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Projets de Toronto - Nouveautés et progressions


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Les ventes de la phase 2 du projet iconique One Yonge commenceront à la fin de ce mois ci. Cette tour impressionnante aura une taille imposante de 307 mètres, ce qui en fera le deuxième plus haut bâtiment à Toronto et dans le reste du Canada après the One. Je vais vous rafraîchir la mémoire avec quelques photos.          Voici ma source :              https://www.talkcondo.com/

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18 hours ago, peekay said:

I know this is a very unpopular opinion but I don't like the CN Tower. I never did. It just sticks out like a sore thumb in almost every picture IMO. Also, those street car overhead electric wires drive me nuts. It all looks so dirty and asymmetrical.

 

Actually, two were planned. Looks like CNT is giving you the bird :)

By friendyfuture

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https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1398309/grues-toronto-boom-construction-john-tory-immobilier?fbclid=IwAR1VZ_9lvkq7eX3EoUdTQyl1KqBXxqJHT25WEh6Z5Ewz84aXADfDE18lsNQ

Philippe de Montigny

Publié hier à 17 h 06

Les grues et les chantiers de construction sont devenus une partie intégrante du paysage de la Ville Reine. Pourtant, il est toujours difficile de combler la forte demande du marché immobilier.

La Ville recense plus de 200 gratte-ciels et tours à condos présentement en construction, dont 16 qui compteront plus de 50 étages. Même une filiale de Google veut s’implanter et construire des édifices à logements dans un nouveau quartier intelligent, au bord du lac Ontario.

En deux ans seulement, le nombre de grues dans la Ville Reine est passé de 72 en mai 2017 à 120 en mai 2019, selon le plus récent rapport de la firme de consultants Rider Levett Bucknall (RLBRider Levett Bucknall), qui travaille auprès de promoteurs immobiliers à l’échelle mondiale.

Toronto compte d’ailleurs plus de grues que les trois plus grandes villes américaines combinées. Selon l'indice des grues RLBRider Levett Bucknall, il y en a 27 à New York, 49 à Los Angeles et 27 à Chicago.

Selon le rapport, les projets à usage mixte et résidentiels, surtout à l’extérieur du centre-ville, constituent la grande majorité des chantiers de construction.

C'est une occasion pour nous. Ça représente beaucoup d’emplois et c'est un signe de confiance dans notre pays et notre ville aussi, ajoute le maire de Toronto.

En tout, 246 grues surplombent la grande région de Toronto, telle que définie par RLB, ce qui inclut la banlieue, ainsi que les villes de Barrie et Hamilton. Ce chiffre devrait augmenter encore davantage avec d’importants projets d’infrastructure et de transport en commun qui s’amorcent.

Pourquoi tous ces projets?

En gros, la population grimpe très rapidement. L’architecte et urbaniste, Éric Turcotte, souligne qu’entre 125 000 et 135 000 nouveaux habitants s’ajoutent dans la grande région de Toronto, chaque année.

L’afflux de jeunes Canadiens des autres provinces ou de régions rurales, mais surtout de nouveaux arrivants venus de l’étranger, fait exploser la demande du marché immobilier et provoque une flambée des prix.

Pour un appartement d'une chambre, le loyer moyen est de 2350 $, selon le site Padmapper.

Le prix de vente moyen d’une maison unifamiliale était de 1,05 million de dollars, le mois dernier, selon la chambre immobilière de Toronto. Pour un condo, les acheteurs devaient débourser en moyenne 617 410 $, une augmentation de 9,6 % par rapport à octobre 2018.

Une taxe sur les logements inoccupés réclamée à Toronto

Malgré tous ces nouveaux bâtiments, il est toujours difficile de combler la forte demande.

La présence de spéculateurs n'aide pas. Certains achètent des propriétés sans jamais y mettre les pieds, souligne David Hulchanski, professeur et chercheur à l’Université de Toronto.

L'expert en logement souhaite que la Ville s'attaque à la spéculation immobilière comme en Colombie-Britannique, où une taxe sur les logements inoccupés semble porter ses fruits.

Le problème prend de l'ampleur. Beaucoup de condos ne servent pas au logement, mais plutôt comme investissement, et ils sont vacants, affirme M. Hulchanski.

En juillet 2017, le conseil municipal de Toronto avait demandé à ses fonctionnaires d’évaluer la possibilité d’imposer une telle taxe. Mais le dossier n’a pas avancé, faute de suivi, explique la conseillère Ana Bailão.

La Ville ne peut pas se permettre d’avoir des milliers de logements laissés vacants. Que ce soit 2000 ou 5000, il faut les remettre sur le marché au plus vite.

Ana Bailao, conseillère municipale à Toronto

Jeudi dernier, le conseil exécutif de Toronto a demandé au directeur municipal et au directeur financier de lui fournir une mise à jour dans ce dossier, tout en révisant l’approche adoptée à Vancouver.

Il faut mettre de la pression, ajoute la conseillère.

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