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il y a 19 minutes, Windex a dit :

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A noter l'immense ilot de chaleur qu'était cette zone industrielle où la végétation est quasi absente et l'air sûrement largement vicié. Pas tout à fait ce que j'appellerais le bon vieux temps.

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28 minutes ago, acpnc said:

A noter l'immense ilot de chaleur qu'était cette zone industrielle où la végétation est quasi absente et l'air sûrement largement vicié. Pas tout à fait ce que j'appellerais le bon vieux temps.

Dire que Prével faisait des potagers là dessus l'an dernier!

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Il y a 2 heures, Rocco a dit :

Dire que Prével faisait des potagers là dessus l'an dernier!

C'était dans des pots évidemment! 

https://journalmetro.com/actualites/montreal/2343970/un-jardin-collectif-sur-lancien-site-de-cavalia/

3 juillet 2019 | mise à jour le: 3 juillet 2019 à 14:47 Par:  Henri Ouellette Vézina

Métro

Un jardin collectif sur l’ancien site de Cavalia

Photo: Archives Métro

Un nouveau jardin collectif verra le jour le 17 juillet sur l’ancien site de Cavalia, au coin des rues Parthenais et Sainte-Catherine, avec pour objectif d’intégrer un espace communautaire sur le long-terme à un projet de développement immobilier dont la construction est imminente. Un projet qui «fera école» pour amener les promoteurs à impliquer davantage la population, croient les organisateurs.

«Notre but, c’est aussi de voir si l’utilisation de terrains vagues par la communauté peut devenir une stratégie à long terme pour développer Montréal, explique à Métro Jean-Philippe Vermette, le directeur général du Carrefour alimentaire Centre-Sud (CACS), qui pilote le projet.

Les terrains en question sont convoités depuis plusieurs années par divers promoteurs immobiliers, dont la Société de développement Bertone et, plus récemment, le groupe Prével, qui prépare «un projet mixte, inclusif et durable».

«Comme la construction des logements s’en vient très vite, on s’est assis avec le groupe Prével en se demandant si c’était possible d’avoir un projet transitoire sur le site», explique M. Vermette.

«Le jardin va être installé au fur et à mesure que les condos se construisent et, à terme, dans quatre ou cinq ans, on vise à avoir un espace collectif complet d’alimentation.» -Jean-Philippe Vermette

Dans la métropole, il s’agit de la toute première collaboration du genre entre un promoteur et un organisme communautaire.

«Souvent, on est davantage dans une lutte contre le promoteur, qui décide éventuellement d’expulser le groupe de citoyens. On n’est pas en mode guérilla aujourd’hui, on cherche à collaborer pour le mieux de tout le monde», poursuit le directeur général du CACS.

Celui-ci espère que l’initiative «inspire le milieu à consulter tous les acteurs».

Le groupe Prével étudie actuellement la possibilité de créer des installations vertes sur les toits et au sol, dans l’optique d’ériger un «verger collectif» qui serait ouvert à tous. Une centaine de smart pots faisant quatre pieds de diamètres ont déjà été installés sur le site.

«On est en train d’évaluer si la mixité se déroule bien. Souvent, on créé des espaces pour un seul type de population. C’est peut-être là, l’échec de nos développements. On veut faire autrement», indique Jean-Philippe Vermette.

Son collègue Arturo Neira, qui est chargé de projets au Carrefour alimentaire, abonde dans le même sens. Il estime qu’un projet du genre est unique à Montréal «du fait de la grandeur du jardin et des défis qu’il comporte: c’est-à-dire réussir à produire des aliments frais sans accès à une prise d’eau ni aucune électricité, simplement avec le soutien de notre communauté».

«Les gens qui viennent aux séances de jardinage collectif apprennent à produire en plus de pouvoir récolter le fruit de leur travail. Le jardin collectif sera un potager où on partage les tâches, l’espace et les récoltes», poursuit-il.

Du logement social pris en compte
La coprésidente du groupe Prével et auteure du livre Bâtir Montréal à la table 45, Laurence Vincent, assure que le projet immobilier répondra aux attentes des Montréalais dans son ensemble. «On veut des unités d’habitation, des copropriétés, du logement social, des bureaux, des commerces de proximité et des espaces verts», avait-elle expliqué à Métro au début de l’année, lors du lancement du projet.

Le promoteur immobilier assure qu’il respectera la capacité de payer des citoyens dans le processus, «afin de conserver [les logements] dans un état abordable».

De plus en plus de gens veulent vivre à Montréal, donc des projets qui dynamisent les secteurs, amènent des piétons, favorisent le développement actif, ça a un impact. Les gens s’enracinent, ils y développent un sentiment d’appartenance.» – Laurence Vincent

La Ville de Montréal, qui collabore également au projet de jardin collectif avec le groupe Prével et le CACS, se penchera dans les prochaines semaines sur le déploiement de ce nouvel espace communautaire. «On les sait très sensibles à ce genre de cause», avoue Jean-Philippe Vermette à ce sujet.

Non loin du pont Jacques-Cartier et de la station de métro Papineau, l’endroit est considéré comme l’un des plus grands sites toujours disponibles pour développer de potentiels projets immobiliers, en plein cœur du centre-ville. Le dernier projet – les Quais De Lorimier – a été abandonné l’an dernier.

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Repenser le logement post-pandémie

ILLUSTRATION FOURNIE PAR PRÉVEL

Prével commercialise actuellement le projet Esplanade Cartier au pied du pont Jacques-Cartier, dans le quartier Centre-Sud, au sud-est du centre-ville.

Des promoteurs adaptent leurs futurs logements à la nouvelle réalité dictée par la crise sanitaire.

Publié le 29 mai 2020 à 8h00


ANDRÉ DUBUC
LA PRESSE

Pour le promoteur Prével, actif dans les quartiers centraux, la solution passe par l’aménagement d’espaces communs qui permettent de respecter les règles de distanciation. Quant à Devimco, ses nouvelles constructions de tours de logements en banlieue incorporeront les services usuels d’une tour de bureaux, ce qui facilitera le télétravail.

La crise ne dure que depuis 75 jours, mais déjà les promoteurs sont retournés à la table à dessin. « Évidemment, cette crise inédite nous a obligés à nous pencher sur nos produits », dit, dans un entretien, Laurence Vincent, coprésidente de Prével.

PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

Laurence Vincent, coprésidente de Prével

Sa société commercialise actuellement le projet Esplanade Cartier au pied du pont Jacques-Cartier, dans le quartier Centre-Sud, au sud-est du centre-ville.

Dans les dernières années, ce promoteur, qui se spécialise dans les ensembles destinés aux accédants à la propriété, a surmonté le défi de l’abordabilité en construisant des logements plus petits. En échange, les acheteurs profitent d’espaces communs plus généreux.

Toutes choses étant égales par ailleurs, un logement d’une chambre coûte moins cher qu’un quatre et demie.

Des balcons plus vastes

Ce compromis sur la taille du logement est toutefois lourd de conséquences en période de confinement. Y aura-t-il encore une demande pour des logements de moins de 500 pieds carrés ? Mme Vincent n’en doute absolument pas, mais l’accès à l’extérieur gagne en importance. « À l’Esplanade Cartier, nos plans prévoyaient déjà des coursives plus grandes et plus larges que le traditionnel balcon. Cela permet un accès privé à l’extérieur intéressant. »

Quant aux espaces communs intérieurs et extérieurs, ils doivent être repensés pour qu’ils puissent encore favoriser les rapports entre les gens tout en respectant la règle des deux mètres.

« Les espaces verts deviennent précieux pour permettre aux résidants de profiter de l’extérieur en sécurité, dit Mme Vincent. C’est le cas dans nos projets Quartier Général, dans la Petite-Bourgogne, et Esplanade Cartier. En plus, on y intègre l’agriculture urbaine, [ce qui procure] un sentiment de sécurité alimentaire quand la ville au complet doit se confiner. »

Dans le même ordre d’idées, les complexes signés Prével incorporent des locaux commerciaux au rez-de-chaussée occupés par des commerces de proximité et des artisans locaux. Les copropriétaires ont pratiquement tout sur place pour combler leurs besoins courants. Laurence Vincent se réjouit d’ailleurs de l’engouement à l’égard de l’achat local. Un mouvement susceptible, selon elle, de dynamiser les noyaux de quartiers, les rues marchandes, l’ADN des quartiers montréalais.

Autre phénomène découlant de la pandémie, la popularité du télétravail a attiré l’attention de Mme Vincent. D’après elle, la tendance va rester et de façon plus prononcée qu’avant la crise. « Nous sommes déjà à l’œuvre pour que nos produits puissent répondre à ce besoin », fait-elle savoir.

Parlant de produits, Prével est en période de vente pour l’Esplanade Cartier et le Quartier Général. Au Quartier Général, il reste quelques logements à vendre dans la phase un. À l’Esplanade Cartier, la première phase s’est rapidement écoulée avant la pandémie. Depuis, les logements de la deuxième phase sont disponibles. Le rythme d’écoulement, exceptionnel avant la COVID-19, est revenu à la normale.

« Avant la crise, la demande excédait l’offre, souligne Mme Vincent. Le marché va se stabiliser, sans doute. Je demeure optimiste pour l’avenir. L’habitation reste un besoin fondamental. »

Des locaux de cotravail dans les tours d’habitation

Le télétravail a inspiré Devimco. La semaine dernière, Devimco soulignait la signature d’une entente avec la Ville de Longueuil concernant la construction de quatre tours d’habitation « qualité condo » d’un total de 1200 logements autour de l’édicule actuel du métro.

« Nos tours d’habitation seront des projets hybrides », a expliqué Serge Goulet, président de Devimco, lors d’une visioconférence tenue la semaine dernière. Il prévoit en effet d’équiper ses tours résidentielles des services que l’on trouve dans une tour de bureaux, dont des locaux de cotravail [coworking].

Le bureau à domicile est en effet devenu un incontournable. À l’Agence Six, qui se spécialise dans la vente de condos neufs, les plans des logements ont été ajustés en conséquence. Ce fut le cas notamment au Sir John du Groupe Bertone, coin Langelier et Sherbrooke. « Le simple fait d’ajouter un espace bureau dans les plans de nos logements, même ceux d’une seule chambre, a suscité une belle réception de la part de la clientèle », confie Elian Sanchez, président et associé.

https://www.lapresse.ca/affaires/202005/29/01-5275491-repenser-le-logement-post-pandemie.php?fbclid=IwAR0onUQ-DE9xihxG6q3QEXHB6Ksr1iUh7h4vFLGRVF-f37CJSE0nzUSYRS8

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En réponse à l'article de Dubuc de La Presse, il ne faudrait pas croire que la pandémie durera tout le temps. Alors l'idée de distanciation de 2 mètres dans certains locaux communs m'apparait peu pertinente pour le long terme. Cependant celle de réserver des espaces pour le télé-travail est une excellente idée, puisqu'on peut supposer que c'est une mesure qui s'installera à demeure. En ce qui a trait au plus grands balcons, pandémie ou pas ils seront certainement plus appréciés, mais il faudra y mettre le prix. 

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