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Quebec Tries to Say Au Revoir to ‘Hi,’ and Hello to ‘Bonjour’


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With all the issues plaguing the province, THIS is what makes headlines at the National Assembly?  

Regardless of the petty language politics every single person in Quebec should be outraged that we, as a society that is supposedly trying to haul our butts out of the economic stone age, are even dredging this up again.  

I'm more disgusted with the politicians on this one than anything else.  GET YOUR BUTTS MOVING ON FIXING STUFF THAT'S BROKEN.  

On a side note, it also highlights just how out of touch with reality these politicians are.  Personally, those shills won't tell me how to greet my clients; that's my decision, particularly with so many international visitors, students and workers here in Montreal. 

Folks are fed up with this BS; particularly francophones who work in the service industry.  I'd say that 90% of our group of friends are 25-35 year old francophones who work as waitresses, chefs, nurses, doctors, baristas, etc.  Every one of them laughed this off and will continue using "Bonjour, Hi" and then simply switch to the language of preference for the individual they are serving.  The discussion at dinner last night was pretty straightforward; this is about making the CUSTOMER happy and not pandering to some egotistical politician who is trying to make hay with a dead subject.   

 

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Il y a 1 heure, fmfranck a dit :

Et, l'image du Québec (ou Montréal) à l'international est formée par ce lobby de journalistes montréalais anglos qui font leur pleureuse dans les grands médias mondiaux à chaque fois qu'on demande un peu plus de français (et je dit bien DEMANDE, et non exige). Certains ici pensent que ces articles du NY Times, du Washington Post ou de la BBC sont le reflet de la vision qu'ont la communauté internationale à notre égard. Il n'en est rien (Dan Bilefsky, l'auteur de l'article en entête de ce sujet, est Montréalais) . C'est plutôt un effort d'internationaliser la cause de l'anglo québécois. Une cause qui se rapproche, si on devrait se fier à ces articles, à l'horreur que peuvent vivre d'autres minorités persécutées, comme les rohingyas ou les tutsis. 

Les anglos québécois, on dirait, ne se sentent aucunement concerné par le paradoxe qu'une comparaison de leur traitement avec celui que l'on fait aux francophones dans le ROC ou par le traitement des autochtones partout au pays. Eux, ils doivent être traités comme la majorité partout, ils ont ce droit. Les autres par exemple, qu'ils se la ferment. Il est où l'article de Ben Bilefsky's pour la quête des francophones en Colombie Britannique qui ont du se rendre jusqu'en Cour Suprême seulement pour avoir l'équivalent de ce que les étudiants anglophones pouvaient avoir en terme d'infrastructure scolaire? (http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/717544/ecole-rose-des-vents-francophone-justice-cour-supreme-canada-education) Ou pour les métis du Manitoba qui n'ont pas d'accès à l'eau courante dans certaines communautés? 

Non, c'est clair. Au Canada, les maltraités, ce sont les anglos québécois (et seulement les anglos québécois) à qui on demande un minimum d'intégration. Je suis TELLEMENT tanné de ce débat stupide.  

Non Frank. Ce qui est désolant c'est la façon dont tous les gens dans le reste du Québec donnent leur opinion et lancent des cailloux sur une ville qu'ils ne connaissent pas vraiment et dans laquelle il ne vivent pas et comprennent encore moins (btw, j'ai habité en région, je sais à quel point on regarde Montréal avec un mélange d'horreur/fascination malsaine)

Le fait français doit absolument être protégé à Montréal mais c'est une discussion que l'on doit avoir entre Montréalais. Il manque de leadership la dessus, je le reconnais. En tant que personne parfaitement bilingue, je trouve que la place du français dans nos vie quotidiennes de devraient pas être relégué au deuxième rang mais ce que j'aime moins c'est la façon dont le débat est mené. Je ne supporte absolument pas que l'on nous serre la vis depuis Québec et que les gens des régions viennent ajouter leur grain de sel basés sur ce que des journalistes de TVA ou du JDM ou JDQ leurs racontent pour faire du sensationnalisme,

Modifié par ConcordiaSalus
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il y a 17 minutes, SKYMTL a dit :

With all the issues plaguing the province, THIS is what makes headlines at the National Assembly?  

Regardless of the petty language politics every single person in Quebec should be outraged that we, as a society that is supposedly trying to haul our butts out of the economic stone age, are even dredging this up again.  

I'm more disgusted with the politicians on this one than anything else.  GET YOUR BUTTS MOVING ON FIXING STUFF THAT'S BROKEN.  

On a side note, it also highlights just how out of touch with reality these politicians are.  Personally, those shills won't tell me how to greet my clients; that's my decision, particularly with so many international visitors, students and workers here in Montreal. 

Folks are fed up with this BS; particularly francophones who work in the service industry.  I'd say that 90% of our group of friends are 25-35 year old francophones who work as waitresses, chefs, nurses, doctors, baristas, etc.  Every one of them laughed this off and will continue using "Bonjour, Hi" and then simply switch to the language of preference for the individual they are serving.  The discussion at dinner last night was pretty straightforward; this is about making the CUSTOMER happy and not pandering to some egotistical politician who is trying to make hay with a dead subject.   

 

1st : Québec's economy is doing as well as it has been in quite some time. What's "broken" is perhaps your perception or pride in the city/society in which you reside. 

2nd : People always want to think that their opinion is shared by a majority of people. Unfortunately for you, i dont think anecdotes and personnal opinions can supercede opinion polls. I wont go through them all here, but in 2009 90% of french quebeckers thought french was threatened in Montréal. Some other polls (not a lot) have been done since then, and they maintain the same tendency : a perception, from the french majority, that their language is declining in the city of Montréal. Wether thats true or not, you can't deny the fact that this IS a concern for francophones. The fact that the National Assembly voted UNANIMOUSLY to back this motion shows how popular it is deemed to be by political analysts.

3rd - You can, of course, choose to do whatever you want in your commerce (perhaps except refusing totally (or not being able) to serve people in french, but then again, ive seen this happen on many occasions) as this was a non coercive motion. 

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Au delà de la "réglementation potentielle" et du débat linguistique dans son ensemble, il me semble que comme simple image de marque pour Montréal un simple "bonjour" est beaucoup plus puissant qu'un accueil bilingue. On se vend comme ville francophone, on vante le style français de l'endroit dans les brochures touristiques, et il n'y a pas personne qui va être choqué ou perdu parce qu'il se fait dire "bonjour" en rentrant dans un commerce, peu importe la langue qu'il parle. Il me semble qu'exposer constamment l'anglais enlève un peu "d'exotisme" ou même d'authenticité à la destination.

Je pense la même chose des commerces en anglais en Italie ou en France (par exemple), d'ailleurs.

Cela n'empêche pas le service en anglais d'aucune façon.

Mais bon, d'un autre côté, peut-être que le caractère bilingue de Montréal est encore plus puissant que son fait français, ce qui rend la chose plus justifiable d'un point de vue l'image que d'autres pays.

(Ce commentaire ne commente que la simple expression utilisée lors de l'entrée dans un commerce. Toute interprétation qu'on pourrait en faire sur d'autres aspects du débat linguistique au Québec ne serait que pure supposition et probablement loin de mon opinion, alors prière d'en faire abstraction)

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il y a 36 minutes, ConcordiaSalus a dit :

 

Non Frank. Ce qui est désolant c'est la façon dont tous les gens dans le reste du Québec donnent leur opinion et lancent des cailloux sur une ville qu'ils ne connaissent pas vraiment et dans laquelle il ne vivent pas et comprennent encore moins (btw, j'ai habité en région, je sais à quel point on regarde Montréal avec un mélange d'horreur/fascination malsaine)

Le fait français doit absolument être protégé à Montréal mais c'est une discussion que l'on doit avoir entre Montréalais. Il manque de leadership la dessus, je le reconnais. En tant que personne parfaitement bilingue, je trouve que la place du français dans nos vie quotidiennes de devraient pas être relégué au deuxième rang mais ce que j'aime moins c'est la façon dont le débat est mené. Je ne supporte absolument pas que l'on nous serre la vis depuis Québec et que les gens des régions viennent ajouter leur grain de sel basés sur ce que des journalistes de TVA ou du JDM ou JDQ leurs racontent pour faire du sensationnalisme,

2 choses sur ça : 
- Le complexe des régions, face à la métropole n'est pas nouveau, et n'est surtout pas propre au Québec. Exhibit A : 


- Ce n'est absolument pas vrai que les régions sont toutes anglophobes. Je te dirais que la région de Québec/Beauce et l'Outaouais (une grosse proportion des Québécois qui vivent à l'extérieur de la région de Montréal, bien plus que la moitié) sont même anglophiles. Les gens là-bas, à l'instar de Montréal, ont voté contre la séparation en 1995, et ils n'aiment pas du tout le PQ. Les gens ont une même une fierté d'être anti-PQ/OQLF. Je parle en anglais avec ma femme, et pendant nos années à Québec, c'était prequ'impossible de se faire servir en français tellement les serveurs étaient enthousiastes de nous servir en anglais. 

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19 minutes ago, fmfranck said:

1st : Québec's economy is doing as well as it has been in quite some time. What's "broken" is perhaps your perception or pride in the city/society in which you reside. 

2nd : People always want to think that their opinion is shared by a majority of people. Unfortunately for you, i dont think anecdotes and personnal opinions can supercede opinion polls. I wont go through them all here, but in 2009 90% of french quebeckers thought french was threatened in Montréal. Some other polls (not a lot) have been done since then, and they maintain the same tendency : a perception, from the french majority, that their language is declining in the city of Montréal. Wether thats true or not, you can't deny the fact that this IS a concern for francophones. The fact that the National Assembly voted UNANIMOUSLY to back this motion shows how popular it is deemed to be by political analysts.

3rd - You can, of course, choose to do whatever you want in your commerce (perhaps except refusing totally (or not being able) to serve people in french, but then again, ive seen this happen on many occasions) as this was a non coercive motion. 

I think this is simple.  

If someone came up to me and asked if French was threatened, I'd say yes; absolutely.  

If someone followed up that question to ask if I was concerned, I'd say yes; absolutely.

If someone followed up yet again and asked what, if anything, could be done to counteract that trend I'd say:  build a time machine and go back to a time when international commerce was more regional commerce and the internet didn't exist.  

Time to start striving towards the future rather than living in the past.  EVERY time in the modern age that a culture was forced upon a populace rather than naturally protected through thoughtful assimilation, it has ended by rejection.  This is no different.  

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