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Îlot Voyageur Sud - ?? étages


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il y a 12 minutes, p_xavier a dit :

Les pubs pro-veganne à Berri-UQÀM sont plus offensantes que ça.

Citation

Stéphane Mailhiot, vice-président principal stratégie de marque chez Havas Montréal, souligne qu’il n’y a pas de point de milieu avec cette campagne. Soit on est très sensible à la cause, soit on est rebuté.

Ça m’a laissé indifférent, je dois être un outlier.

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3 minutes ago, mk.ndrsn said:

Ça m’a laissé indifférent, je dois être un outlier.

Bah, c'est aussi ça devenir vieux. Dans mon cas, je suis déconnecté et souvent dégouté par les causes émotives de la génération montante. Ce n'est pas nouveau non plus.

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Le 2019-09-13 à 09:15, Marc90 a dit :

Une étude de cette année qui amène un certain éclairage sur cette réaction d'urticaire propre aux mononcles face aux politiques progressistes - et écologiques : la peur que ce soit associé à un comportement féminin, et donc le rejet de ce comportement pour ne pas affecter leur image masculine hétéronormée. C'est assez fascinant comme lecture!  

https://link.springer.com/article/10.1007%2Fs11199-019-01061-9 

ET, à mon avis, pitoyable comme réaction!

Il y a 20 heures, jesseps a dit :

I think it is a great idea. I am surprised the city didn't ask FedEx, UPS and others to do the same.

I think they did, but Puro alone responded positively. But I could be wrong.

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Je crois que c'est une excellente idée. Mais laissons le nouveau service faire ses preuves et convaincre par l'exemple les autres entreprises de livraisons de se joindre, une fois le mouvement bien entamé. En effet si ça fonctionne, que les clients sont satisfaits, que les autorités le sont aussi, les autres voudront sûrement elles aussi être perçues comme ayant pris le virage vert. :yes: 

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57 minutes ago, acpnc said:

Je crois que c'est une excellente idée. Mais laissons le nouveau service faire ses preuves et convaincre par l'exemple les autres entreprises de livraisons de se joindre, une fois le mouvement bien entamé. En effet si ça fonctionne, que les clients sont satisfaits, que les autorités le sont aussi, les autres voudront sûrement elles aussi être perçues comme ayant pris le virage vert. :yes: 

Écoute, ça va tellement plus loin que du greenwashing d'image corporative! Purolator a déjà réalisé (idem pour UPS dans certaines villes, telles Portland, Oregon, puis Toronto, où elle teste aussi des vélos-cargo) que d'effectuer des livraisons via de micro-centres de distribution décentralisés puis un réseau cyclable généralement nettement plus fluide que le réseau routier central sauve amplement de temps à ses livreurs. Considérant que de tels "véhicules" coûtent des "pinottes" à acquérir, faire rouler puis entretenir, comparativement aux bons vieux camions Grummann que ces entreprises utilisent, on peut aisément concevoir que la profitabilité de telles opérations serait un argument de taille, bien avant l'image, pour restructurer le m.o. des livraisons en milieu fortement urbanisé. Mais si au final c'est plus écolo tout en diminuant la circulation de camions surdimensionnés, on y gagnera tous! ;)

Bref, le futur des livraisons de petits et moyens colis passera inévitablement par des solutions intermédiaires (entre les camions de taille moyenne puis les messagers à vélo avec sac à bandoulière): donc des vélos-cargo, mais aussi des camions compacts électriques pour les colis les plus lourds et d'autres types de marchandises.

Note: les pneus d'hiver pour vélos comportent des clous et permettent de rouler, freiner, virer, accélérer sur de la glace avec une aisance que peu d'automobilistes pourraient imaginer!

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Il y a 13 heures, FrancSoisD a dit :

Écoute, ça va tellement plus loin que du greenwashing d'image corporative! Purolator a déjà réalisé (idem pour UPS dans certaines villes, telles Portland, Oregon, puis Toronto, où elle teste aussi des vélos-cargo) que d'effectuer des livraisons via de micro-centres de distribution décentralisés puis un réseau cyclable généralement nettement plus fluide que le réseau routier central sauve amplement de temps à ses livreurs. Considérant que de tels "véhicules" coûtent des "pinottes" à acquérir, faire rouler puis entretenir, comparativement aux bons vieux camions Grummann que ces entreprises utilisent, on peut aisément concevoir que la profitabilité de telles opérations serait un argument de taille, bien avant l'image, pour restructurer le m.o. des livraisons en milieu fortement urbanisé. Mais si au final c'est plus écolo tout en diminuant la circulation de camions surdimensionnés, on y gagnera tous! ;)

Bref, le futur des livraisons de petits et moyens colis passera inévitablement par des solutions intermédiaires (entre les camions de taille moyenne puis les messagers à vélo avec sac à bandoulière): donc des vélos-cargo, mais aussi des camions compacts électriques pour les colis les plus lourds et d'autres types de marchandises.

Note: les pneus d'hiver pour vélos comportent des clous et permettent de rouler, freiner, virer, accélérer sur de la glace avec une aisance que peu d'automobilistes pourraient imaginer!

Merci pour ton commentaire, je vois tout ça d'un très bon oeil car je crois que c'est un pas (ou devrais-dire dire: un coup de roue) dans la bonne direction. :thumbsup:

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  • 1 mois plus tard...

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1377567/environnement-transport-colis-montreal-velo-ecologique

La Ville se réjouit du succès de son projet de livraison urbaine écologique

Radio-Canada

Publié à 18 h 56

Voilà deux mois que la Ville de Montréal a mis en place le projet de livraison urbaine écologique baptisé Colibri. Environ 5000 colis ont déjà été livrés à vélo et la Ville compte poursuivre dans cette voie.

L’objectif affiché est d’améliorer la qualité de vie dans le centre-ville en réduisant les impacts environnementaux causés par les camions de livraison.

Les livreurs ont pris leurs quartiers entre les rues Saint-Hubert et Berri, dans le stationnement où circulaient des centaines d'autocars jusqu'en 2011.

Le principe est le suivant : les camions de livraison des entreprises partenaires comme Purolator, Chasseurs Courrier ou encore La roue libre déposent leurs colis sur ce site, ce qui écourte leur itinéraire initial. Puis, des vélos cargos électriques livrent la marchandise directement chez les destinataires.

C’est un non-sens que tout le monde se fasse livrer toutes ses petites choses à sa porte parce que c'est cela qui crée le chaos dans la ville avec tous les camions partout, appuie Cédric Chaperon, le directeur de La roue libre.

Ce qui coûte cher lors d’une livraison, c’est le dernier kilomètre, explique la Ville. Il s'élève « entre 30 et 60 % du coût total de logistique » alors qu’il ne représente que « la plus petite distance », selon une étude menée par Transportation Research Procedia.

Le choix du vélo comme moyen de livraison n’est pas anodin. En plus d’être écologique, la directrice des opérations de LVM Livraison, Marie Baudinet, estime qu’en vélo on est beaucoup plus compétitif que n'importe qui d'autre sur ce genre de rues très étroites, où il n'y a pas forcément de places de stationnement, beaucoup de congestion, des routes fermées, etc. On est imbattables.

D’après Transportation Research Procedia, l’utilisation de tel système de livraison urbaine peut générer des économies de 12 à 14 %.

Passer à la vitesse supérieure

Le projet semble si bien fonctionner, que son responsable au comité exécutif de la Ville, Robert Beaudry, envisage une prochaine étape pour réduire davantage la congestion au centre-ville.

Il souhaite que des casiers avec multicompartiments électroniques, dans lesquels les gens peuvent se faire livrer, soient installés près du lieu de travail. Cela permettrait d’éviter que le camion soit sur les quatre flashers parce que le livreur monte jusqu'au 32e étage, revient parce que la personne n'est pas là, revient avec la machine.

Si on avait des points de chute disséminés partout dans la ville, on demanderait juste aux gens de marcher quelques mètres de plus pour aller dans un endroit où tout serait entreposé, détaille encore Cédric Chaperon.

Avec les informations de Benoit Chapdelaine

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Des décisions sensées qui améliorent la qualité de vie de tout le monde et qui font économiser temps et énergie. Amenez-en des idées progressistes de cette nature, qui s'inscrivent parfaitement dans l'esprit du développement durable.:thumbsup:

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  • 2 mois plus tard...
Le 2019-08-09 à 09:16, Rantanplan a dit :

( btw je fais du vélo à l'année longue) un vélo tout seul c'est faisable en hiver, mais un vélo cargo avec plein de marchandises c'est une autre histoire. Avec le froid les batteries tiendront tout simplement pas, même les Tesla perdent de l'autonomie durant l'hiver. Je vois très mal un vélo cargo monter la cote Berri avec les journées où la chaussée est glissante. Sans oublier les vents forts en hiver etc etc, donc ça ne sera pas efficace comme projet pilote à moins d'avoir des petit camion de ce style.  

https://www.journaldemontreal.com/2020/01/20/livraison-de-colis--les-velos-cargos-freines-par-le-froid

Bon vous voyez ce que je disais par rapport à cette bêtise l'été passé, Montréal durant l'été devient schizophrène, elle pense qu'elle est Los Angles et commence à faire des projet à gauche et à droite qui ont une durée de vie de 2 mois et 24 jours. Oubliez les vélos pour livrer la marchandise optez donc pour des petits camions électriques à la place.  

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