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Trottinettes et vélos libre-service sans ancrage


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La Ville de Montréal va-t-elle entendre la demande du parti de l'opposition d'interdir les trottinettes Lime et Bird, ... et, un coup rendu, les vélos Jump (Uber) ?

Est-ce que quelqu'un connaît les termes des entente qu'a Montréal avec ses cies ?

 

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https://journalmetro.com/actualites/montreal/2412455/les-trottinettes-de-lime-et-de-bird-doivent-quitter-montreal-dit-lopposition/

Les trottinettes de Lime et de Bird doivent quitter Montréal, dit l’opposition

11:45 16 janvier 2020
Par:  Henri Ouellette Vézina
Métro

L’opposition officielle ne veut plus des trottinettes électriques exploitées par des entreprises privées – dont Lime et Bird – sur le territoire de Montréal. La formation politique déposera une motion en ce sens au prochain conseil municipal, le 27 janvier. L’objectif: sommer la Ville de ne pas renouveler en 2020 son projet pilote autorisant la présence de ces engins, «qui s’est révélé non concluant», selon Ensemble Montréal.

«Il faut reprendre le contrôle de nos trottoirs et de nos rues, plaide le maire de Saint-Laurent, Alan DeSousa. On l’a tous vu dans notre communauté, ça a été très problématique dans la dernière année pour plusieurs raisons.»

Ensemble Montréal cite entre autres les «comportements délinquants» d’usagers qui stationnent trop souvent les trottinettes n’importe où sur la voie publique. «L’administration Plante parlait du règlement le plus sévère au monde dès le départ, mais un mois et demi plus tard, voyant qu’il n’avait aucun effet, elle l’a modifié pour y inclure des amendes», insiste le chef de l’opposition, Lionel Perez.

Confusion et interrogations

La situation aurait causé «beaucoup de confusion» selon lui, d’autant plus que l’imposition de sanctions financières n’a jamais vraiment réglé les problèmes de stationnement. Plus de 100 constats ont été donnés aux usagers des trottinettes en deux semaines seulement au mois d’octobre, rappelle Ensemble Montréal. Cela exclut les infractions au Code de la sécurité routière et les signalements faits sur la plateforme citoyenne mise sur pied par le résident Pascal Robichaud.

D’autant plus que le coût environnemental du transport, de la gestion et de la fabrication des engins électriques est «significatif», déplore M. DeSousa. Cela ne constitue «en rien» un ajout écologique aux autres modes de transport, selon lui.

«On ne voit pas de modèle qui fonctionne, autant d’un point de vue sécurité, nuisances et empreinte écologique. On ne forcera pas les Montréalais à subir une autre saison désastreuse pour satisfaire une volonté de Projet Montréal.»

- Lionel Perez, chef de l’opposition

«Le futur passe par BIXI»

Pour les deux élus montréalais, la présence de Lime et de Bird dans la métropole a aussi des effets pervers, dont celui de miner la croissance de BIXI Montréal.

«Au-delà de leur circulation dans les rues, les trottinettes ont pour conséquence de concurrencer BIXI, qui est de loin selon nous le fournisseur idéal de services pour les citoyens», avance le maire DeSousa.

Le chef de l’opposition, lui, abonde relativement dans le même sens, et plaide pour le choix local d’abord en matière de mobilité. «On a déjà une solution de rechange exceptionnelle, plaide-t-il. Il y a un engouement pour l’usage de la bicyclette électrique et c’est un système public que nous subventionnons. Pourquoi ne pas privilégier le local, plutôt que des entreprises étrangères? Le futur passe par BIXI.»

M. Perez suggère aux usagers qui aiment prendre les trottinettes pour se déplacer plus rapidement sur de courtes distances – et qui n’habitent pas à proximité d’une station BIXI – de se tourner vers d’autres options. «Il y a le transport en commun, le métro et les autobus, BIXI, et les gens peuvent aussi continuer d’utiliser leur propre bicyclette. On comprend que pour certaines personnes, les trottinettes sont intéressantes. Mais il faut voir l’impact sur la société d’abord», considère-t-il.

Le cabinet du comité exécutif de l’administration Plante n’était pas immédiatement disponible pour répondre à la sortie de MM. Perez et DeSousa.

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Je suis contre l'idée de donner d'office le monopole à Bixi sur les moyens de transports de ce type sans appel d'offre. Lime et cie ne sont peut-etre pas sans reproches, mais ca ne fait qu'une seule saison (incomplète) qu'ils sont présent, alors que Bixi est présent depuis plusieurs années, ils vont adapter les mécanismes et rendre le service meilleur et moins cahotique que cette année.

D'utiliser l'exemple d'une trottinette dans le canal comme étant une illustration du manque d'organisation de ces compagnies est ridicule, ils ne contrôlent pas ce que les usagers font, tout comme Bixi aussi a eu son lot de dérives de ce type au travers des ans (et au moins 1 bixi retrouvé lui aussi au fond du canal!)

http://plus.lapresse.ca/screens/4150-6410-51709d9d-9d17-548cac1c606a__7C___0.html

 

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Les trottinettes n'était déployé que dans 3 arrondissements, je vois pas comment c'était une alternative valable à l'auto solo. C'est vraiment pas le bon argument… La majorité c'était des touristes et des gens pour se déplacer sur une courte distance, pas une majorité. La seule manière de mieux encadré les trottinettes c'est de les associer avec BIXI et que les espaces de dépose de trottinettes soient les même que les BIXI, comme ça on enlève le non sens de les avoir juste sur 3 arrondissements.

De plus, ça permet un meilleur contrôle de la voie publique, car Dieu sait comment les gens les ont laissés trainés PARTOUT: lobby de condo, Canal Lachine, milieu du trottoir, dans les parcs, dans les stationnements pour handicapé, dans les arrêts de bus, devant les borne-fontaines… etc. Pour avoir parler a plusieurs personnes qui l'ont essayé, la grande majorité n'était même pas au courant des règlements en vigueurs :

  • Port du casque
  • Ne pas circuler sur les trottoirs (même si c'est écris sur les Bird)
  • Stationner la trottinette a l'endroit désigné

Donc je vois pas vraiment en quoi c'était tant une bonne chose ces trottinettes en livre service.

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https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/202001/16/01-5257100-montreal-lopposition-officielle-dit-non-aux-trottinettes-et-oui-a-bixi.php

Montréal: l’opposition officielle dit non aux trottinettes et oui à BIXI

 

L’administration Plante réitère sa volonté de voir BIXI demeurer « la colonne vertébrale du transport actif en libre-service à Montréal » alors que l’opposition officielle dénonce la concurrence indue des trottinettes électriques à l’égard de BIXI.

Publié le 16 janvier 2020 à 17h42
KATHLEEN LÉVESQUE
LA PRESSE

Dans une motion que déposera Ensemble Montréal à l’assemblée du conseil municipal du 27 janvier, il est réclamé que la Ville ne donne pas suite au projet pilote de 2019 qui autorisait la circulation de trottinettes électriques dans les rues de Montréal. Du même souffle, le parti demande que Montréal privilégie plutôt BIXI  et lui offre sa pleine collaboration pour élargir son offre de services avec les vélos électriques.

En réaction, l’administration de la mairesse Valérie Plante a rappelé que ses actions « démontrent clairement notre volonté de voir BIXI rester la colonne vertébrale du transport actif en libre-service à Montréal ». « Notre appui financier sur 10 ans à BIXI témoigne de notre confiance envers ce service », souligne-t-on.

Selon le chef de l’opposition, le conseiller municipal Lionel Perez, l’expérience des trottinettes électriques a surtout causé des problèmes, entraînant notamment des comportements délinquants de la part des usagers qui laissaient les trottinettes « n’importe où sur la voie publique ». Des trottinettes ont même été retrouvées dans le métro et dans le canal de Lachine, rappelle-t-on.

« Les résultats du projet-pilote n’étaient pas au rendez-vous. Il ne faut pas laisser perdurer un système qui ne fonctionne pas, qui cause plus de nuisances pour les Montréalais que de bienfaits et plus de risques en matière de sécurité. Quand une idée de fonctionne pas, il faut l’admettre », affirme M. Perez.

Ce dernier insiste sur le fait qu’en autorisant les trottinettes électriques, l’administration Plante a aussi permis l’installation d’une concurrence directe à BIXI, une entreprise locale. BIXI a connu une hausse de 70 % du nombre de déplacements en quatre ans.

Le bilan officiel du projet-pilote doit être rendu public sous peu, a indiqué Laurence Houde-Roy, attachée de presse du comité exécutif montréalais. Mme Houde-Roy a d’ailleurs souligné que les chiffres record de déplacements dévoilés par BIXI démontrent « la solidité de ce service toujours en croissance ».

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  • 2 semaines plus tard...

Quand Projet Montréal s'entête... pendant que d'autres villes les retirent après des expériences désastreuses

https://journalmetro.com/actualites/montreal/2415569/trottinettes-electriques-montreal-promet-changements/

Trottinettes électriques: Montréal promet d’autres changements au règlement

14:32 28 janvier 2020
Par:  Henri Ouellette Vézina
Métro

 

Alors que Montréal doit présenter sous peu son rapport d’évaluation des trottinettes électriques dans la métropole, l’administration Plante a promis mardi d’apporter des changements au règlement entourant la libre-circulation des engins de Lime et de Bird dans la métropole.

«Il y aura un bilan et une évolution réglementaire», a indiqué le responsable de la mobilité au comité exécutif, Éric Alan Caldwell, lors d’une mêlée de presse.

Selon lui, la Ville doit d’abord rassembler l’ensemble des données probantes avant de se prononcer davantage.

«On s’entend tous pour dire que c’était une année de projet-pilote. Il faut savoir faire une évaluation claire et lucide de ce projet. On a des données qui sont en train d’être compilées. […] Par la suite, on adapte le règlement.» -Éric Alan Caldwell, responsable de la mobilité

Le rapport en question sera présenté d’ici le prochain conseil municipal, qui doit se tenir en février. Des données du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) sur les infractions commises et le nombre d’accidents devraient y être inclues.

En septembre déjà, l’administration Plante adopté certains changements à son règlement pour y intégrer des amendes de 50$ aux clients ayant mal stationné leurs trottinettes électriques. Des frais de 100$ doivent depuis être payés par l’opérateur si l’usager fautif n’est pas sur place, au moment de l’infraction.

Un débat sur l’interdiction des trottinettes électriques reporté

Mardi, la Ville a choisi de reporter l’étude d’une motion de l’opposition officielle qui lui demandait de ne pas renouveler le projet-pilote des trottinettes électriques en 2020. Celui-ci s’est révélé «non concluant» pour plusieurs raisons, dit Ensemble Montréal.

«Il n’y a pas de modèle dans le monde qui fonctionne encore. Il y a beaucoup plus de villes qui retirent ces trottinettes qu’il y en a qui les ajoutent.» -Lionel Perez, chef de l’opposition officielle

Ce dernier réitère que l’expérience de Lime et de Bird à Montréal cette année «n’a pas fonctionné». «On l’a vu avec toutes les plaintes et tout ce qui a été discuté. Il faut miser sur BIXI plutôt», a-t-il insisté.

«Il faut reprendre le contrôle de nos trottoirs et de nos rues, plaidait également mi-janvier le maire de Saint-Laurent, Alan DeSousa. On l’a tous vu dans nos communautés: ça a été très problématique dans la dernière année.»

Le MTQ à l’écoute, la Ville de Québec en analyse

Si Montréal en gère l’application et demeure le maître d’œuvre du projet-pilote, celui-ci relève toutefois de compétence provinciale. Joint par Métro, le porte-parole au Ministère des Transports du Québec (MTQ), Nicolas Vigneault, rappelle que les entreprises comme Lime et Bird devront aussi transmettre un rapport sur leurs activités.

«Des échanges à ce sujet sont en cours, dit-il. Ces rapports permettront au ministère de s’assurer du bon fonctionnement du projet-pilote et du respect des règles fixées lors de la mise en place du projet.»

Seules Montréal et Westmount participent jusqu’ici au projet-pilote, qui est d’une durée de trois ans. À tout moment, toutefois, les villes peuvent décider de se retirer, selon M. Vigneault. «Ce sont elles qui décident si elles désirent poursuivre l’expérience», assure-t-il.

D’autres municipalités pourraient d’ailleurs s’ajouter au projet-pilote selon lui. La Ville de Québec, par exemple, a indiqué en juin qu’elle étudiait la possibilité d’implanter des trottinettes électriques, en suivant la situation à Montréal de près.

Avec la collaboration de Zacharie Goudreault.

 

 

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