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COVID-19: L'effet sur l'économie et sur l'immobilier à Montréal


Rocco

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L'effet du covid sur l'économie ? Lisez bien cet article. Seulement, dans le secteur de la quincaillerie, on fait face à une pénurie de main-d'oeuvre criante, il manque plusieurs plusieurs centaines d'employés.  ET ce n'est pas un exemple isolé.

La réalité c'est que le Québec fait déjà face à une pénurie de main-d'oeuvre dans un certain nombre de secteurs.

Le taux de chômage ? Il va redescendre très très vite, il redescend déjà !

Il sera sous la barre des 5 % en 2022. Je vous le prédis !

La pandémie ? Une crise conjoncturelle et de courte durée, qui ne va finalement que booster l'économie !

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2021-03-20/quincailleries/course-a-l-approvisionnement-et-chasse-aux-employes.php

 

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  • Administrateur
3 hours ago, andre md said:

J'ose meme pas imaginer une panne majeur d'internet. Ou encore une mega panne d'electricité. On se met en positIon de faiblesse en se fiant seulement sur internet et le teletravail pour accomplir nos taches.

Ca explique aussi l'inflation des couts des materiaux. On coupe d'un bord on depense de l'autre.

Rien ne se perd , rien ne se crée tout se transforme.

A la limite on va scraper encore plus l'environnement avec l'etalement urbain. The Next crisis is coming.

 

Même si t’es au bureau et il y aune panne d’internet ou électricité, pas grand travail ne peut être fait. 

Au contraire, quand les usagers sont chez eux, et que certains ont une panne, l’impact est mitigé puisque les autres employés peuvent continuer à travailler. 

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il y a 32 minutes, mtlurb a dit :

Même si t’es au bureau et il y aune panne d’internet ou électricité, pas grand travail ne peut être fait. 

Au contraire, quand les usagers sont chez eux, et que certains ont une panne, l’impact est mitigé puisque les autres employés peuvent continuer à travailler. 

Je parle de panne majeurs pas de panne local. 

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Quand je parlais de pénurie de main-d'oeuvre, la grande région de Québec a récupéré 98,8 % des emplois perdus pendant la pandémie et fait face à une pénurie de main-d'oeuvre ! Son taux de chômage était de 5 % en février 2021. Tout ça en pleine pandémie ! Incroyable !

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1778548/quebec-levis-reprise-economique-chomage-emploi-pandemie

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Les gens pensent que la ville est plus attrayante que la banlieue ou la ''campagne'', pourtant les stats montrent que ce que les gens recherchent majoritairement ce sont des maisons et non des condos. La population du Québec a seulement grossit de 132 personne entre Q4 2020 et Q1 2021. Si les gens quittent l'île de Montréal c'est que les prix sont trop hauts pour ce que la ville a à offrir présentement. Il y a aussi ceux qui quittent la banlieue pour les villes en périphérie de la RMR, ils peuvent avoir plus gros pour moins cher. Le travail à la maison va obliger les métropoles à changer leur façon d'attirer des gens. La RMR va encore plus s'élargir avec un exode urbain en accéléré. Si les prix montent encore plus à Montréal, faut pas s'attendre à ce que la migration vers l'île de Montréal s'améliore. Ce qu'il faudrait pour que l'île de Montréal redevienne compétitive au niveau nationale, car même Vancouver et Toronto (ville) ont le même problème, c'est une déflation des prix pour la rendre attrayante avec un plus value pour compenser le manque de maisons unifamiliales. Un de mes amis a toujours été un citadin et il aime la ville, mais si ça avait pas été de sa job qui l'oblige à rester sur l'île, il serait parti dans les Canton-de-l'Est. Plusieurs ont quitté l'île pour s'acheter leur maison de rêve.

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il y a 6 minutes, vivreenrégion a dit :

Les gens pensent que la ville est plus attrayante que la banlieue ou la ''campagne'', pourtant les stats montrent que ce que les gens recherchent majoritairement ce sont des maisons et non des condos. La population du Québec a seulement grossit de 132 personne entre Q4 2020 et Q1 2021. Si les gens quittent l'île de Montréal c'est que les prix sont trop hauts pour ce que la ville a à offrir présentement. Il y a aussi ceux qui quittent la banlieue pour les villes en périphérie de la RMR, ils peuvent avoir plus gros pour moins cher. Le travail à la maison va obliger les métropoles à changer leur façon d'attirer des gens. La RMR va encore plus s'élargir avec un exode urbain en accéléré. Si les prix montent encore plus à Montréal, faut pas s'attendre à ce que la migration vers l'île de Montréal s'améliore. Ce qu'il faudrait pour que l'île de Montréal redevienne compétitive au niveau nationale, car même Vancouver et Toronto (ville) ont le même problème, c'est une déflation des prix pour la rendre attrayante avec un plus value pour compenser le manque de maisons unifamiliales. Un de mes amis a toujours été un citadin et il aime la ville, mais si ça avait pas été de sa job qui l'oblige à rester sur l'île, il serait parti dans les Canton-de-l'Est. Plusieurs ont quitté l'île pour s'acheter leur maison de rêve.

Ils quittent Montréal, d'autres les remplaceront. L'immigration va s'en charger. Le Québec fait actuellement face à une importante pénurie de main-d'oeuvre. Ça ne m'inquiète absolument pas. Le centre-ville de Montréal ne va pas se vider, ni l'île au cours des prochaines années ! Aucune inquiétude de ce côté. Aucune ! Les Français seront bientôt majoritaires sur le Plateau, ils vont bientôt envahir le Mile End. Et je ne parle même pas des Chinois de Hong Kong !

cais

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Les immigrants vont quand même avoir besoin d'une job, et la majorité de la pénurie de main d'oeuvre ne se trouve pas au centre-ville, mais en banlieue et en région. Les emplois au centre-ville étaient des emplois d'ordinateurs principalement, c'est pourquoi il est vide à l'heure actuelle. Si l'immigrant se cherche une job au centre-ville et que son boss lui dit que sa job est online, il va surement vouloir lui aussi quitter son 1 et demi dans le core. Les immigrants et les résidents non permanents occupaient aussi beaucoup d'emplois au centre-ville, emplois qui sont maintenant fermés ou avec beaucoup moins d'employés et moins d'heures. Montréal, Toronto ou Vancouver ne sont pas de mauvaises villes, mais ça coûte trop cher par rapport à ce que tu peux avoir ailleurs. Les Airbnb dans les centre-ville étaient populaires, l'effervescence des centre-ville est directement lié aux travailleurs qui viennent y travailler durant la journée de travail.

À ça on ajoute les constructions infinies et la condition du réseau routier, et les taxes élevées.

Si j'avais à miser sur quelque chose, je dirais que Montréal devrait y aller all in avec la population étudiante et miser sur ça pour repeupler son centre-ville. Les universités vont ouvrir en présentiel donc c'est le temps.

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il y a 3 minutes, vivreenrégion a dit :

Les immigrants vont quand même avoir besoin d'une job, et la majorité de la pénurie de main d'oeuvre ne se trouve pas au centre-ville, mais en banlieue et en région. Les emplois au centre-ville étaient des emplois d'ordinateurs principalement, c'est pourquoi il est vide à l'heure actuelle. Si l'immigrant se cherche une job au centre-ville et que son boss lui dit que sa job est online, il va surement vouloir lui aussi quitter son 1 et demi dans le core. Les immigrants et les résidents non permanents occupaient aussi beaucoup d'emplois au centre-ville, emplois qui sont maintenant fermés ou avec beaucoup moins d'employés et moins d'heures. Montréal, Toronto ou Vancouver ne sont pas de mauvaises villes, mais ça coûte trop cher par rapport à ce que tu peux avoir ailleurs. Les Airbnb dans les centre-ville étaient populaires, l'effervescence des centre-ville est directement lié aux travailleurs qui viennent y travailler durant la journée de travail.

À ça on ajoute les constructions infinies et la condition du réseau routier, et les taxes élevées.

On te dit : business as usual ! Beaucoup d'emplois nécessitent une présence sur place, MÊME AU CENTRE-VILLE. Tout le monde ne travaille pas sur des ordinateurs, n'est pas et ne sera pas en télétravail !

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il y a 10 minutes, santana99 a dit :

On te dit : business as usual ! Beaucoup d'emplois nécessitent une présence sur place, MÊME AU CENTRE-VILLE. Tout le monde ne travaille pas sur des ordinateurs, n'est pas et ne sera pas en télétravail !

Non c'est certain, pas tous les emplois. Mais ce qui fait tourner les centre-ville c'est l'argent de ceux qui y travaillent. Beaucoup de ces entreprises avaient déjà de la difficulté pré-covid, avec un maximum de travailleurs qui allaient y dépenser leur argent. Si tu perd 75% du potentiel de cash à dépenser, alors tous les modèles d'affaires ne tiennent plus. Pour une compagnie qui était borderline, le fait de pouvoir réduire ses dépenses de logements en location d'espaces à bureaux, le WFH est presque un miracle. La compagnie réduit son emprunte et termine le mois avec moins de frais fixes, ce qui lui permet de survivre et même de prendre de l'expansion.

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