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Îlot Voyageur Sud - ?? étages


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22 minutes ago, Rocco said:

Le coin Berri est décourageant pour quiconque passe par là quotidiennement. Je parle pas de ceux qui commentent à distance sans jamais y mettre les pieds. Allez-y, sur place et flânez, 30 mins, une heure, plus..... Et reparlez moi en. Tout est sur pause dans ce coin. Les deux projets Mondev Nüberri et Zenith sont sur pause (leurs maisons de ville n'ont jamais été complétés). Comment un site aussi stratégique a pu tomber à ce point? Poser la question c'est y répondre: la tolérance crasse envers les robineux, drogués, prostituées, qui ont pris le contrôle du quartier et qui règnent en roi et maitre sous le couvert de la sacro-sainte tolérance. Et bien, voyez votre quatier maintenant! Profitez de celui-ci! Go! Ne tolérez pas juste derrière votre clavier!!

Je trouve aussi ce coin rebutant, en particulier sur Ste-Cath devant la PD (qui pourrait évoquer Police Dept., tant ils doivent souvent intervenir).

Par contre, je vois d'immenses fossés entre ces attitudes sociétaires:

"tolérance" (ça peut se situer à la limite du je-m'en-foutisme: tolérer en détournant le regard ailleurs, voire en évitant de tels lieux afin de ne pas être confrontés à de si dures réalités);

interventionnisme psycho-social (quoiqu'il manque de toute évidence de ressources partout sur le terrain, tant en santé mentale, toxicomanie qu'en itinérance, merci à des décennies de coupures provinciales en services de santé et à la prise en charge quasi-exclusivement psychiatrique... après que des vies aient commencé à dérailler, souvent trop fermement);

intolérance (on chasse ces gens vers d'autres secteurs sans nécessairement tenter de les soutenir).

Et il y a des nuances entre ces attitudes. Perso, je ne crois ni au laisser-aller ni à l'approche purement répressive, mais dans l'attribution de plus de ressources "terrain", tout comme la création de davantage de logements sociaux et de programmes de réinsertion socio-économique doublés d'un volet d'accès à l'éducation...

Mais ceci étant du ressort du provincial, bien que ça affecte le tissu social et par la bande urbain, on ne semble pas près d'une grande transformation... 😕

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il y a 17 minutes, Rocco a dit :

Le coin Berri est décourageant pour quiconque passe par là quotidiennement. Je parle pas de ceux qui commentent à distance sans jamais y mettre les pieds. Allez-y, sur place et flânez, 30 mins, une heure, plus..... Et reparlez moi en. Tout est sur pause dans ce coin. Les deux projets Mondev Nüberri et Zenith sont sur pause (leurs maisons de ville n'ont jamais été complétés). Comment un site aussi stratégique a pu tomber à ce point? Poser la question c'est y répondre: la tolérance crasse envers les robineux, drogués, prostituées, qui ont pris le contrôle du quartier et qui règnent en roi et maitre sous le couvert de la sacro-sainte tolérance. Et bien, voyez votre quartier maintenant! Profitez de celui-ci! Go! Ne tolérez pas juste derrière votre clavier!!

Absolument toutes les grandes villes du monde ont leurs secteurs problématiques composés du même type de personnes plus ou moins recommandables. C'est un phénomène de société, pas de quartier. Délogez-les et ils réapparaitront ailleurs dans le voisinage, parce que justement le coeur des villes et leur anonymat se prêtent mieux qu'ailleurs à leur concentration. Ici aussi c'est une question de marché car les opportunités sont plus nombreuses dans les villes-centre, où les consommateurs de toutes sortes ne manquent pas. On doit donc malheureusement composer avec cette triste réalité qui n'est d'ailleurs pas nouvelle et qui se perpétuera tant que la marginalité et la délinquance se nourriront des inégalités sociales.

Alors pas besoin d'être sur place pour bien comprendre la situation, mes années d'expérience en tant que citadin, mes multiples sources d'information et mes nombreux voyages à travers le monde, m'ont clairement démontré l'universalité plus ou moins répandue de l'indigence humaine. Tu seras surpris que même dans ma coquette petite ville de Baie St-Paul, il y a des sans-abris et une petite criminalité bien discrète. Parce qu'ici aussi la vraie pauvreté (pas seulement matérielle) côtoie la richesse.

Étant personnellement féru d'histoire, on voit bien que la misère humaine a toujours été le lot de nos sociétés, la violence omniprésente et le brigandage une forme de survie que pratiquaient les innombrables misérables. Seulement à l'époque les inégalités sociales étaient bien pires qu'aujourd'hui, dans un monde où l'injustice, les mauvais traitements et les exécutions sommaires étaient monnaie courante. Mais comment arrêter ce cercle vicieux si on ne s'attaque pas à sa vraie source?

D'ailleurs pas besoin d'aller dans le passé, puiqu'aujourd'hui la vie moderne dans certains pays n'est pas autrement que dans ces temps supposément révolus. Ne produit-on pas actuellement des centaines de millions de réfugiés avec nos guerres, la pauvreté abjecte, la corruption et les dictatures? 

Ce qui m'amène a relativiser notre situation. Considérons-nous comme ultra chanceux d'être nés dans un pays parmi les plus choyés de la planète. Bien sûr le travail ne sera jamais terminé, c'est pour cela qu'il faut sans cesse lutter contre les inégalités sociales et le sous-financement, particulièrement dans le logement et la santé mentale. Mais surtout n'oublions jamais que seule la compassion humaine et les gestes sincères peuvent faire la différence, car rares sont ceux qui choisissent la misère comme mode de vie. 😬

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On 2021-09-05 at 1:23 PM, acpnc said:

Absolument toutes les grandes villes du monde ont leurs secteurs problématiques composés du même type de personnes plus ou moins recommandables. C'est un phénomène de société, pas de quartier. Délogez-les et ils réapparaitront ailleurs dans le voisinage, parce que justement le coeur des villes et leur anonymat se prêtent mieux qu'ailleurs à leur concentration. Ici aussi c'est une question de marché car les opportunités sont plus nombreuses dans les villes-centre, où les consommateurs de toutes sortes ne manquent pas. On doit donc malheureusement composer avec cette triste réalité qui n'est d'ailleurs pas nouvelle et qui se perpétuera tant que la marginalité et la délinquance se nourriront des inégalités sociales.

Alors pas besoin d'être sur place pour bien comprendre la situation, mes années d'expérience en tant que citadin, mes multiples sources d'information et mes nombreux voyages à travers le monde, m'ont clairement démontré l'universalité plus ou moins répandue de l'indigence humaine. Tu seras surpris que même dans ma coquette petite ville de Baie St-Paul, il y a des sans-abris et une petite criminalité bien discrète. Parce qu'ici aussi la vraie pauvreté (pas seulement matérielle) côtoie la richesse.

Étant personnellement féru d'histoire, on voit bien que la misère humaine a toujours été le lot de nos sociétés, la violence omniprésente et le brigandage une forme de survie que pratiquaient les innombrables misérables. Seulement à l'époque les inégalités sociales étaient bien pires qu'aujourd'hui, dans un monde où l'injustice, les mauvais traitements et les exécutions sommaires étaient monnaie courante. Mais comment arrêter ce cercle vicieux si on ne s'attaque pas à sa vraie source?

D'ailleurs pas besoin d'aller dans le passé, puiqu'aujourd'hui la vie moderne dans certains pays n'est pas autrement que dans ces temps supposément révolus. Ne produit-on pas actuellement des centaines de millions de réfugiés avec nos guerres, la pauvreté abjecte, la corruption et les dictatures? 

Ce qui m'amène a relativiser notre situation. Considérons-nous comme ultra chanceux d'être nés dans un pays parmi les plus choyés de la planète. Bien sûr le travail ne sera jamais terminé, c'est pour cela qu'il faut sans cesse lutter contre les inégalités sociales et le sous-financement, particulièrement dans le logement et la santé mentale. Mais surtout n'oublions jamais que seule la compassion humaine et les gestes sincères peuvent faire la différence, car rares sont ceux qui choisissent la misère comme mode de vie. 😬

Rien à redire. 👏👏👏

...Excepté que je souhaiterais voir plus de gens aussi ouverts d'esprit que toi se présenter en politique! ✌

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  • 1 année plus tard...

L’opposition à Montréal demande la fin de l’immobilisme concernant l’Îlot Voyageur

L’opposition à Montréal exige un plan clair pour le développement de logements sur le site de l’Îlot Voyageur d’ici 2023, un projet qui piétine depuis des années. 

«C’est un site à très haut potentiel, notamment en termes de développement de logement social, abordable et étudiant. Or, comme on peut encore le constater, on se trouve devant un cadavre urbain», a dénoncé Julien Hénault-Ratelle, conseiller municipal pour Ensemble Montréal.

Le parti déposera une motion à ce propos lors du prochain conseil municipal afin de forcer l’administration Plante à prendre position sur le projet.

En 2018, la Ville a acquis l’immeuble des mains du gouvernement du Québec, pour la somme de 18 millions $. Le bâtiment, situé à l'intersection de la rue Berri et du boulevard De Maisonneuve est à l'abandon depuis des années.

À l’époque, la mairesse Valérie Plante indiquait vouloir trouver une «solution rapide» alors que l’endroit était à l’abandon et que la police y était «toujours appelée».

Depuis, malgré quelques consultations, rien ne semble avoir évolué dans le dossier, selon l’opposition officielle, qui dénonce un manque d’action «concrète».

«On est cinq ans après. Le très vite n’est jamais arrivé. On voit toujours que la cicatrice est là et qu’elle est frappante. C’est dommage quand on fait face à une crise du logement», s’est désolé Alba Zuniga Ramos, conseillère municipale pour Ensemble Montréal.

En 2005, l’UQAM a lancé le projet immobilier de l’Îlot Voyageur, qui devait s’autofinancer. Les coûts ont toutefois explosé, le projet devenant un gouffre financier. Le gouvernement a dû y injecter 200 millions $ pour éviter à l’université de faire faillite.

En 2010, le gouvernement a décidé de racheter l’immeuble, qu’il a par la suite vendu à la Ville de Montréal en 2018.

https://www.tvanouvelles.ca/2022/09/12/lopposition-a-montreal-demande-la-fin-de-limmobilisme-concernant-lilot-voyageur

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Le 2021-09-05 à 13:23, acpnc a dit :

Absolument toutes les grandes villes du monde ont leurs secteurs problématiques composés du même type de personnes plus ou moins recommandables. C'est un phénomène de société, pas de quartier. Délogez-les et ils réapparaitront ailleurs dans le voisinage, parce que justement le coeur des villes et leur anonymat se prêtent mieux qu'ailleurs à leur concentration. Ici aussi c'est une question de marché car les opportunités sont plus nombreuses dans les villes-centre, où les consommateurs de toutes sortes ne manquent pas. On doit donc malheureusement composer avec cette triste réalité qui n'est d'ailleurs pas nouvelle et qui se perpétuera tant que la marginalité et la délinquance se nourriront des inégalités sociales.

Alors pas besoin d'être sur place pour bien comprendre la situation, mes années d'expérience en tant que citadin, mes multiples sources d'information et mes nombreux voyages à travers le monde, m'ont clairement démontré l'universalité plus ou moins répandue de l'indigence humaine. Tu seras surpris que même dans ma coquette petite ville de Baie St-Paul, il y a des sans-abris et une petite criminalité bien discrète. Parce qu'ici aussi la vraie pauvreté (pas seulement matérielle) côtoie la richesse.

Étant personnellement féru d'histoire, on voit bien que la misère humaine a toujours été le lot de nos sociétés, la violence omniprésente et le brigandage une forme de survie que pratiquaient les innombrables misérables. Seulement à l'époque les inégalités sociales étaient bien pires qu'aujourd'hui, dans un monde où l'injustice, les mauvais traitements et les exécutions sommaires étaient monnaie courante. Mais comment arrêter ce cercle vicieux si on ne s'attaque pas à sa vraie source?

D'ailleurs pas besoin d'aller dans le passé, puiqu'aujourd'hui la vie moderne dans certains pays n'est pas autrement que dans ces temps supposément révolus. Ne produit-on pas actuellement des centaines de millions de réfugiés avec nos guerres, la pauvreté abjecte, la corruption et les dictatures? 

Ce qui m'amène a relativiser notre situation. Considérons-nous comme ultra chanceux d'être nés dans un pays parmi les plus choyés de la planète. Bien sûr le travail ne sera jamais terminé, c'est pour cela qu'il faut sans cesse lutter contre les inégalités sociales et le sous-financement, particulièrement dans le logement et la santé mentale. Mais surtout n'oublions jamais que seule la compassion humaine et les gestes sincères peuvent faire la différence, car rares sont ceux qui choisissent la misère comme mode de vie. 😬

Petit pavé dans la marre.

La présence de l'indigence autour de Berri-de-Montigny ne se compare pas au bloc F. de BSP. Je ne suis pas sûr que vous diriez la même chose si le parvis de l'église, le devant du Café des Artistes, les environs du Monton Noir ou tout autre magnifique lieu de BSP offraient le même spectacle que les alentours de la Place Émilie-Gamelin où l'on retrouve tout de même une université.

Autre point, Montréal a une réputation d'accueil des SDF qui en fait une destination panaméricaine comme San Francisco, par exemple. Et, les policiers ont eu tendance à les déplacer de Westmount, par exemple, vers le Village au nom de la dite tolérance!

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Voici ma tentative d'aborder le sujet, en séparant 1) le phénomène des SDF et autres "indigents" (quel mot pieux!) en général, et 2) le redéveloppement encore retardé du site de l'Îlot Voyageur sud.  

1) Il est en effet généralisé dans la plupart des grandes villes du monde; ses causes sont assez bien documentées, mais ses solutions demeurent élusives jusqu'à présent, malgré des efforts non négligeables dans certaines villes. 

2) Compte tenu des caractéristiques du site, soit d'une part sa localisation "stratégique" en termes d'accès par TEC (trois lignes de métro y convergent) et sa centralité, et d'autre part la présence à ses abords d'un grand nombre de SDF et autres "indigents", on peut regretter qu'il ne sert pas à accueillir un immeuble "conséquent", mais il faut se résigner à lui réserver des fonctions plus modestes -- car ses alentours ne sont pas propices à mieux, et notamment à attirer des investissements privés.  Les implications devraient être claires: seul un investissement 100% public est concevable, il est inutile et vain de rechercher des "partenariats" avec le privé; le remplacement de la structure actuelle, qui est franchement repoussante, doit viser d'abord  à améliorer l'aspect visuel des environs, sans pour autant en faire un point de mire; autrement dit, une structure modeste, peu coûteuse mais respectable, conviendrait parfaitement; pas besoin alors de quêter des fonds de sources autres que la municipalité (et pas besoin de repousser la réalisation d'un projet à toujours plus tard).  

Soit dit en passant: le projet avorté de l'UQÀM n'aurait pas, s'il était allé de l'avant, réglé ni même atténué le phénomène des SDF dans le quartier: ils se seraient simplement déplacés un peu plus loin.  

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L’opposition demande à la Ville des logements étudiants dans l’Îlot Voyageur

L'Îlot Voyageur est situé au coin de la rue Berri et du boulevard De Maisonneuve Est. Photo: Quentin Dufranne / Métro Média

 

https://journalmetro.com/actualites/montreal/2902838/lopposition-demande-ville-logements-etudiants-lilot-voyageur/

 

Quentin Dufranne

12 septembre 2022 à 12h11 - Mis à jour 12 septembre 2022 à 16h48 4 minutes de lecture

Ensemble Montréal souhaite que l’administration Plante développe des logements étudiants abordables et des logements sociaux dans la portion sud de l’Îlot Voyageur. L’opposition demande à la Ville la mise en place d’un plan de développement pour l’aménagement de ce projet d’ici 2023. Une motion sera déposée à cet effet au prochain conseil municipal.

Situé au coin de la rue Berri et du boulevard De Maisonneuve Est, l’Îlot Voyageur occupe une superficie d’environ 8500 m2. Selon l’opposition, le lieu pourrait accueillir 650 unités pour faire face à la crise du logement, laquelle touche notamment les étudiants.

«L’annonce qu’on fait aujourd’hui est pour dénoncer le statu quo et l’immobilisme de l’administration Plante dans le développement de ce site à très gros potentiel notamment pour la question du logement social et étudiant», explique le conseilleur de la Ville dans le district de Tétreaultville, Julien Hénault-Ratelle.

La Ville de Montréal a fait l’acquisition de la portion sud de l’Îlot Voyageur en 2018 auprès de Québec pour la somme de 18 M$. En 2019, elle avait mandaté la Société d’habitation et de développement de Montréal (SHDM) pour réaliser une étude de préfaisabilité. L’objectif était alors d’avoir une orientation quant au développement de ce projet.

L’opposition dénonce l’opacité de la Ville quant aux résultats de ladite étude. La Ville aurait refusé la demande d’accès à l’information de l’opposition, qui souhaitait connaître les conclusions de la SHDM.

«Cette étude-là n’est malheureusement pas publique et on refuse de nous la transmettre, explique Julien Hénault-Ratelle. On ne sait pas quelle est la vision qui va être préconisée par l’administration [Plante].»

Une «cicatrice» au cœur du Quartier latin

La conseillère de la Ville du district de Louis-Riel, Alba Zuniga Ramos a repris les mots qu’avait employés la mairesse en 2018 en qualifiant la partie sud de l’Îlot Voyageur de «cicatrice».

«Je pense que le mot qu’elle a utilisé est très exact, dit-elle. À l’époque, elle disait qu’il fallait agir très vite pour résoudre le problème. On est rendu ici presque cinq ans après puis le “très vite” n’est jamais arrivé, on voit toujours que la cicatrice est toujours là.»

L’Îlot Voyageur est un projet dans lequel nombre d’investisseurs ont laissé des plumes. En 2005, l’UQAM y a lancé un projet immobilier qui devait s’autofinancer. Le projet ayant connu de nombreux ratés, Québec avait dû couvrir une dette de 200 M$. L’édifice fut ensuite racheté en 2010 par la Société immobilière du Québec (SIQ). Cette dernière avait aussi perdu plus de 100 M$ dans le projet.

Trois ans plus tard, un groupe privé a fait l’acquisition de la partie nord de l’Îlot Voyageur. La portion sud avait alors été laissée à son sort avant que la Ville n’en fasse l’acquisition.

L’opposition dénonce aussi l’absence de construction de logements sociaux dans Ville-Marie depuis l’adoption en 2021 du Règlement pour une métropole mixte, alors que Valérie Plante en est la mairesse d’arrondissement. Depuis 2018, ce sont 176 unités de logements sociaux qui auraient vu le jour dans l’arrondissement.

Le cabinet de la mairesse explique que la motion proposée par l’opposition sera discutée lors du prochain conseil municipal.

«Nous sommes contents de voir que l’opposition se rallie derrière notre vision de logements sociaux, communautaires et étudiants dans l’arrondissement Ville-Marie, explique le cabinet de la mairesse Plante. Nous demeurons déterminés à développer l’offre de logements dans ce secteur, comme partout à Montréal».

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