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Îlot Voyageur Sud - ?? étages


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Il y a 11 heures, Nameless_1 a dit :

Sous PM, Îlot Sud va devenir une soupe populaire.. quelqu'un veut gager?

Le bâtiment est condamné et non sécuritaire, la seule partie encore utilisée est l'entrée du métro qui mériterait un refresh, même si ça impliquerait la démolition du bâtiment. Une partie du plancher c'était affaissé, la façade tombe littéralement en morceaux et c'est un long bâtiment fait en ''L'' donc non ''adapable'' pour ce genre d'usage, surtout qu'il faudrait y investir et ce serait juste un gouffre financier. 

  

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Il y a 21 heures, Dominic723 a dit :

Le bâtiment est condamné et non sécuritaire, la seule partie encore utilisée est l'entrée du métro qui mériterait un refresh, même si ça impliquerait la démolition du bâtiment. Une partie du plancher c'était affaissé, la façade tombe littéralement en morceaux et c'est un long bâtiment fait en ''L'' donc non ''adapable'' pour ce genre d'usage, surtout qu'il faudrait y investir et ce serait juste un gouffre financier. 

  

J'aimerais bien voir une référence officielle sur les problèmes mentionnés plus haut. Pourtant Aquilini a prétendu dans sa dernière intervention que c'était un problème de surface de logement, la Ville voulant des logements pour famille et eux des habitations plus petites et dont l'administration bloque la construction. À moins d'un avis contraire, on ne parle nulle part de problèmes de structure.

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Il y a 5 heures, acpnc a dit :

J'aimerais bien voir une référence officielle sur les problèmes mentionnés plus haut. Pourtant Aquilini a prétendu dans sa dernière intervention que c'était un problème de surface de logement, la Ville voulant des logements pour famille et eux des habitations plus petites et dont l'administration bloque la construction. À moins d'un avis contraire, on ne parle nulle part de problèmes de structure.

Le problème de bâtiment c'est pour l'ancien terminus sur l'îlot Sud, le problème entre la ville & Aquilini c'est pour la partie Nord. 

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Il y a 13 heures, KOOL a dit :

Pourquoi vouloir absolument faire des logements familiaux dans un quartier principalement fréquenté par des étudiants de l'UQAM et des itinérants   ?

Voilà un des problèmes de cet administration, soit son idéologie de mixité à tout prix. Vouloir des logements familiaux, je veux bien, il en faut et beaucoup à part ça. Mais il y a des endroits ou ce n'est pas très attrayant pour les familles, comme au Centre-Ville, dans le Village et ici dans le Quartier Latin. Ce quartier n'est pas approprié pour les familles et se borner à vouloir y construire des logements familiaux c'est simplement de bloquer le développement de ce quartier pour des raisons purement idéologique.

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Il y a 8 heures, Rocco a dit :

Exact, on parle ici de l'ancien terminus Voyageur en décrépitude et bolté de broche.

En décrépitude et bon pour la démolition. À une certaine époque, dans les années 90, le terminus Voyageur ça passait encore, mais là c'est une honte.

ET pas de logement familiaux à cet emplacement, de grâce. On n'élève pas une famille dans un endroit pareil ! Les familles à faibles revenus ont droit il me semble comme les familles mieux nanties à des espaces plus calmes et à de la verdure. Là on est carrément dans un îlot de chaleur, au milieu du trafic. Ce serait une connerie de fonctionnaire que d'autoriser ça !

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J'aime bien les familles, je veux bien que les familles aient accès à des logements convenables, mais il me faut souligner une fois de plus un phénomène très important qui doit se répercuter sur la construction des nouveaux logements.  Ce phénomène, c'est la réduction de la taille des ménages.  On ne peut pas passer à côté.  Déjà en 2011 au Canada, la proportion des ménages comptant seulement  une ou deux personnes dépassait 60%!  Quand on évalue les besoins présents et futurs de logements, on doit tenir compte du stock de logements existants et du nombre de nouveaux logements requis à différentes périodes dans le temps (futur), selon divers scénarios si l'on veut (par exemple croissance de la population totale, tendances quant à la taille des ménages).  

Dans un premier temps, je souhaiterais qu'une étude (détaillée) porte sur l'évolution de la densité d'occupation des logements existants.  Voici pourquoi: j'observe (et je ne suis certainement pas le seul) que des maisons et des logements de trois chambres et plus, qui avaient été originellement occupés par des familles avec enfants (2, 3, 4, plus les deux parents) ne comptent plus qu'une ou deux personnes, soit des couples dont les enfants sont partis, soit encore des  célibataires de tout âge qui valorisent de plus grans espaces.*  C'est le premier groupe (les personnes plus âgées) qui retient d'abord mon attention: plutôt tôt que tard, ces personnes (les baby boomers) quitteront leurs maisons/grands logements; ils sont  en plus grand nombre que les générations suivantes, et aussi (peut-être surtout), ce n'est qu'une partie (petite?) des personnes plus jeunes qui sont/seront intéressées par les maisons des plus vieux: ces deux facteurs mis ensemble nous assurent virtuellement qu'un nombre considérable de maisons et de grands logements seront disponibles sur le marché dans les prochaines années  --à un rythme accéléré pour au moins une génération (ce serait assez facile à quantifier en projetant la population par catégorie d'âge pour chacune des prochaines années).

On conçoit qu'une bonne partie de ces maisons et grands logements sont situés en banlieue (mais plus typiquement la banlieue rapprochée mieux desservie par le TEC), mais il y en a aussi beaucoup à Montréal, y compris dans les quartiers péricentraux  --en d'autres termes il y en aura pour tous les goûts.

Quelqu'un dira:  comment se fait-il alors qu'il y a une pénurie de logements familiaux à Montréal?  -- Je conviens que c'est vrai actuellement, mais je pense que cela changera bientôt, parce que le phénomène que j'ai décrit (les personnes âgées quittant leurs maisons/grands logements) n'a pas encore atteint sa pleine vitesse); mais ça viendra bientôt, vieillissement oblige.  

Il y a un autre phénomène pertinent qui mériterait notre attention.  On peut l'aborder de plusieurs façons. Posons la question suivante: comment se fait-il que des ménages qui n'ont plus besoin de grands espaces intérieurs ne quittent-ils pas leurs maisons/logements plus tôt?  Une partie de la réponse pourrait faire référence à un attachement sentimental à leur lieu actuel, mais une autre partie de la réponse, plus intéressante, peut se situer du côté des coûts comparatifs, au moins en ce qui a trait au marché locatif.  Comment cela?  -- A qualité égale (tous facteurs compris), le loyer d'un logement existant de longue date est nettement inférieur à celui d'un logement nouvellement construit.  Cela tient au fait que les augmentations permises de loyer sont "contrôlées", sont établies en fonction des augmentations de coûts supportés par les propriétaires (taxes municipales etc.), mais ne sont pas liées à la valeur de remplacement des immeubles loués.  Par conséquent, il y a un grand écart entre le loyer typique (moyen/médian, peu importe) d'un logement occupé depuis longtemps par le même locataire, et le loyer demandé pour un logement neuf (ou "très rénové") destiné à être loué à de nouveaux locataires. (en passant: ça désavantage fortement les nouveaux arrivants).  Dans ce contexte, on comprend facilement que des personnes âgées qui sont encore capables de "tenir maison" ont avantage à rester sur place le plus longtemps possible.  Le résultat?  -- De grands logements peu chers sont "sous-occupés", pendant que d'autres, souvent moins bien, sont surpeuplés.  

La solution proposée par l'administration municipale, notamment à Montréal mais pas seulement, consiste à subventionner directement ou indirectement** la construction de nouveaux logements pour les familles.  Malheureusement, le nombre qui peut/pourra être construit est/sera nettement insuffisant pour répondre aux besoins de tous.  Seuls quelques chanceux en profiteront.  La bonne nouvelle, si mes calculs approximatifs sont bons, c'est qu'un nombre de plus en plus important de maisons/grands logements se libéreront dans les prochaines années.

Il faudrait peut-être aussi repenser ce qu'on entend par "mixité".  On voudra sûrement éviter le genre de situation qui prévaut dans plusieurs autres grandes villes du monde, notamment très visiblement dans Silicon Valley, où le coût très excessif des logements force des milliers de personnes, dont plusieurs ont pourtant des emplois pas trop mal rémunérés (même des enseignants!) à s'exiler dans des endroits très éloignés et/ou à partager leur logement avec des inconnus, voire même à vivre dans leur voiture... La "mixité" bien pensée, ça devrait peut-être vouloir dire que des personnes (y compris bien sûr des familles) à revenus modestes pourraient se loger à bon compte dans des endroits desservis efficacement par le TEC, leur permettant de se "mêler" au reste de la population pour leur travail leurs loisirs, leurs études etc.  Je ne vois absolument pas la nécessité que ces lieux soient situés dans les centre-villes où les prix sont naturellement très élevés.  D'ailleurs, la majorité des citoyens "ordinaires" n'y vivent pas non plus, et ça inclut même un grand nombre de personnes à revenus élevés qui préfèrent d'autres cieux pour leurs résidences.  Insister pour que les logements à prix abordables soient à tout prix construits au centre-ville ou à ses abords a l'inévitable conséquence de limiter leur nombre.  Que veut-on?  --Un symbole ou le bien-être du plus grand nombre? 

* Une manière instinctive mais très rapide d'observer cet élément du phénomène est de comparer la population totale des quartiers à prédominance résidentielle actuellement par rapport à il y a 50-60 ans: population en baisse malgré l'ajout net de nouveaux logements. 

** Un exemple de subvention "indirecte" est l'exigence faite aux promoteurs d'inclure des logements familiaux à prix abordables dans leurs projets immobiliers; un autre exemple est la vente de terrains constructibles à des prix inférieurs à la valeur  du marché, conditionnellement.   

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