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Économie du Québec ​​


Normand Hamel

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  • Administrateur
il y a 37 minutes, Rocco a dit :

L'excuse parfaite pour repousser encore la ligne bleue et le REM de l'Est? Watch and learn.

https://lp.ca/hovT4S?sharing=true

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La mini baisse d'impôts va prendre le bord en premier. mark my words.

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Baisse du PIB de 0,5 % en juillet

Le Québec est probablement déjà en récession, selon Desjardins

L’économie canadienne a continué d’avancer au mois d’août, avec une légère hausse de 0,1 % du PIB, mais le Québec, dont le PIB a baissé de 0,5 % en juillet, est probablement déjà tombé en récession, avance Desjardins.

Avec le recul de son PIB pour un quatrième mois de suite et les prévisions des deux prochains mois, « le Québec semble déjà avoir un pied dans la récession », observe Hélène Bégin, économiste principale de Desjardins. 

Le troisième trimestre affichera une contraction pour un deuxième trimestre consécutif de croissance négative, ce qui répond à la définition d’une récession. 

Selon l’économiste de Desjardins, le repli de l’économie du Québec sera assez important pour qu’on parle d’une récession classique, avec des pertes d’emplois, une diminution des ventes au détail et une chute des prix de l’immobilier. 

Même si le ralentissement de l’économie québécoise est généralisé, le marché de l’emploi résiste encore, ce qui laisse prévoir « une nouvelle variante de récession classique, avec des pertes d’emplois limitées et une remontée du taux de chômage, soit au niveau de 6 % d’ici un an ». 

La pénurie de main-d’œuvre et l’épargne accumulée par les Québécois pourraient atténuer l’impact de cette récession comparativement aux précédentes, affirme l’économiste de Desjardins. 

Le signal de récession peut être perçu plus tôt au Québec qu’ailleurs au Canada, parce que l’Institut de la statistique publie les chiffres du PIB tous les mois, ce que ne font pas les autres provinces. Le virage de l’économie québécoise est clair et donne probablement un avant-goût de ce qui attend les autres provinces, selon Desjardins. 

« Le signal de récession pour le Québec n’a pas à lui seul fait pencher la balance pour la Banque du Canada, mais il a peut-être été pris en considération lors de l’annonce du 26 octobre. Malgré la forte inflation, la décision [a été] d’augmenter les taux directeurs de 50 points de base, plutôt que 75 points de base », observe Hélène Bégin

L’économie canadienne résiste

Statistique Canada s’attendait à ce que le PIB fasse du surplace en août. La hausse de 0,1 % indique que l’économie se montre résiliente. « Au final, l’économie canadienne se porte un peu mieux que prévu, a commenté l’analyste de S&P Global Market Intelligence, Arlene Kish. La bonne performance de certains secteurs, particulièrement dans les services, semble atténuer l’impact négatif des hausses de taux d’intérêt sur les secteurs qui y sont les plus sensibles, comme la construction résidentielle. » 

La hausse du mois d’août suit une augmentation similaire de 0,1 % en juillet et en juin. C’est le secteur des services, en hausse de 0,3 %, qui tire la croissance en août, tandis que la production de biens est en baisse de 0,3 %. 

Le secteur de la construction s’est replié pour un cinquième mois consécutif, en baisse de 0,7 % en août, sous l’impact des hausses répétées des taux d’intérêt. 

Après le recul de juillet, le secteur du commerce de détail a enregistré une hausse de 1,2 % en août, indique Statistique Canada. Ce sont surtout les magasins de sport qui en ont profité. Les activités sportives ont repris à plein régime au cours de l’été, note Statistique Canada. Cette catégorie de dépense est en hausse de 5,4 % et a atteint leur plus haut niveau depuis juin 2021. 

Le prix de l’essence a diminué de 9,6 % en août, ce qui a stimulé la consommation. Les ventes des stations-service se sont accrues de 6,9 %, après avoir diminué pendant trois mois d’affilée. 

Les ventes des magasins d’alimentation ont augmenté de 1,3 % en août, après avoir diminué pendant deux mois consécutifs. 

Statistique Canada estime que le PIB a augmenté de 0,1 % en septembre, des chiffres qui seront confirmés le mois prochain. Pour l’ensemble du troisième trimestre, soit les mois de juillet, août et septembre, les estimations pointent vers une croissance de 0,4 %. 

Avec les chiffres du mois d’août, les économistes de la Banque Nationale s’attendent à une croissance de 1,6 % en rythme annualisé au troisième trimestre, après l’augmentation de 4,2 % enregistré au deuxième trimestre. 

Ce ralentissement devrait se poursuivre au cours des prochains mois, écrivent Kyles Adams et Alexandra Ducharme dans leur analyse. « La hausse des taux d’intérêt a eu un impact négatif sur les secteurs de la construction, de la finance et de l’immobilier au cours des derniers mois et devrait continuer à le faire dans la période à venir », notent-ils.

https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2022-10-28/baisse-du-pib-de-0-5-en-juillet/le-quebec-est-probablement-deja-en-recession-selon-desjardins.php

Screen Shot 2022-10-28 at 10.39.39 PM.png

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il y a 51 minutes, Rocco a dit :

Le PIB du Québec a commencé à baisser après l'adoption du projet de loi 96. Et ben. Speak White, sti.

Je sais que tu aimes la rigueur et c'est pourquoi je porte à ton attention le fait que le Québec fait généralement preuve de plus de rigueur que les autres provinces concernant les données des statistiques.

Par exemple, pendant la pandémie le Québec affichait des taux de mortalité effarants en comparaison des autres provinces et des autres pays. Pourtant le PM s'évertuait à nous faire comprendre que nous avions une méthode différente pour l'attribution d'une mortalité due à la COVID. Legault nous disait alors qu'il faudra éventuellement se référer au taux de surmortalité. Or il s'avère aujourd'hui qu'il avait raison car pour la période couvrant la pandémie nous affichons l'un des taux de surmortalité parmi les plus bas au monde et de loin le plus bas au Canada exception faite des plus petites juridictions.

Pour l'éducation c'est un peu la même chose quoique le problème se pose différemment. En effet nous affichons le taux décrochage le plus élevé au Canada mais nous avons en même temps le plus grand pourcentage de notre population détenant un diplôme d'étude secondaire au Canada. La contradiction s'explique ainsi: nous avons un plus grand nombre de décrocheurs qui retournent éventuellement aux études et obtiennent sur le tard leur diplôme d'étude secondaire.

Ce qui m'amène à dire que dans l'article il est clairement spécifié que le Québec publie des statistiques mensuelles concernant le PIB, ce qui n'est pas le cas pour les autres provinces qui sont probablement elles aussi en récession en ce moment mais nous ne le saurons que plus tard.

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  • 2 semaines plus tard...

Le Québec bat les prédictions

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PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

En 2021, le niveau de vie des Québécois a crû de 5,7 % selon les chiffres officiels de Statistique Canada sur le produit intérieur brut, ce qui nous situe au deuxième rang canadien pour la croissance annuelle.

Francis Vailles
Francis Vailles La Presse

Je sais, certains me trouvent chauvin ou jovialiste, mais que voulez-vous, quand ce sont les chiffres officiels qui parlent, je n’y peux rien.

Et ces chiffres, ils contredisent ce que plusieurs disaient de l’économie du Québec ces dernières années, soit qu’elle progresserait moins vite qu’ailleurs, pour diverses raisons.

Mardi, Statistique Canada a publié ses chiffres officiels de 2021 sur le produit intérieur brut (PIB), le taux d’épargne des ménages, les investissements dans le logement, les déficits publics, etc., tirés des comptes économiques provinciaux.

Premier élément décortiqué : le niveau de vie, défini comme le PIB par habitant1.

En 2021, donc, le niveau de vie des Québécois a crû de 5,7 % — net de l’inflation –, ce qui nous situe au deuxième rang canadien pour la croissance, derrière l’Île-du-Prince-Édouard. La Colombie-Britannique est à 5,2 %, l’Ontario à 4,6 %, et la moyenne canadienne à 4,4 %.

Mieux encore : ce PIB par habitant du Québec a crû plus vite que la moyenne canadienne chaque année depuis sept ans, soit depuis 2015 (et depuis 2016 par rapport à l’Ontario).

Oui, mais la pandémie ? D’accord, la COVID-19 a chambardé les données de 2020 et 2021, mais à long terme, la tendance du Québec se maintient. Ainsi, la croissance de notre niveau de vie arrive au troisième rang des provinces sur cinq ans et au troisième rang également sur dix ans, derrière la Colombie-Britannique, mais devant l’Ontario et l’Alberta (au dixième et dernier rang).

 

En chiffres absolus, le PIB du Québec par habitant demeure nettement moins élevé qu’en Alberta ou à Terre-Neuve-et-Labrador, où le pétrole fait gonfler la taille de l’économie. Les avancées récentes situent néanmoins les Québécois au cinquième rang à ce chapitre (47 772 $ par habitant, en dollars de 2012).

Nous continuons à être devancés, cela dit, par des provinces comparables comme l’Ontario (54 413 $) et la Colombie-Britannique (54 227 $), respectivement de 13,9 % et 13,5 %, qu’il faut rattraper.

de144bbf58a739098ceb59f8c0dc1fb7.png  

Le PIB par habitant est loin d’être parfait. Il ne dit rien de la répartition de la richesse, par exemple. Et sa composition peut rendre boiteuse la comparaison des chiffres absolus entre les régions, d’où l’intérêt de se concentrer sur sa croissance.

Un autre indicateur phare permet d’apprécier la progression du Québec, soit le taux d’épargne des ménages ou, autrement dit, ce que les Québécois parviennent à mettre de côté une fois les dépenses et impôts payés.

En 2021, les Québécois avaient un taux d’épargne de 14,6 %, soit le plus haut taux d’épargne des 10 provinces. L’aide gouvernementale liée à la pandémie est un facteur majeur de la hausse de ce taux d’épargne. Ce taux reculera en 2022 et au cours des prochaines années.

Il reste que depuis sept ans, les Québécois ont eu un taux d’épargne plus élevé que l’Ontario, la Colombie-Britannique et la moyenne canadienne. Cet écart contraste avec la période 1981-2002, où le Québec était nettement en dessous de l’Ontario.

f52d43eade9f3de7a7bde36d704db683.png  

Ces données passées ne disent rien sur l’avenir. Le Québec sera durement confronté au vieillissement de la population et à la pénurie de main-d’œuvre, entre autres, ce qui fera pression sur sa croissance. En attendant, notre PIB par habitant en croissance permet au gouvernement d’empocher plus de recettes pour payer nos services publics.

Les « moins pires » banques vertes

Par ailleurs, dans le contexte de la COP27, l’organisation World Benchmarking Alliance (WBA) vient de publier le classement de 400 institutions financières dans le monde en ce qui concerne leur préoccupation pour le développement durable.

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PHOTO CHRIS HELGREN, ARCHIVES REUTERS

La Banque de Montréal (BMO) a pris le 1er rang du classement des 400 institutions financières dans le monde en ce qui concerne leur préoccupation pour le développement durable.

Résultat ? La Banque de Montréal (BMO) et la Caisse de dépôt et placement du Québec font partie des 30 meilleures institutions à cet égard, selon la WBA. La BMO finit au 1er rang, la Caisse au 26e rang.

Le classement mesure la qualité de la gouvernance et de la stratégie des institutions, leur respect des capacités de la planète et leur adhésion aux conventions sociales.

Cette bonne nouvelle relative cache un aspect bien moins reluisant, soit la proportion minuscule d’institutions qui obtiennent ce qu’on pourrait appeler la note de passage de 50 sur 100.

La BMO a une note de 52,5 sur 100 et la Caisse, de 32,5. Parmi les autres institutions financières canadiennes, la Banque Nationale a été classée au 73e rang (22,9 sur 100), la Banque Royale au 107e rang, (19 sur 100) et le Mouvement Desjardins au 165e rang (13,8 sur 100).

Sur les 400 institutions, 84 obtiennent des notes de 2 ou moins sur 100…

La WBA note d’ailleurs que seulement 37 % des principales institutions ont publié des objectifs de carboneutralité à long terme et 2 %, des objectifs intermédiaires.

1. Statistique Canada publie le PIB réel par province, que j’ai divisé par le nombre d’habitants pour obtenir le niveau de vie et sa croissance.

 
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6 hours ago, acpnc said:

Le Québec bat les prédictions

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PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

En 2021, le niveau de vie des Québécois a crû de 5,7 % selon les chiffres officiels de Statistique Canada sur le produit intérieur brut, ce qui nous situe au deuxième rang canadien pour la croissance annuelle.

Francis Vailles
Francis Vailles La Presse

Je sais, certains me trouvent chauvin ou jovialiste, mais que voulez-vous, quand ce sont les chiffres officiels qui parlent, je n’y peux rien.

Et ces chiffres, ils contredisent ce que plusieurs disaient de l’économie du Québec ces dernières années, soit qu’elle progresserait moins vite qu’ailleurs, pour diverses raisons.

Mardi, Statistique Canada a publié ses chiffres officiels de 2021 sur le produit intérieur brut (PIB), le taux d’épargne des ménages, les investissements dans le logement, les déficits publics, etc., tirés des comptes économiques provinciaux.

Premier élément décortiqué : le niveau de vie, défini comme le PIB par habitant1.

En 2021, donc, le niveau de vie des Québécois a crû de 5,7 % — net de l’inflation –, ce qui nous situe au deuxième rang canadien pour la croissance, derrière l’Île-du-Prince-Édouard. La Colombie-Britannique est à 5,2 %, l’Ontario à 4,6 %, et la moyenne canadienne à 4,4 %.

Mieux encore : ce PIB par habitant du Québec a crû plus vite que la moyenne canadienne chaque année depuis sept ans, soit depuis 2015 (et depuis 2016 par rapport à l’Ontario).

Oui, mais la pandémie ? D’accord, la COVID-19 a chambardé les données de 2020 et 2021, mais à long terme, la tendance du Québec se maintient. Ainsi, la croissance de notre niveau de vie arrive au troisième rang des provinces sur cinq ans et au troisième rang également sur dix ans, derrière la Colombie-Britannique, mais devant l’Ontario et l’Alberta (au dixième et dernier rang).

 

En chiffres absolus, le PIB du Québec par habitant demeure nettement moins élevé qu’en Alberta ou à Terre-Neuve-et-Labrador, où le pétrole fait gonfler la taille de l’économie. Les avancées récentes situent néanmoins les Québécois au cinquième rang à ce chapitre (47 772 $ par habitant, en dollars de 2012).

Nous continuons à être devancés, cela dit, par des provinces comparables comme l’Ontario (54 413 $) et la Colombie-Britannique (54 227 $), respectivement de 13,9 % et 13,5 %, qu’il faut rattraper.

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Le PIB par habitant est loin d’être parfait. Il ne dit rien de la répartition de la richesse, par exemple. Et sa composition peut rendre boiteuse la comparaison des chiffres absolus entre les régions, d’où l’intérêt de se concentrer sur sa croissance.

Un autre indicateur phare permet d’apprécier la progression du Québec, soit le taux d’épargne des ménages ou, autrement dit, ce que les Québécois parviennent à mettre de côté une fois les dépenses et impôts payés.

En 2021, les Québécois avaient un taux d’épargne de 14,6 %, soit le plus haut taux d’épargne des 10 provinces. L’aide gouvernementale liée à la pandémie est un facteur majeur de la hausse de ce taux d’épargne. Ce taux reculera en 2022 et au cours des prochaines années.

Il reste que depuis sept ans, les Québécois ont eu un taux d’épargne plus élevé que l’Ontario, la Colombie-Britannique et la moyenne canadienne. Cet écart contraste avec la période 1981-2002, où le Québec était nettement en dessous de l’Ontario.

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Ces données passées ne disent rien sur l’avenir. Le Québec sera durement confronté au vieillissement de la population et à la pénurie de main-d’œuvre, entre autres, ce qui fera pression sur sa croissance. En attendant, notre PIB par habitant en croissance permet au gouvernement d’empocher plus de recettes pour payer nos services publics.

Les « moins pires » banques vertes

Par ailleurs, dans le contexte de la COP27, l’organisation World Benchmarking Alliance (WBA) vient de publier le classement de 400 institutions financières dans le monde en ce qui concerne leur préoccupation pour le développement durable.

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PHOTO CHRIS HELGREN, ARCHIVES REUTERS

La Banque de Montréal (BMO) a pris le 1er rang du classement des 400 institutions financières dans le monde en ce qui concerne leur préoccupation pour le développement durable.

Résultat ? La Banque de Montréal (BMO) et la Caisse de dépôt et placement du Québec font partie des 30 meilleures institutions à cet égard, selon la WBA. La BMO finit au 1er rang, la Caisse au 26e rang.

Le classement mesure la qualité de la gouvernance et de la stratégie des institutions, leur respect des capacités de la planète et leur adhésion aux conventions sociales.

Cette bonne nouvelle relative cache un aspect bien moins reluisant, soit la proportion minuscule d’institutions qui obtiennent ce qu’on pourrait appeler la note de passage de 50 sur 100.

La BMO a une note de 52,5 sur 100 et la Caisse, de 32,5. Parmi les autres institutions financières canadiennes, la Banque Nationale a été classée au 73e rang (22,9 sur 100), la Banque Royale au 107e rang, (19 sur 100) et le Mouvement Desjardins au 165e rang (13,8 sur 100).

Sur les 400 institutions, 84 obtiennent des notes de 2 ou moins sur 100…

La WBA note d’ailleurs que seulement 37 % des principales institutions ont publié des objectifs de carboneutralité à long terme et 2 %, des objectifs intermédiaires.

1. Statistique Canada publie le PIB réel par province, que j’ai divisé par le nombre d’habitants pour obtenir le niveau de vie et sa croissance.

 

Quand meme une bonne difference avec l'ontario.

Toujours plus fáciles de croitre plus vite quand on est dans le bas. 

Faut tenir compte aussi que l'ontario recoit beaucoup d'immigrant et  continue quand meme de croitre son PIB per cápita.

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il y a 23 minutes, mtlurb a dit :

Ultimement c'est le revenu disponible par habitant qui compte... et là aussi on est loin.

Non, ultimement c'est le prix que ça coûte pour vivre qui compte et c'est pourquoi il y a présentement une vague de réfugiés de Toronto qui arrive à Montréal. Plusieurs ayant gardé leur emploi là-bas grâce au télétravail.

  • D'accord 2
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il y a 31 minutes, Normand Hamel a dit :

Non, ultimement c'est le prix que ça coûte pour vivre qui compte et c'est pourquoi il y a présentement une vague de réfugiés de Toronto qui arrive à Montréal. Plusieurs ayant gardé leur emploi là-bas grâce au télétravail.

Pas d'accords, mais bon on a déjà eu ce débat. Ce n'est pas les stats pour Québec vs Toronto. C'est Québec vs Ontario... les chiffres Montréal vs Toronto seraient peut être pires malgré le coût de vie.

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if you are not in agreement, it would be helpful to know why. Obviously, there is a direct link between revenue earned and the local Cost of living. If I earn $100,000 annually in a very poor country, it will obviously go further than in Manhattan...just to take an exaggerated example.

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