COVID-19: L'effet sur l'économie et sur l'immobilier à Montréal

[vivreenrégion]

Moi je m'attends à ce que le marché immobilier à Vancouver tombe lourdement. Saison des croisières annulé jusqu'en juillet. Et limitations des immigrants et travailleurs temporaires étrangers.

[SkylineMtl]

il y a 43 minutes, vivreenrégion a dit :

Moi je m'attends à ce que le marché immobilier à Vancouver tombe lourdement. Saison des croisières annulé jusqu'en juillet. Et limitations des immigrants et travailleurs temporaires étrangers.

Ce qui ne serait pas nécessairement une mauvaise chose pour Monsieur et Madame tout le monde qui ne peuvent se permettre de s'acheter un condo à 1 million de dollars.

[andre md]

Pour chaque cas de personne infecté par le corona virus il yen a peut etre 10 qui sont infecté sans le savoir. 

Les chiffres que l'on a sont surement tres loin de la réalité.

[denpanosekai]

5 hours ago, vincethewipet said:

C'était une expérience de faire l'épicerie à matin. Jamais vu autant de monde pour si peu de produits!

Lasalle **cking sucked. Almost saw a fistfight at super C.

[rnr_ss]

j'suis hors sujet un peu, mais cette crise a un drôle d'effet qui donne du beau.

Des Italiens chantent ensemble par la fenêtre de leur maison.

 

[Ousb]

il y a 24 minutes, rnr_ss a dit :

j'suis hors sujet un peu, mais cette crise a un drôle d'effet qui donne du beau.

Des Italiens chantent ensemble par la fenêtre de leur maison.

 

Ça change des cris de singe dans leurs stades de football 🙃

[Wave Arts]

Selon le sénat américain, dans les cas les plus pessimistes, il y aurait 150 000 américains qui vont mourir de la maladie en 2020, ce qui serait la cause numéro 1 de mort, tout juste en face des maladies cardiaques.

Aussi,  simplement par curiosité, y'a t-il des preppers sur le forum?

[p_xavier]

10 minutes ago, Wave Arts said:

Selon le sénat américain, dans les cas les plus pessimistes, il y aurait 150 000 américains qui vont mourir de la maladie en 2020, ce qui serait la cause numéro 1 de mort, tout juste en face des maladies cardiaques.

Aussi,  simplement par curiosité, y'a t-il des preppers sur le forum?

Moi, mon surnom n'est pas Le Redneck pour rien... En ayant travaillé pour plusieurs ministères fedéraux, je préfère prendre ma vie en main qur de me fier sur ces gens là...

[fmfranck]

il y a 18 minutes, p_xavier a dit :

Moi, mon surnom n'est pas Le Redneck pour rien... En ayant travaillé pour plusieurs ministères fedéraux, je préfère prendre ma vie en main qur de me fier sur ces gens là...

De quels gens tu parles au juste?

[Né entre les rapides]

Il y a 6 heures, vivreenrégion a dit :

Moi je m'attends à ce que le marché immobilier à Vancouver tombe lourdement. Saison des croisières annulé jusqu'en juillet. Et limitations des immigrants et travailleurs temporaires étrangers.

Le marché immobilier, à Vancouver comme ailleurs, n'est pas comparable à celui d'un produit, par exemple le pétrole, dont la consommation suit de près la production.

Dans le second cas (exemple du pétrole), le prix est presque instantanément fixé en fonction de la relation entre l'offre et la demande au moment précis.  L'offre s'ajustera (diminuera) quand le coût marginal pour certains producteurs sera supérieur au  prix (diminué) du marché.  Le cas spécifique du pétrole alberain tiré des sables bitumineux vaut la peine d'être examiné, parce que sa structure de coûts est atypique: coûts fixes très élevés, qui contribuent à hausser le coût moyen, mais coûts variables pas particulièrement élevés.  On continue à produire aussi longtemps que le prix obtenu sur le marché est supérieur au coût variable (on ne tient pas compte du coût fixe).  Bien sûr, on n'investira pas dans de nouvelles installations, car  à ce niveau de décision, on prend en compte tous les coûts, fixes et variables. 

Je reviens sur l'immobilier: la demande peut évidemment s'effondrer pour un temps,  mais l'offre n'est pas aussi flexible.  Celle-ci est constituée en majorité du stock existant (pas les nouveaux projets); les actuels propriétaires (du stock existant), à moins d'être obligés de vendre maintenant,  seront pour la plupart réticents à accepter des prix moindres  que la somme de leurs apports et des hypothèques courantes.  Ainsi, si le niveau de la demande restait bas pour une période prolongée, la glissade des prix se produirait graduellement, pas brusquement.