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Centre Eaton de Montréal


Alexcaban

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Il y a 22 heures, Mtlarch a dit :

Le Time Out ne représente qu’une petite partie du Centre Eaton. On va au Time Out, pas au Centre Eaton car il n’y a rien à voir ailleurs.... et c’est tout à l’honneur de ce concept qui sauve le reste.

Comme le mentionne @vincethewipet, le Centre Eaton ne manque pas de visiteurs. C'est le point de départ non-officiel des galeries marchandes du RÉSO, et on y trouve une variété de boutiques qui permet de trouver à peu près tout, à prix raisonnable (ce qui la distingue de la Place Ville-Marie et des Cours Mont-Royal, qui ont une offre un peu plus haut de gamme mais aussi très limitée). Avec la fusion avec les Ailes, qui comprend Sephora et Décathlon + Uniqlo et Samsung, ça deviendra vraiment le point névralgique du shopping à Montréal.

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Il y a 1 heure, louisleonardo a dit :

Comme le mentionne @vincethewipet, le Centre Eaton ne manque pas de visiteurs. C'est le point de départ non-officiel des galeries marchandes du RÉSO, et on y trouve une variété de boutiques qui permet de trouver à peu près tout, à prix raisonnable (ce qui la distingue de la Place Ville-Marie et des Cours Mont-Royal, qui ont une offre un peu plus haut de gamme mais aussi très limitée). Avec la fusion avec les Ailes, qui comprend Sephora et Décathlon + Uniqlo et Samsung, ça deviendra vraiment le point névralgique du shopping à Montréal.

Il faudrait remplacer le terme visiteur par celui de ´passant’ ,  beaucoup de gens n’ayant pas d’autres options que de passer par la pour se rendre au métro. Cela permettrait de mieux mettre en perspective la fréquentation réelle vs l’offre commerciale qui attire les clients.  Dans un milieu passant, les gens sont pressés et sont probablement moins enclins à faire du lèche - vitrine.

Le réaménagement est certes plus lumineux avec de larges espaces vides, mais sa position stratégique aurait dû déboucher sur un aménagement beaucoup plus original pour essayer de retenir un peu plus longtemps cette manne de visiteurs ou passants. C’est propre, blanc et aseptise sans grand éléments architecturaux pouvant attiser la curiosité. Au deuxième, c’est pire encore car la partie Nord plafonnée vient détruire l’effet de grandeur qu’on veut donner en rentrant par Ste-Catherine. On oublie la section donnant vers McGill-College,  qui demeure totalement dépourvu du moindre attrait. Donc, on résume par on regarde une partie du PVM au travers d’un mur vitré  dont la surface a été augmentée un peu et qui nous permets, en même temps de voir la dégradation générale des immeubles à moitié détruits juste en face. 22 millions de visiteurs à regarder ça....

 

 

Il y a 1 heure, louisleonardo a dit :

Comme le mentionne @vincethewipet, le Centre Eaton ne manque pas de visiteurs. C'est le point de départ non-officiel des galeries marchandes du RÉSO, et on y trouve une variété de boutiques qui permet de trouver à peu près tout, à prix raisonnable (ce qui la distingue de la Place Ville-Marie et des Cours Mont-Royal, qui ont une offre un peu plus haut de gamme mais aussi très limitée). Avec la fusion avec les Ailes, qui comprend Sephora et Décathlon + Uniqlo et Samsung, ça deviendra vraiment le point névralgique du shopping à Montréal.

 

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Il y a 6 heures, acpnc a dit :

En affaires le trafic passant est un élément clé pour le succès. En effet chaque passant a le potentiel de devenir à un moment ou à un autre un client. C'est d'ailleurs sur ce potentiel quotidien que capitalisent les investisseurs et particulièrement les marchands. De toute façon aucune galerie marchande ne pourrait suffire à la demande si chaque passant se transformait soudainement en client.

C'est comme à la pêche: plus un banc de poissons est dense plus on a de chance de faire une prise à chaque coup de filet. Donc l'achalandage est déterminant parce que chaque passant peut devenir à son tour éventuellement un acheteur de biens ou de services à n'importe quel moment de la journée, de la semaine ou du mois.

Quand on passe dans un centre commercial, on le fait lentement pour faire des achats si c'est au programme et on se concentre sur les boutiques et la marchandise. Autrement on passe rapidement en le considérant comme un simple lieu de transit, sans porter une attention particulière au paysage urbain, que les habitués ne voient plus de toute façon.

Bien sûr ce sera toujours mieux d'offrir un beau décor, surtout pour les visiteurs de l'extérieur (mais pour les résidents aussi), qui sont tout de même une minorité sur le nombre total de passants. Mais comme la ville est en constante transformation, on peut supposer que le réaménagement de la rue Ste-Catherine et McGille College contribueront grandement à l'amélioration de l'esthétisme de la rue, bâtiments inclus.

Il n'y a donc pas lieu de voir les choses d'un oeil aussi critique. Je m'inquiéterais cependant si ce secteur était stagnant et qu'on y faisait aucun investissement. Or, autant le privé que le public injecte actuellement des sommes considérables à cette intersection stratégique et on sait déjà que d'autres projets dans le voisinage s'ajouteront à la liste.

Il y a donc lieu d'être optimiste parce que jamais le centre-ville n'aura été aussi dynamique et prometteur que maintenant. :goodvibes:

Je suis d'accord avec cette partie. La grande majorité des gens se foutent comme de l'an 40 de l'apparence du Centre Eaton - l'important est qu'il soit accessible, facile à naviguer et ait une offre commerciale qui leur convient. Je crois que les rénovations répondent à ça.

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Créer un décor de Noël indémodable

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/201912/22/01-5254737-creer-un-decor-de-noel-indemodable.php

Pour voir la vidéo cliquer sur le lien plus haut

Il a fallu près d’un an à Artea pour concevoir et fabriquer les nouveaux décors des Fêtes du Centre Eaton de Montréal.

Publié le 23 décembre 2019 à 9h00

Pour voir la vidéo cliquer sur le lien plus haut

Marc Tison
La Presse

Tout sauf un effet de mode : ils devront durer au moins 10 ans sans affadir leur magie.

Un énorme pendule de Foucault de Noël, peut-être, oscillant doucement en façade du Centre Eaton, rue Sainte-Catherine ?

Cette première impression se dément quand on s’approche de la vitrine, qui s’élève sur trois étages et se prolonge à l’intérieur de l’immeuble pour former une haute boîte vitrée. Ce sont plutôt trois décorations de Noël ornementées, peut-être 25 fois plus grosses que celles que vous suspendez à votre sapin, qui tournent sur elles-mêmes en même temps qu’autour d’un carrousel, au milieu d’une cascade de guirlandes lumineuses.

Comme une immense boîte à musique, sans musique.

Elles font partie des nouveaux décors des Fêtes, conçus et fabriqués par le Groupe Artea pour le Centre Eaton, qui lui-même arbore ses nouveaux atours architecturaux.

Artea y a travaillé pendant près d’un an pour répondre à la commande : « créer un décor vraiment urbain et innovateur », décrit la directrice du marketing du Centre Eaton de Montréal, Mélanie Castonguay. « Et qui soit grandiose aussi, parce qu’on a un centre avec une architecture extraordinaire. »

Le propriétaire du Centre Eaton, Ivanhoe Cambridge, a lancé en 2018 un chantier de 200 millions, dont le cœur était la réunion et le réaménagement commun des anciens Centre Eaton et Complexe Les Ailes. Les nouveaux décors des Fêtes devaient marquer cette renaissance.

« Pour nous, c’était hyper important, poursuit Mme Castonguay. Avec toutes les rénovations, avec le nouveau design, on voulait rehausser l’expérience de nos consommateurs. »

Et celle des passants : « On avait également un mandat personnel et interne de revitaliser la rue Sainte-Catherine », ajoute-t-elle.

Rien à voir avec des décors de contreplaqués et de styromousse. Pas de père Noël. Pas de fée des Étoiles. Pas de lutins, coquins ou non. On veut ici de la classe et de la pérennité.

La boule du carrousel, d’un diamètre d’environ un mètre, est creusée d’un iris de cristal dont les anneaux facettés tournent en sens inverse. Hypnotique…

« Il y a des microprocesseurs et beaucoup de mécanismes là-dedans », précise le président d’Artea, Alain Guiroy, pour souligner l’exploit technique. « Nos inspirations, c’est sûr que c’est européen, et aussi la 5e à New York. »

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Mêler Noël et divertissement

L’appel d’offres pour les décors de Noël du Centre Eaton s’est entamé au début de l’année 2019. La proposition d’Artea s’est précisée au fil d’un processus de sélection qui l’a couronnée à la fin du printemps. La mise au point et la fabrication ont suivi.

Fondé en 1999 par Alain Guiroy, le Groupe Artea se spécialise dans l’aménagement commercial, le design de parcs d’attractions et les décors de Noël.

« En ce moment, je travaille sur un gros projet de centre d’escalade et de Ninja Warriors qui va se faire en 2020, décrit-il. Le parc d’amusement Ubisoft des Lapins Crétins, dans le West Island, c’est ma création. »

L’entreprise fait elle-même la fabrication et l’installation de ses concepts. « On a quelques sous-traitants, mais on a vraiment les mains dedans », indique Alain Guiroy. Il est également propriétaire de l’atelier d’ébénisterie architecturale Cubes, à Saint-Jérôme, qui contribue à la réalisation de plusieurs projets.

Artea conçoit même des décors de Noël pour l’Europe, par l’intermédiaire d’un partenaire italien.

On allie le côté décor de Noël et notre expertise dans les parcs d’amusement pour faire ce genre de projets.

Alain Guiroy

L’entreprise compte une vingtaine d’employés, « mais pour le projet du Centre Eaton, on est montés à 50 ».

Des designers industriels, des tourneurs de bois, des soudeurs, des ingénieurs, des électromécaniciens…

Et des alpinistes.

Des clients visuels

Dans le vaste atrium qui traverse la partie ouest de l’édifice, deux lustres cylindriques, d’un diamètre de près de deux mètres, ont été suspendus à la verrière.

Ils plongent sur cinq étages pour former de longues chandelles, autour desquelles flottent d’énormes médaillons lumineux.

« C’est deux jours pour installer ça, observe Alain Guiroy. C’est trop haut, ça se fait avec des installateurs certifiés, tous des gens d’escalade. »

Une silhouette de sapin formée de trapèzes illuminés a été plaquée à l’extérieur de la vaste paroi vitrée qui donne sur la rue Sainte-Catherine. D’une hauteur de 12 m et d’un poids de 680 kg, la structure en acier galvanisé est retenue aux meneaux du vitrage par des serres en C, comme celles que vous pourriez acheter à la quincaillerie du coin. Rassurez-vous, elle est également assurée par de solides câbles.

Pour un décor de Noël, il faut être capable de satisfaire les différents clients visuels.

Alain Guiroy

« D’abord, le client visuel du Centre, mais je travaille aussi pour le client extérieur, sur la rue Sainte-Catherine. J’ai aussi un client visuel de l’autre côté de la rue, qui voit très bien le sapin. »

Il a fallu faire appel à deux grues et fermer la rue pour installer le conifère métallique.

Budget ? Chut…

Dans l’ancien Complexe Les Ailes, qui accueille notamment le magasin de sport Décathlon et la foire alimentaire TimeOut Market, une vingtaine de colonnes sont ornées d’un sapin métallique. « Je voulais avoir un sapin flottant, en métal, qui est dans les airs, attaché sur les colonnes, qui ne dérange pas les clients », explique Alain Guiroy.

Sur la place publique, deux îlots circulaires, décorés de sapins d’aluminium et baptisés « stations Instagram », accueillent les badauds. « Les gens peuvent se prendre en photo ou simplement s’asseoir pour relaxer », explique Mélanie Castonguay.

La mise en place de l’ensemble des éléments du décor s’est étalée sur deux semaines, généralement durant la nuit.

Elle se refuse à chiffrer le budget de ce riche et lumineux déploiement. « Les décors de Noël, quand on les produit pour un centre commercial, il faut que ça dure en moyenne une dizaine d’années, dit-elle. Ça peut vous donner une idée de l’investissement. »

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Les photos ne provoquent pas un effet wow. Peut-être en personne... Pas de père Noël ou de lutins ou de rennes, pour un "temps des fêtes" non-genré et multi-religions. Faudrait surtout pas offusquer quelqu'un.

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Je trouve la décoration pas mal, même si ça manque un peu de couleur.

À mon avis LA référence en décoration dans la région est le Carrefour Laval. Le nombre de gens qui y vont pour se faire photographier -ou photographier leurs petits- dans la cour intérieure est impressionnant, et ce à chaque saison.

Il y a 4 heures, Rocco a dit :

Pas de père Noël ou de lutins ou de rennes, pour un "temps des fêtes" non-genré et multi-religions.

Des pères Noel, lutins et rennes, il y en a partout. À un moment donnée, il faut se démarquer.

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Il y a 11 heures, Decel a dit :

Je trouve la décoration pas mal, même si ça manque un peu de couleur.

À mon avis LA référence en décoration dans la région est le Carrefour Laval. Le nombre de gens qui y vont pour se faire photographier -ou photographier leurs petits- dans la cour intérieure est impressionnant, et ce à chaque saison.

Des pères Noel, lutins et rennes, il y en a partout. À un moment donnée, il faut se démarquer.

Il serait sûrement intéressant que tu nous présentes des photos de ces décorations au Carrefour Laval, pour que nous puissions les apprécier à notre tour. :veryhappy:

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Entrevue à l'émission Tout un matin à écouter ici https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/tout-un-matin/segments/entrevue/148135/restauration-patrimoine-bati-architecte-trocadero

Le restaurant du 9e étage du Centre Eaton, en voie de renaître?

grande-salle-ile-de-france-9e-etage-cent
Le restaurant l'Île-de-France au 9e étage du Centre Eaton.
PHOTO : COURTOISIE / CENTRE EATON DE MONTRÉAL

 

Au neuvième étage du Centre Eaton se trouve un joyau caché : un restaurant Art déco dont l'architecture est inspirée des paquebots transatlantiques. Classé monument historique, il est toutefois demeuré vacant depuis sa fermeture il y a 20 ans. La professeure émérite à l'École de design de l'Université du Québec à Montréal (UQAM), France Vanlaethem, a organisé une table ronde le mois dernier avec plusieurs experts, rouvrant la discussion pour faire renaître ce lieu mythique de l'histoire de Montréal.

Le restaurant L’Île-de-France était constitué d'une immense salle à manger qui pouvait accueillir plus de 400 convives. Conçue par l’architecte de la place du Trocadéro et du palais de Chaillot, Jacques Carlu, elle se distinguait par son style Art déco.

« C’est un lieu à propos duquel tout Montréal a des souvenirs. [...] Il faudrait que le propriétaire tienne compte de cette dimension culturelle et en fasse un endroit toujours accessible aux Montréalais », explique la professeure.

Le vent pourrait tourner bientôt pour le lieu laissé à l’abandon depuis sa fermeture en 1999 puisque trois restaurateurs ont démontré un intérêt pour le remettre sur pied.

France Vanlaethem croit que l'établissement pourrait renaître d’ici cinq ans si l’actuel propriétaire, Ivanhoé Cambridge, y mettait les sous.

« Si on parvient à défendre un lieu pour ses valeurs culturelles, quand on aborde la question économique, ça devient plus difficile », souligne-t-elle.

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