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il y a 4 minutes, ToxiK a dit :

Between Dubai and St-Perdu-De-Nulle-Part there is a middle ground.  20-35 florrs (or even one or two 50-60 floors) in that area would not be New York or Dubai.  It would be Montréal.  Not all neighbourhoods need to be like the Plateau or Lasalle, having a denser area so close to downtown would fit very well in Montréal and all the people buying in those taller towers wont need to be living in a big house in the far suburbs.

e.  

I think we must agree to disagree. Your opinion and vision make no sense to me, in most topics. It is pointless to argue more. We simply and fundamentally don't share the same values for Montréal and what a contemporary city should aim to be. 

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Autre article dans La Presse. 

Pas certain si Valerie joue a ça base mais que derrières les portes fermer les groupes se parlent sérieusement ou carrément il y a un manque de volonté de voir un retour MLB mais me semble qu'elle a toujours un peu les bâtons dans les roues.  You don't get the sense she's a partner in this.  

Maybe it's me.  

https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/202003/09/01-5263939-baseball-bronfman-devra-etre-creatif-sil-veut-convaincre-la-ville.php

Baseball: Bronfman devra être «créatif» s’il veut convaincre la Ville

PHOTO YVES TREMBLAY, ARCHIVES LES YEUX DU CIEL

Le bassin Peel, à Montréal

Dans le dossier du retour du baseball, la mairesse de Montréal Valérie Plante renvoie la balle à Stephan Bronfman : celui-ci devra être « créatif » et présenter un « projet tangible » s’il veut convaincre la Ville de Montréal d’approuver son projet de stade de baseball au bassin Peel, a indiqué la mairesse Plante lundi.

Publié le 09 mars 2020 à 20h43

 

 

 

VINCENT BROUSSEAU-POULIOT
LA PRESSE

L’administration Plante, qui a rendu public lundi un rapport de l’Office de consultation publique de Montréal sur le quartier du bassin Peel, entend développer le quartier en conservant une « mixité sociale, économique et culturelle ». Traduction : il n’y a aura pas que des tours à condos de 30 étages et un stade de baseball.

PHOTO PATRICK SANFAÇON, ARCHIVES LA PRESSE

Valérie Plante

La proposition de Stephen Bronfman cadre-t-elle avec cet objectif de mixité sociale et économique ? La mairesse Valérie Plante veut laisser la chance au coureur. « Un projet comme un stade va devoir répondre de façon très forte à ces préoccupations de conserver la mixité, ça va être un défi, ce n’est pas impossible, c’est un défi, dit-elle. Le secteur a tellement de potentiel. Je peux voir comment ce serait intéressant pour une équipe de baseball, mais ça pourrait être intéressant aussi pour d’autres types d’usage. On pourrait peut-être combiner les deux, mais on devra être créatif. »

Avant tout, le groupe de Stephen Bronfman doit ouvrir son jeu et montrer un projet plus complet. La mairesse Plante a indiqué lundi n’avoir pas d’autre information que les grandes lignes présentées par M. Bronfman devant l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM). À titre d’exemple, le groupe de M. Bronfman n’a pas précisé le coût du stade ni comment il serait financé.

« Il faut qu’ils nous montrent quelque chose absolument, sinon on jase, mais on jase de quoi ? », a dit la mairesse Plante lundi en point de presse.

Le groupe de M. Bronfman « étudiera soigneusement » le rapport de l’OCPM sur le quartier du bassin Peel (le quartier Bridge-Bonaventure), a-t-il indiqué lundi par voie de communiqué. Le groupe de M. Bronfman n’a pas fait d’autres commentaires.

PHOTO ANDRÉ PICHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

Stephen Bronfman

Le rapport de l’OCPM recommande à la Ville de Montréal de faire une deuxième consultation sur le projet de stade de baseball au bassin Peel, estimant qu’il « serait irresponsable de statuer sur ce projet [de stade de baseball] sur la base des informations parcellaires dont elle dispose. »

La mairesse Plante est d’accord avec l’analyse de l’OCPM dans son rapport. « Il n’y a pas de plan, pas d’ébauche, rien, dit-elle. Je n’ai rien vu. Je n’ai pas de projet tangible, c’est très difficile pour moi de me prononcer [sur le projet de stade]. On s’attend à voir des études d’impact et financières. Encore une fois, un stade, c’est majeur. »

« Pour pouvoir dire que c’est un bon projet, il aurait fallu une vraie image, plus que l’image qu’on a vue dans le Journal de Montréal, dit Dominique Ollivier, présidente de l’OCPM, en entrevue à La Presse. Il faudrait qu’on ait quelques études qui nous disent quel serait l’impact sur la circulation, le bruit, ça va quoi le pourcentage de résidentiel pour financer le stade. Ils voulaient avoir des tours d’habitation qui pourraient aider à financer. De quoi parle-t-on ? On n’a aucune idée. »

L’OCPM estime aussi que le projet du groupe de Stephen Bronfman est « très controversé ». Selon un questionnaire en ligne de l’OCPM, 51 % des répondants sont contre le projet. « Beaucoup de gens veulent ce projet, et beaucoup de gens ne veulent pas ce projet », a résumé la mairesse Valérie Plante.

Le chef de l’opposition officielle à l’hôtel de ville de Montréal, Lionel Perez, estime qu’il y a un « un potentiel inouï » de développement économique dans le secteur du bassin Peel qu’il ne faut pas freiner. « C’est surprenant de la part de l’OCPM, après avoir recueilli l’information de toutes les différentes parties, qu’elle ne se prononce pas sur cet enjeu-là. […] Pour nous, la consultation c’était justement pour explorer ce potentiel », a dit M. Perez, chef du parti Ensemble Montréal.

Un rapport à lire « très attentivement » pour M. Bronfman

La mairesse Plante invite le groupe de M. Bronfman et les autres groupes intéressés à développer le secteur du bassin Peel à lire « très attentivement » le rapport de l’OCPM.

« Ce que je souhaite surtout, c’est que le Groupe de Montréal [de M. Bronfman] prenne le rapport de l’OCPM, qu’il [le] regarde attentivement [comme] tout autre promoteur. Tout est écrit là-dedans sur ce qui ferait un projet gagnant », dit la mairesse Plante.

Sous cet aspect, le rapport de l’OCPM cache une bonne nouvelle pour M. Bronfman et les autres promoteurs immobiliers intéressés à développer le secteur. Pour la construction résidentielle, l’OCPM recommande un développement à la fois à échelle humaine (ex : des immeubles de deux à huit étages) et à forte densité (ex : des tours de 30 étages comme à Griffintown). Les tours résidentielles de 30 étages ne seraient pas nécessairement exclues d’un tel type de quartier — à condition de le faire intelligemment en matière d’urbanisme.

La présidente de l’OCPM suggère aux promoteurs intéressés de regarder ce que certains promoteurs new-yorkais ont fait autour de Central Park. « Il y a des concepts super intéressants, des façades végétalisées, beaucoup de verdure, des basilaires, construire les tours en retrait avec seulement trois ou quatre étages au niveau de la rue », dit Dominque Ollivier.

Claridge, la société d’investissement de M. Bronfman, aimerait faire un important développement immobilier autour de son projet de stade au bassin Peel. Claridge fait alliance avec un autre développeur immobilier, Devimco, à cet effet.

La mairesse Plante prudente sur l’équipe à temps partagé

PHOTO CHRIS O’MEARA, ARCHIVES AP

Le Tropicana Field des Rays de Tampa Bay

Depuis un an, le groupe de Stephen Bronfman veut obtenir une équipe du baseball majeur à temps partagé entre Montréal et Tampa Bay, plutôt que d’avoir une équipe à temps complet à Montréal. Ce serait une première pour une équipe de sport professionnel en Amérique du Nord.

Pour la mairesse de Montréal Valérie Plante, la question d’une équipe à temps partagé n’est pas aussi importante que le concept du stade lui-même, et surtout comment il s’arrime au reste du quartier. « Au final, ce qui m’intéresse, à temps partiel ou pas, […] il faut que ça s’intègre dans un milieu de vie, dit-elle. Ça ne peut pas être un ovni dans un champ de patates comme aux États-Unis. Il faut que ça soit porteur, intégré, que ça réponde aux besoins, entre autres [en matière de] milieu de vie, d’échelle humaine, de pôle de travail. Pourquoi pas [une équipe à temps partagé]… »

Valérie Plante continue de penser que le retour d’une équipe du baseball majeur à Montréal est « une belle et bonne idée ». « En même temps, le nerf de la guerre est l’argent, comment on le paye [le stade] », dit Valérie Plante, qui ne veut pas investir l’argent des Montréalais sans obtenir leur accord par référendum.

Le terrain de 800 000 pieds au bassin Peel convoité par le groupe de M. Bronfman appartient au gouvernement fédéral (la Société immobilière du Canada), mais la Ville de Montréal détient un droit de veto advenant la vente du terrain. Un acheteur qui voudra développer le terrain devra aussi s’entendre avec la Ville de Montréal pour faire changer le zonage. En pratique, le futur promoteur de ce terrain est condamné à s’entendre avec la Ville de Montréal.

« Je comprends que les intérêts d’un groupe pour construire un stade, mais ma responsabilité comme mairesse est de développer un grand territoire pour l’entièreté de la population montréalaise », dit la mairesse Plante.

Sans préciser son échéancier, l’administration Plante a indiqué qu’elle voulait « commencer à discuter » avec la Société immobilière du Canada afin de connaître ses intentions pour vendre le terrain. L’administration Plante aimerait présenter éventuellement un plan d’aménagement sommaire pour l’ensemble du quartier du bassin Peel.

 

 

 

 

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3 minutes ago, swansongtoo said:

Autre article dans La Presse. 

Pas certain si Valerie joue a ça base mais que derrières les portes fermer les groupes se parlent sérieusement ou carrément il y a un manque de volonté de voir un retour MLB mais me semble qu'elle a toujours un peu les bâtons dans les roues.  You don't get the sense she's a partner in this.  

Maybe it's me.  

https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/202003/09/01-5263939-baseball-bronfman-devra-etre-creatif-sil-veut-convaincre-la-ville.php

Baseball: Bronfman devra être «créatif» s’il veut convaincre la Ville

PHOTO YVES TREMBLAY, ARCHIVES LES YEUX DU CIEL

Le bassin Peel, à Montréal

Dans le dossier du retour du baseball, la mairesse de Montréal Valérie Plante renvoie la balle à Stephan Bronfman : celui-ci devra être « créatif » et présenter un « projet tangible » s’il veut convaincre la Ville de Montréal d’approuver son projet de stade de baseball au bassin Peel, a indiqué la mairesse Plante lundi.

Publié le 09 mars 2020 à 20h43

 

 

 

VINCENT BROUSSEAU-POULIOT
LA PRESSE

L’administration Plante, qui a rendu public lundi un rapport de l’Office de consultation publique de Montréal sur le quartier du bassin Peel, entend développer le quartier en conservant une « mixité sociale, économique et culturelle ». Traduction : il n’y a aura pas que des tours à condos de 30 étages et un stade de baseball.

PHOTO PATRICK SANFAÇON, ARCHIVES LA PRESSE

Valérie Plante

La proposition de Stephen Bronfman cadre-t-elle avec cet objectif de mixité sociale et économique ? La mairesse Valérie Plante veut laisser la chance au coureur. « Un projet comme un stade va devoir répondre de façon très forte à ces préoccupations de conserver la mixité, ça va être un défi, ce n’est pas impossible, c’est un défi, dit-elle. Le secteur a tellement de potentiel. Je peux voir comment ce serait intéressant pour une équipe de baseball, mais ça pourrait être intéressant aussi pour d’autres types d’usage. On pourrait peut-être combiner les deux, mais on devra être créatif. »

Avant tout, le groupe de Stephen Bronfman doit ouvrir son jeu et montrer un projet plus complet. La mairesse Plante a indiqué lundi n’avoir pas d’autre information que les grandes lignes présentées par M. Bronfman devant l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM). À titre d’exemple, le groupe de M. Bronfman n’a pas précisé le coût du stade ni comment il serait financé.

« Il faut qu’ils nous montrent quelque chose absolument, sinon on jase, mais on jase de quoi ? », a dit la mairesse Plante lundi en point de presse.

Le groupe de M. Bronfman « étudiera soigneusement » le rapport de l’OCPM sur le quartier du bassin Peel (le quartier Bridge-Bonaventure), a-t-il indiqué lundi par voie de communiqué. Le groupe de M. Bronfman n’a pas fait d’autres commentaires.

PHOTO ANDRÉ PICHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

Stephen Bronfman

Le rapport de l’OCPM recommande à la Ville de Montréal de faire une deuxième consultation sur le projet de stade de baseball au bassin Peel, estimant qu’il « serait irresponsable de statuer sur ce projet [de stade de baseball] sur la base des informations parcellaires dont elle dispose. »

La mairesse Plante est d’accord avec l’analyse de l’OCPM dans son rapport. « Il n’y a pas de plan, pas d’ébauche, rien, dit-elle. Je n’ai rien vu. Je n’ai pas de projet tangible, c’est très difficile pour moi de me prononcer [sur le projet de stade]. On s’attend à voir des études d’impact et financières. Encore une fois, un stade, c’est majeur. »

« Pour pouvoir dire que c’est un bon projet, il aurait fallu une vraie image, plus que l’image qu’on a vue dans le Journal de Montréal, dit Dominique Ollivier, présidente de l’OCPM, en entrevue à La Presse. Il faudrait qu’on ait quelques études qui nous disent quel serait l’impact sur la circulation, le bruit, ça va quoi le pourcentage de résidentiel pour financer le stade. Ils voulaient avoir des tours d’habitation qui pourraient aider à financer. De quoi parle-t-on ? On n’a aucune idée. »

L’OCPM estime aussi que le projet du groupe de Stephen Bronfman est « très controversé ». Selon un questionnaire en ligne de l’OCPM, 51 % des répondants sont contre le projet. « Beaucoup de gens veulent ce projet, et beaucoup de gens ne veulent pas ce projet », a résumé la mairesse Valérie Plante.

Le chef de l’opposition officielle à l’hôtel de ville de Montréal, Lionel Perez, estime qu’il y a un « un potentiel inouï » de développement économique dans le secteur du bassin Peel qu’il ne faut pas freiner. « C’est surprenant de la part de l’OCPM, après avoir recueilli l’information de toutes les différentes parties, qu’elle ne se prononce pas sur cet enjeu-là. […] Pour nous, la consultation c’était justement pour explorer ce potentiel », a dit M. Perez, chef du parti Ensemble Montréal.

Un rapport à lire « très attentivement » pour M. Bronfman

La mairesse Plante invite le groupe de M. Bronfman et les autres groupes intéressés à développer le secteur du bassin Peel à lire « très attentivement » le rapport de l’OCPM.

« Ce que je souhaite surtout, c’est que le Groupe de Montréal [de M. Bronfman] prenne le rapport de l’OCPM, qu’il [le] regarde attentivement [comme] tout autre promoteur. Tout est écrit là-dedans sur ce qui ferait un projet gagnant », dit la mairesse Plante.

Sous cet aspect, le rapport de l’OCPM cache une bonne nouvelle pour M. Bronfman et les autres promoteurs immobiliers intéressés à développer le secteur. Pour la construction résidentielle, l’OCPM recommande un développement à la fois à échelle humaine (ex : des immeubles de deux à huit étages) et à forte densité (ex : des tours de 30 étages comme à Griffintown). Les tours résidentielles de 30 étages ne seraient pas nécessairement exclues d’un tel type de quartier — à condition de le faire intelligemment en matière d’urbanisme.

La présidente de l’OCPM suggère aux promoteurs intéressés de regarder ce que certains promoteurs new-yorkais ont fait autour de Central Park. « Il y a des concepts super intéressants, des façades végétalisées, beaucoup de verdure, des basilaires, construire les tours en retrait avec seulement trois ou quatre étages au niveau de la rue », dit Dominque Ollivier.

Claridge, la société d’investissement de M. Bronfman, aimerait faire un important développement immobilier autour de son projet de stade au bassin Peel. Claridge fait alliance avec un autre développeur immobilier, Devimco, à cet effet.

La mairesse Plante prudente sur l’équipe à temps partagé

PHOTO CHRIS O’MEARA, ARCHIVES AP

Le Tropicana Field des Rays de Tampa Bay

Depuis un an, le groupe de Stephen Bronfman veut obtenir une équipe du baseball majeur à temps partagé entre Montréal et Tampa Bay, plutôt que d’avoir une équipe à temps complet à Montréal. Ce serait une première pour une équipe de sport professionnel en Amérique du Nord.

Pour la mairesse de Montréal Valérie Plante, la question d’une équipe à temps partagé n’est pas aussi importante que le concept du stade lui-même, et surtout comment il s’arrime au reste du quartier. « Au final, ce qui m’intéresse, à temps partiel ou pas, […] il faut que ça s’intègre dans un milieu de vie, dit-elle. Ça ne peut pas être un ovni dans un champ de patates comme aux États-Unis. Il faut que ça soit porteur, intégré, que ça réponde aux besoins, entre autres [en matière de] milieu de vie, d’échelle humaine, de pôle de travail. Pourquoi pas [une équipe à temps partagé]… »

Valérie Plante continue de penser que le retour d’une équipe du baseball majeur à Montréal est « une belle et bonne idée ». « En même temps, le nerf de la guerre est l’argent, comment on le paye [le stade] », dit Valérie Plante, qui ne veut pas investir l’argent des Montréalais sans obtenir leur accord par référendum.

Le terrain de 800 000 pieds au bassin Peel convoité par le groupe de M. Bronfman appartient au gouvernement fédéral (la Société immobilière du Canada), mais la Ville de Montréal détient un droit de veto advenant la vente du terrain. Un acheteur qui voudra développer le terrain devra aussi s’entendre avec la Ville de Montréal pour faire changer le zonage. En pratique, le futur promoteur de ce terrain est condamné à s’entendre avec la Ville de Montréal.

« Je comprends que les intérêts d’un groupe pour construire un stade, mais ma responsabilité comme mairesse est de développer un grand territoire pour l’entièreté de la population montréalaise », dit la mairesse Plante.

Sans préciser son échéancier, l’administration Plante a indiqué qu’elle voulait « commencer à discuter » avec la Société immobilière du Canada afin de connaître ses intentions pour vendre le terrain. L’administration Plante aimerait présenter éventuellement un plan d’aménagement sommaire pour l’ensemble du quartier du bassin Peel.

 

 

 

 

Je dis construisez un stade de baseball seulement si Bronfman finance une tour à coop de 250 étages et 10,000 unités pour subvenir aux besoin de tous les moins nantis de Montréal. On règle deux problèmes d'un coup.

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il y a 27 minutes, Rocco a dit :

Je dis construisez un stade de baseball seulement si Bronfman finance une tour à coop de 250 étages et 10,000 unités pour subvenir aux besoin de tous les moins nantis de Montréal. On règle deux problèmes d'un coup.

Et encore, seulement si cette tour ne fait d'ombre à personne, ne dépasse pas le Mont-Royal et est à échelle humaine...

:silly:

Il y a 4 heures, Marc90 a dit :

I think we must agree to disagree. Your opinion and vision make no sense to me, in most topics. It is pointless to argue more. We simply and fundamentally don't share the same values for Montréal and what a contemporary city should aim to be. 

As you wish.

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Il y a 6 heures, ToxiK a dit :

Between Dubai and St-Perdu-De-Nulle-Part there is a middle ground.  20-35 florrs (or even one or two 50-60 floors) in that area would not be New York or Dubai.  It would be Montréal.  Not all neighbourhoods need to be like the Plateau or Lasalle, having a denser area so close to downtown would fit very well in Montréal and all the people buying in those taller towers wont need to be living in a big house in the far suburbs.

e.  

Tellement vrai. Ce ne sont pas quelques tours qui vont détruire l’identité de Montréal. Au contraire parfois ça contribue à briser une certaine monotonie. Il ne faut pas oublier qu’à une époque Montréal se vantait d’avoir les plus hautes tours du Canada. Est ce que Montréal manquait d’identité à l’époque ? Qui a décidé que les tours ne faisaient pas partie de l’identité de Montréal ? J’aimerais bien le savoir. De toutes manières les tours poussent de plus en plus un peu partout et je vois pas ce qui pourra stopper cela.

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Communiqué de l'organisme Action-Gardien

https://www.newswire.ca/fr/news-releases/bridge-bonaventure-action-gardien-presse-la-ville-de-montreal-de-prendre-position-894383589.html

Bridge-Bonaventure : Action-Gardien presse la Ville de Montréal de prendre position

NOUVELLES FOURNIES PAR
Action-Gardien, Corporation de développement communautaire de Pointe-Saint-Charles 
Mars 09, 2020, 19:11 ET

MONTRÉAL, le 9 mars 2020 /CNW Telbec/ - Action-Gardien reçoit favorablement le rapport de l'OCPM sur l'avenir du secteur Bridge-Bonaventure. Une grande partie des recommandations vont dans le sens des propositions exprimées par la concertation communautaire et illustrées dans le plan d'ensemble issu de l'Opération populaire d'aménagement (OPA) tenue en mai dernier avec la population du quartier.

Les recommandations de l'OCPM viennent renforcer les principes de mise en valeur du secteur soumis par la Ville de Montréal l'automne dernier. Nous y souscrivons en grande partie. Mais une grande question demeure : ces principes et ces investissements publics au service de quelle vision de développement ? La Ville de Montréal est restée silencieuse en attendant les résultats des consultations. Elle doit, sans plus tarder, se prononcer sur sa vision pour Bridge-Bonaventure.

Un milieu de vie à échelle humaine au bassin Peel.

L'OCPM recommande pour le bassin Peel un développement résidentiel dense mais à échelle humaine, avec équipements publics et collectifs, services de proximité, harmonisé avec le bâti existant à Pointe-Saint-Charles. « Nous sommes particulièrement heureux de cette recommandation. Les tours en hauteurs de 15 à 30 étages et la poursuite de Griffintown ne répondent pas aux nombreux besoins des ménages et familles de Pointe-Saint-Charles et de Montréal, et vont à l'encontre de l'identité et du patrimoine du quartier. » affirme Karine Triollet, de la CDC Action-Gardien. La concertation se réjouit également des recommandations de l'OCPM pour insérer harmonieusement le milieu de vie résidentiel dans un environnement mixte, avec des zones tampons et de protection pour une cohabitation avec les zones d'emploi et avec les voies ferrées et autoroutières à proximité.

Terrains publics, intérêts collectifs !

Bémol de taille, le rapport de l'OCPM se contente de recommander l'inclusion de logement social, familial, abordable dans un projet résidentiel privé au bassin Peel. « Il faut être plus ambitieux ! On attend de la Ville de Montréal qu'elle mette tout en œuvre pour que les terrains publics fédéraux du bassin Peel ne soient pas privatisés et servent à répondre aux besoins urgents des Montréalais » soutient Hassan El Asri, du Regroupement Information logement. La Ville doit travailler de concert avec le fédéral pour mobiliser ces terrains dans le cadre de la Stratégie nationale du logement. C'est une opportunité que la Ville de Montréal doit saisir pour contribuer significativement à résorber la crise du logement. »

Sans surprise, l'OCPM n'émet aucune recommandation sur le stade de baseball. Avec un projet aussi flou, sans études d'impact, l'OCPM juge irresponsable de se prononcer. À tout le moins, la consultation démontre que le projet est extrêmement controversé. Nous appelons la Ville de Montréal à faire dès maintenant un choix politique clair. Pour Action-Gardien, ce projet de stade de baseball est totalement incompatible avec la création d'un milieu de vie à échelle humaine au bassin Peel.

Place au transport actif et collectif, à la connectivité, aux espaces verts et publics, au patrimoine

Le déplacement de l'autoroute Bonaventure sur l'emprise Marc-Cantin et son raccordement au pont Victoria sont au cœur des recommandations d'Action-Gardien pour éliminer le transit automobile dans le quartier habité, récupérer pleinement les berges du fleuve, et concentrer les infrastructures de transport. L'OCPM recommande à la Ville d'analyser ces deux options. « Il n'est pas trop tard pour modifier le projet de la Société des ponts Jacques Cartier et Champlain qui prévoit déplacer le boulevard urbain de quelques mètres seulement. Il faut profiter de la reconfiguration des infrastructures de transport pour corriger des erreurs urbaines majeures qui créent des nuisances au quotidien dans notre quartier », insiste Jocelyne Bernier, citoyenne du quartier et membre du comité Bridge-Bonaventure d'Action-Gardien.

L'OCPM propose de favoriser la connectivité entre les quartiers, les accès aux espaces publics et aux berges. Les transports actifs et en commun sont à l'honneur, ainsi que les trames vertes et bleues pour améliorer la résilience écologique du secteur. Les entrées de ville devront mettre en valeur l'image de Montréal comme métropole verte, accueillante, inclusive et respecter le patrimoine et l'esprit du lieu. Nous ne pouvons qu'y souscrire, en appelant la Ville à refuser tout projet qui irait à l'encontre de ces orientations.

L'emploi, un patrimoine vivant au cœur du renouvellement du secteur

La disparition des zones d'emploi au profit du résidentiel est un risque majeur lors de la requalification de quartiers centraux. Des interventions lors des consultations jugeaient que les entreprises lourdes du secteur, dont certaines centenaires, pouvaient nuire au redéveloppement de la Pointe-du-Moulin et du bassin Peel. Au contraire, Action-Gardien mise sur la valorisation et la protection de ces entreprises. Les commissaires recommandent avec fermeté la protection des entreprises déjà existantes, comme ADM-Five Roses, Canada Malting, Forges de Montréal, ainsi que des activités portuaires, tout en renforçant l'industrie plus légère et les ateliers d'artisans dans le secteur Bridge. La consolidation du triangle Montmorency et du Parc industriel de la Pointe-Saint-Charles fait partie des recommandations, ainsi que plusieurs mesures de protection des zones d'emploi, dont le maintien de zonages industriels.

C'est maintenant à la Ville de Montréal de se positionner sur sa vision de développement pour l'avenir de Bridge-Bonaventure, et de prendre l'initiative de regrouper les différents acteurs pour s'assurer d'une planification d'ensemble cohérente. Action-Gardien compte bien être partie-prenante du mécanisme de concertation et de suivi qui sera implanté.

SOURCE Action-Gardien, Corporation de développement communautaire de Pointe-Saint-Charles

 

Dans le Devoir

https://www.ledevoir.com/politique/montreal/574534/le-projet-de-stade-de-baseball-au-bassin-peel-est-mal-documente-estime-l-ocpm#

Stade de baseball au bassin Peel: Valérie Plante s'appuie sur les attentes de l'OCPM

Jeanne Corriveau
9 mars 2020
Montréal

 

La mairesse Valérie Plante recommande au Groupe baseball Montréal, dirigé par Stephen Bronfman, de lire attentivement le rapport de l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM) sur l’avenir du secteur Bridge-Bonaventure publié lundi afin de comprendre les attentes en matière de développement dans ce quartier.

« Si on devait construire une installation [stade], il faut que ça s’intègre dans un milieu de vie. Ça ne peut pas être un ovni qui arrive dans un champ de patates comme aux États-Unis », a expliqué la mairesse lundi. Selon elle, un tel équipement sportif doit tenir compte des besoins exprimés par la population en matière d’habitation, de milieu de vie à échelle humaine et de transport, tel que le souligne l’OCPM dans son rapport publié lundi matin.

Au terme de la consultation tenue l’automne dernier, l’OCPM refuse toutefois de se prononcer sur le projet de stade de baseball au bassin Peel, car il estime que le plan présenté par le Groupe baseball Montréal n’est pas suffisamment documenté.

L’OCPM souligne qu’un stade pour une équipe de baseball professionnelle, comme le prône un groupe de gens d’affaires dirigé par Stephen Bronfman, serait un équipement majeur pour la Ville de Montréal. Mais un projet de cette ampleur nécessite que ses répercussions soient mesurées, dit l’organisme. « Aucun plan de même qu’aucune étude mesurant les impacts économiques, sociaux et environnementaux n’ont été portés à la connaissance de la commission », indique l’Office qui soutient que le projet du groupe de gens d’affaires était très incomplet. « La commission juge qu’il serait irresponsable de statuer sur ce projet sur la base des informations parcellaires dont elle dispose. »

Comme l’indiquait Le Devoir dans son édition de samedi, l’OCPM se contente donc de proposer qu’une « consultation autonome » soit menée quand un dossier mieux ficelé sera déposé. Dans le passé, d’autres projets d’équipements sportifs ont fait l’objet de consultations spécifiques. Ce fut le cas pour le Stade de soccer de Montréal, le Centre de tennis du parc Jarry ou le stade Percival-Molson, rappelle l’Office.

Le nerf de la guerre

Valérie Plante a dit comprendre la position de l’OCPM. Elle-même n’a jamais vu de plan précis pour ce projet de stade et elle attend toujours des données sur le montage financier du projet. « C’est sûr qu’il va falloir consulter la population s’il y a un projet comme le stade. Mais d’abord et avant tout, il faut qu’il y ait un projet concret et j’invite les promoteurs à regarder les éléments qui sont là-dedans [dans le rapport de l’OCPM] parce qu’ils sont vraiment importants ».

Elle n’écarte pas l’idée de tenir un référendum lors des prochaines élections si les promoteurs du projet en venaient à solliciter la participation financière de la Ville de Montréal : « Je comprends l’engouement pour le baseball. C’est sûr que c’est une bonne idée. Mais en même temps, le nerf de la guerre, c’est l’argent. Comment on le paye ? Et où ça va se retrouver ? ».

Plusieurs des terrains envisagés pour la construction du stade appartiennent au gouvernement du Canada. Montréal détient cependant un droit de préemption qui lui permettrait d’en faire l’acquisition en cas de vente.

Le Groupe baseball Montréal n’a pas voulu commenter le contenu du rapport de l’OCPM, disant vouloir d’abord l’étudier « soigneusement ».

Ensemble résidentiel

Si l’OCPM s’abstient de se prononcer sur le stade de baseball, il formule 47 recommandations pour l’avenir et la mise en valeur du secteur Bridge-Bonaventure, un territoire d’une superficie de 2,3 kilomètres carrés qui englobe le bassin Peel, le parc d’entreprises de Pointe-Saint-Charles et la Cité du Havre.

L’Office recommande notamment que dans le secteur du bassin Peel, la Ville prévoie un ensemble résidentiel mixte, « à forte densité, mais à échelle humaine », rejetant du même coup la construction d’immeubles en hauteur de 15 à 36 étages comme l’avaient proposé certains participants à la consultation. Ce projet immobilier devrait intégrer les cibles de logement social, abordable et familial fixées par la Ville et comporter des commerces et des services de proximité de même que des équipements collectifs, croit l’OCPM.

L’organisme plaide aussi en faveur d’un verdissement important du secteur Bridge-Bonaventure très minéralisé et recommande l’aménagement de parcs et de places publiques. Il émet le souhait que la Ville examine avec la société des Ponts Jacques-Cartier et Champlain la possibilité de déplacer le futur tracé du boulevard urbain Bonaventure vers l’arrière du Parc d’entreprises de la Pointe-Saint-Charles de manière à permettre la création d’une bande verte plus large en bordure des berges du Saint-Laurent.

Patrimoine

Le secteur Bridge-Bonaventure est riche en patrimoine industriel, et la Ville devrait pouvoir mettre en valeur cet aspect, avance l’OCPM qui recommande le classement d’équipements comme le Silo no 5, la minoterie ADM et le complexe Canada Maltage en vertu de la Loi sur les biens culturels. « Il est rare à Montréal qu’un quartier recèle autant de vues panoramiques », estime l’Office.

Toute nouvelle construction devrait être assujettie à des règles qui tiennent compte de ces « éléments repères » dans le paysage, ajoute-t-on.

À cet égard, la Ville devrait élaborer un plan d’implantation et d’intégration architecturale (PIIA) pour le secteur Bridge-Bonaventure « afin de contrôler et de protéger les vues paysagères, les percées visuelles et l’esthétique des constructions ».

Elle devrait aussi protéger les ateliers d’artisans, comme ceux d’Espace Verre ou des Forges de Montréal, en sécurisant le zonage industriel des secteurs où ils sont installés.

L’OCPM recommande également que les infrastructures piétonnes et cyclistes soient améliorées.

« La commission juge intéressante la proposition que l’espace sous l’autoroute Bonaventure soit transformé en promenade urbaine piétonnière et cycliste éclairée, sécuritaire, praticable toute l’année et agrémentée de murales et d’art urbain », peut-on lire dans le rapport.

Le rapport de consultation sur le secteur Bridge-Bonaventure rendu public tôt lundi matin a été remis à l’administration de Valérie Plante il y a deux semaines.

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