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Brasserie Molson


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Il y a 2 heures, MtlMan a dit :

Tsé, quand une usine s'implante à Mississauga, on ne se pète pas les bretelles parce qu'elle n'est pas "à Toronto" même.

On est tous montréalais! 

MIssissauga souhaite de quitter le GTA depuis plusieurs années. Alors non, même à Toronto, les villes à proximité veulent être séparées de la ville centre. Les villes veulent leur indépendance.
https://www.thestar.com/news/gta/2016/04/17/mississauga-wants-out-but-saving-peel-is-the-most-appealing-option-james.html

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il y a une heure, vivreenrégion a dit :

MIssissauga souhaite de quitter le GTA depuis plusieurs années. Alors non, même à Toronto, les villes à proximité veulent être séparées de la ville centre. Les villes veulent leur indépendance.
https://www.thestar.com/news/gta/2016/04/17/mississauga-wants-out-but-saving-peel-is-the-most-appealing-option-james.html

Ce que je veux dire : c'est que vaut mieux à Longueuil ou Laval ou Chambly que dans ou en banlieue de une autre ville!

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il y a 56 minutes, vivreenrégion a dit :

MIssissauga souhaite de quitter le GTA depuis plusieurs années. Alors non, même à Toronto, les villes à proximité veulent être séparées de la ville centre. Les villes veulent leur indépendance.
https://www.thestar.com/news/gta/2016/04/17/mississauga-wants-out-but-saving-peel-is-the-most-appealing-option-james.html

Mississauga peut bien vouloir se séparer d'un organisme, mais elle ne peut pas s'extirper d'une réalité économique, démographique et géographique particulière.  Le Greater Toronto Area est d'abord et avant tout l'expression statistique de cette réalité.  Viennent ensuite les nécessaires outis de coordination et de coopération entre les composantes administratives (municipalités locales et  sous-régionales) de la grande région; ces outils peuvent prendre diverses formes, mais ils reviennent largement au même.  C'est la même chose pour la région de Montréal.

Quand une grande entreprise recherche la meilleure localisation pour ses opérations (ou une partie de celles-ci), elle ne commence pas par comparer Mississauga à Laval, ou Markham à Longueuil; elle décide d'abord si ce sera dans la région de Toronto, ou Montréal, ou une autre encore; ce n'est que dans un deuxième temps qu'elle comparera divers sites à l'intérieur de la région choisie.  

Finalement, quand la décision porte sur la relocalisation d'opérations existantes, par opposition à de nouvelles opérations n'affectant pas les premières (existantes), les implications du choix  pour les employés actuels constituent une considération importante .Un déplacement de l'autre côté de la rue n'a aucune implication pour eux; un déplacement sur un nouveau site dans la même région peut en avoir, mais elles peuvent être minimisées; les implications d'un déplacement sur un site à des centaines de kilomètres de l'ancien sont majeures, et potentiellement très coûteuses.  Elles ne se justifient que par des considérations stratégiques de long terme.

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L'incertitude soudaine autour de l'implantation à Longueuil d'une nouvelle brasserie et d'un nouveau centre de distribution de Molson ravive l'intérêt de Trois-Rivières pour cet investissement de 600 millions $.

http://www.tvanouvelles.ca/2018/03/20/trois-rivieres-relance-molson-1

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http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1090534/environnement-longueuil-usine-molson-penalite

Nouvelle usine de Molson : Longueuil accepte de payer la pénalité environnementale

Publié aujourd'hui à 2 h 44

C'est fait : Molson Coors pourra construire sa nouvelle usine à Longueuil. Mais en plus d'approuver l'acte de vente d'un terrain au géant brassicole, le conseil municipal a accepté de payer une pénalité de deux millions de dollars au ministère de l'Environnement du Québec afin de passer outre à des normes découlant de la nouvelle Loi sur la conservation des milieux humides.

Malgré ce débours supplémentaire, la mairesse de Longueuil, Sylvie Parent, martèle que le dossier du déménagement de l'usine Molson, jusqu'alors située en bordure du fleuve Saint-Laurent, dans l'arrondissement Ville-Marie, à Montréal, n'a « jamais » été compromis.

Mme Parent précise que les terrains destinés à la construction de la nouvelle usine jouissaient d'une autorisation accordée depuis 2008, et qu'il y aurait eu, depuis cette date, des développements dans cette friche industrielle sans que le gouvernement du Québec n'intervienne.

Jusqu'en 2017, quand les municipalités devaient préserver des milieux humides, elles pouvaient échanger des terrains et en protéger d'autres, a expliqué la mairesse en entrevue.

Toutefois, l'adoption en 2017 de la nouvelle Loi sur la conservation des milieux humides a changé la donne.

En janvier dernier, quand Molson a procédé à une vérification dilligente pour s'assurer que le processus de construction pouvait débuter; « c'est là que le ministère nous a dit que la nouvelle loi existe », a mentionné Mme Parent. À la suite d'une nouvelle évaluation environnementale, la Ville de Longueuil apprend qu'elle devra débourser une facture de deux millions de dollars.

Aux yeux de la mairesse, cette nouvelle loi a le potentiel de « bloquer le développement sur l'ensemble du territoire québécois ».

La première magistrate dit ainsi craindre les possibles impacts pécuniaires d'éventuels projets de construction d'écoles, de résidences pour personnes âgées, ou encore de coopératives d'habitation.

En plus d'approuver le versement de la pénalité au ministère de l'Environnement du Québec, les élus longueuillois ont également approuvé l'acte de vente du terrain de 587 000 mètres carrés situé près de l'aéroport de Saint-Hubert. Selon Molson Coors, la première pelletée de terre est prévue en mai ou en juin.

La somme de deux millions de dollars sera versé au Fonds de protection de l'environnement et du domaine hydrique de l'État. Il devrait être retourné à l'agglomération de Longueuil pour préserver l'environnement.

L'opposition déçue

Mme Parent n'est pas la seule élue à être déçue de l'existence de cette embûche qui s'est dressée devant le projet de construction de l'usine de Molson.

Xavier Léger, conseiller municipal et chef de l'opposition, a été surpris par le montant réclamé par Québec.

Il estime par ailleurs qu'il en reviendra à la mairesse « de faire les démarches pour que ces deux millions nous reviennent, reviennent aux citoyens de Longueuil ».

Avec les informations de Marie-Laure Josselin

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Les taxes que paiera Molson compenseront avec le temps pour les sommes dépensées par Longueuil pour son son installation. Autrement cette dernière aurait perdu cet investissement au profit d'une autre ville, tout en ayant à faire face au même problème plus tard.

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  • 3 semaines plus tard...

http://plus.lapresse.ca/screens/8b884f41-15ee-48fc-9d62-32a63fd54d53|_0.html?utm_medium=Facebook&utm_campaign=Internal%2BShare&utm_content=Screen

DÉMÉNAGEMENT DE LA BRASSERIE MOLSON

LONGUEUIL VEND LE TERRAIN À SA VALEUR DE 2010

Longueuil a officiellement vendu la semaine dernière à Molson Coors le terrain pour la construction de sa nouvelle brasserie de la région montréalaise. La transaction s’est faite au prix que la Ville avait elle-même payé en 2010, révèle l’acte notarié consulté par La Presse. Longueuil était en concurrence avec d’autres villes de la région pour attirer Molson, ses centaines d’emplois et ses millions en revenus de taxation.

ANDRÉ DUBUCLA PRESSE

PRIX D’AMI…

Le 4 avril, le terrain de 6,3 millions de pieds carrés a été vendu 6,79 millions de dollars, un prix correspondant à 40 % de la valeur de 17,2 millions apparaissant au rôle municipal d’évaluation foncière. Autre élément à considérer, Longueuil a revendu le terrain au même prix qu’elle avait payé en 2010 pour en devenir propriétaire. Il appartenait alors à Développement de l’aéroport Saint-Hubert de Longueuil (DASHL). La Ville avait payé l’équivalent de 6,85 millions pour le même terrain, comme l’indique l’acte de vente du 27 mai 2010.

… OU PRIX DU MARCHÉ

La transaction s’est faite « au prix du marché », soutient néanmoins Louis-Pascal Cyr, chef de service aux affaires publiques de la Ville de Longueuil. Le prix de vente reflète le fait que le terrain a une faible capacité portante et que Molson devra faire enfoncer des pieux pour solidifier les installations, « des coûts significatifs », indique François Lefebvre, porte-parole de Molson Coors, avant d’ajouter qu’il est trop tôt pour les quantifier. Longueuil a dû prendre à ses frais la facture de 2 millions en compensation pour la perte de terrains humides, en vertu de la nouvelle réglementation en vigueur.

EN COMPARAISON

IKEA a payé 15 millions à Beauharnois en 2016 pour un terrain de taille semblable. À Varennes, Divco a vendu un vaste terrain à Costco pour 4,50 $ le pied carré. Toujours dans cette ville, le maire a une entente avec Divco pour que l’entreprise achète un terrain de 2 millions de pieds carrés, contigu à celui de Costco, à 3 $ le pied carré.

FIN DU CHANTIER : JUIN 2020

Molson est toutefois soumise à des obligations de construction d’un bâtiment d’une valeur imposable minimale de 138 millions, à défaut de quoi le brasseur s’expose à des pénalités. Dans un cas extrême, l’acquéreur pourrait être forcé de rendre le terrain à la Ville. La construction doit débuter dans les 180 jours suivant le 4 avril, selon Molson, qui espère une première pelletée de terre avant juillet. De plus, l’entreprise brassicole doit avoir terminé la construction le 30 juin 2020. La superficie totale du ou des bâtiments s’élèvera à environ 900 000 pieds carrés. Après l’installation de la machinerie et une période de rodage, la mise en service est prévue en 2021.

CONGÉ DE TAXES

En plus du terrain pas cher, Molson profitera d’un congé de taxes municipales, dégressif, s’échelonnant sur les cinq premières années d’exploitation de l’usine. Au total, le brasseur économisera environ 15 millions sur son avis d’imposition. À compter de la sixième année, Molson paiera environ 5 millions par an à la Ville, sur la base d’une valeur estimative des bâtiments de 138 millions.

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  • 3 mois plus tard...

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