) - 1466

Lower Saxony (Germany) - 665

 

Country

Switzerland - 2060

Israel - 1376

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  • 2 semaines plus tard...

Une technologie qui pourrait être très utile notamment pour les écoles.

Gabriel Fahrenheit aurait été ébahi.

Publié le 5 octobre 2020 à 7h00

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2020-10-05/face-a-la-crise/celsius-n-en-reviendrait-pas.php

Marc Tison
La Presse

L’appareil mesure la température de plusieurs personnes en mouvement, instantanément et simultanément, en faisant une lecture faciale. Dans une file, par exemple, ou encore à la sortie d’un corridor d’où émerge un flot compact d’individus.

Bref, un haut degré de technologie.

D’ici quelques jours, le système conçu par l’entreprise montréalaise Thingsfactory fera l’objet de tests dans trois hôpitaux montréalais.

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

Pierre Gauvin, président et fondateur de Thingsfactory

« Son but n’est pas de faire des diagnostics, mais de faire du filtrage, donc faciliter le travail des gens qui sont en première ligne, qui doivent constamment répéter les mêmes questions et prendre les mêmes mesures », indique le président et fondateur de l’entreprise, Pierre Gauvin.

L’appareil n’aurait jamais vu le jour sans la COVID-19.

On essaie des choses

Fondée en 2017, Thingsfactory regroupe une demi-douzaine de têtes chercheuses. Ses dirigeants accumulent en moyenne « 30 ans d’expérience en technologie de l’information », assure Pierre Gauvin.

« En 2017, je leur ai dit : je vais vous fournir l’infrastructure, le laboratoire, les composantes technologiques, et on essaie des choses », raconte-t-il.

L’une de ces choses s’est concrétisée en une plateforme de surveillance des systèmes mécaniques de grands immeubles – leur produit phare, appelé BuildUp !

« Et là arrive la COVID-19. Au mois de mars, la plupart de nos clients mettent fin à nos contrats de consultation. »

Les membres de l’équipe sont dispersés à domicile. Désœuvrés.

« On s’est dit : pourrait-on prendre la plateforme qu’on a développée et l’adapter pour en tirer un outil de dépistage pour la COVID ? »

L’idée est généreuse, mais on est loin de la surveillance des systèmes électromécaniques.

Ils relèvent néanmoins le défi.

Un plan très simple

Rapidement, ils optent pour la téléthermographie – la mesure de la température sans contact.

« On est à l’aise avec ça, parce que c’est de la reconnaissance faciale, de l’intelligence artificielle, de l’alertage, relate Pierre Gauvin. On connaît ça. »

« On est le 17 mars », précise-t-il.

En théorie, leur plan est simple : combiner la meilleure caméra thermique, le meilleur processeur et le meilleur programme.

Avec un peu de chance, il en sortira le meilleur produit.

Ils repèrent d’abord une microcaméra américaine ultraperformante.

Ils choisissent ensuite un processeur de traitement graphique de la réputée firme Nvidia.

Ils s’attaquent enfin à une version réduite de leur programme de surveillance BuildUp ! « On a enlevé toutes sortes de choses dont on n’avait pas besoin et on s’est concentrés sur la reconnaissance faciale », décrit Pierre Gauvin.

Nous sommes alors en avril. « On veut absolument sortir notre produit fin mai. »

L’appareil doit se démarquer en prenant la température des sujets alors qu’ils sont en mouvement. « C’est ça, l’enjeu numéro un. La plupart des produits sur le marché ne font pas ça. »

Mais ils ajoutent une couche de difficulté. « On veut prendre des groupes, des files, des petits attroupements. Aucune différenciation : dès qu’un visage entre dans le champ de vision de la caméra, on veut être en mesure de faire une lecture. »

En raison du mouvement et du nombre de sujets, ils ne peuvent utiliser la mesure de la température aux canaux lacrymaux, la plus fiable et la plus stable.

Il faut multiplier les points de lecture.

À raison de neuf lectures complètes par seconde, l’appareil mesure la température à une demi-douzaine d’endroits du visage.

Le programme dépatouille ce fouillis de données pour produire une température pour chaque individu qui apparaît dans le champ de la caméra. La précision : un dixième de degré Celsius.

Le champ de la caméra est de 16 m2. « Aussitôt qu’une personne ou un groupe de personnes entre là-dedans, on le capte et on affiche sa température. »

Un accueil frileux

Le 26 mai, l’entreprise annonce le nouveau produit au Canada et aux États-Unis.

Hélas, l’accueil n’est pas fiévreux. « On a essayé de convaincre des clients d’acheter le produit, mais il y a eu comme un essoufflement, avec la COVID, les gens avaient besoin de prendre un peu de recul. »

Une quinzaine d’appareils ont tout de même été installés dans des immeubles, hôtels, gymnases.

Mais l’apparition de la seconde vague vient de relancer l’intérêt pour cette technologie.

« Tout d’un coup, on reçoit davantage d’appels. Notre carnet de commandes commence à se remplir ! »

Jusqu’à la fièvre du football

Le modèle standard TF-350 se présente sous la forme d’un boîtier électronique de 20 cm de hauteur et d’un bloc-caméra indépendant.

À l’écran, les températures mesurées s’affichent sur les silhouettes mouvantes. Si la température d’un sujet est trop élevée, un avis est envoyé par texto.

Ainsi avisé, le préposé à l’accueil, l’agent ou le responsable peut prendre les mesures nécessaires.

« Ce qu’on a observé, c’est que souvent, ces gens-là font une deuxième lecture manuelle pour confirmer la situation, et ils la gèrent ensuite selon leur protocole », constate Pierre Gauvin.

L’appareil est parfaitement anonyme et ne conserve aucune donnée, assure-t-il.

Des projets-pilotes seront entrepris sous peu par trois hôpitaux montréalais. « Ça, c’est majeur pour nous, parce que c’est le genre de clientèle qu’on doit convaincre que le produit est un incontournable. »

Mais son usage n’est pas réservé au secteur hospitalier. L’appareil a été présenté à Janice McNair, propriétaire des Texans de Houston (NFL), en prévision de l’éventuelle reprise des activités devant public.

Pour la fièvre du football, quoi.

Appel à tous

Comment votre entreprise fait-elle face à la crise ? Comme patron et gestionnaire, quelles actions entreprenez-vous ? Quels sont vos défis, vos écueils, vos succès ? Contactez-nous pour raconter votre expérience, vos pairs pourraient en tirer des leçons.

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J'ai écrit que je ne commenterais plus les chiffres du coronavirus, mais la tendance est de nouveau à la baisse, plus de gens rétablis quotidiennement que de gens infectés au Québec et au Canada.

On ferme pour 28 jours certains commerces en zone rouge, on ne sature pas les urgences, et on attend le vaccin. Espérons que le scénario espéré par les autorités sanitaires se déroule comme prévu.

https://ici.radio-canada.ca/info/2020/coronavirus-covid-19-pandemie-cas-carte-maladie-symptomes-propagation/

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Il y a 1 heure, mtlurb a dit :

Photos prises samedi et dimanche (aujourd’hui). 
 

 

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Des gens qui n'ont pas de masques sur l'esplanade du Mont-Royal. La police est là pourtant. Dans le bois, je peux comprendre, mais là. Des inconscients. Et on se demande ensuite pourquoi il y augmentation des cas.

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18 minutes ago, santana99 said:

Des gens qui n'ont pas de masques sur l'esplanade du Mont-Royal. La police est là pourtant. Dans le bois, je peux comprendre, mais là. Des inconscients. Et on se demande ensuite pourquoi il y augmentation des cas.

Le masque n'est pas obligatoire à l'extérieur. Combien de fois on va le répéter 🙄 La police n'a pas à intervenir.

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