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Montréal, meilleure croissance de l’emploi en 2017 parmi les 20 plus grandes métropoles du Canada et des États-Unis


_mtler_

Messages recommendés

il y a 17 minutes, mark_ac a dit :

Very good news. I want to see this trend over the medium-term and ensure that a 1 year statistical anomaly issue is not the case here.

Moi aussi (je partage cet avis).  En attendant, puisqu'on ne peut pas prédire l'avenir, on peut au moins consulter les statistiques des dernières années et voir si le gain observé en 2017 n'est que du rattrapage ou si c'est l'accélération d'une tendance déjà amorcée.  

Ce que je sais par expérience, c'est que dans la masse des statistiques disponibles et des analyses/compositions qu'on peut en faire, il est souvent possible d'extraire celles qui nous font paraître sous le meilleur jour.

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Il y a 5 heures, franktko a dit :

Faites attention à jubiler sur ces résultats - c'est une très bonne nouvelle bien sûr, mais ce sont des pourcentages. Il y a quand même eu plus de création d'emplois à Toronto en chiffres absoluts.

Ben non, faut compter... 

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Il y a 6 heures, franktko a dit :

Faites attention à jubiler sur ces résultats - c'est une très bonne nouvelle bien sûr, mais ce sont des pourcentages. Il y a quand même eu plus de création d'emplois à Toronto en chiffres absoluts.

C'est comme quand on voyait les chiffres d'augmentation des populations il y a quelques années: à Calgary, la population avait un taux de croissance beaucoup plus élevé qu'à Montréal, mais en bout de ligne, d'une année à l'autre, l'écart de la population totale entre les deux villes avait quand même augmenté pour Montréal... 

De même, si une des villes avait eu une très mauvaise année précédente, elle serait largement en tête de ce palmarès avec une croissance modeste de son emploi pour l'année courante...

74600 pour Toronto contre 74900 pour Montréal donc une avance de 300 emplois pour Montreal en valeur absolue.

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Il y a 10 heures, Normand Hamel a dit :

« Je suis ces données depuis une quinzaine d'années, et Montréal est généralement dans le milieu ou le bas du classement », note l'économiste en chef de Montréal International, Christian Bernard.

Moi j'ai commencé à les suivre attentivement à partir de 2007. Et depuis ce temp-là je note une tendance positive pour l'ensemble de l'économie du Québec, qui jusqu'à récemment n'était malheureusement pas reflétée dans l'économie de Montréal.

Cependant, depuis au moins deux ans maintenant il se passe quelque chose d'étonnant à Montréal, et l'ascension de la ville est tout simplement fulgurante. On dirait que tout arrive en même temps.

Malgré un taux de chômage très bas au Québec le taux de chômage restait quand même élevé à Montréal jusqu'à récemment. Puis soudainement il est tombé en chute libre. Toutes les données, non seulement celles concernant le chômage, pointent présentement dans la même direction: vers le haut.

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Ce sont tous de très bonnes nouvelles! Je peux vous dire que c'est la même chose dans le domaine de l'immobilier commercial. Le marché est très "hot" présentement! Des immeubles qui avaient des taux de vacance de 30 et 40% il y a à peine 8 mois ont maintenant des taux de vacance sous les 10%!

Mon plus gros souhait c'Est que cette tendance puisse continuer pour les 5 à 7 prochaines années. Ça ferait le plus grand bien pour la ville et la province et ça aiderait à changer la perception que Montréal n'est pas une ville "on the rise"!

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Le 2018-06-20 à 22:13, Normand Hamel a dit :

En espérant que ton message soit entendu par la population avant le 1er octobre prochain.

Sous-entendu: afin que le PLQ soit reporté au pouvoir majoritairement.

Dans cete hypothèse, il sera intéressant d'observer l'évolution de l'économie du Québec pour la période du prochain mandat de quatre ans.  Le prochain gouvernement, qu'il soit du PLQ ou d'un autre parti politique, partira certainement du bon pied, notamment en termes budgétaires, mais aussi du côté de l'élan actuel de l'économie.  Mais dans l'éventualité d'une détérioration de la conjoncture économique mondiale --qui affecterait inévitablement le Québec,  est-ce qu'on blâmerait le PLQ (s'il est au pouvoir)?   Et n'irait-on pas jusqu'à porter un regard différent sur la période de prospérité précédente?  Ne finirait-on pas par comprendre que les gouvernements ne sont pas les seuls responsables de l'état de l'économie?  --et que par conséquent on ne saurait leur attribuer ni tout le mérite ni tout le blâme.

Ne serait-ce que pour «tester» l'hypothèse sus-mentionnée, je serais porté à partager votre souhait. 

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il y a 8 minutes, Né entre les rapides a dit :

Mais dans l'éventualité d'une détérioration de la conjoncture économique mondiale --qui affecterait inévitablement le Québec,  est-ce qu'on blâmerait le PLQ (s'il est au pouvoir)?   Et n'irait-on pas jusqu'à porter un regard différent sur la période de prospérité précédente?

D'abord je ne crois pas que le Québec serait aussi affecté que d'autres juridictions dans l'éventualité d'une crise économique, qui par ailleurs me paraît de plus en plus inévitable.

Premièrement, nous disposons de surplus importants, ainsi que de réserves, qui sont là justement pour palier en cas de ralentissement économique, donc d'une diminution des revenus pour l'État.

Là où je vois une différence c'est que si dans une telle éventualité c'était l'ADQ qui était au pouvoir il se pourrait bien qu'ils soient tentés de compenser pour la période d'austérité imposée par le PLQ et qu'ils se mettent à dépenser au même moment où l'économie s'apprêterait à connaître un ralentissement important.

Deuxièmement, lors de la récession précédente de 2009 le Québec s'en était relativement bien tiré parce qu'un hasard a voulu que le gouvernement ait juste avant lancé des travaux majeurs afin de remettre la province à niveau suite à une négligence qui aura durée 25 ans (1979-2004).

Or nous sommes en ce moment dans une nouvelle phase de travaux qui pourraient encore une fois mettre le Québec à l'abris lors d'une récession. Mais l'impact de celle-ci pourrait différer selon le gouvernement en place. Avec le PLQ je ne serais pas très inquiet. Par contre avec l'ADQ je ne sais pas à quoi m'attendre. À tort ou à raison Legault me fait peur et certains membre de son équipe n'ont rien de rassurant non plus. Par contre je reconnais que certains d'entre eux pourraient faire d'excellents ministres.

Je ne fais donc pas partie de ceux qui veulent du changement. Mais je disais la même chose lors de l'élection municipale. J'ai cependant été vite rassuré à l'effet que malgré le changement la prospérité semblait vouloir continuer.   

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