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Actualités du Plateau Mont-Royal


acpnc

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Le 2018-07-14 à 16:46, ToxiK a dit :

Ça, c'est une bonne idée.  S'il y a des places de stationnement, il faudrait les annoncer.  De plus, c'est un système qui ne devrait pas coûter très cher à développer.  Il ne faut pas s'attendre à pourvoir stationner directement en face de notre destination, même pour les centres commerciaux il faut marcher.  Il va falloir s'assurer que la marche soit la plus plaisante possible avec des trottoirs sécuritaires, propres, sans trous et bien aménagés et éclairés.  Mais ça, c'est aussi avantageux pour les piétons et les usagers des transports en commun.

Il existe maintenant de multiples solutions de « stationnement intelligent » qui indique les places disponibles. Les senseurs peuvent être installés dans la chaussée ou sur un poteau/lampadaire.

Stationnement Montréal pourrait intégrer les données dans son appli pour indiquer les places libres à proximité.

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  • 5 semaines plus tard...

L’un des derniers terrains vagues au centre-ville sur Sherbrooke Ouest (entre St-Urbain et Sainte-Famille) vient d’être complètement clôturé!

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  • 2 mois plus tard...

Communiqué de l'arrondissement
http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=30877

nauguration de la place Guilbault: une nouvelle place à saveur historique, haute en couleur!

29 octobre 2018

Montréal, le 29 octobre 2018 - La nouvelle place publique sur la rue Guilbault Est a été inaugurée cet après-midi, au sud de l'avenue des Pins Est, entre le boulevard Saint-Laurent et la rue Saint-Dominique. Conçue pour rendre hommage à l'œuvre de Joseph-Édouard Guilbault, fondateur du premier jardin botanique et zoologique à Montréal, la place met en scène des sculptures d'hippopotames roses et des ilots de verdure. L'ensemble, en plein cœur de La Main, crée une zone de rencontre joyeuse et reposante.

« La créativité et l'excentricité de Joseph-Édouard Guilbault nous ont inspirés pour la conception de cette place. C'est dans ce secteur, précisément au coin de l'avenue des Pins et du boulevard Saint-Laurent, qu'il a créé le premier jardin botanique de Montréal. Les aménagements choisis visent à rendre hommage à la longue et riche histoire de la Main, mais aussi à la vitalité et au dynamisme qui la caractérisent aujourd'hui », a déclaré Maeva Vilain, conseillère d'arrondissement dans le district de Jeanne-Mance.

Pour sa part, Mme Tasha Morizio, directrice générale de la Société de développement commercial du boulevard Saint-Laurent, a souligné que « les espaces publics sont une composante essentielle à la survie et à la prospérité d'une artère commerciale comme le boulevard Saint-Laurent. La transformation par l'arrondissement de la rue Guilbault en place publique va en ce sens et nous en sommes ravis. Maintenant, les gens peuvent venir en profiter pleinement! »

Des consultations auprès des commerçants et résidents du secteur ont eu lieu en août et décembre 2016 afin d'élaborer le concept d'aménagement. À l'été 2015, le projet Hippozoonomadon, une activité d'animation caractérisée par une expérience de réalité augmentée dans un décor éclaté et coloré, avait aussi eu lieu afin de rendre hommage au cirque que M. Guilbault avait invité à Montréal en 1862.

Pour en savoir plus sur ce projet et les nombreux projets d'embellissement et d'animation du domaine public de l'arrondissement, consultez la section des projets urbains du Plateau.

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Un biergarten en devenir près du parc Laurier

 

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Les résidants du Plateau pourront bientôt profiter d’un nouveau biergarten que Brasseurs RJ prévoit ouvrir sur le terrain de sa brasserie, située juste au nord du parc Laurier.

Depuis des années, la brasserie est enregistrée comme lobbyiste auprès de la Ville de Montréal, car elle souhaite ouvrir un bar sur son terrain dont le zonage est strictement réservé aux activités industrielles.

Lundi soir toutefois, la brasserie a franchit une étape importante dans ce processus puisqu’un projet de règlement pour revoir le zonage de ce terrain sera déposé au conseil d’arrondissement du Plateau-Mont-Royal. Les usages de restaurant, de débit de boissons, de café-terrasse et de salle de spectacle seraient ainsi autorisés.

«Ce complexe de bâtiments qui détient l’usage “brasserie” vise à diversifier ses activités en procédant à la réouverture d’une salle de dégustation multifonctionnelle ainsi qu’en proposant un café-terrasse extérieur dans un concept de “biergarten”», indiquent les documents du conseil d’arrondissement.

Une terrasse extérieure serait ainsi aménagée pour le biergarten et une place publique serait construite au sud du bâtiment, près de la rue Saint-Grégoire. Le comité consultatif d’urbanisme de l’arrondissement a voté en faveur du projet soulignant qu’il amènerait de la diversité dans le secteur et que le fait qu’il soit dans un secteur industriel et de la voie ferrée minimise les nuisances pour le quartier.

«L’aménagement d’une terrasse extérieure, d’un square public et l’animation de l’impasse De La Roche permettraient de créer de nouvelles aires de détente extérieures», souligne la Direction du développement du territoire.

En ce moment, les alentours de l’impasse De La Roche sont utilisés comme stationnement par la brasserie.

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  • 3 mois plus tard...

25 février 2019Par : Henri Ouellette-VézinaMétro

Les poubelles participatives débarquent sur le Plateau-Mont-Royal

https://journalmetro.com/actualites/2191898/des-nouvelles-poubelles-participatives-sur-le-plateau-mont-royal/

 

Quelque 35 poubelles participatives seront installées sur le Plateau d'ici quelques jours à peine. Courtoisie

Après Ville-Marie, c’est au tour du Plateau-Mont-Royal de s’équiper de poubelles participatives, des installations qui ont pour but de faciliter la tâche des valoristes, ces personnes en situation financière souvent précaire qui ramassent les contenants consignés dans les rues de Montréal.

«On vient surtout améliorer le quotidien de ces gens-là, qui ne seront plus obligés de fouiller dans les déchets, puisque les canettes et les bouteilles seront maintenant déposées par les citoyens sur un anneau métallique, au-dessus de la poubelle», explique à Métro Maeva Vilain, conseillère d’arrondissement dans le district de Jeanne-Mance.

L’arrondissement prévoit d’ici quelques jours à peine l’installation de 15 poubelles participatives sur l’avenue du Mont-Royal, de 15 sur le boulevard Saint-Laurent et de 5 sur l’avenue du Parc, pour un total de 35.

La porte-parole de la Coop des Valoristes, Marica Vasquez Tagliero, voit l’arrivée de ce nouvel outil d’un très bon œil sur le Plateau.

«Dans la rue, les gens qui ramassent les contenants en ont besoin pour finir leur mois, sinon ils n’y arrivent tout simplement pas. Et ces petits gestes, ça leur donne une reconnaissance. Ça fait chaud au cœur de se dire que oui, quelqu’un a pensé à moi. On est contents que le mouvement grandisse.» – Marica Vasquez Tagliero

D’abord apparue à Copenhague, au Danemark, puis ailleurs en Europe et à Vancouver, l’installation de poubelles participatives témoigne, selon elle, d’une cohésion sociale déjà en place à Montréal. «Cette solidarité entre citoyens et valoristes, elle existait déjà sous des modèles plus informels; là, on est en train de la faciliter et de l’encourager», avance Mme Tagliero.

Revaloriser la consigne
Plus qu’une mesure de soutien aux valoristes, ce geste en est aussi un pour l’environnement, d’après Maeva Vilain, qui y voit un fort incitatif communautaire «à récupérer plus de contenants consignables». «La somme qu’on donne aux épiceries et aux dépanneurs en ce moment pour gérer la consigne est très petite. Ça les décourage même de continuer, car ils n’arrivent pas à couvrir les coûts. Il faut encourager Québec à revaloriser la consigne», insiste l’élue municipale, soulignant que ce genre de mesure est un premier pas vers l’atteinte de tels objectifs.

Elle estime que le concept est dans l’air du temps, à peine quelques semaines après qu’un mouvement citoyen eut réclamé à la Société des alcools du Québec (SAQ) de mettre sur pied un système de consigne du verre pour ses bouteilles de vin.

La collecte des contenants consignés plafonne effectivement depuis plus de 10 ans. À l’heure actuelle, un peu plus de 70% des matériaux sont recyclés, selon les données de Recyc-Québec. Le reste des contenants consignés non collectés se retrouve à la poubelle ou dans le bac de recyclage.

Pour la porte-parole de l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal, Geneviève Allard, le projet peut faire une différence, même à plus petite échelle. «Il est reconnu que ces poubelles permettent une meilleure gestion des déchets, souligne-t-elle. Les poubelles sont moins engorgées et moins de matières recyclables prennent ensuite le chemin du site d’enfouissement.»

Même son de cloche pour Marica Vasquez Tagliero, qui appelle à impliquer les valoristes dans la solution. «S’ils n’étaient pas dans nos rues, on aurait beaucoup plus de matières recyclables qui iraient à l’enfouissement. Ce sont eux qui collectent nos déchets sauvages, et c’est une partie importante de la propreté d’une communauté», plaide-t-elle.

Comme les poubelles participatives ne représentent que «très peu de coûts et de ressources», le Plateau-Mont-Royal n’écarte pas la possibilité d’en ajouter «encore plus» dans les prochains mois. Ville-Marie aurait aussi l’intention d’en augmenter la quantité sur son territoire.

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  • 2 semaines plus tard...

Publié le 08 mars 2019 à 06h20 | Mis à jour à 06h20

Plateau-Mont-Royal et Ville-Marie: «Airbnb détruit notre tissu urbain»

https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201903/08/01-5217472-plateau-mont-royal-et-ville-marie-airbnb-detruit-notre-tissu-urbain.php

Près de 60 % de l'offre locative d'Airbnb annoncée dans la métropole se trouve dans les arrondissements de Ville-Marie et du Plateau-Mont-Royal, selon une étude dévoilée hier.

 

ISABELLE GRIGNON-FRANCKE
La Presse

Le Comité logement Ville-Marie et le Comité logement du Plateau Mont-Royal ont demandé hier aux autorités l'interdiction de l'usage de la plateforme Airbnb dans leurs arrondissements. Près de 60 % de l'offre locative d'Airbnb annoncée dans la métropole se trouve dans ces deux quartiers centraux, selon une étude dévoilée hier.

La location de logements entiers via le site Airbnb retire 5 % des logements aux Montréalais, augmente l'embourgeoisement, cause le déracinement de locataires de longue date et accentue le sentiment d'insécurité vécus par les habitants des quartiers centraux, explique Odile Lanctôt du Comité logement du Plateau Mont-Royal. Son organisation brosse un portrait sombre de l'impact d'Airbnb.

« C'est passé d'un projet cool à un mal acceptable. Ça détruit notre tissu urbain ! », dit Gaétan Roberge du Comité logement Ville-Marie.

« Les comités logement ont raison de s'inquiéter », croit Richard Ryan, conseiller municipal pour Projet Montréal dans l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal. Il constate sur le terrain un sentiment de détresse croissant face à la perte de milieux de vie, tandis que les plaintes s'accumulent sur son bureau. M. Ryan estime, en revanche, qu'il n'est pas opportun d'aller aussi loin que l'exigent les deux comités. « Il faut mettre en application les lois en place », plaide-t-il.

Depuis juin dernier, Revenu Québec assure un rôle de surveillance et de coercition des locations illégales, mais jusqu'à présent, aucune amende n'a été imposée au terme des 3896 inspections réalisées avant le 1er février 2019. Revenu Québec précise toutefois que 1111 avertissements ont été délivrés. Les contrevenants s'en tirent jusqu'ici à bon compte, si l'on songe que les amendes prévues à la loi 67 peuvent atteindre 50 000 $.

Difficile de faire respecter la loi

Les arrondissements du Plateau-Mont-Royal, de Ville-Marie et du Sud-Ouest ont tenté de mettre en place des règlements particuliers afin de restreindre les zones où il était permis d'obtenir des attestations de classification d'hébergement touristique. Aujourd'hui, les acteurs commerciaux, comme les agences immobilières, qui louent des logements doivent se pourvoir d'une attestation délivrée par Tourisme Québec. Dans le cas des particuliers, la règle prévoit qu'on ne doit pas louer de façon « régulière » sa résidence pour se soustraire à cette obligation.

Il demeure toutefois difficile d'avoir un impact réel, croit Richard Ryan. « On veut que Revenu Québec monte d'une coche de sévérité », ajoute-t-il. Son arrondissement a d'ailleurs déjà engagé des inspecteurs privés pour tenter de pallier le problème.

L'élu de Projet Montréal précise qu'il encourage fortement les gens qui constatent des infractions à les dénoncer. « C'est plus de 75 % des cas rapportés qui sont de vrais cas d'invalidité validés », explique-t-il. « Actuellement, c'est le free for all », se désole de son côté Gaétan Roberge du Comité logement Ville-Marie, qui montre du doigt le manque d'inspecteurs. Toutefois, il estime que la délation n'est pas une méthode appropriée pour venir à bout du problème.

Une croissance continue

Airbnb s'inscrit dans un contexte de « néolibéralisme urbain », croit de son côté Anne Latendresse, professeure de géographie sociale à l'UQAM. « On pense la ville comme une course aux profits », explique la chercheuse. La vision de la ville se base alors sur des préoccupations tournées vers l'extérieur, notamment pour attirer des investisseurs. La construction de grands ensembles architecturaux, comme des casinos auxquels se greffent des magasins et des salles de spectacle, ou encore la tenue d'événements comme des Jeux olympiques participent d'une privatisation de l'espace public, poursuit-elle. « On perd alors ce qui est une des richesses de Montréal, la vie de quartier », conclut Mme Latendresse.

Dans la dernière année, environ 10 800 annonces pour la location de logements entiers du Plateau et de l'arrondissement de Ville-Marie ont été mises en ligne sur Airbnb, générant des revenus d'environ 132 millions de dollars, estime une étude menée par le professeur David Wachsmuch de l'Université McGill.

Le revenu total tiré de ce type de location à Montréal a bondi de 60 % l'an dernier. Airbnb estime aujourd'hui à environ 27 000 le nombre d'hôtes dans la métropole.

Aucune solution n'est parfaite

San Francisco est souvent considéré comme un modèle à suivre. La Ville a rendu obligatoire l'enregistrement des hôtes. La métropole californienne a alors traîné Airbnb devant les tribunaux, l'obligeant à retirer 50 % de ses offres, considérées comme illégales, explique Gaétan Roberge, du Comité logement Ville-Marie.

Questionné sur la situation du Québec, Airbnb affirme vouloir coopérer. « Les hôtes partagent leur résidence quelques nuits par mois pour aider à joindre les deux bouts », plaide Alexandra Dagg, porte-parole d'Airbnb. 

Une réglementation plus coercitive pourrait avoir pour conséquence de donner aux propriétaires un pouvoir accru de chasser les locataires qui feraient usage de la plateforme sans les avoir avisés au préalable. Au Québec, la sous-location doit être approuvée par le propriétaire.

En revanche, un total laisser-faire du marché locatif entraînerait des spéculations sur le prix des loyers par les promoteurs, craint Mme Latendresse.

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Il y a 18 heures, acpnc a dit :

Publié le 08 mars 2019 à 06h20 | Mis à jour à 06h20

Plateau-Mont-Royal et Ville-Marie: «Airbnb détruit notre tissu urbain»

https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201903/08/01-5217472-plateau-mont-royal-et-ville-marie-airbnb-detruit-notre-tissu-urbain.php

Près de 60 % de l'offre locative d'Airbnb annoncée dans la métropole se trouve dans les arrondissements de Ville-Marie et du Plateau-Mont-Royal, selon une étude dévoilée hier.

 

On a ici un très bel exemple du laxisme de l'administration et/ou de l'arrondissement, Je ne sais plus qui fait quoi car il y a trop de monde et trop de centre de décision. On peut ajouter Québec à tout cela.

Ce problème est connu depuis plusieurs années et il ne va qu'en s'accentuant. C'est aussi connu qu'il est une cause de la rareté des loyers dans ce secteur et du coup de la hausse des prix des loyers. Malgré tout cela, il n'y a rien qui se fait.

On laisse pourrir ce dossier comme on laisse mourir la rue Saint-Denis comme on ne fait rien pour baisser les taxes commerciales qui sont un facteur déterminants dans le problème de nos commerces, surtout les petits. Je pourrais rajouter à cela le manque de logement social dont l'administration est supposé être championne mais dont rien ne se passe. 

Alors que l'administration ne fait rien pour régler les problèmes réels et connus depuis longtemps, cette même administration ne se gène pas pour critiquer le projet Royalmount par exemple.

Pourquoi a-t-on un Maire d'arrondissement avec des conseillers en plus d'une administration centrale avec d'autres conseillers sans oublier les députés locaux et que personne ne fait rien ? Personne ne semble s'attaquer aux problèmes évident que tout le monde soulève depuis belle lurette !

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