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p_xavier

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il y a 16 minutes, p_xavier a dit :

En espérant que ça soit mieux que Toronto ou Vancouver où les gouvernements locaux et provinciaux ont court-circuités ces plans.

À l'approche des élections provinciales, tu peux être certain que ça arrivera. Le PQ avec son grand déblocage, le PLQ avec ses antennes REM et la CAQ avec ses stationnements incitatifs; ils auront tous leur plan pour la mobilité du Grand Mtl.

Modifié par Gabmtl
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Just now, Gabmtl said:

À l'approche des élections provinciales, tu peux être certain que ça arrivera. Le PQ avec son grand déblocage, le PLQ avec ses antennes REM et la CAQ avec ses stationnements incitatifs; ils auront tous leur plan pour la mobilité du Grand Mtl, alors qu'on sera en pleine consultation avec l'ARTM.

La consultation est à l'été 2019 selon le texte.

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il y a 7 minutes, p_xavier a dit :

La consultation est à l'été 2019 selon le texte.

Mon erreur, en effet! Le reste de mon commentaire tient quand même, tous les partis auront leurs idées pour le Grand Mtl et influenceront nécessairement l'ARTM à ces fins.

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  • 1 mois plus tard...

Cette organisation est une tragico-comédie! Et dire que le but était la simplification... Un appel à l'ordre est nécessaire.

http://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201807/03/01-5188190-lartm-impose-une-structure-jugee-lourde-et-meprisante.php

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C'est une belle pelletée d'études que l'Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) a présentée hier. Comme dans : pelleter des études vers l'avant.

Ligne jaune, ligne rose, ligne orange, tramway sur la Rive-Sud, service rapide par bus dans l'Est, train vers Mascouche : tous ces dossiers seront étudiés. Les usagers auront l'impression qu'ils avancent. Mais l'effet risque de se faire attendre, car il y a un problème autant avec l'approche que l'échéancier.

En effet, l'annonce ne propose que des solutions à long terme, alors qu'il y a des besoins urgents. Et elle poursuit l'approche à la pièce, qui met les villes en compétition et mène à des blocages.

Ce n'était pourtant pas censé se dérouler ainsi. Avec l'arrivée de l'ARTM il y a un an, le développement des transports collectifs devait être dépolitisé. Cette agence, où les élus sont désormais minoritaires, devait orchestrer une vision d'ensemble pour le réseau dans le Grand Montréal.

 

Hélas, il faut probablement attendre la fin 2019 pour l'obtenir. Et on n'en trouve pas la trace non plus dans ce qui a été annoncé hier.

Chaque projet sera étudié de façon isolée. Un bureau de projet s'intéressera à la ligne jaune sur la Rive-Sud, et un autre à l'axe du boulevard Taschereau. Un bureau étudiera un SRB dans l'est de Montréal, tandis qu'un autre sera ouvert pour le train de l'Est. Et ainsi de suite.

On ignore comment ces différents projets s'arrimeront ensemble, ou lesquels seront prioritaires.

Il est vrai que plus d'études sont requises avant de trancher. Mais au lieu de les étudier ensemble, on les analyse à la pièce. Bref, on ne fait que reporter les arbitrages. En laissant grandir d'ici là les rivalités entre les clans adverses.

Dans l'attente, le fédéral accordera bientôt les fonds pour la phase 2 de son plan d'infrastructures. Si le Grand Montréal attend trop, il risque de passer à côté du magot.

Et à cela s'ajoute une autre urgence. Les études lancées hier n'offrent rien pour les maux de tête à venir dans la couronne nord. On prévoyait déjà que la congestion routière y augmenterait d'ici 2021*. Et elle s'aggravera encore plus à cause des travaux du REM, qui exigeront la fermeture temporaire du tronçon Du Ruisseau-Montréal de la ligne du train de banlieue de Deux-Montagnes.

En avril dernier, les maires de Laval et de la couronne nord s'étaient ligués pour demander une liste de projets. Elle comprenait des interventions à court terme, comme des voies réservées sur les autoroutes 13, 15, 440 et 640. Seule la voie sur la 15 a été retenue par le gouvernement Couillard et l'ARTM. Et encore là, on ignore quand les travaux commenceront.

Dans sa politique de la mobilité durable présentée le printemps dernier, le gouvernement Couillard proposait de faire des projets de transports collectifs « la nouvelle baie James » de notre siècle. On ne peut que saluer cette ambition. Même si tous les projets à l'étude ne pourront pas être construits rapidement, il n'y a rien de mal à avoir de l'ambition, à rêver. Mais pour se concrétiser, les rêves ont besoin d'un minimum de planification. Et dans ce cas, il manque aussi un plan pour le cauchemar à venir durant la construction du REM.

http://www.lapresse.ca/debats/editoriaux/paul-journet/201807/04/01-5188314-une-pelletee-detudes.php

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Si j'étais le président de l'ARTM, je dirait clairement que nous n'allions plus faire des études à la carte. 

À la place, je metterait en place un système d'analyse en utilisant toute les données disponible. (Big data) et je travaillerais sur un système qui permettrait de savoir rapidement si un projet est viable ou non. 

Ça serait la première étape. Ça serait déjà un bon début. Tout projet pourrais être évaluer très rapidement. Est-ce que faire X système sur tel axe est une bonne idée? laisse nous calculer le tout...

dans la même journée, Non pour X raison. 

Ensuite, l'étape 2 serait d'ajouter de l'inteligence artificiel pour trouver les meilleurs projets à faire en priorité. L'algorythme fournirait sur demande les projets à mettre en place en priorité. 

Il est certain qu'au début, il faudra contre-vérifier le tout, ça fera partit du développement du système, mais avec le temps, le système apprendra et deviendra de plus en plus précis et efficace. 

Il y a déjà actuellement énormément de données disponible, on pourrais en plus ajouter des détecteurs et autre interface pour augmenter la qualité des données. tout peux être ajouter, l'état, l'age des équipements, le marché immobilier, le marché de l'emplois, le couts des matériaux, les données de stats can. 

C'est très ambitieux mais d'autre vont dans cette direction. Je dirais même que non seulement, le système s'attarderait au transport en commun, mais à tout les modes de transports. Bon, débutons par le transport en commun, mais vous voyez ou je veux en venir.

 

Avec un tel système, on pourrais vraiment dire que l'ARTM est un vrai outils à la disposition des élus pour planifier le transport. Pour le moment, ça ne semble qu'être qu'un générateur de bureau d'études basé sur les politiques des gouvernement actuel...

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  • 4 semaines plus tard...

Qu'adviendra-t-il de la carte OPUS étudiante?


Dix ans après avoir été instaurée, la carte OPUS étudiante pourrait être bien différente après la révision tarifaire promise par l'Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM).

«L'objectif de départ, c'était de réduire le nombre de fraudes, ce qui a été atteint», fait observer Simon Charbonneau, conseiller aux communications de l'ARTM, qui s'intéresse présentement à un système de tarification géographique, comme celui de Paris, pour le réseau de transport Montréalais.

En d'autres mots, on se penche sur la possibilité d’établir un système avec des prix qui varient selon différentes zones. À Paris, plus on se déplace dans une zone loin du centre, plus le coût est élevé.

Changements à prévoir

Est-ce à dire que la tarification sociale, comme la carte OPUS étudiante ou réduite pour les 65 ans et plus, pourrait venir à disparaître?

«Toutes les options sont sur la table. Mais, comme à Paris les deux systèmes peuvent très bien coexister», répond Simon Charbonneau.

«Il y actuellement plus de 70 tarifs sur le réseau. Il y a moyen de revoir les choses pour mieux s'adapter aux besoins de notre clientèle», croit-il.

C'est notamment pour revoir les tarifs à l'échelle de la grande région de Montréal que l'ARTM, qui a hérité de la responsabilité de la carte OPUS en juin dernier, a été créée il y a 13 mois. L'agence provinciale a également comme ambition de mieux intégrer les différents modes de transport - BIXI, Communauto, taxis et autres - à sa tarification

«Il y a des consultations populaires qui vont se tenir dans les deux prochaines années», promet M. Charbonneau.

Une carte qui a ses avantages

Pour l'instant, le tarif étudiant de la carte OPUS semble apprécié, reconnait-il. En début d'année, l'ARTM l'a même étendu aux étudiants de plus de 26 ans.

«Quand on dit qu'il faut mieux s'adapter aux besoins de nos clients, c'est exactement ça. On a conclu qu'un étudiant de plus de 26 ans, ça reste un étudiant», poursuit M. Charbonneau.

La carte bleue, en tant qu'objet, pourrait-elle aller jusqu'à disparaître?

«C'est sûr que ce serait bien de payer directement avec son cellulaire. Mais pour l'instant, la priorité, c'est vraiment la révision tarifaire», assure-t-il.

https://www.journaldemontreal.com/2018/07/30/quadviendra-t-il-de-la-carte-opus-etudiante-1

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