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Intelligence Artificielle - AI Montréal Plaque Tournante


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Three Quebec teams in Top 10 on rich AI XPrize list of 150
Their early success proves AI can be a powerful force for good, and that Canadian entrepreneurs play a big role in the AI revolution
http://business.financialpost.com/entrepreneur/three-quebec-teams-in-top-10-on-ai-xprize-list-of-150

 

 

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Je suis plutôt d'accord avec ce classement car selon moi le nombre de projets est plus important que leur valeur totale. C'est que plusieurs de ces projets n'iront sans doute pas très loin, et plus il y aura de projets plus il en restera en bout de ligne.

Cela dit, trois mois est une période relativement courte. C'est à la fin de l'année que nous saurons si Montréal gardera la position de tête quant à la valeur totale des projets. Pour ce qui est du nombre de projets il me semble que Montréal était 2e pour l'année 2017 même si la valeur totale de ses projets était de loin la plus importante.

Après une année 2017 extrêmement excitante pour Montréal en ce qui concerne l'intelligence artificielle, avec la venue d'une quantité phénoménale de nouveaux joueurs très importants, je pense que cela prendra un certain temps avant de commencer à porter fruit.

Je dirais même que 2018 sera en quelque sorte une année de transition pour l'IA à Montréal car plusieurs intervenants majeurs devront déménager dans le nouveau Centre d'excellence en IA, le O Mile-Ex, qui sera situé sur la rue Saint-Urbain dans le quartier du même nom. Je pense en particulier à Element AI, IVADO et MILA, pour ne nommer que les plus importants qui devront déménager dans les nouveaux locaux (voir illustration). On dit que tous les déménagements dans le O Mile-Ex devraient être complétés d'ici la fin de l'année.

L'Idée derrière cette initiative est de regrouper le milieu académique (UdeM et McGill) avec le milieu des affaires dans la même bâtisse afin de faciliter la collaboration entre d'une part les chercheurs académiques et les gens d'affaires, et d'autre part les institutions académiques entre elles, et même entre les entreprises qui oeuvrent en IA.

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Modifié par Normand Hamel
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  • 4 semaines plus tard...
  • 3 semaines plus tard...

L'IA pour relancer l'industrie pharmaceutique

Plombée il y a une dizaine d'années par la fermeture successive d'importants centres de recherche, l'industrie québécoise des sciences de la vie est « à l'aube d'un nouveau cycle » qui s'appuiera cette fois sur l'intelligence artificielle (IA) et les mégadonnées, estime le ministre de la Santé, Gaétan Barrette.

M. Barrette et des dizaines de représentants québécois participent cette semaine, à Boston, au congrès BIO (pour Biotechnology Innovation Organization), la plus importante foire annuelle de cette industrie. 

« On veut revenir au niveau auquel nous étions avant », résume M. Barrette à propos des intentions québécoises.

Le redécollage est déjà bien amorcé, jure Frank Béraud, président-directeur général de Montréal InVivo, la grappe de l'industrie des sciences de la vie.

« C'est plus que reparti. De mon expérience, ça n'a jamais été aussi positif, aussi intéressant dans le domaine. »

A ET MÉGADONNÉES

Plutôt que par une durée prolongée des brevets, comme ça a déjà été le cas, c'est par le truchement de son expertise dans le domaine de l'intelligence artificielle que le Québec compte cette fois regagner ses galons.

« La grosse tendance, c'est tout ce qui est lié à l'économie numérique, à l'intelligence artificielle », observe le scientifique en chef du Québec, Rémi Quirion, lui aussi présent à Boston hier.

« Le développement de nouvelles molécules avec la chimie reste important, mais ce qu'on voit de plus en plus, c'est comment l'intelligence artificielle peut aider les sciences de la vie. »

Cela s'observe, par exemple, dans le domaine du diagnostic, note-t-il en faisant référence entre autres à une technologie développée par Diagnos, de Brossard, pour la détection du diabète grâce à l'analyse d'images des yeux des patients, rapportée pour la première fois hier dans nos pages.

Aifred Health, établie à Montréal et elle aussi présente au salon BIO, travaille à développer, grâce à l'apprentissage machine, des façons de déterminer quels médicaments et quelles doses permettront aux victimes de problèmes de santé mentale de bien se soigner.

« La psychiatrie est un domaine dans lequel les pharmaceutiques ont réduit leurs budgets de recherche parce qu'elles n'arrivaient pas à trouver mieux que les médicaments déjà utilisés depuis des dizaines d'années. » - Sonia Israël, cofondatrice d'Aifred

Malheureusement, le choix du médicament et la posologie restent des sciences inexactes dans ce domaine.

« Environ 70 % des victimes de dépression ne vont pas améliorer leur condition avec le premier traitement, estime Mme Israël. Elles doivent retourner chez le médecin et fonctionner par essais et erreurs. Ça ne devrait pas être acceptable. »

Aifred croit être capable de faire passer le taux de précision de 30 % à 80 %.

Hexoskin, une entreprise montréalaise d'abord reconnue comme étant du domaine technologique, participe quant à elle au salon BIO pour la deuxième fois. Ses camisoles intelligentes permettant de surveiller la respiration et l'activité cardiaque trouvent l'essentiel de leur clientèle dans le domaine de la santé, note Marc Paquin, directeur du développement des affaires.

« Depuis 2012, environ 50 publications scientifiques ont utilisé Hexoskin pour leur recherche », note-t-il.

POPULATION STABLE

Outre son expertise de niveau mondial en intelligence artificielle, le Québec a un autre atout très rare à mettre en valeur auprès des entreprises pharmaceutiques : une population « géographiquement stable » au sujet de laquelle on détient des données uniformes sur tout le territoire grâce au dossier clinique informatisé.

« Personne au monde n'a accès à une population stable », fait valoir M. Barrette. 

« Aux États-Unis, les gens bougent beaucoup d'une partie du pays à l'autre, précise M. Quirion, alors que les Québécois, surtout les Québécois francophones, peuvent partir deux ou trois ans pour aller étudier à l'extérieur, mais ont tendance à revenir chez eux. C'est un avantage quand on utilise l'intelligence artificielle, parce que ça donne accès à de grandes bases de données de bonne qualité qui datent de plusieurs dizaines d'années. »

L'accès à ces données doit toutefois se faire de façon confidentielle, sans qu'il soit possible d'identifier les patients, rappelle M. Quirion.

http://www.lapresse.ca/techno/201806/06/01-5184631-lia-pour-relancer-lindustrie-pharmaceutique.php

Modifié par Normand Hamel
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Artificial Intelligence Can Now Recreate Your Voice Within Minutes

Bloomberg sends journalist Ashlee Vance to Canada to visit with the founders of Lyrebird, who have created an AI that can "clone human voices with frightening precision."
 
 
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