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Maestria - 57, 61 étages


mtlurb

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il y a 2 minutes, Rocco a dit :

Je me demande à quoi servent ces gradins qui sont sur une toiture... Il semble y avoir beaucoup de monde à cet endroit sur les rendus.

Je me pose la même question Rocco. D'autant plus que la vue sur l'action est obstruée en grande partie par les petites maisons.

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Si les petites maisons devant sont conservées, il faut trouver un moyen pour que leurs facades retrouvent au moins leurs caractéristiques d'origine (briques, pierres, parapet décoratif et corniche) et des enseignes plus sombres. Sinon cela n'a aucun sens.

Est-ce que la Ville pourrait les obliger ou que le Partenariat du Quartier des spectacles instaure  un programme de restauration?  Je comprends qu'il s'agit de propriétés privées mais leur emplacement a un impact significatif sur l'image de Montréal...

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16 hours ago, Windex said:

 

C'est complètement bidon cette placette qui donne directement derrière les autres bâtiments. Jamais quelqu'un se déplacerait jusque là dans la situation telle que démontrée.

J'ai une petite théorie (farfelue oui!) sur cette situation.

Je pense que Maestria est sur le point de s'entendre avec le propriétaire pour lui construire un autre bâtiment à l'autre extrémité des maisons en rangée en remplacement des deux maisons qui donnent directement sur la placette cul-de-sac. J'ai toujours trouvé ce bâtiment commercial de Maestria plutôt "déconnecté" du reste du projet comme tel. Dans le rendu ci-bas, ils ne se sont même pas donnés la peine de lui mettre une texture. Pour le propriétaire actuel, il se retrouve avec un bâtiment moderne de même superficie, pratiquement au même emplacement avec une grande terrasse en bonus. Gagnant-gagnant.

Peut-être ils feraient une petite passerelle au dessus de la ruelle (ou carrément condamneraient celle-ci) et allongeraient les marches jusqu'au niveau du sol sur Sainte-Catherine.

Maestria-placette-3.jpg

Do you know if the parking entrance goes into buildings from the lane behind the St catherine St buildings?

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La jouissance paisible d'un bien immeuble est violable avec le consentement du propriétaire. Or, l'acceptation libre et éclairé d'un contrat suppose un devoir de renseignement. Les festivaux montréalais étant notoires, le manquement au devoir de renseignment n'est pas raisonnable et ne peut ouvrir la voie à une quelconque action en justice. En effet, un recour fondé sur le trouble du voisinage ne serait pas fondé puisque le bruit engendré par les festivaux ne dépasse les inconvénients normaux qui doivent être normalement tolérés compte tenu de la nature ou de la situation de leurs fonds. 

#Lawyered

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il y a 23 minutes, ydg a dit :

Nous sommes en 2028. Le syndicat de copropriétaires du Maestria dépose un recours contre la Ville de Montréal afin de mettre fin aux festivals.

Selon les résidents "c'est totalement injuste et invivable" de devoir vivre dans le bruit, les foules et les odeurs des food trucks. "Nous pensions acheter ce joli condo au Maestria pour vivre paisiblement notre retraite" déclare Louise Dubé, retraitée de la fonction publique. "Jamais je n'aurais acheté si j'avais su qu'on nous empêcherait de dormir avec la musique jusqu'à minuit certains soirs d'été". Cette dernière, dont le sommeil est fragile, se voit souvent contrainte d'annuler ses cours de tricots du dimanche matin.

En réponse à ce recours, la ville de Montréal a choisi de limiter les heures des festivals, qui ne peuvent désormais faire jouer de la musique qu'entre 10h et 21h, et songe de plus à imposer une limite quant à la luminosité des projecteurs utilisés pour les spectacles afin de répondre à des plaintes des résidents du même édifice. Les objets pyrotechniques, rappelons-le, sont quant à eux interdits depuis 2022, suite au décès de KiKi, le yorkshire d'un résident de la tour, victime d'un infarctus soudain.  "Nous avons dû agir en réponse aux centaines de citoyens qui ont logé des plaintes à la police, au service 311, et qui se sont présentés mois après mois aux séances du conseil municipal pour manifester leur mécontentement quant aux désagréments causés par les festivals" a précisé Simon Lavoie, directeur des communications de la ville.

"C'est totalement irrespectueux que les festivaliers imposent leur musique, leur foule et leurs odeurs juste à côté de notre immeuble. C'est comme si la ville leur appartenait" de conclure Mme Dubé, qui souhaitait vendre son bungalow de Repentigny pour se rapprocher du centre-ville.

Du côté des organisateurs du festival de Jazz, on a été avare de commentaire, ceux-ci se contentant de mentionner qu'ils évaluaient toutes les options possibles, notamment de déplacer le festival dans une zone rurale.

Désolé... j'ai été inspiré en voyant cette belle terrasse et les balcons donnant directement sur la place des festivals 😂

Droit acquis pour le festival qui était là bien avant la construction des tours. Case closed.

 

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il y a 7 minutes, fmfranck a dit :

La jouissance paisible d'un bien immeuble n'est violable qu'avec son consentement. Or, l'acceptation libre et éclairé d'un contrat suppose un devoir de renseignement. Les festivaux montréalais étant notoires, le manquement au devoir de renseignment n'est pas raisonnable et ne peut ouvrir la voie à une quelconque action en justice. En effet, un recour fondé sur le trouble du voisinage ne serait pas fondé puisque le bruit engendré par les festivaux ne dépasse les inconvénients normaux qui doivent être normalement tolérés compte tenu de la nature ou de la situation de leurs fonds. 

#Lawyered

Pas mal. Mais la notion de consentement en droit contractuel (donc entre le vendeur et l'acheteur si je comprends ton raisonnement) ne s'applique pas en matière de troubles de voisinages qui régit les inconvénients entre "voisins", peu importe qu'ils soient locataires ou propriétaires, et qu'ils aient ou non de relations contractuelles.

Va lire la célèbre décision Ciment du Saint-Laurent inc. c Barrette pour plus d'info (première décision majeure sur l'article 976 CcQ, introduit en 1994 dans le nouveau Code civil). On peut notamment y lire ce poétique paragraphe introductif: "Né de la poussière, destiné à y retourner, l’être humain se résigne mal à vivre en elle. Parfois, las du balai et du seau d’eau, il n’hésite pas à recourir aux tribunaux pour lui échapper. Le présent dossier le confirme."

#lawyeredback

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