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Mad as in crazy or mad as in cross? Governments pass laws and courts adjudicate them. All I am saying (not as a madman but as an observer of due process in real estate   is that if the Fairmont wants to go to court, or some  citizens' coalition for that matter,  they can delay any government expropriation for years. Is that mad or common knowledge?

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il y a 18 minutes, geraldshaw a dit :

I think the Fairmont Queen Elizabeth would not only reject their R-L entrance  being stolen by a concreted over expropriation  - they would sue the city for maga bucks in damages to their hotel's  value and in so doing would  tie up the whole REM-Est project on R-L for years in the courts.

Let me clear this up for you since you don't seem to get it: the Fairmont Queen Elizabeth, the Place Ville-Marie, and the REM all have the same ultimate owner: CDPQ. Managing the retirement fund of the province, I sincerely hope their upper management is sane enough to not sue themselves or have their subsidiaries sue each other for the sake of it.

If you keep this up I'll assume you're trolling from this point on.

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34 minutes ago, Decel said:

Right hand suing left hand? Are you mad?!? Those issues are definitely being settled behind closed doors at HQ, and if CDPQi goes ahead with such implementation it's because of Ivanhoe Cambridge's blessing.

Right, and also, who said the structure would touch the hotel? I’ve joked about the station going in the hotel because of all the empty rooms, but a station up above the middle of a 33 metre wide boulevard wouldn’t touch what is the completely nondescript façade of the Queen E. However, a signature design could integrate the station with a revamped southern Esplanade of PVM. I can’t wait to see how they come up with solutions to the crazy engineering challenges of an aerial structure on top of the RL bridge and Central Station complex directly underneath it, but going underground would be too difficult — which leads me to believe they won’t even put the station at PVM/Central, but stop short of it… making it even less of an interchange station.

Im still not against an elevated structure on RL, but if the compromises keep piling up, I really would rather they build the terminal station east of downtown, perhaps at Labelle (Berri).

 

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il y a 3 minutes, SameGuy a dit :

Im still not against an elevated structure on RL, but if the compromises keep piling up, I really would rather they build the terminal station east of downtown, perhaps at Labelle (Berri).

But that would lower ridership by 14-26% as they argued. I'm not sure if they're up for such a hit.

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3 hours ago, SameGuy said:

I look forward to seeing what they propose as a “signature” but seeing the relative glibness with which they cut corners after-the-fact, my glass remains half-empty.

The elevated option has already been rejected so strongly and universally that I feel that there's really little that they can do to possibly hope to get social acceptability for the project as it exits. It would need to be something truly special indeed.

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Des architectes du REM quittent le navire : 

Ils jugent inacceptables les structures aériennes au centre-ville de Montréal

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PHOTO JEAN-LOUIS FORTIN

On voit ici les immenses piliers en béton du Réseau express métropolitain à Kirkland, dans l’ouest de l’île de Montréal. La Caisse de dépôt assure que les structures qui seront construites au centre-ville seront moins massives et mieux intégrées au paysage.

JEAN-LOUIS FORTIN

 Mardi, 23 février 2021 01:00MISE À JOUR Mardi, 23 février 2021 01:00

Les deux firmes d’architectes qui travaillaient avec la Caisse de dépôt pour le prolongement du Réseau express métropolitain vers l’est de Montréal ont récemment claqué la porte, car elles ne veulent pas être associées à un projet qu’elles jugent trop laid et qui risque de défigurer le centre-ville.

Un train perché sur de hauts piliers en plein boulevard René-Lévesque ? Cette perspective ne fait pas seulement l’objet d’un débat public. Ça brasse également derrière les portes closes à CDPQ Infra, la filiale de la Caisse qui gère le projet.

Notre Bureau d’enquête a appris que les réputées firmes québécoises Daoust Lestage Lizotte Stecker et STGM, dont les services avaient été retenus en novembre dernier pour réaliser la signature architecturale de la phase 2 du REM, ont démissionné dans les dernières semaines.

Selon nos informations, c’est spécifiquement la portion aérienne prévue entre la Gare Centrale et la rue Notre-Dame, sur René-Lévesque, qui a mené au divorce.

Après d’intenses discussions encadrées par de strictes ententes de confidentialité, les positions étaient irréconciliables. 

« [Les firmes] avaient trop peur que leur nom soit associé à un projet qui pourrait faire des dommages à l’image de Montréal », résume une source bien au fait du dossier.

Daoust Lestage et STGM ont ainsi tourné le dos à un mandat prestigieux qui représente des millions de dollars en honoraires professionnels. Ces deux firmes accompagnent déjà la Ville de Québec dans son projet de tramway. Ironiquement, c’est Daoust Lestage qui avait dessiné le siège social de la Caisse de dépôt au centre-ville de Montréal, au début des années 2000.

Nouvelle stratégie

CDPQ Infra a confirmé hier avoir changé de stratégie, sans entrer dans les détails.

« Après avoir sondé le marché pour sélectionner une firme d’architecture, nous avons décidé de mandater un comité aviseur pluridisciplinaire composé d’experts indépendants et québécois pour participer à l’élaboration des lignes directrices prescriptives sur l’architecture », a déclaré dans un courriel le directeur des communications de CDPQ Infra, Jean-Vincent Lacroix.

Il assure que « l’intégration du REM [Réseau express métropolitain] de l’est doit être exemplaire au niveau de l’aménagement et de l’architecture, et inspirée des meilleures pratiques dans le monde ».

Des voix s’élèvent

Depuis l’annonce de la phase 2 du REM vers l’est, en décembre, des voix se sont élevées pour s’inquiéter de l’aspect visuel.

« Ça frappe, c’est des mastodontes de blocs de béton », a notamment affirmé la mairesse de Montréal, Valérie Plante, un peu avant les Fêtes, en référence aux structures érigées pour la phase 1 du projet entre le centre-ville, la Rive-Sud et l’ouest.

Au cours des 20 dernières années, Montréal s’est débarrassée de plusieurs voies en hauteur. Par exemple, une portion de l’autoroute Bonaventure a été ramenée au sol, et l’échangeur Des Pins/Du Parc a été démantelé. Selon la Caisse, il serait trop complexe et dangereux que le REM passe sous le boulevard René-Lévesque, en raison notamment de risques d’effondrement d’immeubles. 

LA PHASE 2 DU REM EN BREF   

32 km de long, dont 7 km souterrains et 25 km aériens  

Coût: au moins 10 milliards $  

23 stations projetées  

Une antenne vers le quartier Pointe-aux-Trembles et une autre vers le Cégep Marie-Victorin  

Début projeté de la construction: 2023 

https://www.journaldemontreal.com/2021/02/23/des-architectes-du-rem-quittent-le-navire

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14 minutes ago, Enalung said:

The elevated option has already been rejected so strongly and universally that I feel that there's really little that they can do to possibly hope to get social acceptability for the project as it exits. It would need to be something truly special indeed.

Yeah my fear is that they’ll show us sketches that look amazing and everyone will ooh and aah and the realized project will look nothing like the renderings and mock-ups.

 

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5 minutes ago, Nameless_1 said:

Des architectes du REM quittent le navire : 

Ils jugent inacceptables les structures aériennes au centre-ville de Montréal

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PHOTO JEAN-LOUIS FORTIN

On voit ici les immenses piliers en béton du Réseau express métropolitain à Kirkland, dans l’ouest de l’île de Montréal. La Caisse de dépôt assure que les structures qui seront construites au centre-ville seront moins massives et mieux intégrées au paysage.

JEAN-LOUIS FORTIN

 Mardi, 23 février 2021 01:00MISE À JOUR Mardi, 23 février 2021 01:00

Les deux firmes d’architectes qui travaillaient avec la Caisse de dépôt pour le prolongement du Réseau express métropolitain vers l’est de Montréal ont récemment claqué la porte, car elles ne veulent pas être associées à un projet qu’elles jugent trop laid et qui risque de défigurer le centre-ville.

Un train perché sur de hauts piliers en plein boulevard René-Lévesque ? Cette perspective ne fait pas seulement l’objet d’un débat public. Ça brasse également derrière les portes closes à CDPQ Infra, la filiale de la Caisse qui gère le projet.

Notre Bureau d’enquête a appris que les réputées firmes québécoises Daoust Lestage Lizotte Stecker et STGM, dont les services avaient été retenus en novembre dernier pour réaliser la signature architecturale de la phase 2 du REM, ont démissionné dans les dernières semaines.

Selon nos informations, c’est spécifiquement la portion aérienne prévue entre la Gare Centrale et la rue Notre-Dame, sur René-Lévesque, qui a mené au divorce.

Après d’intenses discussions encadrées par de strictes ententes de confidentialité, les positions étaient irréconciliables. 

« [Les firmes] avaient trop peur que leur nom soit associé à un projet qui pourrait faire des dommages à l’image de Montréal », résume une source bien au fait du dossier.

Daoust Lestage et STGM ont ainsi tourné le dos à un mandat prestigieux qui représente des millions de dollars en honoraires professionnels. Ces deux firmes accompagnent déjà la Ville de Québec dans son projet de tramway. Ironiquement, c’est Daoust Lestage qui avait dessiné le siège social de la Caisse de dépôt au centre-ville de Montréal, au début des années 2000.

Nouvelle stratégie

CDPQ Infra a confirmé hier avoir changé de stratégie, sans entrer dans les détails.

« Après avoir sondé le marché pour sélectionner une firme d’architecture, nous avons décidé de mandater un comité aviseur pluridisciplinaire composé d’experts indépendants et québécois pour participer à l’élaboration des lignes directrices prescriptives sur l’architecture », a déclaré dans un courriel le directeur des communications de CDPQ Infra, Jean-Vincent Lacroix.

Il assure que « l’intégration du REM [Réseau express métropolitain] de l’est doit être exemplaire au niveau de l’aménagement et de l’architecture, et inspirée des meilleures pratiques dans le monde ».

Des voix s’élèvent

Depuis l’annonce de la phase 2 du REM vers l’est, en décembre, des voix se sont élevées pour s’inquiéter de l’aspect visuel.

« Ça frappe, c’est des mastodontes de blocs de béton », a notamment affirmé la mairesse de Montréal, Valérie Plante, un peu avant les Fêtes, en référence aux structures érigées pour la phase 1 du projet entre le centre-ville, la Rive-Sud et l’ouest.

Au cours des 20 dernières années, Montréal s’est débarrassée de plusieurs voies en hauteur. Par exemple, une portion de l’autoroute Bonaventure a été ramenée au sol, et l’échangeur Des Pins/Du Parc a été démantelé. Selon la Caisse, il serait trop complexe et dangereux que le REM passe sous le boulevard René-Lévesque, en raison notamment de risques d’effondrement d’immeubles. 

LA PHASE 2 DU REM EN BREF   

32 km de long, dont 7 km souterrains et 25 km aériens  

Coût: au moins 10 milliards $  

23 stations projetées  

Une antenne vers le quartier Pointe-aux-Trembles et une autre vers le Cégep Marie-Victorin  

Début projeté de la construction: 2023 

https://www.journaldemontreal.com/2021/02/23/des-architectes-du-rem-quittent-le-navire

omg

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11 hours ago, SameGuy said:

I can't wait to see how they come up with solutions to the crazy engineering challenges of an aerial structure on top of the RL bridge and Central Station complex directly underneath it, but going underground would be too difficult — which leads me to believe they won't even put the station at PVM/Central, but stop short of it... making it even less of an interchange station.

I

That's probably why they are calling the station "Robert Bourassa". I believe if the station was between the QE and PVM, they would have called it "Central Station".

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