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Véhicules/Voitures Électriques


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Très ravi de voir le retour de Téo taxi. Ce modèle de taxi est né à Montréal et doit faire partie du décors de la ville au même titre que les taxis jaunes de NY ou les black cab de Londres. Je souhaite donc franc succès et longue vie à Téo taxi.

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Le 2020-10-15 à 11:43, jesseps a dit :

TEO Taxi is back in business minus the Tesla's.

Are people still taking taxi's and ubers during covid?

Je les évite comme la peste, rien de pire pour pogner la covid qu'un petit espace confiné.

 

Le 2020-10-16 à 00:21, steve_36 a dit :

Très ravi de voir le retour de Téo taxi. Ce modèle de taxi est né à Montréal et doit faire partie du décors de la ville au même titre que les taxis jaunes de NY ou les black cab de Londres. Je souhaite donc franc succès et longue vie à Téo taxi.

Oui, je leur souhaite aussi longue vie. J'espère seulement que ca sera mieux géré. L'abandon des Tesla est une excellente décision, ca coutait chère à opérer.

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  • 1 mois plus tard...

L’actionnariat québécois de Lion bien servi par le saut à Wall Street

Lion fera le saut à Wall Street cet hiver, ce qui permettra au constructeur de véhicules électriques de Saint-Jérôme de récolter un demi-milliard américains pour financer son expansion tout en créant de la valeur au passage pour ses actionnaires québécois.

Richard Dufour - La Presse

Le début des transactions à la Bourse de New York sous le symbole « LVE » est attendu en février ou en mars. 

L’inscription en Bourse de Lion s’effectuera par l’entremise d’une fusion avec Northern Genesis, une société d’acquisition à vocation spécifique dont les actions sont actuellement déjà inscrites à New York. 

Le financement privé accompagnant la transaction permet d’accorder une capitalisation boursière de 1,9 milliard US à Lion.

Selon nos informations, les principaux actionnaires de Lion à la clôture de l’opération seront Power Corporation (31 %), les fondateurs Marc Bédard et Camile Chartrand (15 %), et le fonds d’investissement XPNDCroissance d’Alexandre Taillefer (10 %). 

Lion a été fondée il y a 12 ans par Marc Bédard et Camile Chartrand. L’investissement initial de quelques millions seulement par XPND dans Lion date de 2015 alors que celui d’environ 50 millions de Power Corporation remonte à 2017. 

La valeur de la participation dans Lion détenue par Power Corporation s’élève donc aujourd’hui sur papier à environ 600 millions US. La participation des fondateurs vaut ainsi quelque 285 millions US et celle détenue par XPNDCroissance, près de 190 millions US. 

Toujours selon nos informations, les principaux investisseurs du fonds XPNDCroissance sont la Caisse de dépôt (20 %), Investissement Québec (20 %), le Fonds de solidarité FTQ (13 %), Fondaction (7 %) et Claridge (7 %). Un certain nombre de partenaires privés compose le reste de l’actionnariat d’XPNDCroissance. 

Lion prévoit principalement utiliser les 500 millions US récoltés pour établir une usine de fabrication de véhicules aux États-Unis dans un État américain qui reste à confirmer, et construire une usine de fabrication de batteries au Québec, fort possiblement à Saint-Jérôme. Les choix des emplacements seront annoncés prochainement. 

« Il fallait aller chercher des bons montants parce que si on veut compétitionner dans ce marché-là, il faut pas mal de capitaux », commente le PDG de Lion, Marc Bédard. 

« Jusqu’à maintenant, on a fait beaucoup avec un capital modeste, disons-le. Là, on a deux gros projets [l’usine de fabrication de véhicules et l’usine de batteries] et on veut continuer à investir dans la recherche et développement. » 

Le cofondateur de Lion explique qu’il est primordial dans le contexte commercial actuel que Lion assemble aux États-Unis les véhicules vendus aux Américains. « On veut ouvrir cette usine au cours des deux prochaines années », dit-il. Lion compte s’installer dans une usine déjà existante aux États-Unis. « Ça risque d’être une usine fermée par un constructeur automobile dans les dernières années. On est en négociations. » 

Lion continue de concentrer ses efforts sur les camions urbains et les autobus. L’entreprise évalue la taille du marché électrique cible en Amérique du Nord à 100 milliards US pour les camions urbains et à 10 milliards US pour les autobus. Les grands exploitants de parcs de camions comme UPS, FedEx, Pepsi, etc. sont tous dans la ligne de mire de Lion. 

L’ambition de Lion est de générer en 2024 un chiffre d’affaires de 3,5 milliards US et des ventes de 18 000 véhicules. Marc Bédard assure que Lion frôle déjà la rentabilité. 

L’usine de fabrication actuelle de Saint-Jérôme a une capacité de production de 2500 véhicules par année. Il y a présentement un peu plus de 300 véhicules Lion sur les routes, et la société prévoit livrer 650 véhicules l’an prochain. Le chiffre d’affaires anticipé cette année est d’environ 30 millions US. 

Si les autobus et les camions urbains demeurent le pain et le beurre de Lion, la prochaine étape est l’intégration d’équipement spécialisé sur les camions électriques. Dans les prochains mois, Lion entend commencer à livrer des camions de collecte de déchets ou de matériaux recyclables 100 % électriques et équipés de bennes électriques. Lion s’apprête aussi à entreprendre la livraison de camions avec des boîtes réfrigérées 100 % électriques. Plus tard en 2021, des camions nacelles 100 % électriques seront livrés à Hydro-Québec. Des ambulances électriques sont également dans les cartons.

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2020-12-01/l-actionnariat-quebecois-de-lion-bien-servi-par-le-saut-a-wall-street.php

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Il y a 1 heure, mont royal a dit :

A more healthier model than other recent total takeovers.

I don't know what specific companies you have in mind but it reminds me that GardaWorld is now owned by BC Partners with 51% of the shares. This leaves Stéphan Crétier and his team with only 49% of the shares. However Crétier remains in the driving seat because BC is strictly an investment firm. And the headquarters remains in Montréal (Griffintown). As for Lion, Quebec based investors still own more than two-thirds of the company.

Who owns a company is not as important however as who the CEO is and where its headquarters is located because that's where the decisions are made. Unless the headquarters is an empty shell like Alcan when in reality all the important decisions are made by Rio Tinto in London.

That being said, with Bombardier and the CSeries the situation is different. The new owner is located in France but the product (A220) is still located here with the engine manufacturer right beside it. Cirque du Soleil is in a similar situation. They are now controlled by an investment firm based in Ontario but the headquarters cannot be moved because it's a very special place with unique talents, and the École nationale de cirque and La Tohu Cité des Arts du Cirque are both located right beside it, just like Pratt & Whitney and Airbus in Mirabel. That's why I am not too preoccupied by the takeover of Element AI which is now in a very similar situation as the Cirque. 

Another interesting case is SNC Lavalin. If it was not for the Caisse its headquarters would in all probability already have ben moved to London. RONA is also an interesting case and a good example of a terrible situation where a once great local enterprise has been acquired by an American company that did not understand its new market, thinking that what works well in the USA will automatically work well in Canada. But in this case it didn't because we are different. 

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  • 2 mois plus tard...

Véhicules récréatifs électriques

La montréalaise Taiga se lance en Bourse

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

Samuel Bruneau, PDG et cofondateur de Taiga

Le constructeur montréalais de véhicules récréatifs 100 % électriques Taiga profite d’une tempête parfaite pour faire le saut en Bourse.

Publié le 18 février 2021 à 6h00

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2021-02-18/vehicules-recreatifs-electriques/la-montrealaise-taiga-se-lance-en-bourse.php

Richard Dufour
La Presse

L’électrification des transports est un thème à la mode, le confinement favorise la demande pour les produits discrétionnaires comme les motoneiges et les motomarines, et les marchés boursiers sont réceptifs.

« Le timing est très bon », lance le PDG et cofondateur de Taiga, Samuel Bruneau.

« Il y a une forte demande du consommateur et on avait besoin de financement pour pouvoir répondre à cette demande », précise-t-il.

L’inscription de Taiga à la Bourse de Toronto s’effectuera par l’entremise d’une fusion avec Canaccord Genuity Growth II, une société d’acquisition à vocation spécifique dont les actions sont inscrites depuis le début du mois seulement à Toronto sous le symbole CGGZ.UN. Le titre a d’ailleurs gagné 9 % mercredi dans la foulée de l’annonce avec Taiga.

La clôture de la transaction est prévue en avril, après quoi l’action s’échangera sous le symbole TAIG.

Taiga emprunte donc un chemin similaire à celui de Lion Électrique, constructeur de camions et d’autobus électriques de Saint-Jérôme dont les actions seront bientôt inscrites en Bourse, après qu’elle a bouclé elle aussi une entente avec une société d’acquisition à vocation spécifique.

L’opération doit rapporter à Taiga quelque 185 millions. Cet argent doit servir à financer la croissance des activités.

Taiga, dont l’effectif est d’une cinquantaine d’employés, exploite présentement une usine de 50 000 pi2 à Montréal (arrondissement de LaSalle), où se trouve aussi son centre de R et D et le siège social.

Taiga compte ouvrir une autre usine au Québec, plus grande, d’une superficie 340 000 pi2. L’endroit précis doit être annoncé dans les prochaines semaines. « On vise à créer un total de 700 emplois d’ici 2025 », dit Samuel Bruneau.

Il précise que Taiga embauchera des ingénieurs spécialisés en propulsion électrique, en fabrication de véhicules et en logiciels. Taiga entend aussi bonifier ses équipes de ventes, marketing et administration à Montréal, tandis que les embauches à la future usine à l’extérieur de Montréal seront surtout des employés de production et du personnel de soutien administratif.

Fondée en 2015, Taiga est en préproduction. Samuel Bruneau soutient que les précommandes pour ses motoneiges et motomarines dépassent les 1400 unités. Taiga prévoit livrer sa première motomarine en juin et sa première motoneige, en octobre. « On compte produire au total 2000 motoneiges et motomarines cette année et 60 000 en 2025 », dit Samuel Bruneau.

Le jeune PDG de 29 ans entend aussi utiliser une partie des fonds récoltés pour commencer à établir un réseau de recharge électrique hors route à travers l’Amérique du Nord. « On pense notamment aux grands trajets de motoneiges au Québec et en Ontario. On est en discussions avec la Fédération de motoneige pour identifier les meilleurs sites pour installer des bornes de recharge rapide », dit-il.

Celui qui a cofondé Taiga avec Gabriel Bernatchez et Paul Achard – deux amis avec qui il a étudié en génie à McGill – souligne que les motoneiges électriques ont une autonomie de 100 à 140 km, selon le modèle.

« Il y a deux grosseurs de batterie-pack », dit-il en ajoutant que les batteries peuvent se recharger complètement en deux heures, ou entre huit et dix heures, selon le type de prise.

PHOTO TIRÉE DU SITE DU CONSTRUCTEUR

La motomarine Orca de Taiga

Taiga fixe le prix de vente de ses motoneiges et motomarines à partir de 15 000 $US, soit environ 19 000 $, selon le modèle. L’entreprise développe aussi un véhicule tout-terrain côte à côte qui pourrait être prêt à commercialiser dans les « prochaines années ».

Samuel Bruneau évalue la taille du marché global à desservir à environ 50 milliards canadiens (tous types de véhicules récréatifs compris).

« Il est possible d’élargir ce marché à un nouveau type de consommateurs, parce que beaucoup de personnes n’auraient pas acheté préalablement une motoneige à combustion en raison du bruit et de l’impact environnemental. »

L’électrique vient ouvrir un nouveau segment de marché. Beaucoup de gens placent des commandes chez nous après avoir acheté une Tesla ou un véhicule électrique. Ils vont acheter la première motomarine de leur vie parce qu’elle est électrique.

Samuel Bruneau, PDG et cofondateur de Taiga

S’il admet que Taiga est en concurrence avec BRP, Polaris, Arctic Cat, etc., il juge qu’il s’agit d’une concurrence indirecte pour l’instant, car les véhicules de Taiga sont 100 % électriques et non à combustion.

« Notre vision est de pousser l’électrification dans le marché hors route. On serait heureux de voir les autres manufacturiers embarquer dans l’électrique, parce qu’on voit une grosse demande et Taiga ne pourra à elle seule répondre à cette demande au cours des cinq prochaines années », dit-il.

« On veut qu’il y ait plus de véhicules électriques hors route, c’est meilleur pour le marché. On a pris l’approche Tesla. On souhaite l’adoption le plus rapidement possible, parce que ça va aider le développement du réseau de bornes et de la clientèle. »

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Véhicules électriques

Des Montréalais s’imposent dans le recyclage des batteries

PHOTO FOURNIE PAR GENERAL MOTORS

La croissance de la demande en batteries dans l’automobile d’ici 2030 forcera l’utilisation de matériaux recyclés dans leur composition.

Les constructeurs d’automobiles ont à peu près tous l’objectif de vendre annuellement des millions de véhicules électriques dès 2025. Où vont-ils trouver tout ce nickel, ce cobalt et ce lithium ? Une partie de la réponse se trouve à Anjou, où Lithion a ouvert une usine qui démontre les vertus de sa technologie de recyclage des piles au lithium-ion usagées.

Publié le 22 février 2021 à 10h33

https://www.lapresse.ca/auto/voitures-electriques/2021-02-22/vehicules-electriques/des-montrealais-s-imposent-dans-le-recyclage-des-batteries.php

Alain McKenna
Collaboration spéciale

Lithion a ouvert il y a un an exactement cette usine d’Anjou qui fonctionne en deux temps : d’abord, elle réduit en poudre des piles usagées. Ensuite, elle transforme cette poudre en matériaux qui peuvent être réutilisés dans la fabrication de piles neuves. Elle récupère jusqu’à 95 % des composants des piles qu’elle reçoit, assure Lithion, ce qui en fait un leader nord-américain du recyclage de batteries.

Cette usine a recyclé 200 tonnes de batteries en un an, ce qui est peu. Ses dirigeants expliquent qu’il s’agit d’un projet de démonstration et qu’une « vraie » usine devrait être construite d’ici 2023, qui recyclera annuellement 7500 tonnes de matériaux, soit l’équivalent des piles de 20 000 véhicules électriques ou hybrides branchables. « Cela suffira pour récupérer les batteries d’à peu près tous les véhicules électriques en fin de vie du Québec et peut-être même de l’Ontario », explique Jean-Christophe Lambert, responsable du développement des affaires pour Lithion.

Lithion a l’appui du gouvernement du Québec dans son projet. Le recyclage des matériaux de batteries fait partie de la stratégie québécoise pour se tailler une place dans le secteur automobile nord-américain. Cela augure plutôt bien : Lithion devrait annoncer dans les prochains jours qu’un des principaux constructeurs de véhicules établis au Canada se joindra à son projet de recyclage de batteries.

Vers un seuil minimal de matériaux recyclés

Contrairement à ce que plusieurs craignent, les batteries des véhicules électriques ou hybrides ne finissent pas toutes à la poubelle. Il existe plusieurs utilisations pour leur assurer une deuxième vie. Mais la demande dans le transport risque de rendre le recyclage plus populaire que la réutilisation. « La demande va bondir dans les prochaines années et déjà, l’industrie risque la pénurie de matériaux neufs d’ici 2026 si elle ne fait rien », assure M. Lambert.

Cela rendra le recyclage plus attrayant, d’autant plus que plusieurs batteries sont rejetées dès leur fabrication parce qu’elles ne respectent pas les normes. Juste là, ce sont des matériaux facilement recyclables.

En Europe, on a déjà prévu le coup.

La Commission européenne vient d’adopter un cadre juridique obligeant les constructeurs de véhicules électriques à n’utiliser à partir de 2024 que des batteries dont on peut établir l’empreinte écologique, et qu’on pourra ensuite recycler.

La part minimale des batteries recyclées passera de 45 % à l’heure actuelle à 65 % en 2025, puis à 70 % en 2030.

« C’est le premier geste que nous faisons pour créer une économie circulaire dans le transport. Les batteries sont un secteur crucial de l’économie. La valeur de leurs composants est élevée et il faut s’assurer qu’ils ne finissent pas dans des sites d’enfouissement », explique le commissaire européen à l’Environnement, Virginijus Sinkevičius.

Vers une baisse du coût

Les élus européens comptent aller plus loin en garantissant que les batteries neuves contiendront un seuil minimal de matériaux recyclés. Dans un contexte où ils prévoient que la demande mondiale sera multipliée par 14 d’ici 2030, cela aidera à la croissance de leur production. Leur coût devrait aussi s’en trouver réduit.

Pour le moment, le coût de fabrication des piles au lithium-ion oscille autour des 130 $ US le kilowattheure. Pour qu’un véhicule électrique coûte la même chose qu’un véhicule à essence, un coût de fabrication de 100 $ US le kWh est généralement cité comme la cible à atteindre.

Les batteries recyclées aideront à atteindre cette cible. Le nickel, le cobalt et le lithium obtenus grâce à la méthode mise au point par Lithion permettraient d’y arriver, soutient Jean-Christophe Lambert, de l’entreprise Lithion. « Ça pourrait même être moins cher encore », dit-il. On le verra bien assez tôt : en matière de production automobile, 2025, c’est très, très bientôt.

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