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Économie de Montréal


Normand Hamel

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  • Administrateur

J’ai de la misère à le croire… mais tant mieux. Là où je suis présentement, seulement 6 personnes sur 250 veulent retourner à temps plein.  Les autres seront à temps partiel… très partiel. 

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Il y a 1 heure, swansongtoo a dit :

Montreal’s office market rebounds to prepandemic levels

Il y a 1 heure, swansongtoo a dit :

Investors are embracing commercial real estate deals despite a high downtown Montreal office vacancy rate that hit 13.2 per cent in the third quarter, up from 11.1 per cent in the second quarter, and 6.4 per cent before the pandemic.

Il semble y avoir une contradiction entre ces deux extraits: si Montréal était revenue au niveau prépandémique le taux d'inoccupation serait à 6,4% et non pas à 13,2 %.

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Il y a 2 heures, swansongtoo a dit :

Montreal’s office market rebounds to prepandemic levels

https://www.theglobeandmail.com/business/article-montreals-office-market-rebounds-to-prepandemic-levels/

Investor demand for Montreal office towers has rebounded to levels that prevailed before the COVID-19 pandemic, as real estate investors dismiss concerns about the high office vacancy rate and bet on the city’s future.

The value of Montreal office building deals is expected to hit $615-million in the third quarter, according to new data from commercial real estate firm CBRE. That is close to the volume of deals before the start of the pandemic in early 2020, and is more than quadruple the $136-million of office transactions in the first quarter of this year.

“There is a flurry of activity no question,” said Scott Speirs, executive vice-president of CBRE in Montreal. Mr. Speirs said there were virtually no office building transactions in the city during the first 12 months of the pandemic. But now they are rolling in.

The latest one was this month’s sale of a BentallGreenOak office tower to two Quebec-based real estate companies, Groupe Mach and Groupe Petra, for an undisclosed sum. Called Tour KPMG, the 33-storey office building is in Montreal’s financial district. Other recent deals include Ivanhoé Cambridge’s sale of its 50-per-cent stake in the 27-floor Maison Manuvie office tower to LaSalle Canada Property Fund.

Investors are embracing commercial real estate deals despite a high downtown Montreal office vacancy rate that hit 13.2 per cent in the third quarter, up from 11.1 per cent in the second quarter, and 6.4 per cent before the pandemic.

Many companies across the country, such as accounting giant PwC and Air Canada, have reduced their office space. Others, such as Sun Life Financial Inc., have embraced a hybrid work model in which staff choose which days to work in the office.

Some companies, such as Shopify Inc. and Amazon.com Inc., have added more office and warehouse space, but others have given up their real estate almost entirely.

Even so, investors have renewed their interest in office property as other real estate classes have grown more expensive. In Toronto, the country’s largest office hub, investor demand has also increased, and office transactions rose to $473-million in the third quarter, up from $349-million in the first, but still not as high as Montreal.

Until this past spring, real estate investors had favoured apartment buildings, land, warehouses and industrial properties. Purchases of industrial real estate, land and apartment buildings were the top transactions in Montreal, Toronto, Vancouver, Edmonton, Calgary and Halifax.

The pandemic’s stay-at-home requirements forced consumers to shop for much of their products online. That quickened the shift toward e-commerce and increased retailers’ need for large warehouses to store products before shipping them to consumers’ homes.

But Mr. Speirs said the competition for industrial properties has pushed up prices to the point where it is harder for buyers to eke out a profit. As well, Montreal office buildings are still relatively cheap compared with office towers in Toronto, and investors see an economic revival in Montreal.

“Investors are taking a long-term view,” he said. “There is a sense that Montreal still has significant growth potential.”

In the third quarter, the volume of office transactions in Montreal topped industrial real estate deals in the city, according to CBRE.

The recent uptick in office deals will help push the national deal volume to a record $50-billion this year, the firm forecasts.

 

Je fais une lecture, non pas contraire mais différente, de cette nouvelle.  L'augmentation importante de la valeur des transactions (deals) impliquant des immeubles à bureaux à Montréal est d'abord un indicateur des vues divergentes parmi les investisseurs, i.e. certains sont optimistes, d'autres, pessimistes quant aux perspectives de ce marché. Rappellez-vous que pour conclure une transaction ça prend deux joueurs, un vendeur et un acheteur.  L'un et l'autre estiment faire un bon coup, en vendant, pour l'un, et en achetant, pour l'autre.   Si la totalité des propriétaires d'immeubles à bureaux étaient également optimistes, personne ne chercherait à vendre.  Evidemment, ça n'impliquerait pas que le marché soit faible, au contraire!

Il y a aussi d'autres facteurs (à part le degré d'optimisme ou de pessimisme) qui motivent les investisseurs, par exemple le besoin de liquidités pour d'autres projets ou pour payer des dettes devenues trop lourdes; inversement, un investisseur peut chercher à diversifier ses avoirs, et vouloir  ajouter plus d'immeubles à bureaux dans son portefeuille.

Ce qui peut être intéressant pour Montréal, ce serait que davantage d'investisseurs soient optimistes et prêts à payer  plus cher pour acquérir des immeubles dont les propriétaires sont ouverts à la vente si le prix est bon: dans ce cas les prix devraient s'élever.  Dans le cas opposé, un trop grand nombre de vendeurs voudraient se départir de cette catégorie d'actifs, et seraient disposés à les offrir à rabais pour attirer des acheteurs moins pessimistes.

En résumé: plus grandes sont les différences d'opinion quant à l'avenir (la rentabilité à long terme de ce type d'investissement), plus élevée sera la valeur totale des transactions.      

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il y a 38 minutes, Normand Hamel a dit :

Il semble y avoir une contradiction entre ces deux extraits: si Montréal était revenue au niveau prépandémique le taux d'inoccupation serait à 6,4% et non pas à 13,2 %.

C'est vrai que le texte peut prêter à confusion.  En réalité il s'agit de deux choses différentes:

1) Le retour au niveau prépandémique concerne la valeur des transactions  -- à mon avis d'abord un indicateur d'opinions divergentes parmi les investisseurs: plus de vendeurts et plus d'acheteurs. (mon message précédent élabore sur ce point)

2) Le taux d'inoccupation  -- s'explique de lui-même.  Mais pour l'investisseur, le futur est plus important que le moment présent.    

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Il y a 8 heures, Né entre les rapides a dit :

C'est vrai que le texte peut prêter à confusion.  En réalité il s'agit de deux choses différentes:

1) Le retour au niveau prépandémique concerne la valeur des transactions  -- à mon avis d'abord un indicateur d'opinions divergentes parmi les investisseurs: plus de vendeurts et plus d'acheteurs. (mon message précédent élabore sur ce point)

2) Le taux d'inoccupation  -- s'explique de lui-même.  Mais pour l'investisseur, le futur est plus important que le moment présent.    

Merci pour l'explication.

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Organisation internationale de normalisation de la finance durable

Les bureaux montréalais de l’ISSB ouvriront au début de 2022

La semaine dernière, on apprenait que Montréal allait accueillir un des bureaux principaux de l’ISSB (International Sustainability Standards Board), une nouvelle organisation internationale responsable d’établir les normes environnementales pour les entreprises à l’échelle mondiale.

Isabelle Massé - La Presse

Une semaine après l’annonce que Montréal ferait partie des villes accueillant l’ISSB, grâce au travail notamment de Montréal International, son PDG a détaillé mercredi les efforts déployés par la communauté d’affaires, politique et universitaire pour loger l’organisation. 

Il y aura d’abord Francfort, mais aussi Montréal. Lors d’une allocution organisée par le Conseil des relations internationales de Montréal (CORIM), mercredi, Stéphane Paquet, PDG de Montréal International, a soutenu que c’est notamment l’implication de nombreux acteurs de plusieurs milieux qui a permis à Montréal d’être choisi par la Fondation IFRS (International Financial Reporting Standards Foundation) pour accueillir – à défaut du siège social – un des bureaux principaux de l’ISSB (International Sustainability Standards Board), une nouvelle organisation internationale responsable d’établir les normes environnementales pour les entreprises à l’échelle mondiale. 

« Montréal International a l’habitude de coaliser bien des acteurs, a-t-il raconté. Mais en six ans, je n’ai jamais travaillé sur un dossier qui a suscité autant d’enthousiasme en provenance de toutes les sphères de la société. Rapidement, on a senti que l’écosystème québécois était derrière nous. » 

Montréal International a déposé son dossier de candidature avec Finance Montréal, en août, en misant principalement sur deux arguments : Montréal, ville de finance durable et d’organisations internationales. « D’autres importants centres financiers ont démontré un certain intérêt pour accueillir l’ISSB, comme Londres, Pékin et Genève », énumère Stéphane Paquet

En conférence, le PDG a nommé plusieurs dirigeants de grandes entreprises qui se sont mobilisés, en plus de la mairesse Valérie Plante, du gouvernement québécois et d’élus fédéraux, d’organisations environnementales et d’universités. « Tout le monde a répondu présent, affirme M. Paquet. On s’est aussi tourné vers Ghislain Picard, chef de l’Assemblée des Premières Nations Québec-Labrador, qui nous a donné rapidement son appui. Une vingtaine de recteurs, chanceliers et directeurs généraux ont exprimé non seulement leur soutien, mais aussi leur intention de collaborer avec l’ISSB si elle s’installait à Montréal. »

« On avait des arguments rationnels, factuels et financiers, mais ce désir de travailler ensemble pour nous assurer que l’arrivée de l’ISSB à Montréal serait un succès a joué en notre faveur, j’en suis certain », poursuit Stéphane Paquet.

Comme avec l’OACI en aviation civile, c’est à Montréal que seront aussi développées des normes mondiales de divulgation en matière d’ESG [critères environnementaux, sociaux et de gouvernance]. - Stéphane Paquet, PDG de Montréal International

Dans un désir de créer de la richesse durable, Montréal International conscientisait déjà ses démarcheurs d’investissements étrangers. « Nous avons créé cet automne une équipe spéciale pour verdir davantage l’économie du Grand Montréal, dédiée aux technologies propres grâce à des fonds du gouvernement du Canada, a dit Stéphane Paquet. Depuis deux ans, notre système de gestion de la performance incite notamment nos démarcheurs à attirer des entreprises qui se distinguent par leurs hauts standards en matière de responsabilité sociétale et environnementale.

« On le voit avec des projets de centres de données qui choisissent le Grand Montréal pour réduire leur empreinte carbone. On le voit aussi avec des AspenTech qui développent des logiciels optimisés par l’intelligence artificielle pour aider le secteur industriel à réduire son impact pour l’environnement. » 

Est-ce à dire que les secteurs de l’aérospatiale, de l’intelligence artificielle et du jeu vidéo seront moins dans la ligne de mire de Montréal International désormais ? « Non, les critères de responsabilité sociétale et environnementale sont un ajout, a répondu plus tard Stéphane Paquet à La Presse. Ça n’efface pas tout le reste. On est conscient que ça prend de l’importance parmi la communauté financière. L’aspect vert, c’est transversal. Ça peut s’appliquer à plusieurs secteurs. » 

Montréal International estime Montréal très attrayant malgré la criante pénurie de main-d’œuvre dans la province. L’organisme rappelle néanmoins offrir des services pour faciliter l’immigration. « Nous travaillons d’arrache-pied pour faire croître le bassin de travailleurs qualifiés », affirme Stéphane Paquet.

« Cela dit, la situation du Grand Montréal est différente de celle du reste du Québec : pour 100 personnes qui quittent leur emploi, 101 entrent sur le marché du travail. Il y a plusieurs situations d’emploi dans la province. » 

https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2021-11-11/organisation-internationale-de-normalisation-de-la-finance-durable/les-bureaux-montrealais-de-l-issb-ouvriront-au-debut-de-2022.php

ISSB.jpg

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This article is more of a promotional look at Montreal International than of the impact and importance of IISB itself. MI is a means to an end, to all accounts quite a good one, but it is not an end in itself. In the future, I would like to see less PR about MI and more hard facts about any new arrivals. Too much PR like this and I begin to suspect that there are problems behind the scenes that we don’t know about. 

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Il y a 8 heures, Normand Hamel a dit :

Une semaine après l’annonce que Montréal ferait partie des villes accueillant l’ISSB, grâce au travail notamment de Montréal International

En fait une bonne partie du succès de Montréal sur la scène internationale vient du démarchage intensif effectué par Montréal International. Le rôle joué par cette dernière demeure cependant méconnu et mal compris. La liste des entreprises qui ont débarqué à Montréal suite au démarchage de Montréal International est pourtant très longue. En fait il se passe rarement une semaine sans qu'une annonce importante soit faite où Montréal International a eu à jouer un rôle important, voire déterminant.

Il y a 8 heures, Normand Hamel a dit :

son PDG a détaillé mercredi les efforts déployés par la communauté d’affaires, politique et universitaire pour loger l’organisation.

Montréal International travaille avec tous les acteurs clés de notre économie et joue souvent le rôle de coordonateur et de rassembleur auprès de la communauté montréalaise et ses environs. Il faut comprendre également que les interventions de Montréal International ne se limitent pas à Montréal mais englobent toute la région, jusqu'à Mirabel au nord par exemple. D'ailleurs aujourd'hui même le PDG de MI rencontrait les nouveaux élus avec qui il aura à travailler pendant les quatre prochaines années (voir la photo ci-jointe).

Il y a 8 heures, Normand Hamel a dit :

Stéphane Paquet, PDG de Montréal International, a soutenu que c’est notamment l’implication de nombreux acteurs de plusieurs milieux qui a permis à Montréal d’être choisi par la Fondation IFRS

Bien évidement Montréal International ne peut pas tout faire seul et son PDG le reconnait d'emblée.

Il y a 8 heures, Normand Hamel a dit :

« Montréal International a l’habitude de coaliser bien des acteurs, a-t-il raconté. Mais en six ans, je n’ai jamais travaillé sur un dossier qui a suscité autant d’enthousiasme en provenance de toutes les sphères de la société. Rapidement, on a senti que l’écosystème québécois était derrière nous. »

Coaliser comme dans former une coalition.

Il y a 8 heures, Normand Hamel a dit :

Montréal International a déposé son dossier de candidature avec Finance Montréal

C'est en effet Montréal International qui pilotait le dossier.

Il y a 8 heures, Normand Hamel a dit :

En conférence, le PDG a nommé plusieurs dirigeants de grandes entreprises qui se sont mobilisés, en plus de la mairesse Valérie Plante, du gouvernement québécois et d’élus fédéraux, d’organisations environnementales et d’universités.

Ici encore il reconnait le rôle joué par différents acteurs: c'est ce qu'on appelle de la coopération.

Il y a 8 heures, Normand Hamel a dit :

Nous avons créé cet automne une équipe spéciale pour verdir davantage l’économie du Grand Montréal, dédiée aux technologies propres grâce à des fonds du gouvernement du Canada, a dit Stéphane Paquet.

Si Montréal International n'avait pas créé cette équipe qui l'aurait fait?

Il y a 8 heures, Normand Hamel a dit :

Montréal International estime Montréal très attrayant malgré la criante pénurie de main-d’œuvre dans la province. L’organisme rappelle néanmoins offrir des services pour faciliter l’immigration. « Nous travaillons d’arrache-pied pour faire croître le bassin de travailleurs qualifiés », affirme Stéphane Paquet.

Voilà un domaine où Montréal International intervient constamment en offrant des programmes pour faciliter la venue de spécialistes du monde entier pour travailler notamment dans le secteur des hautes technologies.

Nouveaux élus.jpg

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@Normand Hamel

Pour éviter la répétition, j'évite de citer ton dernier message, mais j'y fait pleinement référence.  Avoue que ça faisait bizarre de lire "Normand Hamel a dit", suivi d'une explication de "Normand Hamel".  Je comprends qu'en réalité tu citais des passages de l'article cité, et que tu y répondais personnellement dans la seconde partie.  

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