Aller au contenu

Solargise - Une usine et 1000 emplois sur le golf d'Anjou?


acpnc

Messages recommendés

il y a 14 minutes, vincethewipet a dit :

Ce serait une ingérence crasse de la part du gouvernement. Les programmes de subvention du gouvernement ne sont pas dépendants de ce genre de directives précises dans le champ de compétence des villes. Ce serait aussi absurdement hypocrite de la part de Québec, qui lutte farouchement contre toute ingérence du fédéral dans la façon de dépenser une subvention fédérale. 

À quoi bon avoir des paliers de gouvernement si l'un et l'autre impose sa loi dans le champ de compétence des autres avec des méthodes mesquines. Les décisions démocratique de tous les ordres sont légitimes dans leur sphère respective. 

Mais allons-y par cette logique, et retirons toutes les subventions des banlieues qui n'ont pas réussi à attirer ce projet, s'il se fait à Montréal ;).

Mais en bout de ligne, on s'inquiète franchement pour rien à mon avis. Personnellement je crois que la ville va tenter d'intégrer ce projet dans un optique de verdissement pour le secteur. C'est juste normal pour la ville, qui avait jusqu'à présent autre chose en tête pour le terrain, d'analyser le tout comme du monde. Le contraire serait d'abandonner ses projets publics pour n'importe quoi sans promesse ni garantie. Tant qu'à moi, ce serait ça l'incompétence. Si la ville abandonne un projet antérieur qui est parfaitement valide, faut que ce soit pour une bonne raison solide. À mon avis ce projet l'est, mais le projet doit juste faire son petit bout de chemin normal auprès des autorités.

Faut juste respirer par le nez. La ville n'a pas à faire la meneuse de claque publiquement non plus.

Au Québec, on s'attend trop à tout recevoir "tout cuit dans le bec" sans faire d'effort.  On veut des subventions, mais on ne veut pas faire de sacrifices pour qu'une usine s'installe.  Ces subventions sont payés par les travailleurs, et l'usine permettra à des travailleurs d'avoir un emploi.

On ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs.  Il y a des impondérables en économie.  On veut des emplois, on veut les revenus de ces emplois, mais il faut les installer là où ils sont profitables.

Bloquer cette usine et continuer à espérer que les gouvernements supérieurs nous sortent du trouble continuellement est semblable à quelqu'un qui s'attend à ce que le gouvernement lui paye tout mais qui refuse de travailler parce que c'est trop dur...  Comme je l'ai déjà mentionné , on ne parle pas d'une usine d'armes chimiques qui s'installerait dans un quartier résidentiel, mais d'une usine de technologie verte qui veut s'installer dans un quartier industriel, un quartier fait pour y loger des emplois.  En prime c'est sur l'île, ça combat donc l'étalement urbain.

  • Like 3
  • Thanks 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 18 minutes, ToxiK a dit :

Au Québec, on s'attend trop à tout recevoir "tout cuit dans le bec" sans faire d'effort.  On veut des subventions, mais on ne veut pas faire de sacrifices pour qu'une usine s'installe.  Ces subventions sont payés par les travailleurs, et l'usine permettra à des travailleurs d'avoir un emploi.

On ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs.  Il y a des impondérables en économie.  On veut des emplois, on veut les revenus de ces emplois, mais il faut les installer là où ils sont profitables.

Bloquer cette usine et continuer à espérer que les gouvernements supérieurs nous sortent du trouble continuellement est semblable à quelqu'un qui s'attend à ce que le gouvernement lui paye tout mais qui refuse de travailler parce que c'est trop dur...  Comme je l'ai déjà mentionné , on ne parle pas d'une usine d'armes chimiques qui s'installerait dans un quartier résidentiel, mais d'une usine de technologie verte qui veut s'installer dans un quartier industriel, un quartier fait pour y loger des emplois.  En prime c'est sur l'île, ça combat donc l'étalement urbain.

C'est un opinion complètement valide, et je crois aussi que c'est un bon projet, cette usine.

Mon point n'est que ce si la ville décide de plein droit de faire autrement, ce n'est absolument pas une raison de la punir financièrement. Dans une démocratie, on accepte que chaque palier puisse agir dans son champ de compétence. Certaines personnes vont vouloir mettre l'emphase sur le développement économique, d'autres sur la qualité de vie, la biodiversité et le verdissement d'un secteur établi. C'est la vie, et le gouvernement est élu pour prendre ces décisions. En bout de ligne, il y a des arguments pour les deux, surtout que Montréal n'est pas vraiment une championne de terrains naturels protégés.

C'est pas comme si Montréal avait passé les dernières décennies à tout refuser pour faire des parcs non plus. On a deux exemples en ce moment où des parcs sont potentiellement des bâtons dans les roues de développement. Je ne pense pas qu'on doit sauter à une généralisation pour cela. Il y a des dizaines de milliers d'entreprises sur l'île, et Montréal a travaillé très fort pour se réorienter dans les dernières années.

Aussi personne ne bloque ce projet en ce moment. Il est simplement étudié. Pour ma part je crois que c'est juste normal d'étudier le sérieux d'un projet avant d'annuler un projet public prévu. C'est faire les choses dans l'ordre. C'est mon opinion, mais si on doit accepter un projet économique sans garantie ni analyse automatiquement, on dérape par dessus la volonté démocratique et les bonnes pratiques de gestion publique.

Enfin, c'est une bonne occasion de faire un gros projet autrement, à mon avis, d'assurer un aménagement qui tend vers le vert, et qui s'intègre à proximité d'un milieu protégé. Je serais surpris, et sûrement déçu, si Projet Montréal ne le voyait pas comme ça en bout de ligne. Mais j'ai confiance que ça va aller dans ce sens. Faut pas se mettre à paniquer juste parce que la mairesse n'est pas en train de cirer les chaussures du promoteur.

  • Like 1
  • Thanks 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

2 hours ago, ToxiK said:

Ma crainte est que l'administration municipale préfère conserver l'absolue intégrité de son projet (encore théorique) de grand parc nature sur cet emplacement et refuse de laisser la moindre parcelle de terrain pour permettre à Solargise d'avoir un espace suffisant pour son usine.  Si le projet est annulé à cause de l'intégrisme de la ville, les ordres supérieurs de gouvernement pourraient (et devraient !) refuser de nouvelles subventions pour Montréal avec la logique que si la ville est assez riche pour refuser un projet de 1000 emplois dans une technologie de pointe et préfère se payer un parc, elle assez riche pour se passer de subventions à l'avenir.

J'espère que la ville étudie sérieusement ce projet, ce serait vraiment niaiseux de le laisser passer par idéologie ou par inaptitude. 

En tout cas, si tu étais un politicien, je voterais pour toi! Plein de bon sens! ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 
GRAND PARC-NATURE D’ANJOU ET USINE SOLARGISE
Édition du 20 juillet 2018, 
section DÉBATS, écran 4

FAIRE GAGNER L’EST DE MONTRÉAL DEUX FOIS

Plutôt que de tuer une bonne initiative pour en réaliser une autre, travaillons ensemble à concrétiser les deux projets.

LOUISE ROY
ANCIENNE PRÉSIDENTE, OFFICE DE CONSULTATION PUBLIQUE DE MONTRÉAL
LAURE WARIDEL, PROFESSEURE ASSOCIÉE AU CENTRE DE RECHERCHE INTERDISCIPLINAIRE SUR LE BIEN-ÊTRE, LA SANTÉ, LA SOCIÉTÉ ET L’ENVIRONNEMENT (CINBIOSE), UQAM

 

L’entreprise britannique Solargise a annoncé récemment son intention d’investir dans la construction d’une usine de panneaux solaires dans l’est de Montréal. Selon plusieurs intervenants économiques, la réalisation de ce projet pourrait « changer la donne » en positionnant stratégiquement ce secteur dans le domaine des technologies propres, en plus de créer des centaines d’emplois qualifiés dans un domaine innovant.

L’Est a été délaissé depuis trop longtemps par les pouvoirs publics. On y trouve une concentration gênante de pauvreté et de terrains industriels à l’abandon, une mauvaise desserte en transport collectif et un manque d’espaces naturels et récréatifs qui pourraient augmenter la qualité de vie des gens de l’est de l’île. L’Est a besoin d’emplois, de transports en commun et de grands parcs. Si tant est qu’il soit sérieux et qu’il tienne la route, le projet de Solargise est une excellente nouvelle tant pour l’est de la métropole que pour Montréal et le Québec tout entier.

Le hic, c’est que le terrain identifié par le promoteur, le site du golf d’Anjou, annexé au parc-nature du Bois-d’Anjou, est destiné à devenir l’un des plus grands parcs urbains de la région de Montréal. La Ville de Montréal a d’ailleurs créé une réserve foncière sur ce terrain et manifesté son intention d’en faire l’acquisition afin de créer le parc-nature d’Anjou. Cet espace vert de près de 120 hectares doit contribuer à rééquilibrer l’accès à la nature entre l’est et l’ouest de l’île de Montréal et à en améliorer la qualité de l’air. Ce projet est le fruit de plusieurs années de travail de la part d’une multitude d’intervenants ayant à cœur la santé publique, l’équité sociale et la qualité de l’environnement.

L’espérance de vie des gens de l’Est est de plusieurs années inférieure à la moyenne québécoise, notamment en raison de la mauvaise qualité de l’air. Les gens de l’Est méritent d’avoir accès à la même qualité d’environnement que ceux du centre et de l’ouest de l’île.

Nous croyons qu’il y a place pour les deux projets dans l’est de Montréal. Nous pouvons y accueillir à la fois un grand parc urbain et une usine de panneaux solaires. L’est de l’île recèle des millions de pieds carrés qui n’attendent qu’à être revitalisés. Sur le seul site de l’ancienne raffinerie Shell, près de 8 millions de pieds carrés (plus de 70 hectares) peuvent aujourd’hui accueillir des investissements qui permettront de verdir l’économie. Le potentiel de développement économique de l’Est est immense, sans pour autant gruger un pouce de l’actuel golf, ni compromettre la création du grand parc-nature d’Anjou.

LES INTERVENANTS ÉCONOMIQUES INTERPELLÉS

En échange de son implantation sur le site de l’ancien golf d’Anjou, Solargise, soutenue par la firme de relations publiques National, nous demande de sacrifier le projet de grand parc-nature dans l’Est. C’est une proposition qui tue un bon projet pour en faire passer un autre. Au cours des prochaines semaines, il nous faut travailler ensemble à la réalisation des deux projets. Nous devons trouver rapidement un autre terrain pour le projet Solargise dans l’est de Montréal que celui du golf d’Anjou, qui est déjà destiné à d’autres fins. Il y a de la place dans l’Est pour Solargise, et nous travaillerons avec les acteurs économiques afin d’accueillir cet investissement structurant pour tous. Nous demandons à la mairesse de Montréal, Valérie Plante, de réaffirmer son intention de créer un grand parc-nature dans l’Est avec la fusion du site de l’ancien golf au Bois-d’Anjou. Nous demandons du même souffle aux intervenants économiques de l’Est de proposer un terrain alternatif qui pourra accueillir l’investissement de Solargise.

Tous, intervenants économiques, sociaux, politiques et environnementaux, nous réclamons du vrai développement durable. À nous maintenant de réaliser ces deux projets de front. Ensemble, nous pouvons faire gagner l’est de Montréal deux fois plutôt qu’une.

* Autres signataires

Alexandre Beaudoin, biologiste et expert en développement durable, Jacques Brisson, professeur titulaire, Institut de recherche en biologie végétale, Université de Montréal, Sonia Côté, directrice par intérim, Solidarité Mercier-Est, Pierre-Alain Cotnoir, président, Maison de la coopération du Montréal métropolitain, Coralie Deny, directrice générale, Conseil régional de l’environnement de Montréal (CRE-Montréal), Gilles Dubois, président sortant, Conseil régional de l’environnement de Montréal (CRE-Montréal), Véronique Fournier, directrice générale, Centre d’écologie urbaine de Montréal (CEUM), Gareth Richardson, président, Coalition verte, Steven Guilbeault, cofondateur et directeur principal, Équiterre, Karel Mayrand, directeur pour le Québec et l’Atlantique, Fondation David Suzuki, Raymon Moquin, président, Collectif en environnement Mercier-Est, Simon Octeau, directeur par intérim, Regroupement des éco-quartiers, Stéphanie Pellerin, professeure associée, Institut de recherche en biologie végétale, Jardin botanique de Montréal, François Reeves, Cardiologue d’intervention, CHUM et Cité de la santé de Laval, Gareth Richardson, président, Coalition verte, Owen A. Rose, architecte, ROSE architecture, Charles Sainte-Marie, vice-président, Conseil central du Montréal métropolitain-CSN, Qussaï Samak, ancien commissaire, Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE), Jonathan Théoret, directeur, Groupe de recherche appliquée en macroécologie (GRAME), Alain Branchaud, directeur général, Société pour la nature et les parcs - division Québec

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je demeure convaincu que PM ne peut pas rester indifférent au développement économique puisque c'est le moteur qui créé la richesse collective. Donnons-leurs alors le temps de réagir et d'arriver à un consensus parmi les membres de l'équipe Plante avant de se prononcer publiquement.

A mon avis le pire scénario serait d'opposer les deux projets puisque chacun apporte un élément essentiel à la communauté. Donc à bien y réfléchir tentons de trouver un site équivalent dans le même secteur, quitte à le décontaminer pour offrir un emplacement de choix à l'entreprise et ainsi préserver l'intégrité de l'autre projet-nature.

L'important dans ce genre de dilemme, c'est de discuter sérieusement (et le plus tôt possible) avec l'entreprise afin de trouver un terrain d'entente qui fera l'affaire de tout le monde. Pas facile à première vue, mais il a toujours moyen de faire des compromis dans un sens ou dans l'autre quand la situation l'exige. Surtout que ce projet, contrairement au Royalmount, ne vient rien bousculer dans l'équilibre commercial et ne contribuera aucunement à saturer le secteur au niveau des transports.

Ainsi tel que présenté, j'y vois beaucoup d'avantages non négligeables et un beau défi pour l'administration municipale, autant sur le plan environnemental qu'économique. Finalement le développement durable doit évoluer en parallèle avec le développement économique parce que les deux sont en fait complémentaires. L'un contribue à la qualité de vie et l'autre à l'enrichissement collectif, deux objectifs indispensables si on veut assurer un avenir prospère à Montréal. 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 4 heures, vincethewipet a dit :

C'est un opinion complètement valide, et je crois aussi que c'est un bon projet, cette usine.

Mon point n'est que ce si la ville décide de plein droit de faire autrement, ce n'est absolument pas une raison de la punir financièrement. Dans une démocratie, on accepte que chaque palier puisse agir dans son champ de compétence. Certaines personnes vont vouloir mettre l'emphase sur le développement économique, d'autres sur la qualité de vie, la biodiversité et le verdissement d'un secteur établi. C'est la vie, et le gouvernement est élu pour prendre ces décisions. En bout de ligne, il y a des arguments pour les deux, surtout que Montréal n'est pas vraiment une championne de terrains naturels protégés.

C'est pas comme si Montréal avait passé les dernières décennies à tout refuser pour faire des parcs non plus. On a deux exemples en ce moment où des parcs sont potentiellement des bâtons dans les roues de développement. Je ne pense pas qu'on doit sauter à une généralisation pour cela. Il y a des dizaines de milliers d'entreprises sur l'île, et Montréal a travaillé très fort pour se réorienter dans les dernières années.

Aussi personne ne bloque ce projet en ce moment. Il est simplement étudié. Pour ma part je crois que c'est juste normal d'étudier le sérieux d'un projet avant d'annuler un projet public prévu. C'est faire les choses dans l'ordre. C'est mon opinion, mais si on doit accepter un projet économique sans garantie ni analyse automatiquement, on dérape par dessus la volonté démocratique et les bonnes pratiques de gestion publique.

Enfin, c'est une bonne occasion de faire un gros projet autrement, à mon avis, d'assurer un aménagement qui tend vers le vert, et qui s'intègre à proximité d'un milieu protégé. Je serais surpris, et sûrement déçu, si Projet Montréal ne le voyait pas comme ça en bout de ligne. Mais j'ai confiance que ça va aller dans ce sens. Faut pas se mettre à paniquer juste parce que la mairesse n'est pas en train de cirer les chaussures du promoteur.

Ce n'est pas une question de punir Montréal, c'est une question qu'il faut accepter les conséquences de ses décisions.  Si projet Montréal fait échouer l'usine de Solargise parce qu'ils veulent garder 100 % du golf pour leur projet de parc, pourquoi devraient-ils s'attendre à pouvoir quémander des subventions pour des projets qu'ils auraient pu financer avec les retombées de l'usine (sans compter que Québec ne profitera pas des retombées si le projet s'en va en Ontario et n'aura donc pas plus d'argent à donner à Montréal).

Personnellement, je crois qu'il y a de la place pour tout le monde sur ce terrain, si on est pragmatique et qu'on ne tombe pas dans l'idéologie aveugle.  Je crois que ce projet va être accepté par la ville, cependant je n'en ai pas la certitude.  Il n'y a pas si longtemps, il aurait été inconcevable qu'un tel projet puisse être refusé.  C'est une usine moderne, dans un domaine d'avenir et écologique et qu embauchera des centaines de travailleurs bien payés.  Et en prime, ce n'est pas un casino !  C'est exactement le genre de projet d'usine que la gauche comme Projet Montréal exige quand une entreprise plus "méchante" veut faire quelque-chose (un pipeline, par exemple).  Et là, on pourrait quand même dire non?  Ce serait ridicule.  Encore plus que pour le projet de Cap Nature qui est un projet résidentiel de bonne densité, à proximité d'un (futur) axe de transport en commun et qui combattrait l'étalement urbain, mais qu'on refuse pour ne pas rapetisser un projet de parc.  Là aussi, il y aurait eu de la place pour tout le monde.  Je crains que dans l'échelle de Projet Montréal, ne pas céder un pouce carré d'un éventuel parc soit plus important que de créer 1000 emplois dans un secteur d'avenir, dans un domaine écologique et dans un milieu qui a besoin de ces emplois.

J'espère quand même que le pragmatisme va l'emporter.

Il y a 3 heures, Habsfan a dit :

En tout cas, si tu étais un politicien, je voterais pour toi! Plein de bon sens?

C'est peut-être pour ça que je ne suis pas un politicien...   :P

Il y a 1 heure, mark_ac a dit :

LOL!! The people signing that piece are really credible. biologist/union people/environmentalists etc. These people could effectively kill the project that would put 1,000 people to work. 

We always need the people with no skin in the game to give their 2 cents. Pauvre MOntreal.

Hey, you are back !  First hint of something that could go wrong and you react.  I was fearing that all the good news in Montréal had sent you into a depression...

:P

  • Like 3
  • Thanks 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je suis pour l'établissement de l'usine mais il y a quelque chose que je ne comprend pas dans cet histoire.

 

Pourquoi ce terrain en particulier ? Pourquoi pas sur la rive sud? La ou le réseau de transport est peu être nous  égorger lorsqu'il est question d'exporter vers d'autre marché. Est ce le seul terrain suffisamment grand pour acceuillir l'usine? Est ce des relation du propriétaire du golf qui préfèrerais vendre son terrain à un meilleur prix qu'à la ville de Montréal

 

L'usine sera certainement un important moteur économique qui aura des retombées pour tout le Québec.

 

Et aussi, pourquoi pas un toit vert ? Ça continuerait la verdure du parc !

On dit que la différence entre une ville comme Montréal est qu'ici on dit non et on met des bâtons dans les roues tandis que dans une ville comme Copenhague, on dit peut être mais il faudra améliorer ci et ça ! On pousse les développeurs à faire le meilleurs projet possible. 

 

C'est le genre de mentalité qu'on a besoin. Ça ne ferait pas seulement du bien dans ce projet, mais pour toute la ville! (Et surtout pour l'architecture!)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 5 minutes, Davidbourque a dit :

Je suis pour l'établissement de l'usine mais il y a quelque chose que je ne comprend pas dans cet histoire.

Pourquoi ce terrain en particulier ? Pourquoi pas sur la rive sud? La ou le réseau de transport est peu être nous  égorger lorsqu'il est question d'exporter vers d'autre marché. Est ce le seul terrain suffisamment grand pour acceuillir l'usine? Est ce des relation du propriétaire du golf qui préfèrerais vendre son terrain à un meilleur prix qu'à la ville de Montréal

Ils ont certainement fait leurs études avec leur propre échelle de critères pour en arriver avec ce terrain. On peut spéculer pendant 10 pages, la vérité est entre leurs mains, d'après leurs études. Une des raison qu'il me semble avoir entendu était d'avoir un lien ferroviaire direct avec le port pour exporter la production.

  • Like 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.




×
×
  • Créer...